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Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-1.html

Certains esclaves formaient une couche supérieure de professionnels. Ils occupaient l’espace social qui est aujourd’hui occupé par la classe moyenne. Relativement privilégiés, ils pouvaient posséder de l’argent, mais cela ne changeait rien au fait qu’ils étaient des esclaves et, dans la plupart des cas, ils devaient le rester à vie.

Libérer des esclaves était peut-être un stimulus positif, mais c’était rare et souvent seulement un moyen pour un maître de se débarrasser d’un esclave vieux et/ou malade et de fait devenu inutile. Donc, c’est le contrôle négatif qui fut utilisé pour gérer les esclaves. Les punitions étaient appliquées non seulement aux esclaves, mais à la sous-classe des affranchis, des pauvres et des étrangers. Ils étaient cruels parce qu’ils devaient constamment rappeler à la sous-classe quelle était sa place et qu’ils n’étaient toujours qu’à deux pas d’être condamnés à être mangés par les bêtes sauvages dans le cirque.

De nos jours, la classe moyenne est en voie d’extinction, reste les « gueux ». Tout a une logique chez l’humain déchu, et le fait d’être cruel y trouve ici la sienne, bien qu’elle ne soit pas agréable. À notre époque, nous n’avons plus d’esclave humain, mais nous avons des esclaves fossiles.

Nous traitons les combustibles fossiles d’une manière similaire à celle utilisée par les Romains pour traiter leurs esclaves. Ils utilisaient les leurs pour construire leur civilisation, nous avons utilisé le pouvoir des combustibles fossiles pour construire la nôtre.

Nos esclaves fossiles ne se sont jamais plaints d’être brûlés dans les chaudières et les moteurs. Ainsi, nous n’avons pas eu besoin depuis un petit moment de ce genre de cruauté « gratuite ».

Mais, nos combustibles fossiles deviennent progressivement plus chers à mesure que nous les utilisons, à cause de l’épuisement des ressources dans un monde fini. Ensuite, on nous bassine qu’il faut absolument réduire leur utilisation afin d’éviter les pires effets du « réchauffement climatique ».

Ainsi, symboliquement, nos esclaves fossiles sont donc en train de se soulever, se révolter, ils nous quittent inévitablement.

De toute manière et contre toute attente de 2013 à 2016, la croissance de la consommation mondiale d’énergie a chuté. La consommation totale d’énergie primaire est à peu près le meilleur indicateur de l’évolution réelle de l’activité économique, ce malgré le « soutien » de la Banque centrale, et la dette massive qui a été contractée.

Tout cela aurait dû entraîner une croissance spectaculaire. Mais, en réalité, ce n’est pas ce qui s’est passé. Les pays «riches » représentent un peu moins de 50 % de la population mondiale, ils consomment près de 90 % de l’énergie, et le ralentissement observé dans ces pays ne sont pas compensés par la croissance des pauvres, c’est même le contraire.

Les pays riches ont connu un pic de consommation totale d’énergie en 2007 et sont encore en dessous du pic dix ans plus tard. Après l’effondrement de la consommation en 2009, la période de 2011 à 2016 a connu l’une des croissances les plus faibles parmi ces pays depuis 1980.

Un facteur déterminant face à ce phénomène est la combinaison d’une baisse de la population en âge de procréer et d’une baisse des taux de fécondité (nombre de naissances pour 1 000). Même les naissances en Inde ont atteint leur apogée au tournant du siècle et sont en déclin séculaire. La population indienne en âge de procréer devrait atteindre un maximum autour de 2040.

Seules les nations à faible revenu continuent d’avoir plus d’enfants, alors que toutes les autres régions ont atteint un plateau ou sont en plein recul démographique. Seule exception : la forte augmentation des naissances et de la population en âge de procréer en Afrique.

Désormais bien sorti des « trente glorieuses », les conséquences sont déjà visibles : inégalités croissantes, pauvreté, stress social, etc. Nous assistons à la montée des « esclaves de la dette », une dette censée être remboursée par un travail acharné. Mais, il devient évident que peu importe à quel point et combien de temps une personne travaillera, elle ne sera jamais en mesure de la rembourser.

Alors, comment ces nouveaux esclaves peuvent-ils être motivés ?  La réponse est la même que celle trouvée par les anciens Romains : des punitions imposées par l’État par ses divers leviers : police, justice, l’armée, etc.

Et c’est exactement ce à quoi nous assistons. Nous n’en sommes pas encore revenus au genre de séparation formelle entre les classes qui définit certaines personnes comme des «esclaves » au sens romain du terme, mais cela monte crescendo, d’où le réveil des Gilets Jaunes !

Mais comme tout est télécommandé longtemps à l’avance en ce monde/démon, la bonne question est : ce mouvement est-il naturel ou plus ou moins piloté ? The Economist est un magazine « attrape mouches » utile à l’élite, et auquel nombre de conspirationnistes de tous bois aiment à venir se coller afin de jouer les madame Irma.

Je vais donc jouer à la mouche moi aussi. C’est la revue porte-parole de la City de Londres et des Rothschild, autrement dit on y trouve des « nouvelles fraiches ».

