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roman

CHRONIQUE D'UN OCCIDENT OXYDE

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

DUPLICITE QUAND TU NOUS TIENS

Le quatrième pouvoir, jadis destiné à remettre en cause la parole publique et la voix officielle des gouvernements, est maintenant au service du Deep State afin d’écrabouiller aussi complètement que possible toute dissidence.

L’actualité internationale est comme un pet malodorant perpétré par un « malotrou » de bas étage. On a honte pour lui tant il fait preuve d’incorrection. Les merdias ont néanmoins ceci d’intéressant qu’ils mettent chaque jour en lumière de façon plus crue et pestilentielle l’utilisation de doubles standards éhontés dans la bouche des politiciens et des médias de connivence. Jusqu’à présent, le plus béotien des béotiens savait au moins que la profession du foi du politique est le mensonge.

Jusqu’à il y a encore quelques années, on pouvait croire à l’effort de certains médias de donner la parole à tous les bords de l’échiquier politique ou, au moins, à un panel sinon représentatif mais au moins varié d’opinions.

Nos merdias acceptaient encore certaines dissonances au discours politique officiel ou à celui de la majorité. C’est désormais fini. Nada ! Que dalle ! Non seulement les discours alternatifs n’ont plus cours dans les médias mais en plus l’individu qui ose les tenir se voit alors considéré comme un malpropre : un « complotiste ». Quelle horreur !

S’il y a encore quelques années, les médias se contentaient de passer sous silence certaines positions ou opinions qui ne leur plaisaient pas, il est maintenant attendu (puisque payés grassement) de ces mêmes médias qu’ils emploient toute leur puissance de frappe informationnelle pour classifier cette opposition dans la case tabous et d’en poursuivre les auteurs en les traitant de fous, de complotistes, de réactionnaires ou mieux encore d’antisémites notoires.

Il n’est plus seulement nécessaire de bien faire comprendre ce qui est autorisé ou non dans le discours public, il devient indispensable de s’assurer que ceux qui osent les paroles interdites seront impitoyablement pourchassés, bannis, ostracisés.

Cependant, les mensonges d’hier, ressortis maintenant à l’identique, deviennent si évidents, si grossiers, que même le plus con des béotiens commence à se gratter la tête. Ceux qui les sortaient à l’époque sans sourciller le moins du monde pataugent désormais allégrement dans des circonvolutions rhétoriques pour s’expliquer (sans plus vraiment y parvenir).

Le phénomène ne cesse de gagner en importance. Tout est désormais visible comme le nez au milieu du visage : vaccinations mortifères, politiques fous autant que corrompus jusqu’à la moelle, acquis sociaux et retraites qui s’atomisent, immigration incontrôlée maintenant impossible à justifier dans un tel contexte, etc.

Au milieu de tous ces faits j’allais en oublier un Gros, un MONSTRUEUX : la valse carbone.

Elle tourne et tourne au doux son d’une hypocrisie la plus crasse.

Ceux qui l’animent sont les plus cons, les moins scrupuleux de cet Occident en décomposition avancée. Quelques exemples suffiront. Au « bon pays » de Jacinda Ardern, petit mignon de Klaus Schwab et « femme » d'État néo-zélandaise au service trois pièces identique à celui de Jean Mimi (étrange ?), on va taxer les flatulences des vaches et l’urine des moutons dans le cadre de la première taxe climatique mondiale.

Pendant qu’en Hollande, le gouvernement néerlandais qui veut réduire de manière drastique la production agricole d’ici 2030, va saisir par la force plus de 600 fermes sous prétexte que l’azote est désormais considéré comme un polluant.

Afin de ne pas botter en touche et flinguer ceux qui, plus intelligents, ont refusé les injections d’ARNm, le gouvernement néonazi australien va agir « sagement ». De manière à altérer l’ADN des troupeaux laitiers, croyez-le ou non, le bétail se fait maintenant piquer avec un produit, qui, lors d’une récente campagne de « vaccination » massive d’un troupeau, a entraîné la mort immédiate de 35 des 200 animaux. Soit 17,5% de perte immédiate.

En Australie et bientôt chez nous, soyez-en sûrs, les producteurs laitiers et d’autres seront obligés d’injecter la grippe de Wuhan ou de Fauci à leurs animaux pour rester en activité et même si les animaux n’y réagissent pas bien du tout.

