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Anne, ma sœur Anne ne vois-tu rien venir ? (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Laissez-moi vous conter une histoire, pour la dernière fois. Charles Perrault (1628 -1703), est un homme de lettres français, célèbre pour ses Contes de ma mère l’Oye, sur lesquels il y aurait beaucoup à dire, ainsi que sur le janséniste qu’il fut. Dans mon conte, La Barbe bleue, sera tonton Klaus Schwab et la jeune épouse que Barbe bleue cherche à occire ; la gueusaille qu’à leurs yeux nous représentons tous.

La dette américaine a atteint la somme astronomique de 34 trilliards de dollars, l’élite le sait, elle en est même responsable. Je l’explique dans mon dernier ouvrage consacré à Davos et ses méfaits, l’Occident tout oxydé est au bord du gouffre. C'est juste qu'on ne dit pas la vérité (au public) et que beaucoup trop d’autruches veulent ignorer la réalité. Les ultra riches savent pertinemment que le bateau coule, ce sont eux qui ont créés l’iceberg et embauchés les capitaines ivres qui nous mènent dessus.

Eux, ils se sont créés une bouée verte. D’où le fameux plan de Davos qui consiste à tous nous imposer une taxe carbone personnelle reliée à l'identité numérique, sous prétexte de lutter contre la prétendue « crise climatique ».

Tout sera alors basé sur des « crédits carbones ». Et si tout le monde en reçoit, Davos a tout prévu pour les riches. Si, par exemple, ils veulent partir en vacances plus souvent, ils pourront acheter les crédits carbone personnels des pauvres qui, de toute façon, ne pourront pas se permettre d'acheter des billets d'avion ou de manger de la viande trop souvent.

Et c’est là que la machine infernale se met en marche. Pour ces fous, la chaîne alimentaire représente plus d'un quart des émissions mondiales de GES. Alors que les naissances diminuent partout dans le monde, ils ont calculé qu’au cours des deux prochaines décennies, la demande alimentaire mondiale devrait doubler. Cela signifie que l'agriculture devra être plus productive tout en réduisant son impact environnemental (…)

Ainsi, la bande à tonton Schwab imagine un secteur agricole qui émet beaucoup moins de gaz à effet de serre et qui obtient de meilleurs rendements agricoles, tout en générant des revenus supplémentaires grâce aux crédits issus de l'agriculture carbone.

Cette agriculture-là, à base d’insectes, d’OGM et de viande artificielle, sera subventionnés pendant que l’agriculture normale sera sacrifiée.

Pour cette politique, le gouvernement hollandais a décidé de faire la guerre aux agriculteurs en les forçant à vendre leurs terres, ce qui avait provoqué des grèves violentes en 2023... Non seulement Davos et Bill Gates veulent qu'on mange des insectes, mais en plus ils comptent remettre en place la taxe carbone à l'échelle de toute la population, une gigantesque escroquerie sur le dos des entreprises françaises et des populations

C’est pourquoi, devant toutes ces impostures monumentales, je me lève et essaie d’avertir mon prochain. Je le fais une dernière fois à travers cette série d’articles. Après j’arrête car je commence à en avoir marre de l’inertie observée et du manque de cohésion chez mes lecteurs. Qu’on me croie ou non, peu importe, vous ne tarderez pas à observer et vivre dans la chair tour ce que je dénonce ici.

Je suis un « complotiste » depuis longtemps, un fils spirituel de personnes courageuses telle Claire Séverac. Je me bats au milieu des fous et contre des bataillons de fous dangereux dont ceux qui se disent écologistes en constituent les plus cruels et dangereux. Ils font de la politique écologique une machine infernale qui nous plonge dans un malthusianisme ruineux.

Une des façons d’en mesurer le résultat est de regarder l’évolution du PIB qui est la création de richesse de l’économie européenne. Si on continue à les laisser faire à ce rythme-là, notre PIB va se résumer à peau de chagrin et cette "transition écologique" sera insupportable sur le plan économique. Les conséquences sur la dette, l’emploi, l’inflation seront catastrophiques.

Oui. J’appartiens à cette race si souvent montrée du doigt parce qu’elle gratte en permanence le vernis de la bonne conscience, pour mettre à nue cette Vérité qui rend libre. Libre de tous ces salauds de corrompus qui nous mentent à longueur de journée. J’en suis à moult articles concernant ces sujets cruciaux, fatigué de vous expliquer ce paradigme fou : l’illusion d’une transition écologique "merveilleuse" qui créerait des emplois et des richesses pour tous.

Au milieu de ce marasme occidental, il y a la France et un peuple qui n’est pas prêt à sacrifier un peu de son bien-être d’aujourd’hui pour améliorer le sort des générations futures surtout si elles ne sont pas françaises… Et c’est bien compréhensible d’autant plus que les alternatives existent mais restent cachées pour satisfaire encore et toujours les intérêts de l’élite.

Au milieu de cette guerre d’idées frelatées, l’obscurantisme écolo-bobo, incarne le « bien » avec son écologie vertueuse autant qu’environnementale. Ce camps est continuellement accompagné de sa farandole endiablée de termes qui le sont tout autant : naturel, durable, éolienne, biologique, photovoltaïque, recyclable, économe, local, associatif, décentralisé ; j’en passe et des meilleurs.

Dans l’autre camps, il y a nous, les salauds de pauvres pollueurs qui osent encore respirer et produire ce monstrueux CO2 qui impacte nos vie et la sérénité de Gaïa. Parmi ces intégristes, il y a encore une classe à part : les intégristes climato-sceptiques, dont j’ai l’honneur de faire partie. Je suis une espèce de jésuite du climat qui, au milieu des mensonges énormes du GIEC, défend l’idée qu’au nom du réchauffement climatique, les partisans de l’étatisme et du dirigisme justifient une fiscalité toujours plus importante, des réglementations toujours plus contraignantes et l’emprise croissante de la sphère publique.

