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Du 1984 à la puissance 10

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Concernant le Nouvel Ordre Mondial (NOM), la France constitue une vitrine sioniste. Un laboratoire de cet avenir dystopique que l’élite nous réserve. Certes, certains diront « qu’il y fait encore bon vivre et certainement mieux qu’en Chine ». Croyez-vous vraiment ?

https://twitter.com/i/status/1730266755979731215

Les froggies sont, depuis des décennies, cuites à feu doux, et depuis le mouvement Gilet jaune, en 2018, précédé par l’arrivée de Macrouille, en 2017, c’est devenu évident, à moins d’être un décérébré de surcroit aveugle et sourd.

Après couillonavirus et ses restrictions toutes plus débiles les unes que les autres, nous avons pu constater Ô combien une majorité (fort peu préoccupée de sa descendance) était prête à s’abaisser à toutes les vilénies afin de garder ce qu’elle croit être « sa liberté ».

Preuve qu’Huxley et Orwell n’étaient que des enfants de cœur, la suite du Covid-19 s’annonce des plus croustillante. En effet, Aldous Huxley, créateur du roman dystopique Le Meilleur des mondes avait beau être le frangin d’un fou d’eugéniste, Julian, et donc d’être « légèrement » dans la confidence ; je ne pense pas qu’il aurait imaginé ce qui nous pend au nez au nom du Panem et circenses.

Nos dirigeants, sans doute nostalgiques des « Ausweis » (identifiant), nous préparent de jolies réjouissances pour les JO 2024.

Les Gilets jaunes se souviennent du triste sire qu’était le Préfet de police Didier Lallement, le nouveau n’est pas mal gratiné non plus ! En dévoilant les grands contours du dispositif de sécurité durant les Jeux olympiques de Paris le 28 novembre, le nouveau préfet de police de la capitale Laurent Nuñez n’a pas fait dans la dentelle républicaine.

En effet, les ausweis de tout bois vont s’envoler sur notre bonne vieille capitale, histoire de nous réaliser un test grandeur réelle de ce que sera bientôt la Gaulle de Macrouille.  Laurent Nuñez y parle avec ferveur de « Zone de restriction en matière de circulation, enregistrement des personnes désirant circuler à certains endroits sur une plateforme en ligne, etc. ».

Voilà pourquoi j’évoque mes deux écrivains de romans dystopiques, car ils sont bien en dessous de la réalité à laquelle l’élite désire manger les gueux, puisque, dans ses annonces, le préfet de police de Paris énumère un ensemble d’éléments plus que nuisibles pour les libertés, parmi lesquelles le « QR code pour circuler à Paris à pied ou en voiture » pendant les JO, ainsi que la « mise en place de caméras de reconnaissance faciale ».

Oui, vous savez, ces fameuses caméras auxquelles j’avais consacré un article en mars dernier, lorsque nous « courageux » députés avaient donné leur feu vert au recours à la vidéo-surveillance algorithmique.

De quoi nous plonger dans l’Enfer du Deep State : c'est-à-dire l’horreur totalitaire du techno contrôle à la Harari, le p’tit chouchou de tonton Klaus. Vous savez bien ! Yuval Harari, le conseiller principal de Davos, celui qui imagine l'homme numérique de demain.

Côté politiques, de rares voix se sont élevées lorsque le préfet de police de Paris a expliqué la mise en place de quatre zones à proximités des sites olympiques avec deux niveaux de sécurité. Avec le premier où seules les personnes accréditées et munies d'un billet pourront y entrer.

Le deuxième sera un « périmètre de protection », où tout le monde est fouillé », assure le préfet, qui précise que ce périmètre « n’englobe en général pas de riverains, sauf pour la cérémonie d’ouverture ».

Question voitures et deux-roues motorisés, une zone bleue et une zone rouge cohabiteront. La bleue sera autorisée aux résidents ou aux personnes qui justifieront d’une activité économique, des contrôles ayant cours. La rouge sera interdite à la circulation, sauf dérogation « en raison du flux piétonnier important et des risques d’attaque à la voiture-bélier ou de perturbations ».

La sécurité des JO à Paris est un sujet récurrent dans les médias en France, pays d'Europe le plus touché par les attentats islamistes ces dernières décennies. Mais qui a orchestré cet islamisme radical, si ce ne sont les mêmes qui prétendent le combattre. Tout comme au Moyen Orient, à qui profite le crime ?

Tout comme avec le Covid-19, qui se sert de la PEUR pour, petit à petit resserrer les mailles du filet mondialiste ?

Tous ces dingues totalitaires imaginent un joli monde de demain pour nous ; une furieuse dystopie. Pour celles et ceux qui désirent connaitre toutes les ficelles de Davos, j’ai ça : https://www.thebookedition.com/fr/davos-et-son-echeveau-p-399771.html

Alors, qu’allons nous faire devant le retour du QR code ? On laisse faire au nom du Panem et circenses ? On laisse pisser, comme dirait l’autre ?

Olivier

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JE VOUS AI PREVENU !

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Où et quand ? Ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/10/rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan-partie-1.html

https://vk.com/@ocape-rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan

Partout à travers le monde, les catastrophes se succèdent. En Sicile, l’Etna fait des siennes : https://youtu.be/QpdvybklO7I En Indonésie, c’est le Krakatoa qui s’énerve. Pendant ce temps, nos merdias parlent Jérusalem, changement climatique et p’tits « problèmes » en France.

Mais rien, alors rien n'est dit sur les vraies menaces qui pèsent sur nous tous. Ce faisant, ils nous cachent les influences planétaires cycliques qui s'en viennent (Tremblements de terre, éruptions volcaniques, tsunamis, éruptions solaires, tempêtes…)

En faisant des siennes, le soleil est au centre du PROBLEME. Il vient encore de nous cracher dessus et un de ses filaments magnétiques est entré en éruption le 27 novembre aux alentours de (05h00 TU).

Ce filament a provoqué une éjection de masse coronale (CME) dans l’espace. La NASA nous dit qu’il va effleurer le champ magnétique de la terre demain, le 30 novembre, déclenchant potentiellement une tempête géomagnétique de classe G1. Mais depuis cette première éruption, deux autres ont été détectées.

Leur arrivée collective (du 30 novembre au 1er décembre) devrait déclencher des tempêtes géomagnétiques de classe G2. Cependant, je vous ai expliqué l’état de notre champs magnétique terrestre qui s’affaibli de plus en plus. Résultat, des tempêtes solaires bien plus fortes sont à craindre, entrainant avec elles de nombreuses catastrophes sur terre : tremblements de terre, éruptions volcaniques, tempêtes extrêmes, froid et pluviosité accrus.

Le Krakatoa est entré en éruption dans l'après-midi du 27 novembre, envoyant un panache de cendres à environ 2 160 m au-dessus du niveau de la mer. Il s’agissait de sa deuxième éruption de la journée. Il est entré en éruption neuf fois entre dimanche matin et lundi après-midi.

En Iran, dans l'ouest du pays, une avalanche a fait 5 morts. Ces alpinistes ont été retrouvés sur le sommet de San Boran, situé à environ 300 km au sud-ouest de la capitale, Téhéran. De fortes chutes de neige se sont abattues ces dernières semaines sur les montagnes du Moyen-Orient.

En Russie, Moscou a été frappée par un puissant blizzard. Ailleurs, en Europe, des blizzards extrêmes ont ravagé tout l'Est au cours du week-end, coupant l'électricité à des milliers de villes et villages, de la Lituanie à l'Ukraine jusqu'en Bulgarie.

Le début précoce de l’hiver a également persisté jusqu’à lundi et s’est déplacé plus à l’est vers la Russie européenne où Moscou connaît son premier épisode neigeux majeur bien plus tôt que d'habitude.

Comme indiqué plus haut, la capitale russe a été victime d’un « blizzard noir », phénomène habituellement rencontré dans l'extrême nord du pays. Les flocons de neige y volent alors presque parallèlement à la surface, diminuant la visibilité jusqu'à moins de 100 m.

La neige a commencé à tomber dimanche 26 novembre et s'est intensifiée pendant la nuit, les dernières prévisions prévoyant que les conditions persisteraient jusqu'à hier, mardi 28 novembre constituant l’une des plus fortes chutes de neige jamais enregistrées en novembre. Quatre morts sont à déplorer et deux millions de personnes sans électricité en Russie et Ukraine https://youtu.be/soCStyjhYm4

C’est le soleil, le grand responsable de tous ces changements et certainement pas nous, pauvres petits humains. En effet, la dernière fois que Moscou a connu pareil phénomène, c’était en 1977, lors du minimum solaire du cycle 20. Quant à nous, l’air polaire descend brutalement, les anomalies de température chutent jusqu’à -30 °C en dessous des normes saisonnières.

Et croyez-moi, ce qui va suivre n’a rien à voir avec l’augmentation du co2 dans l’atmosphère, comme s’échinent à vouloir nous le faire croire tous ces ordures de mondialistes.

La quantification de l'effet de serre s’effectue en considérant la vapeur d'eau dans l'atmosphère, sans aucune référence à la concentration de dioxyde de carbone (CO2), qui, cependant, au siècle dernier est passée de 300 à environ 420 ppm. Ces formules utilisées pour quantifier l’effet de serre ont été introduites, il y a 50 à 90 ans. 

Depuis, l'augmentation observée de la concentration atmosphérique en CO2 n'a pas modifié de manière perceptible l'effet de serre, qui reste dominé par la quantité de vapeur d'eau dans l'atmosphère. Néanmoins, moult institutions vendues à l’élite persistent à dire que le dioxyde de carbone (CO2) est le gaz à effet de serre le plus important.

Alors, équipez-vous d’un bon feu au bois et faites donc rentrer du bois RAPIDEMENT. Sans oublier les couvertures afin d’accueillir les malheureux qui n’auront  pas votre chance. Et puis, priez, mais certainement pas comme lui là, au-dessus !

Olivier

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SpaceX dans ta lune

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Malgré un potentiel technologique exceptionnel, pour la énième fois, la fusée Starship d’Elon Musk a explosé en vol. Cette géante de 120 mètres de haut s'est arrachée du sol dans un jet de flammes digne des Enfers, le samedi 18 novembre dernier, à 07H00 locales (13H00 GMT) depuis la base de SpaceX à Boca Chica, dans l'extrême sud du Texas.

« SpaceX a fait décoller samedi 18-11, la plus grande et plus puissante fusée jamais construite, Starship, dont les deux étages se sont séparés avec succès avant qu'une « anomalie » n'entraîne leur explosion. », peut-on encore lire dans les journaux.

Ou encore : « Starship a réussi son décollage, aux États-Unis ce samedi 18 novembre 2023, indique la société SpaceX. Le vaisseau spatial, placé au sommet de sa puissante fusée Super Heavy, s'est élancé sans équipage d'une rampe à Boca Chica, près de Brownsville, au Texas. »

Néanmoins, lorsqu’on cherche des réactions à ce phénomène de « succès », on peut lire : Séparation réussie puis explosion pour la fusée Starship, un « progrès », estime SpaceX.

On est alors en droit de se poser des questions lorsqu’une telle entreprise se réjouie de ses multiples échecs ? « Trajectoire de Starship nominale », a-t-on pu entendre sur le flux vidéo en direct de SpaceX, quelques minutes après le décollage de la fusée. Bizarres réjouissances lorsque l’on sait qu’un premier lancement au printemps dernier s'était terminé, comme en 2021, par une gigantesque explosion.

Je vous épargne les détails technique concernant le samedi 18 novembre dernier, mais ce qu’on en sait, c’est que le module Starship, placé au sommet de la fusée, s'est séparé avec succès de l'étage de propulsion Super Heavy, mais les deux parties de la fusée n'ont pas survécu jusqu'à leur redescente programmée et ont explosé en vol, selon SpaceX.

La fusée se compose de deux étages : l'étage de propulsion Super Heavy et ses 33 moteurs, et le vaisseau Starship, qui se trouve au-dessus et donne son nom à la fusée. Lors du premier essai, les deux étages n'avaient pas pu se séparer en vol avant donc de réussir samedi. C’est pour cela que SpaceX qualifie l’essai de réussite.