En 1988, The Economist, annonçait « get ready for a world currency ». La revue parlait déjà de cette volonté d’une monnaie unique et mondiale à l’horizon 2018 : le Phénix. Dans ce projet, la Chine, en 2018, était le dernier gros morceau à intégrer les DTS créés en 1969. Les droits de tirage spéciaux (DTS, en anglais, Special Drawing Rights : SDR), sont un instrument monétaire international créé par le FMI pour compléter les réserves officielles existantes des pays membres. Tout ceci nous montre que nos « camarades » ont les idées longues. Une longue chaine d’esprits lucifériens nous amène à notre époque. Il y a derrière tout ce marasme une intelligence froide qui « force le respect », je m’explique ! » Fin de l’extrait.

Maintenant, je vais en arriver à vous parler d’un point sur lequel ou vous ment depuis plus d’un siècle.

Je vais évoquer une chose inconnue. Voici ce que la très sainte encyclopédie Wikipédia en dit : « La théorie du pétrole abiotique est une théorie alternative sur l'origine chimique du pétrole, qui serait selon celle-ci formé dans les couches profondes de la Terre ; elle s'oppose à l'hypothèse communément admise de la formation par transformation progressive de détritus biologiques fossilisés à des profondeurs relativement faibles. … Elle n'a jamais suscité de réel intérêt parmi les géologues, hormis les Russes par le passé1 et est de nos jours considérée comme scientifiquement invalide. »

Et pourtant, sans l’intervention d’un certain Rockefeller et sa clique de scientiste vendue, nous aurions depuis longtemps à disposition une énergie inépuisable.

En effet, dans mon dernier ouvrage, en "fou de complotiste" que je suis, j’exprime cette réalité cachée : Si demain le pétrole abiotique devenait abondant… Les compagnies pétrolières savent parfaitement que la théorie du pétrole abiotique est vraie, qu’il y a des quantités fantastiques de pétrole sous nos pieds, et qu’il n’y aura pas de crise d’approvisionnement avant des milliers d’années ou plus.

Un certain nombre de responsables politiques des pays riches le savent aussi. Ils mentent donc sciemment depuis plus de 100 ans quand ils disent que le pétrole vient de la décomposition des plantes et dinosaures, qu’il n’y en a qu’une quantité très limitée pour l’humanité.

Pourquoi ? Eh bien, tout simplement parce que le pétrole permet d’avoir l’argent et le pouvoir. La richesse des compagnies pétrolières est basée sur une relative rareté du produit et une très grosse partie de leur profit et basée sur le commerce international de celui-ci.

En effet, il est évident que si demain, tous les pays étaient capables de produire du pétrole, celui-ci ne vaudrait plus rien. Son prix de vente baisserait quasiment au niveau de son coût d’extraction. Les marges, qui sont actuellement énormes, diminueraient comme peau de chagrin, si les Etats se mêlaient de contrôler les prix. Les profits deviendraient donc dérisoires, pour des milliers d’années.

Les compagnies pétrolières vivent aussi du commerce international, donc du fait qu’il y a des pays producteurs/exportateurs d’un côté et des pays acheteurs de l’autre. Il faut, pour elles, qu’il y ait un nombre limité de pays exportateurs pour pouvoir faire des profits à la vente plus facilement. Parce que, sur un marché national autosuffisant, le gouvernement peut décider de limiter les prix du baril. Tandis qu’avec le marché international, ce sont les compagnies qui peuvent magouiller pour faire optimiser leur profit et faire varier les prix selon leur convenance.

Avec quelques pays producteurs faibles militairement et ayant des compétences techniques limitées, bombes et technologie aidant, les grandes compagnies peuvent obliger les pays producteurs à passer par elles.

Et du coup, les pays consommateurs, eux aussi, sont obligés d’en passer par ces quelques compagnies, qui font dès lors un chiffre d’affaires gigantesque. Quant aux Etats consommateurs, ils peuvent être menacés d’embargo par les pays qui contrôlent ces compagnies.

Mais, si, d’un seul coup, tous les pays du monde ou presque produisent leur propre pétrole, c’est la fin de ce commerce international. Fini les manipulations du marché et les profits gigantesque, fini le contrôle des prix par les compagnies multinationales. Ce seront désormais les Etats qui pourront contrôler les prix. Et fini également les menaces d’embargo ou de problème d’approvisionnement. C’est la fin des pays qui vivent au dépend du pétrole et n’ont pas su convertir le cumul de leur rente pétrolière en richesse nationale (industrie, agriculture etc..).

Si demain, les gens venaient à apprendre que le pétrole se trouve en quantités gigantesques un partout sur terre, et que les conséquences économiques en étaient tirées, ce serait là mort du commerce, du pouvoir des compagnies pétrolière et des Etats de la providence.

À MOINS DE ME PRENDRE POUR UN FOU, DESORMAIS VOUS SAVEZ !

Mais nous n’en sommes pas là et, comme indiqué précédemment, Davos entend bien nous voir régresser économiquement, sanitairement et, cerise sur le « gâteau davosien », en éliminer une grande partie. Voilà pourquoi, compte tenu de l’importance du pétrole dans le fonctionnement de nos sociétés industrialisées, cette démarche verte est folle. Transports, gaz at fioul de chauffage, pétrochimie, agriculture, sont autant de fils d’Ariane dont notre société aux pieds d’argile dépend.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/02/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-4.html

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