Leur sacrosaint principe de précaution ne sert qu’à embrigader l’humanité et engager des dépenses souvent inutiles au milieu desquelles les gourous davosiens profitent d’une crise climatique créée de toute pièce pour renverser le système économique actuel… nous robotiser et nous affamer.

Un jour, nos descendants s’amuseront peut-être de cette folie qui avait envahie le monde de sa nouvelle idéologie mortifère. Ils comprendront peut-être difficilement cette faillite scientifique qui nous avait plaqué au mur des exécutions sommaires : ou quand le dogme politique prend le pas sur les résultats expérimentaux.

Ils comprendront d’autant moins encore la faillite morale qui nous avait attrapé lorsque l’Europe s’imposa seule le coût faramineux des énergies renouvelables, au nom d’un « consensus scientifique » dont les politiques et les médias contrôlaient totalement le récit.

En effet, ils sont passés où les scientifiques raisonnables face à cette panique climatique propagée ? Nos modèles utilisés pour prédire l’avenir en matière de climat sont profondément défectueux. Ils ne sont même pas en mesure de décrire avec précision le climat du passé !

Tout cela n’est qu’une stratégie qui consiste à faire exploser les prix de l’alimentation et de l’énergie, à créer une pénurie de logements et à réduire de manière autoritaire la mobilité. Parallèlement on assiste à un développement d’une bureaucratie qui contrôle la vie des entreprises et des citoyens…

Il y a un an, à Davos, en Suisse, pour le Forum économique mondial, un sbire de l’administration John Kerry a déclaré que : Enormément d’argent était nécessaire pour les programmes climatiques.  Environ 150.000 milliards de dollars, rendez-vous compte ! C’est 150% du PIB mondial. Le fait que ce montant FARAMINEUX soit dépensé au cours des 26 prochaines années ne signifie pas qu’il ne s’agit pas d’un montant destructeur pour l’économie.

La réunion annuelle du Forum économique mondial de Davos a lieu maintenant, du 15 au 19 janvier 2024. L’ampleur du « besoin » importe peu aux partisans de Davos, qui se réunissaient cette année pour la 54e fois. Comme d’habitude, ces flagorneurs ont passé leur temps à se persuader de combien le monde a besoin d’eux et de leurs compétences particulières pour résoudre la crise climatique qu’ils ont fabriquée, et de la quantité d’argent des autres dont ils ont besoin pour faire le travail.

Si leur rêve de psychopathe abouti, ce qui représente quand même environ 5 000 milliards de dollars par an des contribuables, que pouvons-nous en attendre ?

Eteindre les lumières, laisser les voitures au garage et reboucher les pipelines de gaz et de pétrole, le tout en mangeant des insectes et de la viande artificielle, tout ça ne servira à rien : c’est du pipi de chat qui n’influencera nullement la météo. Tout juste retournerez-vous au Moyen Âge car, si vous pensez que les humains influent sur le climat dangereusement, vous vous mettez le doigt dans l’œil et jusqu’à l’épaule.

Pendant ce temps-là, les pays en développement, moins cons que l’Occident tout oxydé de ses vieux cons de Davos et menés par la Chine et l’Inde, conduisent actuellement leur PIB vers des sommets d’où nous ne verrons plus jamais les paysages lointains, puisque privés de voyage en avion.

Tout ceci n’est qu’écologie punitive…assénée par de petits kapos vert d’une idéologie vert de gris. L’écologie politique déconstruit notre histoire et nos paysages tout en mettant en exergue la démission presque irrémédiable de toute une société. Ainsi face à cette démission par lâcheté, nous devenons la cible des verts les plus fous : c’est-à-dire des écologistes les plus influents tels : Sandrine Rousseau, Marc Jancovici, Greta Thunberg, etc.

Pendant qu’en un mélange de cynisme et de bêtise, l’un prône le rationnement des billets d’avion, la mesure phare de Rousseau, consisterait à interdire immédiatement de louer des "passoires thermiques", créant ainsi une pénurie MONSTRUEUSE de logements.

Quant à « sainte » Greta, elle pense que l’heure de l’apocalypse écologique a sonné. La prosternation devant ces papes du climat est donc notre seule voix de salut. On est bien dans une écologie carcérale plus pressée d’asservir et de ruiner que de lutter contre un changement climatique qui, de toute manière, ne dépend aucunement de nous.

Du bio à la voiture électrique en passant par le nucléaire ou les OGM, ce totalitarisme vert démonte méthodiquement le corpus de poncifs écologistes les plus clivants et les plus extrêmes. Il est devenu le témoin d’une époque où penser librement en marge d’une religion nourrie de fantasmes et de peurs est devenu un acte de courage et les voix scientifiques discordantes des ennemis à abattre.

Là-dedans, l’UE n’est qu’un repère de loups aux ordres des lobbies et désireuse de démanteler ce qui reste des Etats souverains. Un simple exemple : le moteur économique européen, où le piston allemand, comme vous voudrez, n’a qu’une idée en tête ; démantibuler la culasse et le vilebrequin. L’Allemagne s’est évertuée à massacrer notre fleuron national : notre patrimoine nucléaire. Le nucléaire français a été démantelé. L'Allemagne mène une offensive terrible pour détruire EDF https://youtu.be/e4GWqyTTuCo

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/anne-ma-soeur-anne-ne-vois-tu-rien-venir-partie-2.html

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