Ainsi, lorsqu’on évoque la transition écologique, on entre au pays des folledingues, un land où tout est toujours perçu comme nécessaire et alléchant jusqu’au moment où l’éolienne et les panneaux photovoltaïques aux rendements médiocres devront s’implanter près de chez soi, ou sur l’horizon qu’on appréciait pourtant lorsqu’il était dégagé…

Quant à ceux qui professent la « sobriété énergétique », à moins d’être un déglingué du bulbe, il n’échappera à personne que, niveau hypocrisie : ce sont les champions du monde. C’est, « serrez-vous la ceinture, mais pas moi ! ».

Bill Gates et ses multiples jets privés, Al Gore et sa maison gigantesque, le Roi Charles aux grandes oreilles, qui ne s’épargne aucun déplacement aux factures carbone roboratives, etc.

Plus proche de nous, en France, dois-je vous rappeler le montant de la note EDF de l’Elysée ? Jupiter et sa Jean Mimi consomment des kilowatts en réceptions princières et à grand renfort de godemichés et autres joyeusetés à se fourrer dans le …

Quant à nos ministres et autres clowns républicains, ils bénéficient toutes et tous d’un train de vie à faire pâlir de honte leurs homologues des pays scandinaves.

Nos ministères constituent chacun un repère de cancrelats ; des cancres là et juste bons à vivre sur le dos de la princesse tout en ayant le culot de dire aux Français (avec le col roulé à la mode) « serrez-vous la ceintures bandes de pollueurs ».

Certains journalistes ou starlettes de pacotille ont même l’outrecuidance de prétendre lutter contre le réchauffement climatique depuis leurs yachts ou leurs jets et à coups de slogans faciles.

Bref, ce sont systématiquement ceux qui se gargarisent d’économies et de « modestie » énergétiques qui en font, de loin, la plus mauvaise démonstration, col roulé compris.

L’hypocrisie de ces individus, cette caste, qui, il y a peu encore, crachait sur les Gilets jaunes ou les objecteurs à la vaccination forcée, n’a plus de limite. Tel Christophe Barbier, le pourfendeur à l’écharpe rouge qui, face à un smicard n’arrivant pas à joindre les deux bouts, a l’outrecuidance, le mépris, de lui déclarer tout de go, qu’il devrait travailler plus et supprimer l’une de ses semaines de congés payés.

Alors qu’elle n’était encore qu’évoquée, l’hypocrisie de cette caste de parvenus devient aussi visible que dénonçable, partout, tout le temps.

Les plateaux télé et les réseaux sociaux, concentrent désormais journalistes et médias de révérence avec les mêmes têtes de vainqueurs que durant les précédentes crises. Chacun voit à présent se fissurer la belle assurance de ces aigrefins à mesure que les faits leur donnent tort.

Car la caractéristique du « complotisme » cette « tare » dont ils ont toujours plein la bouche, c’est d’avoir toujours raison ; mais un peu trop tôt. Bref, d’être souvent les seuls à dire vrai.

Et ça, ils n’aiment pas du tout ces journalopes qui ne vérifient qu’un seul côté des discours et toujours le même. C'est-à-dire celui qui honore et avantage les intérêts de leurs maîtres ; les financiers de l’ombre. S’ils sont donc autorisés, poussés tous à brosser dans le sens du poil de coyote les niaiseries ou les mensonges des politiciens en odeur de sainteté avec le pouvoir, c’est pour mieux leur donner raison, souvent d’une façon si gluante et obséquieuse qu’elle en devient gênante pour le lecteur.

Tel Thomas Sotto interviewant Bill le coyote, le 6 mai 2022, sur France2, venu présenter son livre ; sombre recueil de mensonges. Aucune question gênante ne sera alors posée à ce fossoyeur de l’humanité, par ce journaliste lécheur de cul ; ce turluteur des grands.

Fort heureusement, la plupart des gens raisonnables savent maintenant que ces p’tits minets payés par les pouvoirs en place, ne sont là qu’afin de déblatérer une propagande à la Joseph Goebbels.

Vous remarquerez que les pontes du 3e Reich qui voulaient se livrer à une sélection finale autant qu’eugéniste n’étaient pour la plupart que des avortons mal démoulés. Désormais, c’est pareil.

Nous avons affaire à une caste de médiocres lécheurs de culs à la carrure d’épinoche ainsi qu’à la propagande grossière presqu’entièrement basée sur la lecture partielle d’une titraille étudiée pour pousser une certaine réalité, tant il est vrai (malheureusement) que les lecteurs ne vont que rarement au-delà du titre ou des deux premiers paragraphes…

Et puisque nous venons de vivre l’âge obscur du détecter-tracer-isoler, « stratégie » prévue par le gouvernement et censée s'appuyer sur le repérage précoce des symptômes, la réalisation de tests et l'isolement dès que nécessaire, aidé en cela par des bataillons de médecins vendus pour la plupart à Mammon et Big Pharma (c’est pareil), nous pouvons aborder un nouvel âge sombre : celui du serrage de ceinture tous azimuts et de l’effort de guerre.

Qu’on se rassure, il sera animé par les mêmes bataillons de faux culs aux regards mielleux et au discours sirupeux.

Et puisque nous en sommes au gout « sirupeux », vous reprendrez bien un peu de merde en tube ?

Pourquoi cette question !? Simplement parce qu’au niveau restrictions en tout genre et guerre hybride, les mêmes sont encore et toujours aux commandes avec leur condescendance de milliardaires « philanthropes ».

Nous allons crever de faim ? Pas grave ! Bill le coyote nous a déjà sauvé du couillonavirus, il nous remplira l’estomac. Mais de merde. C’est qu’il a pensé à tout le philanthrope de mes …

Tout comme Al Gore, le réchauffiste fou, il a pensé à nous faire bouffer des insectes et de la merde recyclé (excréments humains). Certains pensent même à nous faire manger les cadavres, afin d’éviter le gâchis.

On brule moins d’énergie dans les crématoriums et on ne gaspille pas la viande. Mais là encore, ils convient de faire appel à pléthore de « stars » afin de faire changer les mentalités. Le bobo à beau l’être, il convient de l’endoctriner toujours plus en utilisant d’autres bobos : des super-bobos.

Ainsi, tout comme avec le « Réchauffement climatique », le « méchant » Poutine, le « gentil » Zelensky et son pays nazifié au nom duquel le Français doit se rationner et se geler les couilles cet hiver, on reprend les mêmes « premiers de la classe » et on recommence.

On découvre maintenant les mêmes brochettes de vedettes de pacotille prétendre s’enfiler goulument des insectes. Ces petits soldats du discours officiel professent alors en cœur qu’il va bien falloir se passer de viande et remplacer nos steaks par des grillons, des vers de farine, le tout assaisonné de merde en tube.

Comptons néanmoins sur le FAIT que cette engeance de faux culs sera la dernière à abandonner la bonne bouffe au profit de la croustillance douteuse d’un grillon difficile à digérer.

De la même façon, c’étaient déjà ces mêmes vedettes parfaitement hypocrites qui soulignaient l’importance du « Restez Chez Vous » et qu’on retrouvait ensuite agglutinées dans les dîners de la bonne société, alors même que les confinements les interdisaient très officiellement.

Ce sont ces mêmes starlettes qui vont se couper « courageusement » une petite mèche de cheveux par solidarité avec les femmes iraniennes, au passage joli coup monté une fois de plus par la CIA afin de déstabiliser l’Iran décidément trop proche de Poutine. Des « artistes » françaises qui se coupent une mèche de cheveux en solidarité avec l'Iran ! Mais où sont-elles lorsqu’il s’agit de réagir face à un crime sataniste odieux, d’une barbarie sans nom : celui de la petite Lola ?

À ce bal des hypocrites, j’allais oublier d’inviter une autre classe : celle des prix Nobel de mes … Le dernier nommé, un Français, n’est pas en reste, acharné qu’il est à s’attaquer à Didier Raoult. Ces « scientifiques » qui prétendent détenir une vérité si solide que toute discussion à son sujet est immédiatement interdite, entravée de toutes les façons possibles, me donnent la nausée.

Heureusement l’heure tourne à l’Horloge Divine. Et à ce « deux poids, deux mesures », cette hypocrisie permanente, répondent maintenant les faits et la réalité qui, malgré les exhortations des uns et des autres à les oublier, refusent de plier. Ce monde change désormais et très vite. Petit-à-petit, il devient impossible d’endiguer les commentaires acides de plus en plus nombreux de ceux qui, restés sur le côté, observent le décalage croissant entre la « science » d’une petite élite et la réalité, entre le comportement prêché et le comportement réel.

À ce titre, le GIEC, tout emberlificoté qu’il est dans ces mensonges de réchauffiste, constitue un bel et piètre exemple. Nous sommes à l’ère des Révélations. Ceux qui ânonnaient les sermons officiels ont longtemps été plus nombreux que ceux qui les refusaient.

C’est en train de changer. Lentement, sûrement, l’hypocrisie devient visible. Et au beau milieu de tous ces mensonges, notre Occident tout oxydé est en train de se liquéfier. C’est le but de cet essai romancé que de vous en convaincre. Il constitue la suite de « C’était donc vrai ! », paru en 2015.

Bonne lecture.

Olivier, un essayiste qui vous conseille de vous méfier des évidences et de la pensée dominante.

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