Des experts parle alors de « Succès partiel fantastique ». Bizarre lorsque l’on sait que la NASA scrute de près ces essais, elle qui compte sur ce vaisseau pour ses missions « de retour » sur la Lune. Bill Nelson, l’actuel patron de l'agence spatiale américaine, a adressé ses félicitations à SpaceX samedi 18 novembre pour les « progrès » effectués.

Il y voit une « opportunité pour apprendre, puis voler à nouveau ». Waouh ! c’est super ! Nous assistons là à un formidable cas de régression de la part du « premier de la classe ? Qu’est devenue toute cette avancée technologique financée par le contribuable américain ? Ou est passée cette expérience ?

Qu’est devenue la technologie ayant permis à une boite de conserve montée sur rivets et fonctionnant avec « l’équivalent d’un boulier » comparée à l’informatique actuelle et surtout celle à disposition d’Elon Musk ?

Cette boite de conserve aurait permis à trois hommes de marcher sur la lune et d’en revenir et, désormais, avec nos nanotechnologies ayant envahi le corps de vaccinés, on n’est même pas capable de sortir de notre atmosphère sans faire boum ! Depuis des années on se contente de tourner autour de la terre, dans un puzzle nommé station ISS.

Au printemps 2023, le 20 avril, Starship avait décollé pour la première fois dans sa configuration complète. Mais plusieurs moteurs n'avaient pas fonctionné, et SpaceX avait volontairement fait exploser la fusée au bout de quatre minutes. Et la Nasa compte sur cette société pour « retourner » sur la lune ? Ça ne vous fait pas réfléchir ?

Pour SpaceX, l'explosion de prototypes est moins problématique en matière d'image qu'elle ne le serait pour la Nasa et ses fonds publics, selon les experts.

Néanmoins, le développement de Starship ne semble malgré tout pas assez rapide pour cadrer avec les plans de l’agence américaine, qui a passé contrat avec SpaceX. Une version modifiée de l'engin doit servir d'alunisseur afin de déposer, pour la première fois … depuis 1972, des astronautes sur la surface lunaire.

Cette mission, nommée Artémis 3, est officiellement prévue en 2025.  Au-delà de la Lune, Elon Musk souhaite faire de son lanceur et de Starship « un moyen de transport généralisé vers n'importe quelle destination dans le système solaire », notamment Mars. Son but est l'établissement d'une colonie autonome sur Mars.

Mais la véritable innovation de Starship est qu'elle doit être entièrement réutilisable, les deux étages étant conçus pour à terme revenir se poser sur leur pas de tir, afin d’en réduire les coûts. Pour l’instant, seul le premier étage de la fusée Falcon 9 de SpaceX est actuellement récupéré.

Starship est à la fois plus grande que la nouvelle méga-fusée de la Nasa, SLS (98 m), qui s'est envolée pour la première fois il y a un an, et que Saturn V, la fusée du programme lunaire Apollo (111 m). Au décollage, Starship dispose d’une poussée environ deux fois supérieure à ces deux lanceurs. Ce qui en fait la plus grande et puissante fusée actuellement au monde.

https://twitter.com/i/status/1725879726479450297

Quant à moi, j’ai une chose à vous dire au beau milieu de tous les mensonges proférés par l’élite kabbaliste. La Véritable conquête spatiale est intrinsèquement liée à nos origines. Concernant celles et ceux qui désirent en savoir plus et connaitre la Vérité, j’ai deux ouvrages à vous proposer.

https://www.thebookedition.com/fr/nachash-p-388763.html Nachash est entièrement consacré à la conquête spatiale et secondairement à nos origines.

https://www.thebookedition.com/fr/une-autre-histoire-la-vraie--p-392634.html Une autre Histoire : la Vraie ! est entièrement consacré à nos origines et secondairement à la conquête spatiale.

En plus de lever un énorme voile sur ces mensonges qui obscurcissent nos vies, les deux feront en outre d’excellents cadeaux de fin d’année. Bonne lecture à celles et à ceux qui désirent honorer le travail d’un chercheur de Vérité que ce monde-démon ose nommer « complotiste ».

Olivier

 

 

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DES DEMONS, TOUS DEGUISES EN ANGES DE LUMIERE

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Vous connaissez tous mon engouement concernant la Vérité climatique et mon entêtement à vouloir dénoncer une élite diabolique aux commandes de ce monde-démon. En 1972, la Conférence des Nations Unies sur l'environnement avait adopté une série de principes pour une gestion écologiquement rationnelle de l'environnement. Cette « Déclaration de Stockholm » avait placé les questions écologiques au rang des préoccupations internationales, la pollution (l'air, l'eau, les océans) et le « bien-être des peuples » dans le monde entier.

En juin 1992, à Rio de Janeiro (Brésil), la Conférence des Nations Unies sur l'environnement et le développement « Sommet planète Terre » sera orchestrée par un démon aux ordres des Rockefeller. Au début du processus de négociation précédant le Sommet, le démon en question : Maurice Strong, Secrétaire général de la Conférence, avait imaginé ce concept de Charte de la Terre.

La Déclaration de Rio sur l'environnement et le développement témoignait et témoigne encore de deux grandes préoccupations apparues pendant l'intervalle de 20 années séparant ces deux conférences : la détérioration de l'environnement, notamment de sa capacité à entretenir la vie, et l'interdépendance de plus en plus manifeste entre le progrès économique à long terme et la nécessité d'une protection de l'environnement.

Mais, le 22 septembre 1991, neuf mois seulement avant ce fameux Sommet de la Terre, une audience publique des Nations Unies sur l'environnement et le développement s'était tenue à Des Moines, dans Iowa.

Ce qu’il y a surtout à en retenir, c’est qu’un document issu de cette audition soulignait l'urgence de réduire la population mondiale. « Une réduction immédiate de la population mondiale, conformément aux recommandations du Draper Fund du milieu des années 1970, doit être entreprise immédiatement », indique le document. « Toutes les nations établissent des quotas annuels de réduction de la population, qui seront déterminés par le Conseil de sécurité des Nations Unies au moyen d'embargos sélectifs ou totaux sur le crédit, les biens commerciaux, y compris la nourriture et les médicaments, ou, si nécessaire, être appliqué par la force militaire » 

Depuis, ils ont trouvé d'autres solutions … c’est le but de cet article.

J’en parle abondamment dans mon livre De Mammon à Corona, paru en 2020, en 2001, j’avais été très choqué par l’histoire des soi-disant attaques terroristes à l’anthrax qui avaient suivi le 11 septembre. Aujourd’hui, l’on sait qu’il s’agissait d’opérations sous faux drapeau, destinées à justifier l’invasion en Irak et en Afghanistan et à vendre des armes et des vaccins.

C’est un sujet central de ma littérature : faire savoir qu’en réalité, l’industrie militaire et le cartel mafieux auquel elle est associée, s’emploient à entretenir diverses menaces pour faire tourner leur business.

Depuis des décennies, ils entretiennent savamment le spectre de la guerre, du terrorisme ou de la pandémie. Cela leur permet de faire des milliards de dollars de profit. Mais, plus encore, au-delà de cela, existe un plan séculaire : la prise contrôle de la société à l’échelle mondiale.

Créer de toute pièce des urgences sanitaires, simulées par ce cartel, constitue une véritable saga à laquelle Robert Kennedy Jr. a consacré un livre monumental, avec plusieurs milliers de références.

Couillonavirus a provoqué un réveil salutaire chez certains. Ceux qui étaient contre ces vaccins le sont plus que jamais, quant aux autres, les piquouzés, ils ont subi « au mieux » des problèmes graves (thromboses, cancers fulgurants, problèmes cardiaques) et au pire : en sont morts.

Bref ! un éveil s’est réalisé chez certains (pas assez). Il n’en reste pas moins que l’OMS a pour idée de prendre le contrôle total sur les gouvernements à la prochaine pandémie qui, comme toutes les autres, sera organisée artificiellement. Prendre l’ascendant sur les peuples et réduire drastiquement le nombre des gueux sur cette planète, fait intégralement partie du Grand Reset de Davos.

Existait donc une volonté de vacciner toute la planète, lors de la première pandémie, en activant toujours davantage le facteur PEUR. Mais un problème se pose alors à toute cette bande de salopards : les virus n’ont plus la cote.

La grippe, les derniers variants du Covid et la variole du singe n’ont pas fait peur au public.

Dans mon dernier livre Davos et son Echeveau https://www.thebookedition.com/fr/davos-et-son-echeveau-p-399771.html j’explique d’ailleurs tout ça en détail avec les modes de propagation trop souvent ignorés du public.

Aujourd’hui, les gens ont enfin compris que les virus vraiment dangereux, tuent leur hôte avant de se propager, et par conséquent ils savent que quand les virus sont fort contagieux, ils sont relativement bénins. Quant à moi, je n’irais pas jusqu’à dire comme certains que « les virus n’existent pas », j’explique cependant que leur rôle n’est certainement pas celui que l’on croit trop fréquemment.

Enfin, couillonavirus était un test, mais pas suffisamment concluant pour l’élite : au-delà de la monstrueuse ingénierie sociale orchestrée autour de lui, pour l’élite, il n’a pas été suffisamment létal.

Le délai entre l’apparition de couillonavirus et le développement du vaccin mortifère a été trop long. En 2020, le Covid n’a pas provoqué une réelle hécatombe.

Beaucoup de gens ont compris que la mortalité n’a augmenté qu’au moment où l’on a commencé à vacciner. Ainsi, le scénario de la grande pandémie causée par un virus est grillé. Mais faisons confiance à des psychopathes comme Bill le coyote afin de trouver la parade. Nos « bons vieux terroristes » pourraient faire l’affaire.

Ce n’est pas pour rien que Bill Gates a d’ailleurs prédit que la prochaine pandémie sera probablement d’origine bioterroriste.  On pourrait alors nous refaire le « coup de l’anthrax » attribué aux islamistes ou au méchant Poutine. Un pathogène mortel cultivé dans un laboratoire de type P4 en Russie ou en Chine… ça arrangerait bien les affaires du vieil oncle Sam zombifié.

Et pour ça, une bonne vieille bactérie pourrait faire l’affaire.

On en meurt depuis le Moyen-âge, mais la différence, c’est qu’aujourd’hui nous avons les antibiotiques. Les guerres provoquent des famines, des mauvaises conditions d’hygiène et des pénuries de médicaments.

Ce sont des circonstances dans lesquelles certaines épidémies peuvent vraiment faire des ravages. Et là, les organismes de santé publique vont pouvoir « sauver » des millions de vie grâce aux antibiotiques. Ça leur permettra de retrouver la confiance des populations, qui est au plus bas.

Il sera plus facile d’éliminer les gens avec des nouveaux produits, car cela ne sera pas aussi visible qu’avec les vaccins Covid où l’on a eu un an d’écart entre la maladie et le vaccin.

Il ne faut pas nécessairement s’attendre à une grande pandémie mondiale. Il pourrait y avoir différentes alertes qui se succèdent ou qui se produisent en même temps. À mon avis, nous aurons au moins une vilaine bactérie qui renaîtra avec « la fonte des pôles et le réchauffement climatique ». Voyez-vous l’astuce !?

N’oublions pas que pour l’élite la santé est liée au climat. C’est d’ailleurs pour cela que Sainte Greta arpente le monde, financée par "un autre saint" : Georges Soros, le « bienfaiteur de l’humanité ». Cela fait partie du discours lancinant dont on nous abreuve machiavéliquement depuis des décennies.

Bien sûr, l’idée est soutenue par l’OMS et le Forum économique mondial de tonton Schwab, un autre bienfaiteur.

La vilaine bactérie sera mise au banc des accusés, bien plus méchante qu’en réalité. Tout comme avec le Covid-19, elle provoquera la peur. Mais le vrai danger sera caché au coin du mur. Tout comme avec le Remdesivir administré à doses létales dans les EHPAD, le vrai danger viendra des médicaments administrés soi-disant afin de soigner.

En ce moment, ils sont en train de développer des antibiotiques « non-traditionnels ». L‘OMS travaille à modifier la définition et la classification des antibiotiques. Et ce n’est pas pour rien ! C’est similaire avec ce qui s’est passé pour les injections d’ARNm. Ce ne sont pas des vaccins, mais on les fait passer comme tels. Si vous lisez les textes du futur traité sur les pandémies, ils veulent obliger tous les pays du monde à constituer des stocks de ces médicaments contre la résistance antimicrobienne.

Bref ! c’est nous qui, une fois de plus, paierons ces poisons avec nos impôts.

C’est leur langage de faux-cul qu’il convient ici d’analyser. Ils ne parlent pas toujours d’antibiotiques. Comme avec les injections Covid, il y a « des mesures de lutte contre » … la résistance aux anti-microbiens. Grâce à ces termes, n’importe quel poison expérimental peut échapper aux définitions pharmacologiques et aux réglementations associées à divers types de médicaments.

Pire encore, comme avec les « vaccins Covid » et l’opération Warp Speed de Trump, on peut tout faire entrer dans la case militaire. C’est simple et ça peut rapporter gros (dollars et mortalité). Et là tout est secret, toutes les expérimentations et tous les crimes sont permis, personne n’est responsable.

Circulez, il n’y a rien à voir ! On entre dans le laboratoire du docteur Mengele où toutes sortes d’armes biologiques seront développées et dirigées contre les populations pour servir un agenda de contrôle à la chinoise.

Notamment de nouveaux « médicaments anticancer », qui seront surtout des poisons cellulaires. Nous « entrons » dans l’ère des armes biologiques.

Cela n’a véritablement commencé qu’avec le coronavirus. En réalité, lorsque la convention internationale contre les armes biologiques a été signée en 1972, leurs capacités de déploiement étaient assez faibles. Par contre, l’intention de mener ces recherches était bien là.

La convention alors promue par Richard Nixon, a servi pour décourager la communauté internationale de développer de telles armes, et pour cacher le fait que les Américains se lançaient eux-mêmes dans ces recherches.

Dans mon livre, je parle de Fort Detrick. Ils s’en sont sortis alors en renommant une partie du centre de recherche militaire de Fort Detrick en un Institut national pour le cancer. On a gardé les mêmes chercheurs et les mêmes bâtiments où des milliards ont été engloutis pour soi-disant développer un vaccin contre le sida, alors qu’en réalité, on n’a jamais rien vu d’efficace.

En fait, pratiquement tout ce fric a servi aux recherches d’armes biologiques. Maintenant, ces gens s’emploient à mettre au point des vaccins ARNm contre le cancer (des armes génétiques expérimentales). Depuis le début de la vaccination Covid on assiste à l’apparition de « turbo-cancers » et à l’augmentation foudroyante de l’incidence de tous types de cancers.

On a poursuivi tout cela, comme les recherches de gain de fonction des virus, sous prétexte de pouvoir se défendre en cas d’attaques. Ce sont ces recherches « à double usage » qui permettent encore aujourd’hui de cultiver des agents pathogènes susceptibles d’être utilisés par des terroristes.

Bill Gates est même propriétaire de quelques-unes de ces saloperies.

Notre microbiote intestinal a une grande influence sur notre ressenti et notre comportement. Aujourd’hui, les travaux sur le lien « intestin-cerveau » (autisme-microbiote) sont très nombreux, mais ils restent trop souvent ignorés par les professionnels de la santé.

En le modifiant, sans nanotechnologie, on aurait alors une nouvelle façon de contrôler les populations. Les rendre dociles ou agressifs. Cela peut paraître étonnant, mais tous ces micro-organismes influencent notre personnalité.

Il faut DONC surtout s’attendre à un assaut sur notre microbiote. D’abord, il y a aura des attaques bactériennes. Ensuite, tout le monde se ruera sur les nouveaux « anti-microbiens » qui vont empoisonner toute la population et flinguer leur flore intestinale.

Après cela, les gens auront de plus en plus de mal à digérer la nourriture et leur système immunitaire va s’affaiblir.  Là, ils recevront de nouveaux types d’aliments (viande artificielle, insectes, etc.) et des nouveaux types de bactéries OGM ou d’enzymes pour les digérer.

Vous me prenez pour un fou ? Pensiez vus un jour devoir vous signer une autorisation de sortie ? Vous retrouver confiné ? Ne pas avoir le droit d’aller en forêt ou à la plage ? Devoir prendre un café assis afin que les virus passent au-dessus de vos têtes ? Être obligé de vous faire piquer avec une merde en phase d’étude, même pas homologuée ? Réfléchissez !

Olivier

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LE KOLBRIN ET SON DESTRUCTEUR DES NATIONS (Partie 6 et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/le-kolbrin-et-son-destructeur-des-nations.html

Les anciens nous ont laissé de multiples avertissements concernant certains cataclysmes à venir. Dans sa grande insouciance, l’humanité les ignore. Nos élites, elles, savent ce qui va arriver bientôt et nous le cachent. Toutes les anciennes civilisations sur tous les continents du monde possèdent des références mythologiques mentionnant des faits similaires en tous points.

De multiples indices gravés dans la pierre nous indiquent des destructions soudaines liées à l’apparition "de dieux" portant différents noms (Abaddon, Apollyon, Horus, Osiris, Quetzalcóatl) selon les pays, mais se référant toujours à la même entité cosmique. Partout dans le monde, des phénomènes spiralés (comme celui ayant accompagné la remise du Nobel de la paix à Obama, à Oslo, en décembre 2009) sont figés dans les pétroglyphes, des dessins de soleils se faisant « dévorer », avaler, absorber par des spirales, exactement comme lorsqu’une Nova se produit.

Les USA en possèdent beaucoup : Arizona, Daddy Canyon, Colorado, Chaco Canyon ; en Irlande, New Grange, etc. J’ai souvent l’habitude de dire à mes proches qu’on nous conditionne, on nous prépare. Les signaux nombreux propres aux initiés n’échappent pas au « veilleur ». Le film « 2012 » n’est qu’un pied de nez parmi d’autres de la part des élites sataniques qui méprisent les humains que nous sommes.

Au nord-ouest du Nouveau-Mexique, nous trouvons la butte de « Fajada » ; le peuple Pueblo y a réalisé une prodigieuse horloge. Prodigieuse, dans le sens où un faisceau de lumière vient frapper une spirale en plein centre au solstice d’été. Il s’agit d’un véritable calendrier céleste qui reprend les solstices et les équinoxes de notre Terre et en plus, indique le cycle lunaire sur 19 années.

Cette horloge fut découverte en 1977. En plus de ce faisceau de lumière qui vient s’aligner en plein centre de la spirale au solstice d’été, on y retrouve également, la forme d’un serpent qui s’aligne avec l’ombre aux équinoxes.

Fait extraordinaire, la forme de ce serpent de Fajada correspond à la découverte de la NASA en 2010, d’une fissure noire de cette même forme de serpent au centre de notre galaxie, la Voie Lactée. Depuis des siècles, le faisceau semblait être au milieu de son passage à 11h11 heure universelle, dans un souci prodigieux de parfait alignement.

Désormais, cette horloge ne s’aligne plus, preuve tangible que l’axe de la Terre a bougée. Dernière précision : cette horloge a été réalisée dans le but d’annoncer aux peuples de grands cataclysmes de destructions massives.

Le 14 janvier 2011 au Groenland, le Soleil s’est levé deux jours plus tôt. Les habitants de l’Arctique ont observé que l’hiver chez eux se terminait plus tôt, le Soleil apparaissant à des endroits inhabituels.

On se demande comment de tels changements ont pu passer inaperçus dans les MERDIAS du monde entier. L’explication officielle autant que stupide est que la fonte excessive des glaces a provoqué un aplatissement de la calotte polaire, laissant ainsi apparaître le Soleil beaucoup plus tôt.  Un tel phénomène est impossible, la coupe dans le dôme terrestre devrait être extrêmement importante vu l’angle d’attaque des rayons solaire.

De plus au Nouveau-Mexique, Fajada, dans le désert, n’a subi aucune fonte et pourtant l’angle d’attaque des rayons au solstice d’été n’est plus le bon, preuve indubitable d’une modification sensible de l’axe terrestre.

Sur les représentations du cercle céréalier, les deux points à l’intérieur du Soleil représentent un pôle positif et un pôle négatif censés provoquer des éjections de masse coronale.

L’autre point à l’extrémité d’une espèce de « spermatozoïde » représente malheureusement la Terre. Le Soleil agissant comme un immense condensateur excité par la planète X, produit une énorme décharge plasmique en direction des planètes les plus grosses. À cette date du 21 décembre 2012, Jupiter la plus grosse planète de notre système solaire, était dans le sillage de la Terre.

Cette décharge risquait fortement d’endommager notre monde d’autant qu’un fait scientifique nouvellement découvert vient corroborer cette ligne en zigzag reliant le soleil à notre bonne Gaïa. La NASA vient de reconnaître depuis 2010 que les éjections coronales peuvent changer de direction en frappant au hasard des planètes qu’elles auraient dû éviter ; c’est exactement ce que représente cette ligne bizarre.

Des textes anciens tel le livre de Kolbrin, nous préviennent contre ce genre d’événements : sang sur la Terre, en Chine et ailleurs dans le monde, des fleuves charrient des alluvions de couleur rouge, qui donnent à certains deltas l’impression que la Terre saigne. Feux, éruptions, tremblements de terre, animaux morts en grand nombre comme déjà vu plus haut.

Tous ces phénomènes sont actuellement en recrudescence au moment où j’écris ces lignes, 27 juillet 2013. La Californie brûle, la ceinture de feu s’est réveillée, Yellowstone le super volcan dans le nord-ouest du Wyoming donne des signes d’énervement. D’autres de ses collègues grondent à travers le monde, tel en Indonésie.

Recrudescence de typhons, cyclones, des trous qui se forment inopinément, engloutissant tout au passage, des phénomènes jamais vus, telle l’eau de mer qui bouillonne sur les rivages, dans le Golfe du Mexique, etc.

Le Gulf Stream, qui puise sa force dans les courants telluriques englobant la Terre, se trouve on le sait profondément affecté, voire arrêté. Certains scientifiques de la NASA y voient ainsi une interaction évidente avec le Soleil. Ils affirment qu’en observant les caprices de nos courants marins, on peut prédire les colères du Soleil.

Preuve évidente que c’est bien le Soleil qui charge notre Terre tel un objet que l’on branche à une source d’énergie si puissante qu’il en chauffe. Les changements de puissances dans les courants terrestres induisent à leur tour des variations sensibles des champs magnétiques, le tout étant, rappelez-vous, en interdépendance, l’un ne va pas sans l’autre.

Nous assistons à des espèces d’interférences radios auxquelles certains animaux sont très exposés. Notre champ terrestre peut varier normalement entre 03 et 0.6 gauss, l’équivalent d’une petite barre d’aimant et il se propage à une fréquence de 7,5 hertz qui est très proche de la fréquence de résonnance de Schumann qui est : 7,83 hertz.

Cette fréquence de Schumann est aussi celle de certaines de nos ondes cérébrales (alpha et thêta). Nous sommes donc tout comme les animaux, très sensibles aux variations de champs diverses. Des chercheurs ont découvert une interdépendance entre la production de mélatonine et l’exposition aux champs variables.

La mélatonine est une espèce de chef d’orchestre qui régit chez les mammifères supérieurs, la production de diverses hormones jouant ainsi un rôle non négligeable de régulateur hormonal. Elle agit sur plusieurs fonctions organiques vitales dont l’immunité et la reproduction. Cet agent régulateur indispensable à la vie humaine est donc très sensible aux rayonnements électromagnétiques dans lesquels, avec ou sans soleil, nous sommes déjà noyés jusqu’aux trous de nez (Gsm, Wi fi, Bluetooth, THF, etc.)

On connaît depuis longtemps l’influence du cycle normal de 11 ans du Soleil et de ses taches sur l’activité humaine, des conflits armés et de grands mouvements populaires correspondant généralement à ces culminations de 11 ans.

Le nombre des taches solaires peut affecter et modifier la fréquence du champ terrestre, qui normalement fluctue très lentement, sauf inversion des pôles. Or depuis quelques mois déjà, des spécialistes ont remarqué que le pôle nord s’est incliné de plus de 286 km vers la Sibérie.

Le pôle Nord magnétique de la Terre se déplaçait vers la Russie à une vitesse d'environ 8 km chaque année. Cette progression vers l'est était en cours depuis des décennies. Soudain, ces dix dernières années, la vitesse s’est accélérée. Maintenant, le pôle magnétique se déplace à une vitesse de 64 kilomètres par an, soit une augmentation de 800%, et cela continue de plus belle

Le champ magnétique solaire quant à lui est extrêmement puissant, jusqu’à 4.000 gauss et sa fréquence peut varier de 10 à 50 Mhz (millions d'Hertz). Gardez en mémoire le filament reliant la Terre au Soleil sur le dernier hiéroglyphe d’Avebury !

J’allais oublier un élément capital à cet exposé, outre les humains, les animaux et les plantes, les machines et le matériel électronique notamment sont très sensibles aux perturbations magnétiques. Un éternuement de notre Soleil pourrait rapidement nous ramener, je l’ai déjà indiqué, à l’âge de pierre. Ne serait-ce pas alors le moment idéal pour une prise de pouvoir planétaire, suite à un chaos connu et prévu depuis longtemps par nos élites satanistes et leur N.O.M. ? Réfléchissez vite et bien !

14 février 2011, Mail Online : La plus grande planète dans notre système solaire pourrait être sur le point d’être découverte. Jusqu’à quatre fois la taille de Jupiter. Avec certaines caractéristiques propres à une naine brune.

Février 2011, Daily mail report : Son orbite serait de mille fois la distance qui sépare la Terre du Soleil, ce qui pourrait expliquer qu’on ne l’ait pas encore observé. Dernières petites précisions d’ordre astronomique.

Le 21 décembre 2012 était pour les Mayas le point culminant d’un phénomène commémoré par les satanistes lors d’un holocauste 11 ans avant, un 11 Septembre 2001. 11 ans sur un temps de 20 ans entre deux ères dont la suivante doit débuter dans 9 ans, en 2021. 

Bibliquement, les signes astronomiques chantent la gloire du créateur de toutes choses. Par deux fois (Matthieu 12 :38-41 et Matthieu 16 :1-4) dans l’Évangile de Matthieu, Jésus parle d’un signe ou miracle qui lui est demandé par des hommes censés connaître la loi sur le bout des doigts puisqu’il s’agit des Pharisiens et des Sadducéens.

Cette demande est faite dans un contexte d’hypocrisie totale destiné à ridiculiser le fils de Dieu. Jésus leur répond donc sèchement qu’ils n’auront droit à rien d’autre que le signe de Jonas (la baleine).

Le 13 mars 2013, l’archevêque de Buenos Aires, Jorge Mario Bergoglio, est élu pape. Lorsque François 1er, le dernier Pape est arrivé à la tête du Vatican, Panstarrs pointait en plein cœur de la constellation de la baleine, le signe de Jonas !

Les hébreux fonctionnant selon un calendrier soli-lunaire sont principalement concernés par les tétrades. À tous ceux, nombreux hélas, pour lesquels ce symbolisme ne dit rien, je vous invite à lire, relire et essayer de digérer la deuxième partie de cet ouvrage. S’ils le font intelligemment, ils comprendront alors, peut-être, qu’il est grand temps pour eux de réagir.

La Bible parle distinctement de nombreux signes dans les cieux durant les derniers jours des nations. Pourquoi nos élites bâtissent-elles autant de bunkers, pourquoi Denver est-elle la capitale de substitution dans le cas où … ? Pourquoi et comment tout ce remue-ménage sur Terre ? Les fameuses comètes Elenin, Ison, etc., sont-elles réellement responsables des modifications sur notre planète ? Sont-elles plutôt des leurres destinés à dévier l’attention des peuples de quelque chose de plus grand qui s’en vient ? … »

La Promesse, pages 202 à 220. Premier trimestre 2013.

 

Fin

Olivier

PS : il me reste quelques exemplaires de ce livre. Celles et ceux qui le désirent pour les fêtes peuvent me contacter : oliviercapevecteur@gmail.com  19,90€ +4€ de frais de port.

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LE KOLBRIN ET SON DESTRUCTEUR DES NATIONS (Partie 5)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/le-kolbrin-et-son-destructeur-des-nations.html

Ces cercles céréaliers nous ramènent à des connaissances oubliées : les Mayas, les Tablettes Sumériennes qui corroborent les textes du Zohar, le livre de Kolbrin et surtout la Bible.

Des connaissances mystérieusement gardées par les sociétés secrètes et codées dans leur symbolisme. Dans la première apparition, les flèches sur le Soleil représentent le sens de rotation des planètes autour de lui, qui est, rappelons-le, anti horaire. Dans notre système solaire, seul Vénus tourne dans le sens des aiguilles d’une montre et semble vouloir nous donner l’heure juste en nous guidant !

La partie visible du Soleil est son pôle nord, représentant ce qui se trouve pour nous, au-dessus de l’écliptique. La partie du dessous représente ce qui se trouve au-dessous du plan de l’écliptique.

Dans la seconde formation céréalière apparue le 23 juillet 2008, le Soleil a grossi énormément engloutissant Mercure et atteignant l’orbite de Vénus. Une étoile qui grossit subitement se nomme une Nova. Or, les Novas sont produites par la subite augmentation de la brillance qui est due à un système stellaire binaire de forte excentricité, dont les deux étoiles se retrouvent à proximité pendant quelques heures.

Le point de rencontre le plus proche des deux astres se nomme périhélie. L’étoile retrouve ensuite sa brillance (magnitude) normale. De l’avis même de la NASA, plus de 80% des systèmes d’étoiles dans l’univers sont binaires, serions-nous une exception ?

L’une des deux étoiles est une naine blanche et l’autre, une étoile en voie de devenir une géante rouge. En devenant une géante, elle remplit entièrement son lobe roche et c’est alors que le processus de transfert s’amorce. Lorsque les deux étoiles sont proches, un transfert immense d’énergie s’opère à travers elles, ce qui forme un immense transfert de plasma en forme de spirale (vortex que semblent vouloir nous rappeler nos aïeux dans les mégalithes).

Le phénomène de NOVA est répandu dans le cosmos. Lorsque les deux astres sont proches du périhélie (point le plus rapproché l’un de l’autre), le courant électrique qui transite entre les deux objets célestes est faramineux. Il transite de l’étoile la plus grosse vers la plus petite en entraînant de la matière plasmique prenant alors la forme d’un serpent spiralé.

Cela entraîne des changements dans les courants électriques des planètes et dans notre cas des courants Jet (jet Stream). Par effet d’ionisation déjà vu plus haut, les particules en nombre très important provenant du Soleil ionisent l’atmosphère et bouleversent les courants terrestres jusqu’à les inverser. Dès lors, plus rien n’est comme avant.

Un journal de Montréal du 9 décembre 2010 explique qu’un anticyclone ayant la forme de la lettre grecque Oméga s’est installé au-dessus du Groenland. Cette zone de haute pression et de beau temps empêche la circulation normale des courants d’air dans l’atmosphère, en forme de la lettre grecque Alpha.

Puisque tout porte à croire qu’il y a un intrus dans notre système solaire, la question est : de quel côté du zodiaque devrait arriver l’Alien ?

À partir de la date de positionnement des planètes au 21 décembre 2012, le Soleil se trouve alors dans la constellation du Sagittaire et vient de quitter celle d’Ophiuchus le porteur de serpents (Scorpion). Il y a en astronomie 13 signes du zodiaque qui ont été divisés artificiellement en 30° chacun, le Scorpion et Ophiuchus occupent 30° ensemble.

L’étranger repose donc en Scorpion et Ophiuchus, plus exactement au premier tiers de la constellation des Ophiuchus le « porteur de serpents » à 12° du début du Sagittaire et à 15° du 21 décembre 2012.

Ophiuchus s’étend du 30 novembre au 17 décembre, 3° ont été parcourus par le Soleil dans le Sagittaire. Il reste donc au 21 décembre 2012, 12° du début du Sagittaire à l’objet étranger. 12° correspondent à la date du 5 décembre 2012 qui est exactement le premier tiers d’Ophiuchus qui compte 18 jours au total.

L’objet est pointé exactement au sixième jour d’un total de 18 jours. Au regard de l’objet représenté sur le crop circles, on pourrait croire qu’il possède des satellites. En réalité, on dirait plutôt un objet qui grossit, fait son ascension et qui semble avoir une orbite particulière. Le dessin donne effectivement une caractéristique particulière de son orbite qui est elliptique.

En faisant passer une ellipse parfaite par le centre de chacune des formes arrondies qui donnent l’impression première d’être des satellites de l’Alien, on en obtient parfaitement la preuve. Une orbite avec excentricité se trouve ainsi parfaitement définie. L’objet semble massif et venir par le dessous du plan de l’écliptique (pôle sud du Soleil).

Si un objet tourne autour d’un autre suivant une orbite parfaitement circulaire, son excentricité est alors de zéro. Selon les lois de Kepler, plus l’excentricité augmente et plus l’orbite devient elliptique. Lorsque l’orbite est elliptique, la vitesse de rotation de l’objet en orbite augmente énormément plus près de l’objet central que lorsqu’il en est éloigné.

C’est une orbite circulaire qui donne une vitesse constante à un objet. À plusieurs endroits dans ce livre, je vous bassine en vous disant qu’on vous ment et que nos oligarques savent beaucoup de choses, surtout pas pour notre bien. Je précise qu’Hollywood est précisément l’organe de propagande des USA, (tout comme l’était Goebbels sous le III Reich d’Hitler) et de son bébé en devenir, le N.O.M.

Dans les premières secondes du film « 2012 » on peut voir un objet inconnu traversant l’écliptique. Ensuite, le Soleil semble s’affoler. C’est une planète à l’aspect rouge qui se glisse habilement vers le haut des anneaux de Saturne. L’orbite ne correspond en rien avec celle des autres planètes du plan de l’écliptique de notre système solaire, et encore moins des satellites de Saturne. L’objet donne des similitudes troublantes avec des naines brunes photographiées par des satellites de la NASA.

Revenons à nos cercles dans les blés, le point d’observation du film est presque dans la trajectoire de Saturne. Dans les premières secondes, l’objet semble frôler Saturne. Etrangement, sur notre cercle, le point d’observation dirige le regard vers la Vierge (Virgo) dans le zodiaque.

Revenons maintenant aux symboles égyptiens issus de la deuxième apparition : cercles d’Avebury du 23 juillet 2008. Ils laissent apparaitre un losange avec une ligne centrale qui correspond à la propagation de lignes de champs de forces gravitationnelles dans l’univers. Plus particulièrement, à celles issues de deux sphères.

Le même phénomène de lignes de forces peut être produit (en simplifiant l’explication) par un corps à orbite elliptique en déplacement dans l’espace, ce qui est le cas de l’étranger. Nous trouvons également un serpent. Il symbolise la constellation du serpent, qui se retrouve dans la constellation d’Ophiuchus, le porteur de serpents.

C’est justement la portion du ciel d’où vient l’objet massif. Lorsque l’on trace une ligne droite qui part de l’endroit exact où se trouvait le Soleil le 21 décembre 2012, pour passer à travers le centre de la galaxie, nous tombons exactement au centre de la constellation d’Ophiuchus. Le 21 décembre 2012 n’a pas eu lieu la fin du monde comme l’attendaient certains farfelus dans les Pyrénées au pic de Bugarach. 

Curieusement, cette idée d’un calendrier Maya vieux de plusieurs milliers d’années brandissant un cataclysme planétaire n’a pas eu lieu. Pourtant, tous les médias du monde nous en ont rebattu les oreilles durant des mois, voire des années. On aurait voulu décrédibiliser une croyance, on ne s’y serait ont pas pris autrement.

Désormais, fini, terminé ! Toute idée d’un cataclysme mondial a quitté l’esprit du plus grand nombre, car tel était le but. Pourtant, à cette même date, deux événements majeurs et rarissimes ont eu lieu au nez et à la barbe de tous, sauf des veilleurs : la venue d’un objet massif et étranger dans notre système solaire en provenance du serpent, et l’alignement de notre Soleil avec l’équateur galactique et ce même serpent.

Le symbolisme de l’escargot, trouvé dans le cercle céréalier et la coquille de cet animal, est la meilleure preuve qu’elle se développe en suivant l’influence des ondes basses fréquences (ELF) voyageant en forme de vortex. Les lignes de développement de la coquille suivent admirablement bien les lignes de séquences mathématiques des spirales de Fibonacci. Comme nous l’avons vu plus haut, les courants ayant commencé à changer sur notre planète, ils affectent la météo, la température, les animaux et notre environnement.

Les humains ne sont pas épargnés. J’en ai déjà parlé dans mon premier ouvrage « La Quête » ; dans la nature, tout est vibration, énergie. Notre modernisme est un piège pour l’humanité : wifi, Bluetooth, micro-ondes, portables, etc.

Les lobbies eux sont là afin d’étouffer les recherches, en gagnant beaucoup d’argent, sur le dos du consommateur malade en devenir. Si le malade franchit le dernier échelon, la mort, ils sont toujours gagnants, puisque l’objectif final de ces salauds est de réduire la population mondiale de manière drastique.

Selon les croyances Maya, il y aurait un gigantesque trou noir au centre de la Voie Lactée, notre galaxie, ce que semble symboliser la spirale du cercle céréalier. Selon eux, le centre abrite le « dieu » créateur. Un personnage du nom de Quetzalcóatl ou Kulkucan devait revenir à compter du 21 décembre 2012.

Récemment, les astronomes viennent de confirmer qu’il y a bien un gigantesque trou noir au centre de notre galaxie, autour duquel gravitent les astres célestes. Plus de 26000 années-lumière nous séparent de ce centre. Les physiciens et théoriciens modernes attribuent aux trous noirs des capacités physiques qui défient les lois de l’entendement.

Des sortes de portails vers des univers parallèles. Les récits mythologiques Mayas s’en trouvent retranscrits en capacités scientifiques possibles. Le satellite Swift de la NASA a récemment détecté un trou noir de masse stellaire dans notre galaxie. Ce qui a révélé cette découverte est la détection d'une bouffée de rayons X de très haute énergie depuis une source située près du centre de la Voie Lactée.

C'est un événement très rarement détecté et c'est par ailleurs la première fois que le satellite Swift le fait. Le trou noir se situe à quelques degrés du centre de la galaxie, vers la constellation du Sagittaire. 

Du 30 septembre au 1er octobre 2002, au Nouveau Mexique, des signaux furent captés en provenance du centre galactique. L’émission dura 5 fois 10 minutes, le tout sur une période de 7 heures, chaque émission de 10 minutes étant entrecoupée par des poses de 77 minutes chacune.

L’idée d’une porte vers d’autres dimensions peut sembler ridicule. Néanmoins, au point de vue physique, il ne s’agit que d’une harmonisation, une résonance entre deux fréquences, ce qui est couramment utilisé en électronique. Je l’ai déjà indiqué de nombreuses fois, tout dans l’univers est de nature vibratoire, chaque chose, chaque être, porte son empreinte, sa carte d’identité vibratoire. Ne dit-on pas : Être ou ne pas être sur la même longueur d’onde ? 

La Terre possède sa propre longueur d’onde dite fréquence de Schumann à 7,83 Hertz, ce que l’on nomme couramment les très basses fréquences (ELF).

Je rappelle pour comparaison, que le courant de distribution EDF est lui à 50 Hertz. Un signal du même ordre en provenance de l’espace entrerait en syntonie parfaite avec la fréquence de la Terre, faisant résonance et pénétrant notre monde avec une facilité déconcertante.

La NASA a investi en temps et en argent concernant un projet d’antennes capables de récolter ces fameuses fréquences de Schumann. Ils savent pertinemment que les désordres climatiques, les éruptions volcaniques et les tremblements de terre sont dûs aux courants électriques générés par les phénomènes spatiaux expliqués ici depuis le début. Ce qui les intéresse avant tout, c’est la transmission d’énergie sans fil et infinie, ainsi qu’une prospection spatiale radicalement plus simple. 

Tout ce projet porte un nom : H.A.A.R.P., hight fréquency active auroral research program. Je vous ai déjà parlé de tout cela dans un autre chapitre, concernant les armes dont disposent actuellement les fous qui nous dirigent, et surtout les USA. Je vous ai également parlé de Nikola Tesla, savant génial laissé volontairement en « cul de basse fosse » à cause de la gravité de ses découvertes au 20e siècle.

Une gravité sans nom pour les élites de l’époque, et surtout leurs comptes en banque. Des découvertes d’une gravité qui permirent de découvrir l’anti gravité dont un certain Hitler et son III Reich avaient les immenses perspectives à portée de main. Que sont devenues ces découvertes ?

Les nazis survivants se sont t’ils enfuient avec, Hitler s’est-il vraiment suicidé le 30 avril 1945 ? La date par elle-même est déjà foncièrement occulte. Ou alors, les Américains qui, sous le nom d’opération Paper clip, ont-ils essayé de tailler des croupières aux Russes au sujet des savants et découvertes nazis, ont-ils récupéré la substantifique moëlle ?

Quoi qu’il en soit, les descendants de ces salauds s’appliquent désormais à instaurer leur régime démoncratique ; ils en sont à la touche finale. Hunab Ku pour les Mayas ce sont deux mondes différents qui se connectent durant un instant comme le font deux radios qui émettent sur la même longueur d’onde.

Pour eux, Hunab Ku prenait place le 12 décembre 2012 pour se terminer le 30 décembre avec son apogée au 21 décembre 2012. Deux univers à la rencontre l’un de l’autre avec une précision déconcertante. On peut d’ailleurs se demander où et de qui les Mayas ont pu obtenir une telle précision dans leur calendrier.

Le 21 décembre 2012 à 11h11 précises, notre Soleil s’est aligné avec le centre galactique. Allons-nous retrouver le même synchronisme avec la NASA ? Il suffit pour s’en convaincre de vérifier les données de l’US Naval Observatory. Les heures auxquelles les solstices d’hiver prennent place changent d’une année sur l’autre. L’horloge de la NASA indiquait pour le solstice d’hiver 2012 : 11h11 heure universelle. 

Olivier

Suite et fin ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/le-kolbrin-et-son-destructeur-des-nations-partie-6-et-fin.html

PS : il me reste quelques exemplaires de ce livre. Celles et ceux qui le désirent pour les fêtes peuvent me contacter : oliviercapevecteur@gmail.com  19,90€ +4€ de frais de port.
 

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LE KOLBRIN ET SON DESTRUCTEUR DES NATIONS (Partie 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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Développé à la fin des années 70 par le professeur James M. Canney, le modèle des décharges plasmiques des comètes fut refusé par la NASA, car il défiait leur propre définition des comètes.

Elles sont pour l’agence spatiale des balles de glace poussiéreuses et produisent donc de la vapeur d’eau en s’approchant du soleil. Souvent, la science au service des élites fait fi de la loi et en l’occurrence ici de celle sur la dissociation moléculaire ; de l’eau chauffée par exemple à 100.000 degrés ne reste pas de la vapeur d’eau. D’après Mc Canney, les comètes agissent comme des INTRUSES dans notre système solaire en modifiant ses caractéristiques, et en encourageant notre condensateur solaire à se décharger électriquement.

Le Soleil en son centre produit des explosions nucléaires, libérant ainsi des charges positives appelées protons. Ces charges se dirigent radialement vers l’extérieur et éventuellement, atteignent les parties les plus éloignées de notre système solaire (vents solaires), libérant ainsi des électrons sur la surface du Soleil qui devient, elle, négative.

La différence de potentiel (tension) entre le Soleil et la partie externe de notre espace devient alors très grande et crée un énorme condensateur dont le Soleil est la source d’alimentation. Lorsqu’une comète arrive dans notre système solaire, cela modifie les caractéristiques du grand condensateur, elle agit comme un matériau conducteur, facilitant alors le transfert du courant électrique.

La comète se comporte comme un fil conducteur et fait passer le courant à travers elle. Lorsque ce courant devient trop fort, il se produit une décharge solaire qui se traduit par une éruption plus ou moins intense à la surface du Soleil, en direction de la comète. L’éruption contient principalement une concentration inouïe d’électrons et du plasma.

Lorsque l’éruption atteint la comète, elle devient très fortement chargée par cette quantité de plasma. Sa surface devient alors négative par rapport à son environnement. Elle s’illumine subitement et attire dans son sillage toutes particules de poussières qui sont positivement chargées par rapport à elle. Ce processus produit la queue de la comète.

Le courant qui passe à travers la comète génère à son tour un champ électromagnétique. Le plasma contenu dans la queue obéit maintenant aux lignes de champs magnétiques qui passent par le cœur de la comète. Notre système solaire est donc un gros condensateur. Jusqu’à présent, nous savions que notre Soleil avait un cycle stable d’environ 11 ans, temps nécessaire pour décharger avec stabilité son énergie électrique, les planètes agissant comme fil conducteur.

Notre système condensateur est donc imprégné de champs électromagnétiques qui ne voyagent pas en lignes droites, mais produisent des vortex le long des lignes de champs électriques. Selon Mc Canney, ce sont les comètes au teint vert et bleu qui sont les plus dangereuses, les plus énergétiques. Les planètes et les comètes servent donc de fil conducteur et contribuent à faire passer le courant du grand condensateur, le Soleil.

Un alignement d’un groupe de planètes favorise l’augmentation du passage du courant électrique transitant par notre Soleil. Et, un alignement planétaire comptant en plus une comète, favorise d’autant cette décharge, surtout si cette dernière est fortement ionisée. Le résultat pourrait être dévastateur. Le 16 octobre 2010, nous avons assisté au passage de la comète Hartley et sa formidable décharge plasmique de couleur verte.

Note actuelle au 20 novembre 2023 (La comète Hartley 2 a atteint mardi 26 septembre dernier son point le plus proche de la Terre. D’après les estimations, elle se situe à une distance de 0,38 unité astronomique, soit environ 56 millions de kilomètres de nous). La dernière fois que Hartley 2 a rendu visite à la Terre, c’était en 2017. Mais la distance à laquelle elle se situait n’a pas permis d’en faire des observations concluantes. Son apparition la plus remarquée remonte donc à 2010.

Depuis qu’Hartley s’est approchée très près de la Terre, avec son halo vert, le climat s’est subitement détérioré. De plus, un phénomène inquiétant et jamais vu jusqu’alors sur le Soleil est apparu. Une couronne de 400.000 km de largeur est apparue à la surface en provenance de la tache solaire n° 1112.

Cet événement correspond exactement au passage de Hartley qui s’est alignée avec la Terre, Vénus, Mercure. Cette couronne fait actuellement face à la Terre. La NASA avertit que cette structure pourrait s’effondrer soudainement et provoquer une éruption et une immense éjection de masse coronale en notre direction. Le maximum d’activité solaire résultant de ce phénomène était prévu en 2012-2013.

Les entonnoirs coronaux provoquent des filaments qui se forment à la surface du Soleil lorsqu’il y a une puissante décharge électrique. Comme magnétisme et électricité sont liés, le champ magnétique produit par l’immense puissance de la décharge électrique contenue dans l’entonnoir coronal, entraîne avec lui le plasma solaire qui prend la forme d’une trompette, ce qui est à l’origine de son nom. Le même phénomène existe sur Terre sous le nom de « elves and sprites » tout comme les entonnoirs coronaux, les E.A.S. suivent les lignes des champs magnétiques en vortex.

Ce sont ces vortex qui leur donnent leurs formes de trompettes. Depuis des siècles, on parle des forces qui régissent l’espace : gravitationnelle, nucléaire, électromagnétique et des tempêtes solaires qu’elles produisent, mais jamais on ne parle de la nature électrique de l’espace. Les initiés le savaient et Tesla à son époque s’apprêtait à mettre à disposition de l’humanité, une énergie propre, gratuite et inépuisable. Il est facile de faire varier la capacité d’un condensateur par l’intermédiaire d’un intrus. La boule à plasma inoffensive qui, durant des années, a fait office d’objet de décoration l’expliquera facilement.

Prenez une pièce de monnaie figurant Mars et Mercure, que vous posez sur le dessus de la boule. Prenez une petite feuille de carton figurant la Terre, que vous posez sur la pièce. Prenez un trombone métallique figurant Hartley, que vous déroulez et appliquez une de ses extrémités sur le carton. Au bout d’un instant vous verrez le carton, la Terre, noircir. Conclusion : Le tout forme un alignement avec le Soleil figuré par la boule, et notre planète carton brûle.

Bizarrement, pour revenir au passage de la comète Hartley, le 16 octobre 2010, en plus de la formation de cette couronne solaire, quelques jours plus tard, le 25 octobre 2010, tous les sismographes de la planète se sont emballés en même temps. L’électricité qui provient du Soleil énergise notre ionosphère qui devient alors fortement négative.

Cela crée une gigantesque différence de potentiel entre la surface de la Terre qui elle, est chargée positivement. L’atmosphère comprise entre l’ionosphère et le sol agit alors comme un matériau dialectique (isolant) et un énorme effet de condensateur se met en place.

C’est alors qu’un énorme courant électrique se met à circuler verticalement, produisant à son tour un champ magnétique ascendant en forme de vortex, ce qui donne la forme conique aux tempêtes. Un courant se met en circulation créant un immense champ magnétique.

L’énorme puissance de ce champ magnétique entraîne donc des particules d’eau chargées positivement, vers les hauteurs en suivant la forme d’un vortex. Les courants telluriques augmentent (tremblements de terre, irruptions volcaniques).

Cette eau ionisée, qui est entraînée très haut dans l’atmosphère, se rabat donc de part et d’autre pour provoquer éventuellement les très fortes précipitations que l’on retrouve dans les cyclones. Les volcans eux, produisent beaucoup de particules chargées (ions) au-dessus de leurs cheminées.

Ces ions qui montent très haut dans l’atmosphère aident le courant électrique à se frayer un chemin. La cheminée du volcan agit comme une antenne. Si le courant devient très fort, alors, il fait fondre le magma et provoque éventuellement une éruption volcanique. Nous pouvons constater ici que tout est en interaction, tempêtes, irruption, tremblements. Contrairement à ce qu’affirmaient il y a encore peu de temps les scientifiques toute irruption volcanique est en corrélation avec des éclairs et quelquefois on peut même constater un typhon qui se forme proche du volcan en activité.

Un tourbillon est donc un vortex (lignes de champs magnétiques) qui ionise les particules comme l’eau et les fait monter en hauteur par l’œil du cyclone.  Des découvertes récentes attestent de l’influence des courants électriques dans les tremblements de terre. Les « EARTHQUAKE LIGHTS » sont des phénomènes aériens anormaux qui sont rapportés dans le ciel près des plaques tectoniques instables, lors d’activités sismiques ou lors d’éruption volcaniques.

La croûte terrestre se réchauffe entre autres à cause des courants électriques en augmentation, et non à cause des activités humaines. En se réchauffant, la croûte prend alors de l’expansion, ce qui provoque d’énormes pressions le long des lignes de failles sismiques. Les conséquences de ce phénomène expansif pourraient être un éclatement de la croûte terrestre sur la totalité du globe. Un véritable cataclysme, la moitié de l’humanité serait décimée.

Le physicien Michio Kaku, qui avait prédit les tremblements de terre au Japon, annonce un tremblement de terre mondial. Il met en garde les citoyens du monde contre un méga tremblement de terre potentiel. Il s’est prononcé en ce sens lors d’une apparition à l’émission Good Morning America.

Il expliqua qu’il y avait de très fortes probabilités pour que des séismes d’envergure touchent la planète Terre en plusieurs endroits. Il explique que la Terre est sur le point de subir de fortes secousses, un peu partout, et affirme que les villes de par le monde ne sont pas prêtes à cette éventualité.

Le savant est très explicite et ne ménage pas ses mots : Les gens devrait s’attendre à voir disparaître des villes aussi importantes que Los Angeles, San Francisco, Mexico City, Téhéran, Tokyo. D’ailleurs, ce sont les grandes villes qui seront les plus sujettes à subir des dommages.  Il conclut en disant : Il faut se rappeler du tremblement de terre de magnitude 8.8 qui eut lieu au Chili en 2010 ! Il fut si considérable qu’il a fait littéralement dévier la planète, depuis cette violente secousse nos journées n’ont plus vraiment exactement 24 heures ! 

En plus de ces phénomènes, on constate de plus en plus d’hécatombes se rapportant au monde animal. Des bancs de poissons sont retrouvés morts par millions. Les oiseaux subissent le même phénomène. Les cétacés très sensibles perdent leur système d’orientation. Les abeilles meurent ; par endroits, les insectes se comportent bizarrement envahissant brusquement des lieux où habituellement on ne les trouve jamais. Les humains ne sont pas en reste ; de nombreux facteurs semblent liés à l’électromagnétisme défaillant de notre Terre et du système solaire.

Les fluides conducteurs interagissent avec les champs magnétiques, ce qu’on nomme magnétohydrodynamique. Les courants telluriques sont reconnus par leur influence sur le climat, ils peuvent fortement contrarier les courants marins qui contiennent beaucoup de particules ionisées, l’eau salée étant un bon conducteur, cela rend ces courants marins sujets aux lois électriques et magnétiques. Est-ce que les changements dans les courants électriques que l’on nomme Jet Stream sont responsables de l’arrêt des courants océaniques du Gulf Stream ?

Ces choses étant vues, nous allons maintenant aborder un sujet mystérieux déjà mentionné dans ce livre. Celui des crop circles (cercles céréaliers) qui apparaissent rapidement et quelquefois subitement, surtout en Angleterre, pays de l’angle terre, l’angle zéro.

Quoique mystérieux de par leurs concepteurs, ils semblent nous apporter des réponses astronomiques plusieurs années à l’avance, sur des phénomènes grandioses que notre science actuelle est bien incapable de présager. Tel celui apparu le 10 juillet 2005, démontrant avec force détails l’explosion de la comète Holmes qui eut lieu 2 ans plus tard, le 25 octobre 2007. www.cropcircleconnector.com

En effet, le dessin céréalier reprenait de manière extraordinaire la position qu’auraient l’ensemble des débris dans l’espace après la déflagration. Celui d’Avebury en Angleterre est apparu la première fois le 15 juillet 2008. Il montrait notre système solaire et toutes les planètes connues. Certains astronomes s’aperçurent que les positions des planètes montrées dans ce cercle céréalier ne correspondaient pas à la position des planètes pour l’année 2008, mais plutôt la position qu’elles prendraient le 21 décembre 2012. Enfin, pas tout à fait ! Pluton a un écart de 29° par rapport à son orbite prévue.

Ce qui signifie une avance de 20 ans sur son itinéraire habituel, son année sidérale étant de 248 ans et 244 jours, alors que celle de notre Terre est de 365, 25 jours. Une seconde formation est apparue le 23 juillet 2008, un second cercle avec des symboles ressemblant à des hiéroglyphes égyptiens, un anneau et quelque chose qui ressemble à une comète et un objet céleste inconnu à l’extrémité de notre système solaire. L’objet semble très massif et être supérieur en taille à toutes les planètes connues dans notre système solaire, sachant que Jupiter est la plus grosse avec un diamètre 11,2 fois supérieur à la Terre.

 

Olivier

Suite ici :https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/le-kolbrin-et-son-destructeur-des-nations-partie-5.html

PS : il me reste quelques exemplaires de ce livre. Celles et ceux qui le désirent pour les fêtes peuvent me contacter : oliviercapevecteur@gmail.com 19,90€ +4€ de frais de port.

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LE KOLBRIN ET SON DESTRUCTEUR DES NATIONS (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/le-kolbrin-et-son-destructeur-des-nations.html

Extrait de mon livre La Promesse, pages 202 à 220. Premier trimestre 2013. (En quatre parties)

 

« Le destructeur des nations.

Je vous invite à un voyage dans le temps, une époque pas si lointaine où l’on pouvait encore parler de planète X sans passer non pas pour un Illuminati mais pour un illuminé.

Les théories autour de la planète X remontent aux débuts de l'astronomie moderne quand les savants se sont rendu compte que quelque chose affectait l’orbite de Neptune. En 1936, la revue Popular Science n'hésitait pas à publier un article sur la fin du monde qu'entrainerait le passage de cet astre mystérieux. 

À l'époque, même le cinéma s’intéressait au phénomène mythique. C’est à partir des années 80 que la censure a commencé à s'abattre sur le sujet. Aujourd'hui, tandis que les "élites courageuses" se préparent à se terrer dans des bunkers, le public ne se doute de rien.

Hormis quelques fous comme moi, quelques travaux de recherches isolées, de rares flashs à la télévision russe, le silence des médias est total. Ce cover up sans précédent concerne également des sujets annexes comme le changement de couleur du soleil et le bouclier atmosphérique généré par les Chemtrails destiné soi-disant à protéger la population de ses rayonnements nocifs.

Beaucoup refusent ainsi de croire, s’en remettant à des pseudos scientifiques vendus, ayant troqué leurs âmes contre une place dans leurs trous à rats. Quant à la NASA, elle continue de jouer à cache-cache avec les chercheurs de vérité, elle excelle à ce petit jeu, n'hésitant pas à déclarer que les 13 000 enregistrements originaux et gênants des missions Apollo avaient été effacés afin de réaliser des économies.

Pourtant la Terre et les planètes de notre système solaire s’échauffent, même Pluton la plus éloignée. Notre champ protecteur a baissé, le Soleil n’est plus jaune mais blanc, nous n’avons jamais eu autant de cataclysmes, séismes, éruptions, ouragans, tsunamis, sinkholes, astéroïdes, comètes, météores. Lisez-donc cette retranscription d’il y a 30 années déjà !

Vendredi 30 Décembre 1983. Par Thomas O'Toole, journaliste au Washington Post : « Un corps céleste qui pourrait être aussi grand que la planète Jupiter et qui pourrait être si proche de la Terre qu'il pourrait faire partie du système solaire a été trouvé dans la direction de la constellation d'Orion par un télescope infrarouge embarqué à bord d'un satellite astronomique américain. Cet objet est si mystérieux que les astronomes ne savent pas si c'est une planète, une comète géante, une "protoétoile" qui n'a jamais été assez chaude pour devenir une étoile, une galaxie éloignée si jeune qu'elle serait encore dans le processus de formation de ses premières étoiles ou une galaxie tellement enveloppée de poussières qu'elle cache la lumière émise par ses étoiles. Il est vraiment si proche, qu'il ferait partie de notre système solaire, a déclaré le Dr James Houck du Centre de Physique des radiocommunications et de la recherche spatiale de l'université de Cornell et membre de l’équipe scientifique IRAS. Il serait tellement proche de nous que je ne sais pas comment la communauté astronomique pourrait le classer.  Tout ce que je peux vous dire, c'est que nous ne savons pas ce que c'est, a déclaré le Dr Gerry Neugebauer, IRAS chercheur en chef au Jet Propulsion Laboratory de Californie et directeur de l'Observatoire Palomar pour l'Institut de technologie de Californie.

L'explication la plus fascinante pour ce corps mystérieux, qui est si froid qu'il ne projette aucune lumière et qui n'a jamais été vu par des télescopes optiques sur Terre ou dans l'espace, c'est que ce serait une planète gazeuse aussi grande que Jupiter située à 50 trilliards de miles de la Terre. Même si cela peut sembler une grande distance en termes terrestres, c'est un jet de pierre en termes cosmologiques, si proche en fait qu'il serait le corps céleste le plus proche de la Terre au-delà de la planète la plus éloignée, Pluton. Le corps mystérieux a été vu deux fois par le satellite infrarouge pendant qu'il scannait la partie nord du ciel de Janvier à Novembre, mais alors le satellite a manqué de l'hélium super froid qui permet à son télescope d'observer les corps célestes les plus froids. La seconde observation a eu lieu six mois après la première et a suggéré que le corps mystérieux n'avait pas bougé de sa place dans le ciel qui était près de la bordure ouest de la constellation d'Orion à cette époque. Cela suggère qu'il ne s'agissait pas d'une comète car une comète ne serait pas aussi grande que l'objet que nous avons observé et elle aurait probablement bougé, affirme Houck. Une planète aurait dû se déplacer si elle était à une distance de 50 trilliards de miles, mais il pourrait s'agir d'une planète encore plus éloignée qui ne s'est pas déplacée sur une période de six mois. »

Quoi qu'il en soit, Houck affirme que le corps mystérieux est si froid que sa température est d'au maximum 40 degrés au-dessus du zéro absolu qui est de -273,15 °C. Le télescope à bord d'IRAS est tellement refroidi et sensible qu'il peut distinguer les objets dans le ciel qui sont à seulement 20 degrés au-dessus du zéro absolu. Quand les scientifiques de l'IRAS ont vu le corps mystérieux, et calculé qu'il pouvait être situé à une distance de 50 trilliards de miles, on a commencé à spéculer sur la possibilité qu'il pourrait se diriger vers la Terre.

Alors, qu'est-ce que c'est ? Que faire s'il est aussi grand que Jupiter et si proche du Soleil que ce serait une partie du système solaire ? Théoriquement cela pourrait être la 10e planète que les astronomes ont cherchée en vain.

Cela pourrait également être une protoétoile, qui comme Jupiter, a commencé à devenir une étoile mais qui n'a jamais eu suffisamment de chaleur pour se transformer en Soleil.

Bien qu'ils ne puissent pas réfuter cette possibilité, Neugebauer et Houck sont tellement tourmentés qu'ils ne veulent pas l'accepter. Ils espèrent que ce mystérieux corps lointain soit une galaxie si jeune que ses étoiles n'ont pas commencé à briller ou tellement entourée de poussières que la lumière de ses étoiles ne peut pas en sortir.

« Je crois que c'est l'une de ces sombres et jeunes galaxies que nous n'avons jamais pu observer au paravent, a déclaré Neugebauer. Si c'est le cas, alors c'est un grand pas en avant dans notre compréhension de la taille de l'univers, comment l'univers s'est formé et comment il continue à se former au fil du temps. »

D'après Neugebauer, la prochaine étape dans l'identification du corps mystérieux est de partir à sa recherche avec les plus grands télescopes optiques du monde. Déjà, le télescope de 100 pouces de diamètre à Cerro Del Tololo au Chili a commencé sa recherche et le télescope de 200 pouces du Mont Palomar en Californie a réservé plusieurs nuits de l'année prochaine pour le chercher. Si le corps est assez proche et émet même un soupçon de lumière, le télescope du mont Palomar devrait le détecter car le satellite infrarouge a mis en évidence sa position.

La NASA a d’abord cherché à occulter le rôle des alignements planétaires sur le climat et la géologie de notre planète afin d'empêcher les gens d'en déduire la présence de la planète X.

Depuis un certain temps, beaucoup sont sensibilisés au thème du Killshot, une tempête solaire de grande ampleur capable de griller la majorité de l'infrastructure électrique de notre planète. Le Soleil est ainsi suivi quotidiennement par des milliers d'internautes prêts à lancer l'alerte au moindre risque, car il fait souvent des siennes.

Au mois de mai dernier, il a produit successivement 4 éruptions de classe X, cela ne s’était jamais vu. Grâce au principe des alignements planétaires, la NASA avait néanmoins anticipé ce danger des années à l'avance.

En novembre 2003, une éruption de classe X 40 aurait pu anéantir le monde tel que nous le connaissons si elle avait été dirigée vers la Terre. À l’époque, elle fut causée par un alignement mettant déjà en jeu Jupiter et la planète X. Entre temps, aucune éruption d'une telle ampleur n'avait eu lieu, du moins si l'on en croit les enfoirés de la NASA.

C'était avant qu’un savant, le professeur Daniel Baker, de l'université Boulder du Colorado, ne dévoile le pot aux roses, en révélant au monde qu’en juillet 2012, une éruption solaire extrêmement puissante aurait pu constituer une catastrophe technologique majeure en court-circuitant les satellites, les réseaux électriques, les équipements de télécommunication et la sécurité des astronautes et du personnel navigant.

Selon lui, elle a engendré une éjection massive de matière solaire (EMC) se déplaçant à plus de 10 millions km/h. Elle est survenue de l'autre côté du Soleil à partir d'une région qui faisait face à la Terre une semaine plus tôt. Cette éjection de masse coronale (EMC) a sans doute été plus puissante que la fameuse tempête de Carrington de 1859 qui grilla un grand nombre de lignes télégraphiques et qui engendra des aurores boréales jusqu'à l'Amérique centrale.

Baker est loin d'être un inconnu, il a présidé le comité 2008 du conseil national de recherches qui a produit un rapport intitulé « Graves événements de la météo spatiale : Comprendre les impacts sociétaux et économiques ». La NASA opère ainsi à deux niveaux d’informations : scientifique, et des brides d’infos pour les moutons. Dès lors peut-on encore faire confiance un seul instant à cet organisme voué tout comme la plupart des scientifiques à l’avènement de la bête ?

Ainsi, après mes multiples allusions, en arrivons-nous au sujet passionnant autant que décisif pour notre humanité. Le fait que nos élites nous mentent effrontément tout en se comportant comme des taupes, m’oblige à faire appel à des notions techniques, tant physiques qu’astronomiques. Je m’en excuse par avance auprès de celles et ceux pour qui la science n’est pas leur tasse de thé.

Certaines choses sont interdépendantes dans notre univers physique. J’aurais même tendance à y voir, une interdépendance globale. Ne dit-on pas : qu’un bruissement d’ailes de papillon peut déclencher un tremblement de terre à l’autre extrémité de la planète !  Nous verrons très vite que les forces dont il est question sont sans commune mesure avec un bruissement d’ailes. Raison d’autant plus évidente de s’informer.

Lorsqu’en physique, il y a passage d’un courant électrique, il y a obligatoirement création de champs magnétiques, et inversement. Le courant n’est autre qu’un déplacement de charges électriques, des électrons, au sein d’un matériau conducteur. Leurs déplacements sont imposés par l’action de la force électromagnétique.

L’interaction du magnétisme avec la matière constitue le fondement de l’électricité. Le courant électrique nécessite donc le déplacement de particules chargées : les électrons dans un sens et les protons dans l’autre, créant ce qu’on appelle communément, une différence de potentiel ; un plus et un moins. Elle nécessite en outre une source d’énergie afin de mettre les particules en mouvement, une pression en quelque sorte !

Dans notre système solaire, la source d’énergie est le Soleil. Le champ magnétique forme, avec le champ électrique, les deux composantes indissociables du champ électromagnétique ; l’un induit l’autre. Principe utilisé à souhait lors du fonctionnement des moteurs électriques et des génératrices (Nikola Tesla, dont les travaux gênants pour l’avènement du N.O.M. furent étouffés dans l’œuf.)

Le plasma, lui, définit un état de la matière constitué de particules chargées d’ions et d’électrons. Le tube néon, constitué d’un gaz traversé par un courant, en est l’exemple type. Lorsque dans le tube, le courant devient suffisamment intense, le gaz s’illumine et devient du plasma.

Les comètes, quoique méconnues, sont comparables à des tubes à néon. Elles sont sollicitées par de fortes tensions électriques et deviennent chargées électriquement. Elles produisent donc du plasma dans leur entourage gazeux et poussiéreux. C’est cette forte ionisation qui donne à la comète sa luminosité.

Le condensateur est lui un composant constitué de deux armatures conductrices (électrodes) qui vont chacune se polariser différemment par rapport à un isolant central qui les séparent. Tout le temps où les électrodes ne sont pas mises en contact, elles gardent chacune leur charge.

La capacité du condensateur à stocker des charges électriques dépend de la nature de son isolant et de la distance entre ses pôles. Notre système solaire est composé d’un Soleil central autour duquel gravite des planètes sur le plan de l’écliptique.

Imaginez un disque vinyle 33 tours représentant ce que l’on nomme l’écliptique. Au-dessus de l’écliptique nous avons le pôle nord et au-dessous le pôle sud. La Terre est inclinée à 23°27’ par rapport à ce plan afin de donner les saisons. Toutes les planètes gravitent autour du Soleil en sens contre horaire, sauf Vénus.

Olivier

Suite ici :https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/le-kolbrin-et-son-destructeur-des-nations-partie-4.html

PS : il me reste quelques exemplaires de ce livre. Celles et ceux qui le désirent pour les fêtes peuvent me contacter : oliviercapevecteur@gmail.com 19,90€ +4€ de frais de port.

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LE KOLBRIN ET SON DESTRUCTEUR DES NATIONS (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Dans la première partie de cet article, j’évoque l’Islande qui, après plus de 1480 tremblements de terre en 48 heures, attend fiévreusement l’éruption du volcan Fagradalsfjall.

Nous assistons effectivement à la hausse de l'activité volcanique mondiale et des tremblements de terre concomitants. Or, si on analyse les faits historiques, comme c’est mon cas, on remarque alors que les éruptions volcaniques ont des implications potentielles sur notre climat.  Cela montre bel et bien comment des éruptions historiques ont déclenché un refroidissement mondial.

(Voir ma série https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/10/rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan-partie-1.html )

Or, depuis un bon moment, les nouvelles de volcans en éruption ou menaçant d'y entrer font le tour des médias, notamment en Islande où, malgré un sursis, une éruption volcanique est toujours attendue.

Un fait est ici remarquable : beaucoup d’Islandais qui ont vécu là-bas toute leur vie, disent qu'ils n'ont jamais ressenti de telles choses. Voici deux très courtes vidéo :

https://twitter.com/i/status/1724340826199752940

https://twitter.com/i/status/1724363228036166096

Bien au-delà de l’impact d’une éruption sur le pays, c’est le refroidissement potentiel dû à l’événement qui est à craindre. L’une des éruptions les plus importantes d’Islande s’est produite en 1783, l'écoulement de la lave a duré huit mois, produisant d'importants nuages de soufre qui ont plané sur l'Europe du Nord pendant six mois y provoquant un refroidissement estimé à 1,3°C durant les deux années suivantes.

Outre l'Islande, c’est le mont Etna en Italie qui commence à faire des siennes. Ainsi que le Sabancaya au Pérou, le Popocatépetl dans le centre du Mexique, le Klyuchevskoy au Kamchatka en Russie et le Sakurajima au Japon.

Comme vous voyez, ça commence à faire BEAUCOUP ! Regardez cette image issue du site www : volcanodiscovery.com   En rouge, ce sont les volcans en éruption et en orange : ceux qui menacent, avec une activité mineure.

Les éruptions volcaniques sont l’un des principaux facteurs qui, comme je le claironne depuis DES ANNEES, poussent la Terre vers sa prochaine phase de refroidissement global. Je l’ai déjà expliqué et je vais encore le refaire : les éruptions et leur puissance augmentent lors de périodes de faible activité solaire prolongée. C’est aujourd’hui le cas dans ce nouveau cycle solaire de 11 ans.

Le soleil a une incidence certaine sur notre bouclier magnétique terrestre, lorsque son champ et fort, le nôtre l’est également. Or, depuis un moment déjà, le bouclier terrestre s’amenuise en fonction de celui du soleil qui a faibli. Désormais, nous sommes bombardés, mitraillés par des myriades de balles invisibles. Pourquoi ? Parce que la faiblesse de son champ est concomitamment du nôtre. Il laisse passer un afflux de rayons cosmiques pénétrant et excitant le magma de notre Terre riche en silice.

De plus, je répète, il influe sur les masses nuageuses qu’il augmente et sur la pluviométrie. On ne compte plus les désastres écologiques dus aux inondations, dans le nord de l’Europe.

Pendant les minimums solaires, comme c’est désormais le cas, le champ magnétique du soleil s’affaiblit et la pression extérieure du vent solaire diminue. C’est alors une aubaine pour les rayons cosmiques de haute énergie qui peuvent ainsi pénétrer dans le système solaire interne, et dans l’atmosphère de la terre, en agitant son magma et en provoquant tremblements de terre, pluviométrie décuplée et éruptions en MASSE.

Or, une nouvelle étude dont voici le lien prouve bel et bien comment les éruptions historiques ont déclenché un refroidissement mondial.

https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.2221810120

Elle s’intitule High sensitivity of summer temperatures to stratospheric sulfur loading from volcanoes in the Northern Hemisphere. Haute sensibilité des températures estivales à la charge de soufre stratosphérique provenant des volcans de l'hémisphère Nord.

Elle a été publiée le 6 novembre dernier par l'École des sciences de la Terre et de l'environnement de St Andrews avec des collègues internationaux de Suisse et des États-Unis. Elle a été éditée dans les Actes de la National Academy des Sciences (PNAS).

Ceux qui ont lu mes précédents articles savent que les époques inhabituellement froides de notre passé, sont associées à de grandes éruptions volcaniques (les années 540, 1450 et 1600). Ces éruptions avaient toutes entraîné la formation de particules de soufre réfléchissant la lumière du soleil. J’évoque d’ailleurs ce fait dans mes récents ouvrages.

Cependant, la quantité de soufre qu’elles ont injectée dans la haute atmosphère restaient inconnues, jusqu’à ce que l’on étudie les isotopes du soufre présents dans des carottes de glace du Groenland et de l’Antarctique.

On connait désormais quelle fraction de ce soufre a atteint la stratosphère.  Cette étude mise en parallèle avec celle des cernes des arbres, révèlent que les plus grandes périodes de refroidissement historiques étaient EFFECTIVEMENT dues à des éruptions volcaniques aux hautes latitudes.

Pire encore, on sait désormais combien notre climat est fragile. En effet, pour produire de tels refroidissements, les scientifiques ont longtemps cru qu’il fallait des quantités monstrueuses de soufre dans notre atmosphère. Or, il n’en est rien, puisque cette quantité injectée dans la stratosphère par ces éruptions pourrait être d’environ la moitié de celle estimée précédemment.

Conclusion : les températures estivales pourraient être très sensibles aux éruptions volcaniques à haute latitude.

N’en déplaise à des Al Gore et Greta la folle, notre climat se rie du CO2, par contre, d’autres facteurs insidieux prouvent sans l’ombre d’un doute que lorsque le climat de la Terre est modifié par mère nature, d'autres parties du système climatique peuvent intervenir et amplifier considérablement ce changement initial. Et nos hautes latitudes ressentent particulièrement fortement ces changements climatiques amplifiés.

Comme nous ne pouvons pas tous partir en vacances aux Maldives ou aux Bahamas, il y a de quoi se gratter la tête quant à l’origine du catalyseur qui, régulièrement, vient rappeler à l’espèce humaine qu’elle n’est là et uniquement là par une volonté Divine QU’IL CONVIENDRAIT DE SAVOIR RECONNAITRE EN CES TEMPS PUREMENT ATHEES.

Si ce catalyseur est d’origine astronomique, le fait qu’on est voulu rendre la terre aveugle en piratant presque en même temps tous les observatoires astronomiques du monde, constitue un début de piste.

Lorsqu’on voit un psychopathe comme Bill le coyote dépenser autant d’argent à rependre des substances dans la haute atmosphère (Chemtrails qui n’existe pas, bien sûr !) afin de masquer soi-disant le soleil, on a encore un autre début de piste. Cacher la vérité aux gueux permettrait d’éviter des débordements fous à travers le monde.

Dernière petite précision : une nouvelle comète vient d’être découverte par les astronomes. Selon leurs prévisions, elle pourrait finir par devenir plus brillante que les étoiles dans notre ciel. Ils la surnomment « Tsuchinshan-ATLAS ». Son nom de code, c'est C/2023 A3. Elle pourrait bien devenir, d'ici quelques mois, l'objet le plus brillant de notre ciel.

Les astronomes prévoient que C/2023 A3 atteindra son périhélie (le point de son orbite le plus proche du Soleil), vers le 28 septembre 2024. Et c’est autour du 13 octobre 2024, qu’elle se situera au plus près de la Terre. Entre ces deux points, alors que c'est classiquement Vénus qui occupe cette place avec une magnitude d'environ -4,5, c’est la magnitude d’Atlas qui pourrait faire d'elle l'objet le plus brillant de notre ciel (hors Soleil et Lune).

C/2023 A3 (Tsuchinshan-ATLAS) favorisera l'hémisphère Nord en y étant parfaitement visible. La dernière fois qu'une comète exceptionnellement brillante était visible depuis les latitudes nord, c'était en 1997, lorsque la comète Hale-Bopp a illuminé le ciel.

Certains se diront : « que vient faire cette histoire de comète dans son propos ? » Ils comprendront bien assez tôt avec la lecture d’un extrait de mon livre La Promesse, paru en 2013. Quant aux alignements planétaires, la liste qui suit vous permettra de comprendre ce que nous réservent  les années 2024 et 2025.

Je répète qu’un alignement signifie que les planètes s’alignent dans la même zone du ciel, tel qu’on le voit de la Terre. Le prochain défilé de planètes est le 27 janvier 2024, lorsque Vénus, Mars et Mercure s’aligneront dans le ciel.

Retenez-bien que les planètes de notre Système Solaire ne forment jamais une ligne parfaitement droite dans l'espace, car leurs orbites ne sont pas sur le même plan. Mais parfois, FAISANT ANTENNE, elles se rassemblent près d'un côté du Soleil et apparaissent ensemble dans le ciel.

Lors du prochain alignement complet le 28 février 2025, les sept planètes : Saturne, Mercure, Neptune, Vénus, Uranus, Jupiter et Mars, seront observables dans le ciel simultanément.

Voici la liste des prochains alignements planétaires qui présentent de 5 à 7 planètes :

20 avril 2024 : un grand alignement matinal de Mercure, Vénus, Mars, Saturne et Neptune.

7 juin 2024 : un grand alignement matinal de Mercure, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune.

28 août 2024 : un grand alignement matinal de Mercure, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune.

18 janvier 2025 : un grand alignement matinal de Mercure, Mars, Jupiter, Uranus, Neptune et Saturne.

28 février 2025 : un alignement complet du soir de Saturne, Mercure, Neptune, Vénus, Uranus, Jupiter et Mars. C'est la prochaine fois que 7 planètes seront visibles en même temps.

29 août 2025 : un grand alignement matinal de Mercure, Vénus, Jupiter, Uranus, Neptune et Saturne.

Cela vous permet de voir que sur ces deux ans, il y a de quoi faire avec en prime Atlas qui ne viendra pas soutenir notre monde, bien au contraire ! Vous comprendrez à la lecture de l’extrait.

Il y a déjà LONGTEMPS que je mets mes lecteurs en garde. À titre d'exemple, voici la couverture d'un de  mes articles rédigé en décembre 2020 avec l'alignement Jupiter-Saturne.

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/12/le-great-reset-mais-pas-celui-de-klaus-chwab-et-de-davos.html

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/le-kolbrin-et-son-destructeur-des-nations-partie-3.html

PS : il me reste quelques exemplaires de ce livre. Celles et ceux qui le désirent pour les fêtes peuvent me contacter : oliviercapevecteur@gmail.com 19,90€ +4€ de frais de port.

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LE Kolbrin et son DESTRUCTEUR des nations

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

En 2014, j’ai édité mon premier roman :  C’était donc vrai ! La suite est parue il y a quelque mois sous le titre Chronique d’un Occident Oxydé

https://www.thebookedition.com/fr/chronique-d-un-occident-oxyde-p-394854.html  

Dans le premier tome, j’évoque un manuscrit peu connu du grand public ; le Kolbrin. C’est un recueil de textes dérangeants, pour ne pas dire déroutants. Ces textes divulguent beaucoup plus de détails sur ce qui pourrait bien être notre Véritable Histoire que la doctrine officielle ne le permet. On y parle entre autres de catastrophes célestes.

Dans mes livres, je fais souvent référence au FAIT qu’on nous cache VOLONTAIREMENT notre Véritable Histoire et nos origines. Si l’on considère l’énergie et l’intelligence nécessaire à une élite satanique pour réaliser un tel capharnaüm dans les faits, en dissimulant des artefacts bien dérangeants, on en vient à se dire que le Kolbrin devient un élément clef dans la compréhension du fait que nos ancêtres craignaient « que le ciel ne leur tombe sur la tête ». Pourquoi ?

Parce que ces textes mentionnent le « Destructeur ».

Extrait : « Alors, avec la tombée du jour, les hommes eurent une vision fantastique. Juste là, planant sur un énorme nuage noir tournoyant, vint le Destructeur, nouvellement relâché des confins de l’espace céleste et qui démontre sa rage dans les cieux, puisque c’était le jour du Jugement. La bête, avec son énorme bouche ouverte à cracher du feu, des pierres fumantes et de la fumée toxique. Le nuage couvrit le ciel entier, l’endroit où le ciel et la terre se rencontre à l’horizon ne pouvait plus être aperçu. Durant cette soirée, les étoiles se mirent à glisser doucement dans le ciel et changèrent de position, alors les inondations se produisirent. »

Dimanche 5 novembre 2023, en soirée, dans ma région du Pas de Calais (je suis situé à vingt km de Blanc nez) des aurores boréales ont été observées, ainsi que dans le ciel  de nombreux pays européens, faisant suite à une importante éruption solaire.

Dans mon second ouvrage (2013) La Promesse, j’évoque la tempête solaire de Carrington. La tempête solaire de 1859 est également connue sous le nom d'événement de Carrington ; du nom de l'astronome anglais Richard Carrington qui l'étudia.

Elle a notamment produit de très nombreuses aurores visibles jusque dans certaines régions tropicales et a fortement perturbé les télécommunications par télégraphie électrique, balbutiantes à l’époque. Or, on a récemment découvert des tempêtes solaires dix à cent fois plus puissantes, qui auraient des conséquences catastrophiques sur nos civilisations aux pieds d’argile. Ce type d'événement serait susceptible de se reproduire avec une telle violence seulement une fois tous les 150 ans.

De nos jours, une tempête solaire extrême serait susceptible de causer des dégâts monstrueux à nos infrastructures : télécommunications à l'échelle mondiale, distribution d'électricité et satellites. Tout ce qui fait de nous une civilisation « développée » pourrait disparaitre en un claquement de doigt. En effet, les aurores résultent d’une éruption solaire, à la suite de laquelle se produit un orage magnétique.

Des particules chargées et transportées par le vent solaire entrent alors en contact avec la couche haute de l’atmosphère. Ces particules électrisées sont alors absorbées par notre champ magnétique terrestre et émettent de la lumière colorée. Les teintes varient selon l’altitude à laquelle se produit l’aurore. Les plus dangereuses sont les rouges.

J’en ai déjà parlé en début d’année sur ce blog dans ma série consacrée au climat car, sachez-le, colère solaire et climat : les deux sont liés.

Habituellement, « lorsqu’il est en forme », le champ magnétique terrestre dirige ces particules solaires vers les pôles. Toutefois, comme c’est le cas actuellement, il peut arriver que cette zone vienne à s’étendre jusqu'aux latitudes tempérées lors des éruptions solaires les plus fortes. Or, dernièrement, une tempête géomagnétique a permis la formation d’une aurore boréale visible depuis la France, mais aussi en Europe jusqu’en Ukraine.

Pour la troisième fois en 2023, ces aurores boréales ont pu être observées en France et dans d’autres pays d’Europe, dimanche 5 novembre au soir. Dans les Hauts de France, en Auvergne, en Alsace, dans les Alpes, mais également sur la Côte d’Azur. En France, elles sont observables environ tous les dix ans, à condition que l’éruption solaire soit suffisamment forte et orientée dans la bonne direction.

Les pays du Grand Nord en enregistrent jusqu’à plusieurs centaines par an, chez nous, on a pu en voir déjà deux fois cette année, en février et en avril.

La troisième fois, c’était dans la soirée du dimanche 5 novembre 2023, la Terre a été frappée par un orage magnétique d'indice K mesurée par la NOAA (Administration nationale des océans et de l'atmosphère (États-Unis)). Cet indice débute à 0 et va jusqu'à 9.

Il faut qu'il atteigne au moins la valeur 5 pour parler de tempête géomagnétique. Plus d'indice est fort et plus les aurores peuvent être observées à des latitudes basses. Ce dimanche soir, l'indice K a atteint une valeur de 7.

C’est considérable. Dans certaines régions du nord, l'intensité était telle qu'on pouvait les observer à l'œil nu ! Ce fut le cas dans le département du Nord au niveau du Cap Blanc-Nez comme le montre ce superbe cliché signé Mickaël Lootens.

Fait important, ces particules chargées vont exciter celles de notre atmosphère, notamment l’oxygène et l’azote, qui vont donner respectivement le vert et le rose d’une aurore boréale. Outre sa beauté, ce phénomène a une forte influence sur la formation des masses nuageuses et, bien entendu, de la pluviométrie, dont nombre de mes proches sont actuellement victimes dans le Nord et le Pas de Calais.

Ce géomagnétisme intense a aussi une forte influence sur les tremblements de terre et les éruptions volcaniques.

Or, parmi tant d’autres faits, en Islande, après plus de 1480 tremblements de terre en 48 heures, le volcan Fagradalsfjall est sur le point d’entrer en éruption. