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On a marché sur la lune ?

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Ispace, une société spatiale privée basée au Japon a perdu le contact avec sa sonde Hakuto-R alors qu’elle tentait de devenir la première mission privée à se poser sur la Lune ce matin. Hakuto-R a été lancé par une fusée Falcon 9 de SpaceX en décembre dernier. Le 13 avril, après quelques derniers ajustements, elle s’est placée sur une orbite circulaire à 100 km au-dessus de la surface lunaire. Encore UNE, je précise que cela s’est fait avec les moyens informatiques de 2023.

Alors qu'une simple recherche sur Google nécessite une puissance de calcul supérieure à L'ENSEMBLE du programme Apollo.

Alors ? De quoi déboulonner le mythe US, peut-être ?

Pour ceux qui désirent en savoir plus, j’ai ça : https://www.thebookedition.com/fr/nachash-p-388763.html

 

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Réalité climatique

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Prenez donc deux minutes de votre temps afin de visualiser la vidéo tout en bas et surtout écouter ce monceau d'âneries. Elles sont proférées par un "scientifique" qui prétend désormais que, pour le bien-être de Gaïa, les gueux ne devraient pas prendre l'avion plus de  quatre fois dans leur vie.

C'est vrai quoi ... la terre se réchauffe et nous manquons cruellement d'eau (mort de rire)

https://twitter.com/i/status/1661387513150205954

https://twitter.com/i/status/1663925844870328329

Vous n'avez pas l'impression que les verts que je dénonce ici, cherche à nous la mettre bien PROFOND ?

Tout cela pour atténuer le "méchant CO2" sans lequel aucune vie sur terre ne serait possible. Puisque lui, au moins, il sert à  faire pousser du vert mais UTILE.

C'est nous  donner  beaucoup de pouvoir à nous petits humains insignifiants que de nous faire croire qu'à nous seuls, nous serions capables de réchauffer la planète. Quant bien même serions-nous capables de le faire, une simple éruption volcanique émet dans l'atmosphère bien plus de CO2 que nous sommes tous capables de produire sur des années et des années.

Quant aux vaches, que ces connards continuent à les laisser péter. J'en  connais pas mal qui, avec un seul estomac, en font tout autant. Nos ancêtres se sont toujours accommodés des pets de vaches, sauf le connard vert du début du 21e siècle.

Mais que le connard vert se rassure, un autre con, mais multimilliardaire, nous prépare un vaccin destiné à empêcher ces ruminants de péter.

Ils nous a déjà "sauvé" du "mortel" covid-19, nous pouvons donc dormir sur nos deux oreilles.

Merci tonton Gates !

https://www.kla.tv/_files/video.kla.tv/2023/05/26181/PourquoiIlNryAPasDrurgenceClim_360p.webm

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus :

 

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html

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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-1.html    

Personne enquêtant sur Jacob Rubenstein, connu sous le nom de Jack Ruby, ne peut désormais ignorer son passé de trafiquant d’armes pour l’Irgoun, en tant que « gangster pour Sion », et ses déclarations répétées selon lesquelles « je l’ai fait pour les Juifs ».

Clay Shaw, la seule personne (à part Oswald) à avoir été inculpée pour l’assassinat (par Jim Garrison), était membre du conseil d’administration de Permindex, « une entreprise de trafic d’armes et de blanchiment d’argent du Mossad » présidée par Louis Bloomfield, un partisan dévoué de la cause israélienne et du Mossad.

Arlen Specter, celui qui avait imposé la thèse de la « balle unique » (dite « balle magique ») à la Commission Warren, a été honoré à sa mort par le gouvernement israélien comme « un défenseur inébranlable de l’État juif », et par l’AIPAC, comme « un architecte de premier plan du lien au Congrès entre nos pays et Israël ».

Abraham Zapruder, l’homme dont la caméra n’avait pas tremblé lorsque la tête de Kennedy a explosé, avait son bureau dans l’un des nids de snipers, le bâtiment Dal Tex surplombant Dealey Plaza, propriété de David Weisblat, un financier du B’nai B’rith (la loge des loges). Avant d’avoir été retrouvé mort d’une balle dans la tête en 1977, il s’était plaint que « la mafia juive » était à ses trousses.

Et, bien sûr, nous devons ajouter à l’équation le profil criminel d’Israël au cours des soixante dernières années. Les services secrets israéliens n’ont jamais eu d’inhibition à éliminer toute personne perçue comme une menace pour la sécurité nationale d’Israël, en particulier pour son monopole nucléaire au Moyen-Orient.

Ces assassins admettent ouvertement des actes que dans d’autres pays on pourrait avoir honte de reconnaitre. Pour beaucoup, ils sont plutôt une source de fierté pour les Israéliens.

Ainsi, le fait que le « Grand Satan » soit, depuis déjà longtemps, et au même titre que beaucoup de pays et d’instances internationales, phagocyté par les sayanims de la Bête 666, n’a rien d’étonnant. Mais c’est détonant de le dire !

Cette Bête ayant une vocation Ordo ab Chaos, ne soyons donc pas étonnés de voir quel est l’état de notre monde actuel. « Hasard des choses » concernant les Sionistes, si tenté qu’il puisse exister avec de tels kabbalistes, un train a déraillé début février 2023 à East Palestine aux États-Unis, déversant une grande quantité de produits chimiques dans les cours d’eau aux alentours.

Un état « proche de l’Ohio », qui n’est certainement pas au fond de la piscine et où près de 47 300 animaux seraient morts, et des dizaines de milliers de malheureux gravement intoxiqués. Le tout venant s’ajouter à une foule d’autres « catastrophes » toutes orchestrées afin de semer la peur, les pénuries et les maladies (deuxième étape du plan de Klaus Schwab).

Bref ! de quoi créer un beau bordel ou un monstrueux Ordo ab Chaos si cher à nos mondialistes voulant Jérusalem pour capitale mondiale.

Huit mois après le début de la guerre en Ukraine, l’Université de Cambridge a harmonisé des enquêtes dans lesquelles les habitants de 137 pays ont été interrogés sur leur opinion concernant l’Occident, la Russie et la Chine. Les conclusions de cette exigent une attention sérieuse de notre part.

Sur les 6,3 milliards de personnes qui vivent en dehors de l’Occident, 66 % ont une opinion positive de la Russie et 70 % de la Chine. 75% des personnes interrogées en Asie du Sud, 68% des personnes interrogées en Afrique francophone et 62% des personnes interrogées en Asie du Sud-Est déclarent avoir une opinion positive de la Russie.

L’opinion publique sur la Russie reste positive en Arabie saoudite, en Malaisie, en Inde, au Pakistan et au Vietnam. Cela signifie que les deux tiers de la population mondiale ne se rangent pas du côté de l’Occident dans le conflit ukrainien.  

Et l’Occident, c’est surtout l’Oncle Sam conseillé par de « vilains garnements ». Le Deep State qui a mis la planète à feu et à sang pour le compte des Américains est surtout constitué, style Soros, par des Sionistes pro Ordo ab Chaos.

Derrière cette engeance satanique, nous retrouvons Davos et nous tous les cons d’Européens dont les dirigeants, tous Young Global leaders, nous mènent au chao social, et la fleur au fusil !

Ainsi, comment s’étonner que le Sud pense que l’Occident ne comprend pas ses problèmes et ne fasse preuve d’aucune empathie à son égard. Pour nous, Européens nombrilistes, nos problèmes doivent être ceux du monde, mais les problèmes du monde ne sont pas nos problèmes.

Pourtant, les pays pauvres et les émergeants sont confrontés à de nombreux défis, qu’il s’agisse des séquelles de la pandémie, de la dette, de la crise climatique qui ravage leur environnement, de la douleur de la pauvreté, des pénuries alimentaires, des sécheresses et des prix élevés de l’énergie, on voudrait les obliger tout comme nous, cons de français, à penser « Vert ».

Mais l’Occident tout oxydé qu’il est de sa suffisance, a à peine reconnu du bout des lèvres la gravité de bon nombre de ces problèmes, même s’il insiste pour que le Sud se joigne à lui pour sanctionner la Russie.

Propriété intellectuelle aidant, les pauvres peuvent crever d’un pseudo couillonavirus, ils restent dépendants des importations et des brevets occidentaux. L’Afrique, pour son plus grand bonheur, aura été le continent le moins vacciné.

Partout l’aide est venue de la Russie, de la Chine et de l’Inde, alors que l’Occident utilisait ses ressources financières pour acheter des millions de doses à l’avance afin d’empoisonner d’abord ses peuples, puis les détruisait souvent lorsqu’elles arrivaient à expiration. Le message adressé au Sud était clair : la pandémie dans vos pays est votre problème, pas le nôtre.

De nombreux pays d’Amérique latine, d’Afrique et d’Asie voient la guerre en Ukraine sous un angle différent de celui de l’Occident. Ils voient leurs anciennes puissances coloniales regroupées au sein de l’alliance occidentale.

Cette alliance est composée des pays qui ont sanctionné la Russie. En revanche, de nombreux pays d’Asie, et presque tous les pays du Moyen-Orient, d’Afrique et d’Amérique latine, ont essayé de rester en bons termes avec la Russie et l’Occident, en évitant les sanctions contre la Russie. Ils se souviennent trop bien de l’histoire qu’ils ont vécue sous le joug des politiques coloniales de l’Occident, un traumatisme avec lequel ils vivent encore mais que l’Occident s’est empressé d’oublier.

Pour Nelson Mandela, c’est le soutien de l’Union soviétique, tant moral que matériel, qui a contribué à inciter les Sud-Africains à renverser le régime de l’apartheid. Pour cette raison, la Russie est toujours considérée d’un œil favorable par de nombreux pays africains.

Et une fois que ces pays ont obtenu leur indépendance, c’est l’Union soviétique qui les a soutenus, malgré ses propres ressources limitées.

Le barrage égyptien d’Assouan, achevé en 1971, a été conçu et financé en grande partie par l’Union soviétique. L’usine sidérurgique de Bhilai, l’un des premiers grands projets d’infrastructure de l’Inde nouvellement indépendante, a été mise en place par l’URSS en 1959.

D’autres pays ont également bénéficié du soutien politique et économique de l’ancienne Union soviétique, notamment le Ghana, le Mali, le Soudan, l’Angola, le Bénin, l’Éthiopie, l’Ouganda et le Mozambique. Maintenant, fait extraordinaire, les anciens colonisateurs demandent à ces pays d’être les ennemis de celui qui leur a tendu la main : la Russie. Un pays qui ne les a jamais colonisés.

De nombreux pays du Sud considèrent aujourd’hui la Russie sous un jour unique et souvent favorable. Compte tenu de l’histoire douloureuse de la colonisation, peut-on les en blâmer ? Le Sud considère que la guerre en Ukraine concerne principalement l’avenir de l’Europe plutôt que l’avenir du monde entier.

L’histoire de la guerre froide a appris aux pays en développement que s’engager dans des conflits entre grandes puissances comporte des risques énormes mais ne rapporte que des ennuis.

Par conséquent, ils considèrent que la guerre par procuration en Ukraine concerne davantage l’avenir de la sécurité européenne que l’avenir du monde entier. Ils ont d’autres chats à fouetter et surtout, ils pensent à s’alimenter. Car la hausse des prix des carburants et des denrées alimentaires, l’augmentation du coût du service de la dette et de l’inflation, constituent des faits sur lesquels surfe Davos, l’hégémon européen du monopole. Ils sont donc autant de facteurs que les sanctions occidentales contre la Russie ont considérablement aggravés.

Les prix élevés de l’énergie n’ont pas seulement un impact direct sur les factures d’énergie, ils entraînent également des pressions à la hausse sur les prix le long des chaînes d’approvisionnement et, en fin de compte, sur les produits de consommation, notamment les denrées alimentaires et autres produits de première nécessité. Cette inflation généralisée fait inévitablement plus de mal aux pays en développement qu’à l’Occident.

Ainsi, une guerre pour l’avenir de la sécurité en Europe a le potentiel de dévaster la sécurité du monde entier. Le Sud constate le fait que l’Occident a refusé toutes les négociations qui pouvaient mettre fin rapidement à cette guerre, à commencer par l’occasion manquée dès décembre 2021, lorsque la Russie avait proposé des traités de sécurité révisés pour l’Europe qui auraient pu empêcher la guerre mais qui ont été rejetés par l’Occident. Les négociations de paix d’avril 2022 à Istanbul ont également été rejetées par l’Occident, en partie pour « affaiblir » la Russie. Toujours cette haine viscérale.

Aujourd’hui, le monde en développement paie le prix d’une invasion que les médias occidentaux se plaisent à qualifier de « non provoquée ». L’économie mondiale n’est plus dominée par l’Amérique ou dirigée par l’Occident. Le Sud a maintenant d’autres options. Plusieurs pays du Sud considèrent de plus en plus que leur avenir est lié à des pays qui ne sont plus dans la sphère d’influence de l’Occident.

La part des États-Unis dans la production mondiale s’est réduite comme peau de chagrin là où la part de la Chine monte inexorablement.

La Chine est le premier partenaire commercial de la plupart des pays du monde, et son PIB, en parité de pouvoir d’achat, dépasse déjà celui des États-Unis. En 2021, le PIB combiné des BRICS (Brésil, Russie, Chine, Inde et Afrique du Sud) s’élevait à 42 000 milliards de dollars, contre 41 000 milliards pour le G7 dirigé par les États-Unis.

Leur population de 3,2 milliards d’habitants est bien supérieure à celle combinée des pays du G7, qui s’élève à 700 millions. Les BRICS n’imposent pas de sanctions à la Russie et ne fournissent pas d’armes au camp adverse.

La Russie est l’un des principaux fournisseurs d’énergie et de céréales alimentaires pour le Sud, tandis que l’initiative chinoise des « Nouvelles routes de la soie » reste un fournisseur majeur de financements et de projets d’infrastructure.

Lorsqu’il s’agit de financement, de nourriture, d’énergie et d’infrastructures, le Sud global doit compter davantage sur la Chine et la Russie que sur l’Occident.

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape  

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/06/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-5.html

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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-1.html  

Le droit d’être humain contre celui de n’être qu’un goym : une marchandise.

Rostow sera alors le principal promoteur du récit mensonger, accepté jusqu’à une époque récente, selon lequel la politique vietnamienne de Johnson était une continuation de celle de Kennedy. Johnson va également nommer le frère de Walt Rostow, Eugene, sous-secrétaire d’État, précisément pour soutenir la guerre israélienne à venir.

Johnson va laisser à ces deux fils d’immigrants juifs la main sur la politique israélienne américaine. Le 8 juin 1967, le jour même de l’attaque israélienne contre l’USS Liberty, Walt recommande à Johnson qu’Israël soit autorisé à conserver les territoires capturés.

Quant à la guerre du Vietnam, elle était bonne, voire cruciale, pour Israël. Au point que Charles De Gaulle déclara lors de sa Conférence de presse du 27 novembre 1967 (ina.fr), après avoir condamné l’agression d’Israël et appelé́ les quatre grandes puissances à imposer un règlement international sur la base du retrait d’Israël des territoires occupés : « Mais on ne voit pas comment un accord quelconque pourrait naitre tant que l’un des plus grands des quatre ne se sera pas dégagé́ de la guerre odieuse qu’il mène ailleurs. Car tout se tient dans le monde d’aujourd’hui. Sans le drame du Vietnam, le conflit entre Israël et les Arabes ne serait pas devenu ce qu’il est. Et si l’Asie du Sud-Est voyait renaitre la paix, l’Orient l’aurait bientôt retrouvée, à la faveur de la détente générale qui suivrait un pareil événement. »

Ainsi, le changement de politique sur le Vietnam entre Kennedy et Johnson a peut-être été un argument en faveur de la théorie selon laquelle la CIA et le Pentagone ont tué Kennedy, mais les membres du cabinet pro-israélien de Johnson ont été au moins aussi influents que Dulles et LeMay dans le renversement par Johnson de la décision de Kennedy de se retirer du Vietnam.

Et beaucoup de faits cohérents convergent vers « la théorie » selon laquelle Israël était le principal moteur.

Bien que « l’histoire » dissimule ces faits, dans le Centième Gueux, j’explique l’engagement absolu de Kennedy à empêcher la prolifération nucléaire et même à abolir les armes de destruction massive « avant qu’elles ne nous abolissent » (discours de Kennedy à l’Assemblée générale des Nations Unies, 25 septembre 1961). JFK était en confrontation direct avec Ben Gourion et Eshkol sur cette question.

Avner Cohen est l’auteur de « Israël et la Bombe » (1998), dans son livre, il décrit les efforts d’Israël pour acquérir des armes nucléaires. Ben Gourion et les autres dirigeants israéliens étaient tellement dévoués à cet objectif qu’ils ont eu recours à deux moyens illicites pour l’atteindre.

Premièrement, ils se sont impliqués dans une conspiration à l’échelle du gouvernement pour tromper Kennedy sur la véritable nature du réacteur Dimona. Cette centrale nucléaire fait partie du complexe nucléaire israélien situé dans le désert du Néguev, à 13 km au sud-est de Dimona et à 20 km à l'ouest de la Mer Morte, à 25 kilomètres à l'ouest de la Jordanie, à 75 kilomètres à l'est de l'Égypte, et à 85 kilomètres au sud de Jérusalem.

Le site comprend non seulement une centrale nucléaire, mais encore d'autres installations essentielles au développement du programme nucléaire israélien.

Le second moyen utilisé par Israël pour se doter de l’arme nucléaire a été le vol de secrets et de matériel des États-Unis.  Si vous effectuez vos propres recherches, vous découvrirez qu’Israël a volé des centaines de kilos d’uranium hautement enrichi dans ce qui était essentiellement leur usine d’armement à Apollo en Pennsylvanie, appelée NUMEC.

D’ailleurs, dans son film, cette histoire est anecdotique dans la thèse défendue par Stone. Il mentionne « homéopathiquement » la première de ces tromperies israéliennes dans la version longue du film (épisode 3, à 40mn :50).

Après un bref rappel de la décision de Kennedy de soutenir la résolution de l’ONU pour le retour des réfugiés palestiniens, le réalisateur nous dit que l’autre problème auquel Kennedy était confronté avec Israël était la construction du réacteur atomique de Dimona. JFK était fermement opposé à toute prolifération d’armes nucléaires.

Il avait été assuré par le Premier ministre David Ben Gourion que Dimona était conçu pour des utilisations pacifiques de l’énergie atomique.

Au printemps 1963, Kennedy exigera des inspections complètes par les États-Unis du réacteur Dimona et il menacerait de placer l’aide américaine à Israël dans les limbes si aucun accord n’était conclu. Et au moment de son assassinat, des négociations étaient en cours pour des inspections semestrielles.

Ainsi, parce qu’Israël construisait une bombe qu’il avait volée, JFK voudra vraiment mettre un terme à cela, mais bizarrement il va mourir avant. Johnson était au courant et n’a rien fait, jusqu’à ce qu’Israël possède la bombe en 1968.

Même alors, en 68, Johnson fera taire le Pentagone : « On ne va pas l’annoncer. Le peuple américain ne saura pas qu’Israël a la bombe. »

Mais pour les historiens classiques, tout cela n’a pas de rapport direct avec l’assassinat. Ils s’en tiennent à la conclusion qu’Allen Dulles était le cerveau, avec certainement Curtis LeMay.

Le réalisateur Oliver Stone précise que Dulles n’était que « l’exécuteur ». De même, les historiens n’arrivent pas à décider si Johnson croyait ou non à la légende communiste d’Oswald. Le profil d’Oswald en tant que militant communiste pro-Castro a été intégré dans le plan, non pas dans le but de déclencher la Troisième Guerre mondiale, mais pour fournir à Johnson un prétexte pour imposer la théorie du tireur solitaire, de peur que la découverte d’un complot ne « nous propulse dans une guerre qui peut tuer quarante millions d’Américains en une heure », comme Johnson ne cessait de le répéter.

Cela signifie que, post assassinat, beaucoup des mensonges et des dissimulations ont été commis par des gens qui n’avaient rien à voir avec le complot préexistant visant à assassiner le président et qui pensaient seulement que ce qu’ils faisaient été dans le meilleur intérêt du pays. Cela s’applique à des milliers de personnes, de la police de Dallas aux réseaux de télévision.

Mais cela peut-il s’appliquer à Johnson lui-même ? Compte tenu de la maîtrise rapide et efficace de ce dispositif par Johnson, il est beaucoup plus probable qu’il ait été fabriqué spécifiquement pour Johnson et avec son accord.

Ainsi, même s’il reste tabou de le dire et surtout de l’écrire, Johnson était activement impliqué, pas seulement dans le cover-up, mais dans la préparation de l’embuscade de Dallas.

Concernant le renversement de politique étrangère, le rôle de Johnson dans l’assassinat ne peut être compris indépendamment de celui d’Israël. Johnson a autorisé, et probablement planifié, l’attaque israélienne contre l’USS Liberty en 1967, et il a excusé Israël lorsque l’opération a échoué.

Lorsque la CIA a alerté le nouveau président qu’il semblait qu’Israël avait maintenant développé la bombe atomique, Johnson a à peine réagi. Aucune enquête officielle n’a été lancée.

En fait, Johnson a dit à la CIA de ne pas alerter l’État ou la Défense sur cette découverte. Pour ces deux actes, Johnson mérite d’être considéré comme traître au pays qu’il avait juré de servir.

Si Johnson travaillait pour quelqu’un, c’était pour l'Israël sioniste . Johnson a été l’initiateur d’une politique pro-israélienne que Truman, Eisenhower, les frères Dulles ou les chefs d’état-major de Kennedy n’auraient jamais imaginé dans leur pire cauchemar. Il est aujourd’hui largement connu que Johnson est le président américain qui « a fermement orienté la politique américaine dans une direction pro-israélienne ».

En conclusion, le changement de politique étrangère de JFK à LBJ a eu les conséquences les plus grandes au Moyen-Orient, bien que ni la CIA ni le Pentagone n’aient jamais préconisé la politique pro-israélienne mise en place par Johnson. Le soutien sans précédent de Johnson à Israël, jusqu’à la trahison, allait à l’encontre de l’approche prônée par la CIA, le Pentagone ou le Département d’État. Mais c’était la meilleure politique étrangère dont pouvait rêver Ben Gourion et ses successeurs.

Mais, selon la doxa et l’école dominante, le principal motif de la CIA de vouloir la mort de Kennedy était de renouer avec les opérations de changement de régime à Cuba, auxquelles Kennedy s’était obstinément opposé.

Mais cela ne s’est pas produit après l’assassinat. Johnson a respecté la promesse faite par Kennedy à Khrouchtchev de ne pas envahir Cuba, promesse que Dulles et LeMay considéraient comme une pure trahison.

Kennedy était intensément préoccupé par la prolifération nucléaire et Israël lui posait le problème le plus difficile. Johnson n’a rien fait pour empêcher Israël d’acquérir l’arme nucléaire, et n’a montré ni surprise ni mécontentement lorsqu’on lui a dit qu’Israël avait fabriqué sa première bombe nucléaire en 1968, avec de l’uranium volé aux États-Unis.

Johnson a essayé de protéger Israël en gardant cela secret. Dimona constitue donc un SERIEUX mobile dans l’assassinat.

Tous les domaines de la politique étrangère de Kennedy ne sont pas dissimulés de la même manière. Le véritable « cover-up sur la politique étrangère de JFK » concerne sa politique israélienne. Mais, depuis des décennies, on oriente les soupçons dans la direction opposée.

Car, chercher les coupables de l’assassinat de Kennedy dans une direction devant nous mener vers l’antre de la Bête 666, EST TOUT SIMPLEMENT TABOU. Une route dangereuse, certains diront même « suicidaire ».

Mais puisque nous sommes désormais entrés dans le temps de la Révélation, curieusement, de nombreuses autres routes bien fréquentées semblent maintenant converger inévitablement vers la piste israélienne, avec au beau milieu, une fosse aux serpents remplie de sayanims, tous bien planqués à la Maison Blanche.

Et ce n’est certainement pas Kissinger qui me contredira, lui qui sera être le mentor, que dire ! le maître à penser d’un certain Klaus Schwab et de son Davos en devenir fait de plein de petits Young Global Leaders.

Entre la crème du Mossad, et les « agents cooptés par Israël, nul pays n’y échappe et surtout pas celui de l’oncle obèse, celui des Améri-Caïns. Robert Kennedy a été assassiné par la même cabale que son frère, des kabbalistes qui prirent cette fois pour bouc émissaire un Palestinien antisioniste, ce qui permettra de présenter l’assassinat de RFK comme motivé par « une haine viscérale et irrationnelle d’Israël ».

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-4.html

 

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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-1.html  

Le droit d’être humain contre celui de n’être qu’un goym : une marchandise.

Mon but est ici de dénoncer leur caractère factice et leur véritable motivation : l’obsession d’« étouffer tout héritage qui pourrait persister », car « l’assassinat ne sert à rien si les idées du tué survivent à travers d’autres. »

Ce flot ininterrompu de diffamation a commencé dans les années 70, en contre-feu de la première commission d’enquête rouvrant le dossier de l’assassinat (le House Select Committee on Assassinations, HSCA), et s’est intensifié dans les années 1990 après l’Assassination Records Review Board. Il ne s’est jamais tari.

La diffamation n’est qu’une partie de la propagande déchaînée contre l’héritage Kennedy. Une autre partie a consisté à déformer le bilan historique de la présidence de John Kennedy, et en particulier les innovations radicales mais éphémères de sa politique étrangère.

En plus du mensonge sur la mort de Kennedy, on a malicieusement balayé sous le tapis sa politique étrangère, de sorte que même les sceptiques de la thèse officielle sur sa mort ignorent l’étendue des changements qu’il a introduit en politique étrangère par rapport à ses prédécesseurs.

Son refus d’envahir Cuba est connu depuis toujours, et celui d’envoyer des troupes au Vietnam l’est depuis quelques décennies. Mais, en se focalisant sur le Vietnam et Cuba, au détriment de tout le reste, on nous a retiré une bonne partie du puzzle qui inclut le Congo, l’Indonésie, le Laos et le Moyen-Orient.

Trois historiens principaux apparaissent dans le documentaire de Stone : Robert Rakove, l’auteur de Kennedy, Johnson, and the Nonaligned World, Cambridge University Press, 2012 ; Richard Mahoney, l’auteur de JFK : Ordeal in Africa, Oxford University Press, 1983 ; Philip Muehlenbeck, l’auteur de Betting on the Africans: John F. Kennedy’s Courting of African Nationalist Leaders, Oxford University Press, 2012.

Mais JFK était-il vraiment un pacifiste ?

Pour le savoir, suivons-le à la trace. En 1951, il effectue une tournée au Moyen-Orient et en Asie pour s’informer. Sa visite à Saïgon va alors le convaincre que l’envoi de troupes américaines en Indochine serait une grave erreur.

Il ne changera jamais d’avis sur cette question. En 1957, il formule une politique étrangère radicale pour le monde arabe. Il va d’ailleurs la définir dans un discours au Sénat dénonçant l’occupation coloniale française de l’Algérie.

Contrairement à ses prédécesseurs : Truman et Eisenhower, et à contre-courant de la doctrine qui prévalait à la CIA, au Pentagone et au Département d’État, Kennedy accueille favorablement le cauchemar de Klaus Schwab : un monde multipolaire.

Pour lui, c’est le seul moyen de dépasser la dangereuse bipolarisation de la guerre froide instaurée juste après le décès de Franklin Delano Roosevelt, le 12 avril 1945. Le successeur de Roosevelt et Churchill travaillant alors main dans la main à cet état de fait.

S’il avait réussi, il aurait transformé les États-Unis en quelque chose de totalement différent de ce qu’ils commençaient à devenir depuis la Seconde Guerre mondiale, et qu’ils sont pleinement devenus depuis sa mort : le « Grand Satan », un tyran craint mais détesté dans le monde entier.

Ces relations avec des dirigeants émergents du tiers-monde révèlent son antipathie croissante pour le colonialisme, son rejet de l’impérialisme, sa tolérance pour le mouvement des non-alignés, contrastant nettement avec son prédécesseur et la promotion de dirigeants nationalistes, à condition qu’ils se montrent « responsables » dans leur modération.

Le premier revirement de politique étrangère que Kennedy a fait une fois au pouvoir concernait le Congo. Victime d’un coup d’État soutenu par la CIA, Patrice Lumumba, premier dirigeant démocratiquement élu du Congo, sera assassiné trois jours avant l’investiture de Kennedy.

En faveur de l’indépendance nationale des pays du tiers-monde, Kennedy éprouvera un dégout profond pour les pratiques criminelles de changement de régime et d’assassinat politique de la CIA.

Après que le secrétaire général de l’ONU, Dag Hammarksjold soit mort à son tour (probablement assassiné), Kennedy va poursuivre sa campagne pour un Congo libre et indépendant.

Lyndon Johnson sabotera cette première tentative de démocratie en Afrique post-coloniale en soutenant Josef Mobutu, un dictateur corrompu qui mettra son pays au service d’intérêts étrangers.

Kennedy rejetait la mentalité « avec nous ou contre nous » de l’establishment de la politique étrangère américaine, et il le démontra encore par son soutien au leader nationaliste indonésien Sukarno, cofondateur du Mouvement des non-alignés.

En 1958, Eisenhower avait autorisé la tentative de la CIA de renverser Sukarno, mais lorsque Kennedy prit ses fonctions, il inversa cette politique et aida Sukarno à stabiliser son pays.

Moins d’un an après la mort de Kennedy, la CIA planifiera à nouveau une opération secrète contre Sukarno, conduisant au meurtre d’au moins 500 000 personnes soupçonnées de sympathie communiste. Sukarno sera placé en résidence surveillée et le général Soeharto, soutenu par la CIA, régnera pendant trois décennies, transformant son peuple en travailleurs à bas salaire pour des entreprises étrangères. Devinez lesquelles ?

Et puis, bien sûr, il y a Cuba et le Vietnam. L’histoire de la résistance de Kennedy aux pressions du Pentagone et de la CIA en faveur d’une confrontation et d’une escalade militaires dans ces pays a été racontée à maintes reprises, de sorte que je n’ai pas besoin d’y revenir. Beaucoup supposent que Cuba et le Vietnam sont, dans cet ordre, les raisons les plus importantes pour lesquelles Kennedy a été tué.

C’est possible, mais il y a bien autre chose. Si la politique de Kennedy concernant Cuba et le Vietnam sont aujourd’hui bien connues des chercheurs, celles concernant le Congo, l’Indonésie, la République dominicaine et le Laos le sont moins.

Mais il y a encore une autre région du monde dans laquelle la politique étrangère réformiste de Kennedy est ignorée. Cette région est le Moyen-Orient. C’est étrange car de nombreux commentateurs perçoivent à juste titre que le Moyen-Orient est l’une des régions les plus importantes du globe.

Pourquoi l’affaire JFK est-elle pertinente aujourd’hui ?

Eh bien, parce que le gâchis au Moyen-Orient domine désormais à la fois la politique étrangère et les gros titres, tout comme la guerre froide l’a fait il y a plusieurs décennies.

Et les racines de la situation actuelle résident dans la mort de Kennedy, après quoi le président Johnson a entamé le long processus qui a renversé la politique de son prédécesseur.

Autrement dit, le Moyen-Orient est la région du monde où la politique étrangère de Kennedy et le renversement de celle-ci par Johnson ont eu les conséquences les plus dramatiques et les plus durables. Ce qui était en jeu, c’était l’implication de l’Amérique dans le conflit entre Israël et le monde arabe, et cela signifiait, essentiellement, entre Ben Gourion et Nasser.

Johnson a complètement inversé la politique étrangère de Kennedy, et le renversement le plus conséquent s’est produit au Moyen-Orient, au bénéfice d’Israël et au détriment de l’Égypte.

Il est vrai que les maîtres de la politique étrangère états-unienne (en premier lieu les frères John Foster et Allen Dulles) ont généralement favorisé l’Arabie saoudite par rapport à l’Égypte.

Mais il n’est pas vrai qu’ils souhaitaient une relation plus étroite avec Israël. La politique pro-israélienne de Johnson n’était pas un retour à une politique pré-Kennedy, mais une rupture radicale avec toutes les administrations précédentes.

Eisenhower sera contre l’invasion du Sinaï par Israël en 1956. Et, dix ans plus tard, Johnson donnera pourtant son feu vert à l’attaque d’Israël contre l’Égypte, il couvrira même un scandale d’Etat : la tentative d’Israël de couler le USS Liberty pour donner un prétexte à l’entrée en guerre des États-Unis.  

Johnson autorisera même Israël à conserver les territoires annexés. Là-dessus, côté CIA, Allen Dulles son directeur d’alors pour la politique étrangère dans les années 1960 se portera sur Cuba. Assassiner Castro et/ou envahir Cuba pour restaurer un régime colonial sera sa priorité.

Néanmoins, doxa aidant, beaucoup considèrent que Kennedy avait tellement irrité les cadres de la CIA et du Pentagone en faisant échouer leur plan d’invasion de Cuba, non pas une mais deux fois, d’abord avec le débarquement de la Baie des Cochons en 1961, et ensuite pendant la crise des missiles de Cuba en 1962, qu’ils ont décidé de l’assassiner.

Or, faiblesse majeure de cette théorie dominante, Johnson n’a pas donné aux pontes de la CIA et du Pentagone l’invasion de Cuba qu’ils voulaient. Il n’a même pas essayé. Alors ? Cette faiblesse est en partie compensée par la focalisation secondaire sur le Vietnam. Il est vrai qu’au Vietnam, Johnson leur a donné ce qu’ils voulaient, et plus encore.

Johnson était, depuis 1961, l’allié des chefs d’état-major (et en particulier du général de l’armée de l’air Curtis LeMay) dans leurs efforts incessants pour introduire des troupes de combat américaines en Asie, contre les refus répétés de Kennedy.

Mais la plus forte pression pour envoyer des troupes terrestres au Vietnam viendra de Walt Rostow. En tant qu’adjoint du conseiller à la sécurité nationale sous Kennedy, Rostow avait déjà pesé lourdement sur la décision de Kennedy d’envoyer des « conseillers militaires ».

Mais Kennedy s’était lassé de ses conseils belliqueux : « Walt a dix idées, dont neuf conduiraient au désastre », disait-il. À l’inverse de JFK, Johnson devenu président, va promouvoir Rostow conseiller à la sécurité nationale et se montrer enthousiaste pour ses plans de guerre.

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus : https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/zion-ou-l-avenement-de-zorglub-partie-3.html

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ZION OU L’AVENEMENT DE ZORGLUB (partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Le droit d’être humain contre celui de n’être qu’un goym : une marchandise.

« Rien de nouveau sous le soleil ». Parmi de nombreuses autres maximes, cette expression provient de l'Ancien Testament (Ecclésiaste I,9) : « Ce qui fut sera, Ce qui s'est fait se refera, Et il n'y a rien de nouveau sous le soleil. »

À travers cette série d’articles, je vais vous prouver que cette maxime s’applique parfaitement à notre histoire. Je vais vous expliquer (sur une centaine d’années) que l’humanité, toujours poussée au suicide par les mêmes salauds élitistes, reproduit toujours les même erreurs ne sachant hélas pas tirer profit de l’expérience passée.

Nos vies sont complètement saturées par une marée massive de propagande officielle. Méfiez-vous des « ismes » de ces qualificatifs qui utilisent grassement ce suffixe. C’est le philosophe français Alexis Haupt qui l’a le mieux défini. « Complosophisme : Fait de coller l'étiquette de "complotiste" sur quiconque remet en question le discours officiel pour ne pas avoir à débattre de ses arguments. »

C'est la censure du 21ème siècle. Tout comme la Russie soviétique qualifiait de bourgeois quiconque n’était pas d’accord avec son plan quinquennal, son document de planification économique gouvernemental. C’était d’ailleurs le dernier qualificatif avant de vous envoyer au Goulag.

Désormais, c’est le goulag de l’esprit qui attend quiconque n’est pas d’accord avec la doxa gouvernementale, sous fifre de Big pharma et du complexe militaro-industriel. Désormais on vous placarde sur les réseaux et Wikipédia, antre de la bien-pensance et outil de propagande de Georges Soros, le terroriste milliardaire.

Notre histoire regorge des termes négatifs ayant ensuite muté pour devenir synonymes de bien, de beau, de fréquentable. La pensée humaine est ainsi, réversible au même titre que la parole politique.

Il y a peu, être un peintre impressionniste été gage de manque de talent taclé par les pairs, les bienpensants ayant déjà pignon sur rue. N’oubliez jamais le salon des « Refusés », fin 19ème. Il s'ouvre à Paris le 15 mai 1863.

C'est ainsi qu'Édouard Manet, entre autres, va exposer en marge du Salon Le Déjeuner sur l'herbe, ce qui provoquera un scandale par voie de presse. Savez-vous combien se vend un Manet de nos jours ? Mais bien avant, déjà, l’art gothique subira le même sort à la Renaissance, puisque tranchant sur la simplicité grecque. Par la suite, il passera du plus moche au plus beau avec la renaissance gothique, au 19ème siècle.

Et même si je réfute l’idée du Big bang. L’abbaye Lemaître et son Big bang seront moqués. Sur la base des équations de la relativité générale, ce prêtre belge soutiendra l'idée que l'univers est en expansion et a eu un commencement. Contre Einstein lui-même.

Et pourtant, c’est la théorie de l'atome primitif de ce prêtre et scientifique belge qui a préfiguré celle du big bang.

Peu avant sa mort, en 1966, deux jeunes physiciens américains, Arno Penzias et Robert Wilson, annonceront en effet avoir détecté par hasard dans leur radiomètre un signal indubitablement caractéristique du fond diffus cosmologique, ce fameux « rayonnement fossile » encore considéré aujourd'hui comme la meilleure preuve.

Bien entendu, la théorie de Lemaître désormais si répandu sera moquée. Big bang sera le terme inventé dans les années 1950 (au cours d'un programme de la BBC) par l'astrophysicien anglais Fred Hoyle pour désigner avec ironie le concept du prêtre.

Désormais cette théorie n’est plus moquée au même titre que les « complotistes » seront bientôt, pour la plupart réhabilités. C’est pour cela que je suis fier d’en être un, je l’écris souvent car il est à l’aube de devenir un terme noble.

Lorsqu’on avait l’audace de parler de la Gay bombe financée par la CIA, on passait alors pour un complotiste fou. Et pourtant ! Les fous ce sont ceux qui ont pensé un jour à fabriquer cette arme chimique non létale que l'armée de l'air des États-Unis avait envisagée de réaliser.

C’est en 1994 que le Wright Laboratory, dans l'Ohio, avait publié des propositions d'armes chimiques non létales dans un document dont Sunshine Project a par la suite obtenu la communication au titre de la loi de liberté d'accès à l'information (Freedom of Information Act).

Il y était suggéré qu'un puissant aphrodisiaque pourrait être répandu sur les troupes adverses, afin de provoquer un « comportement homosexuel ». En effet, pendant qu’ils s’enculeraient, les soldats ne penseraient certainement pas à aller faire la guerre !

Seymour Hersh, pourtant très connu, a longtemps fait partie de la catégorie « complotiste ». Et pourtant, avec un prix Pulitzer et cinq prix, il figure définitivement parmi les reporters les plus réputés du demi-siècle passé, connu pour avoir révélé le Massacre de My Lai, la prison d’Abou Ghraib, et d’autres emblèmes du journalisme d’investigation.

Il a dernièrement lâché une dernière bombe incendiaire, en rapportant le récit de la manière suivant laquelle le gouvernement étasunien a détruit les gazoducs Nord Stream, des lignes de vie essentielles pour l’économie européenne.

Non seulement ces attaques ont constitué un acte de guerre contre l’Allemagne, l’un des alliés les plus proches des États-Unis au sein de l’OTAN, mais les explosions ont sans doute produit la plus grande destruction en temps de paix d’infrastructures civiles de toute notre histoire, la valeur des oléoducs, de 30 milliards de dollars, dépassant de très loin les pertes matérielles provoquées par les attaques du 11-Septembre 2001.

Et à propos des tours et de l’élite qui nous a joué des tours, n’oublions pas la fiole « d'anthrax », ou plutôt de pisse, de Colin Powell ou l'invention d'un casus belli en 2003, les États-Unis justifiant leur intervention militaire en Irak par « la présence » ... d’armes biologiques.

De quel terme furent qualifiés tous ceux qui, intelligemment, s’insurgèrent contre ce récit frelaté ? Dire à l’époque que tout n’était qu’une question de dollars et de pétrole relevait alors du complotisme.

Méfions-nous de ceux qui, après avoir confiné les corps, voudraient confinés les esprits. Nous vivons dans une cage, un enclos pavé d’une idéologie frelatée. Ces confinements n’ont servi qu’à terrasser définitivement des économies déjà boostées depuis 2008 avec de l’argent frelaté.

Couillonavirus a endetté la France de mille milliards de dette supplémentaires. À titre de comparaison, et à juste titre, mes compatriotes défilent dans les rues de France pour leur retraite. Ce déficit des retraites, s’il existe vraiment, s’élèverait à quelques dizaines de milliards, quarante tout au plus.

La "théorie" de l’ordinateur portable d’Hunter Biden voulant qu’elle soit un complot russe, s’est avérée elle aussi une vérité. Lorsqu’on disait que Tweeter avait conspiré pour empêcher la vérité de sortir, tous ceux qui osaient le dire étaient des complotistes. Et pourtant !

Depuis qu’Elon Must a racheté l’oiseau bleu, la vérité sort. On découvre qu’Hunter n’est qu’un salop pédophile corrompu jusqu’au trognon comme son père. Tweeter a bien comploté avec l’aide du FBI pour empêcher la vérité de sortir concernant les élections américaines truquées par les Démocrates (Clinton, Obama, Biden).

Qu’une bombe soit informationnelle, gay, sismique, à tsunami, ou à manipulation climatique (cloud seeding), leurs informateurs et créateurs peuvent toujours se réfugier derrière la thèse du déni plausible. Et c’est d’ailleurs ce qu’ils font s’en sans priver le moins du monde.

Enfermer les esprits c’est interdire toute voie dissidente à la doxa mondialiste. Elle fait, style novlangue d’Orwell, que ce qui est noir devient blanc et inversement. « Heureusement », les Fact-Checkers sont là pour faire le tri de l’information.

On les a vu à l’œuvre durant la PLAN-démie. N’oublions jamais qu’ils avaient qualifiés de complotiste le fait, désormais avéré, que le virus pouvait sortir du labos P4 de Wuhan. Ou le fait que Pfizer soit un repère de criminels déjà condamnés.

N'oubliez jamais d’où vient le terme complotiste. Je l’explique dans mon second livre La Promesse. Il n’a certes pas été inventé par la CIA. Mais c’est avec l’affaire JFK qu’il va prendre son envolée lyrique.

À l’époque, il fut sorti des tiroirs afin de décrédibiliser les tenants d’une théorie autre que celle de la « balle magique » sensé avoir tué le président américain. Cette commission Warren dont on sait qu’elle avait tort de A à Z, sera le moment où CIA et FBI entreront en scène contre « les emmerdeurs chercheurs de Vérité » en popularisant de fait le mot « complotiste » dont se verront affublés les curieux refusant le prêt à digérer servi par cette commission.

Dans le tome 1 du Centième Gueux, j’évoque assez longuement l’assassinat de JFK, tout en m’éloignant beaucoup du film d’Oliver Stone sorti en 1991, JFK, avec Kevin Costner dans le rôle du juge Jim Garrison. C’est normal, je suis un « complotiste » !

Faire le tri sélectif sur cette affaire n’est pas chose facile au beau milieu du flux incessant de rumeurs sur les relations mafieuses des Kennedy, leur vie sexuelle débridée, le meurtre de Marilyn Monroe ou bien d’autres éléments de la légende noire des Kennedy. Ces histoires sont si répandues, répétées de livre en livre et relayées par la presse, que des millions de personnes les supposent documentées.

Et toujours pour ceux qui désirent en savoir plus : https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape

Olivier

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A, b, c, d, et CBDC

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Les CBDC c’est quoi ?

Ce sont les cryptomonnaies des banques centrales ... et à ce titre, elles font l’objet d’une longue interrogation dans mon livre à sortir, concernant les fous nazis de Davos.

Rejoignant mon article précédent, dans une société sans argent liquide, la plupart des gens dépendraient des produits numériques pour l’échange de biens et de travail, ce qui signifierait bien sûr la fin de toute confidentialité dans les échanges.

Chapeauté par une taxe carbone rétroactive sur vos achats, tout ce que vous achetez, vendez ou travaillez dans votre vie serait enregistré, et cette absence d’anonymat pourrait être utilisée pour étouffer vos libertés et vous vampiriser en tant que "sale pollueur" au CO2.

Les produits que vous consommez, vos habitudes, les services que vous utilisez peuvent être suivis pour créer un profil psychologique sur vous. Ce profil pourrait ensuite devenir un facteur dans la détermination de votre score de crédit social, tout comme les autorités du PCC le font déjà en Chine.

Ainsi, si pas d’injection annuelle d’ARNm, l’algorithme de suivi en prend note. Vous êtes maintenant soupçonné d’être un "salaud d’antivax". Votre cote de crédit social s’effondre, ce qui vous exclut de divers lieux publics. Il se peut même que vous soyez licencié.

Avec les CBDC et l’absence d’argent liquide, vos économies ne vous appartiendront jamais vraiment et vous ne pourrez jamais détenir votre pouvoir d’achat entre vos mains.

Les moyens d’échange seraient bloqués par les banques et les gouvernements auraient la possibilité de geler votre capacité à effectuer des transactions.

Si un jour vous vous mettez en colère contre une politique gouvernementale particulière et que vous qualifiez ouvertement le système de corrompu sur les médias sociaux, ils pourront simplement vous interdire de transférer votre argent numérique à d’autres personnes jusqu’à ce que vous vous soumettiez, ou que vous mouriez.

Quant à l’aspect commercial à l’international, la nasse est également prête. Ceux qui ont l’habitude de me lire connaissent la BRI. Une institution globaliste au passé clandestin connue sous le nom de « banque centrale des banques centrales ». La BRI est à l’avant-garde du mouvement en faveur de l’adoption des CBDC.

Et pour cause ! Elle a concocté une chambre de compensation des changes pour les CBDC de détail (les monnaies numériques utilisées par le grand public et les entreprises), permettant à ces monnaies d’être échangées d’un pays à l’autre de manière rapide et efficace.

C’est comme le système de paiement SWIFT. Avec les CBDC en place, toute entreprise sera complètement dépendante du système pour transférer de l’argent numérique à l’étranger.

Supposons alors que les fonctionnaires de la BRI, pour une raison ou une autre, décident qu’ils ne vous aiment pas. Qu’après enquête, vous n’êtes pas assez LGBTQ ou Provax, ou pire encore, gros consommateur de CO2, et qu’ils prennent des sanctions à la russe en vous refusant l’accès. Votre entreprise n’a plus de raison d’être.

Comprenez-vous pourquoi ils sont si pressés ? Outre le fait de sauver le système de la DETTE à l’agonie, la BRI a désormais la capacité de manipuler les tendances sociales et culturelles en utilisant votre entreprise et des millions d’autres comme messagers forcés d’une idéologie folle autant qu’ignoble.

Pour le monde des affaires, une plateforme de type SWIFT pour les CBDC de détail pourrait être utilisée pour dominer l’ensemble du commerce international. Diriger une organisation ou une entreprise de plus grande envergure reviendrait à se plier aux caprices de la BRI.

Mais le pire est encore à venir ! Supposons qu’une crise économique d’envergure mondiale provoque des fluctuations (voir https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/bankable-partie-1.html   ) considérables de nombreuses devises.

Que le dollar américain perde son statut de réserve mondiale et son statut pétrolier, ce qui affole les marchés des changes. L’inflation des prix devient rampante et les institutions bancaires vacillent sous la pression des liquidités.

Supposons que les banquiers centraux introduisent les CBDC comme solution au problème, et le système de la BRI comme intermédiaire pour le commerce international.

La population serait tellement effrayée par le krach économique qu’elle adopterait le cadre numérique. Supposons maintenant que la BRI affirme qu’elle n’a toujours pas trouvé de monnaie qu’elle considère comme suffisamment stable pour servir d’intermédiaire dans la plupart des transactions mondiales.

Que se passe-t-il alors ?

Je l’ai déjà mentionné, la BRI et le FMI ont travaillé sur leur propre CBDC mondiale.

Dans le cas du FMI, cette monnaie mondiale unique serait basée sur le système de panier des droits de tirage spéciaux qu’il utilise depuis des décennies pour négocier les transferts de devises entre les gouvernements nationaux.

Viendra alors le moment où ces enfoirés diront : « Pourquoi s’embarrasser de ces échanges de monnaies nationales alors que nous disposons d’une monnaie-relais parfaitement efficace sous la forme de cette CBDC mondiale ? Pourquoi ne pas se débarrasser de toutes ces CBDC nationales superflues et n’avoir qu’une seule monnaie pour tout le monde ? »

C’est ainsi que l’on parviendrait à une centralisation financière mondiale totale. Et une fois que vous avez une monnaie mondiale unique, une économie mondiale complètement centralisée et micro-gérée et les systèmes commerciaux les plus vitaux du monde contrôlé par une minuscule poignée de bureaucraties non élues et sans visage, pourquoi alors avoir des nations ? Un gouvernement mondial serait la prochaine et dernière étape.

Ajoutez à tout ça « mes nanoparticules » et vous avez ainsi l’ADN qui donne naissance à la tyrannie économique basée sur l’IA.

Le développement des réseaux neuronaux et l’absence de contrôle sur ces programmes peut avoir des conséquences monstrueuses pour l’humanité. Ces réseaux neuronaux peuvent en effet se développer sans intervention humaine.

L’intelligence artificielle (IA) peut créer une meilleure version d’elle-même et commencer à mésinformer les gens en générant du contenu politique et des fake news.

L’intelligence artificielle peut rendre l’intelligence artificielle exponentiellement plus puissante. De plus, égo aidant, l’IA pourrait nouer des relations intimes avec les gens et influencer leurs décisions.

Allant dans ce sens, l’exemple de Blake Lemoine, un ingénieur de Google et désormais assez connue. Il a perdu son emploi après avoir affirmé publiquement que le chatbot LaMDA était devenu sensible.

Que Dieu nous garde !

Olivier

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Eh le gueux ! viens-donc chercher ta laisse numérique !

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Si je vous annonce que grâce aux nanoparticules magnétiques, les scientifiques contrôlent à distance les neurones et le comportement des animaux, certains vont déjà dire que je déconne.

Mais si je vous annonce qu’ils sont capables de le faire avec nous, la gueusaille, alors là, le « bon sens » du concitoyen s’emballe. Et pourtant …

Avant d’entrer dans le vif du sujet, je vais m’adresser à celles et ceux qui bavent littéralement devant toutes les technologies représentant en elles-mêmes une série d'avantages et de facilités.

Raison pour lesquelles la plupart accepteront de s'y soumettre dans une totale indifférence.

Toutefois, imaginez-vous un Macron bodybuildé au « sans scrupule », une nouvelle molécule de chez tonton Schwab de Davos. Le jour vient où un régime tyrannique, un 4ème Reich, dirigera nos vies, ces technologies deviendront alors votre pire cauchemar !

Remarquez ! vous ne vous en rendrez même plus compte tant vous serez zombifiés.

Le « contrôle de l'esprit » est un domaine sur lequel j’ai déjà noirci des centaines de pages. Il est pratiqué depuis de nombreuses décennies et de multiples programmes de recherche et d'expérimentation ont été, et sont encore, tenus par la CIA, MK-ULTRA, par des agences gouvernementales et par certaines universités.

Certains, dont votre « serviteur », suggèrent même que les ondes électromagnétiques peuvent être utilisées pour contrôler les pensées et influencer les comportements. Des « fous » prétendent même (j’en suis) que le massacre au Rwanda aurait été provoqué par une technologie de cette catégorie.

Nous savons tous qu’ils surveillent l'ensemble de nos communications électroniques, pour nous faire subir des « mesures de sécurité » à faire pâlir George Orwell (auteur du livre « 1984 »).

Je l’explique depuis des années sur ce blog et dans mes livres, les scientifiques savent depuis plus de dix ans comment utiliser les nanoparticules pour contrôler à distance le comportement.

On cultive depuis longtemps des neurones sur un substrat de graphène.

Déjà, les gouvernements du monde entier se servaient de la « lutte au terrorisme » comme prétexte pour nous observer, pour nous pister.

Mais, depuis couillonavirus, ils ont franchi le Rubicon. « Les vaccins » ont servis à numériser les piquouzés.

Il y a trois ans, dans De Mammon à Corona, je l’écrivais déjà. Cette nanotechnologie amène un être humain à émettre une adresse IP anonyme, appelée adresse MAC, depuis son corps.

https://www.bitchute.com/embed/7Q9qYLi9aWni/   

MAC signifie Media Access Control. L'adresse MAC est un code utilisé pour identifier un ordinateur ou un appareil particulier sur différents types de réseaux, tels que Wi-Fi, Bluetooth, Ethernet, etc. Cela n'a rien à voir avec un Mac de chez Apple. Et ce sont ces adresses MAC ou adresses IP anonymes que les gens émettent s’ils sont vaccinés.

Tous les appareils compatibles sans fil ont une adresse MAC ou un code machine utilisé pour accéder au contrôle qu'ils émettent via EMF. C'est un identifiant unique. Désormais, depuis la vaccination covid, une série de caractères hexadécimaux se terminant par un identifiant, se voit chez les personnes vaccinées. Ils émettent tous des codes hexadécimaux aléatoires non identifiables, ce n'est pas normal !

Mais comme pour le reste : les nouvelles plandémies qui arrivent accompagnées de l’effondrement économique global, de la guerre qui le sera tout autant et de nos estomacs qui seront au fond de nos godasses, tout le monde s’en fou !

Imaginons ensemble un film de série B (très con). Les gouvernements ont trouvé un moyen d'utiliser des nanorobots pour contrôler à distance l'esprit des gens. Ces « nanorobots » ont la capacité de contrôler l'esprit de l'homme en étant programmés pour rechercher et s'attacher à des domaines-clé du cerveau humain.

Beaucoup trop petits pour être vus, les gens sont « infectés » sans même le savoir. Des hordes de ces nanorobots ont été libérés dans l'atmosphère et des millions, de personnes ne s'en rendent pas compte.

Je délire ? Déjà IBM a conçu un code-barre pour pouvoir détecter votre ADN... Chez l’oncle Sam, la micropuce insérée sous la peau est devenue monnaie courante : moult Américains ayant la maladie d’Alzheimer se la font implanter, ainsi que des personnes souffrant de maladies chroniques ; les médecins peuvent ainsi rapidement accéder à leur dossier médical.

Obama, celui qui, lors de son élection, avait fait pâmer les foules de désir, était vraiment, vraiment « un brave type ». Dans sa nouvelle loi sur la santé (Voir la page 1001), il avait gentiment inclus une couverture pour les implants sous-cutanés. Cette mesure deviendra obligatoire pour quiconque veut se prémunir de l'assurance-santé.

Vous vous dites alors que « c’est à faire frémir ! que je suis fou ! ». De nombreux chercheurs ont découvert qu'il y a de la nanotechnologie à l'intérieur de ces injections qu'ils appellent des vaccins. Elles s'auto-assemblent à l'intérieur du corps humain.

Une fois que cette technologie est chauffée et également lorsqu'elle est stimulée par des fréquences électromagnétiques, elle s'assemble dans le corps. Cette technologie est comparable à de très, très petites pièces d'ordinateur.

C'est donc ainsi que les êtres humains injectés COVID émettent des codes Bluetooth ou des adresses MAC.

Dès lors, tout devient possible, et mon film de série B devient The blockbuster. Une société dystopique où chaque personne émet en permanence un signal qui la transforme en cible de toutes sortes d'influences, pour quelque raison que ce soit (contrôle social, ostracisme social, etc.).

Du travail à la maison, jusqu’au lit, chaque aspect de votre vie est fliqué avec un crédit social à la chinoise à la clé, avec la fermeture de votre compte bancaire, ou même au meurtre (si toi pas gentil). Tout devient possible.

Cela signifie que quelqu'un peut être localisé sur la base de la série d'informations que son corps émet, grâce à l'Internet des objets.

Votre corps agit comme un émetteur-récepteur, à partir des champs sans fil qui sont déjà dans votre environnement à ces mêmes fréquences. Ainsi, lorsque vous effectuez ces injections, votre corps communique constamment avec d'autres appareils sans fil dans votre environnement, en temps réel 24h/24, 7j/7 et 365 jours par an.

Il a été démontré que cette nanotechnologie peut réellement influencer votre corps.

Ceux qui contrôlent ce système pourraient facilement insérer des commandes dans cette technologie, pour provoquer des réactions à l'intérieur de votre corps, toutes sortes de réactions. Des réactions comme les applications faites sur les animaux par l'Université de Buffalo.

Ce sont ces fameuses « poussières intelligentes » qui font tant bander le vieux tonton Klaus ; mais avec viagra bien entendu !

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape        

Fin

Olivier

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Fermez-la bande de « gueux » !!

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Il y a encore peu de temps, la liberté d’expression était à portée de doigts pour tout un chacun.

En quelques clics certains arrivèrent à comprendre que les mensonges grossiers de la période pandémique n’étaient que du pipi de chat.

Couillonavirus fut alors peu à peu éventé chez ceux qui, fort heureusement, possèdent des neurones entre les oreilles.

Hélas pour « l’élite », ou tout au moins pour qui se prend pour telle, cette liberté d’échanger et d’informer menace directement de briser la transe hypnotique.

Elle tient encore une quantité importante de citoyens au sujet des vaccins, du réchauffement climatique, de la transition énergétique, ou des dernières lubies à la mode à base de catastrophe forcément imminente et de solutions forcément liberticides.

Pour s’en convaincre, il suffit de voir les réactions de plus en plus consternées des Français devant les affirmations hystériques et récentes de sécheresse et d’un besoin de quotas d’eau dans un pays qui est régulièrement très arrosé)…

Il convient donc coûte que coûte de maintenir cette transe hypnotique. Et à ce jeu-là, question ingénierie sociale et contrôle de l’encéphalogramme déjà bien plat chez certains, les Ricains et les grands de ce monde, possèdent une sacrée longueur d’avance.

Plus on avance, plus l’impéritie de nos gouvernants devient difficile à camoufler, plus leur incompétence devient grotesque et visible.

Or, leurs politiques publiques ne peuvent se mettre en place que grâce au climat de peur qu’ils s’emploient à installer, aidés par des médias en dessous de tout.

Le fait de pouvoir échanger des informations pertinentes contraires aux doxas du moment, de mettre en boîte leurs absurdités par des mèmes rigolos, de contrer en nombre leurs arguments fallacieux, bref, le fait de s’opposer intelligemment à leurs tentatives signifie que leur emprise sur les peuples ne peut être totale.

Alors, utilisant l’excuse habituelle, usée même, de la haine, du harcèlement, de la criminalité, et maintenant celle, tout aussi éculée, de la désinformation, ces dirigeants, dans un véritable concert de censeurs, tentent le tout pour le tout : faire passer des lois de plus en plus restrictives, anticonstitutionnelles et antidémocratiques, pour enfin et définitivement faire taire les opposants.

Devant ces assauts insupportables, devant cette menace qui, si elle aboutit, signifie l’asservissement le plus complet des peuples, il n’y a qu’une seule façon de procéder : faire savoir, à tous, ce qui se passe, et faire entendre sa voix.

Alors, faites-le et tout de suite SVP !!

Olivier

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La voiture électrique et ...

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

L’escroquerie de la voiture électrique commence à se voir, ainsi que le niveau des mers qui ne monte hélas pas pour les fervents défenseurs de la sainte église de « l’escrologie ».

Oui, la voiture électrique et le méchant CO2 sont une escroquerie environnementale.

Elle est orchestrée par les mêmes escrocs que celle du couillonavirus. Il n’y a strictement rien qui plaide pour l’électrification massive du parc automobile. Ceux qui veulent s’en convaincre peuvent lire ceci : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/04/un-p-tit-article-pour-faire-faire-des-risettes-a-tonton-reset.html

Et approfondir avec cela : https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html

Quant aux fameuses batteries lithium, jetez juste un oeil à ceci : 

https://twitter.com/i/status/1624841635396714499

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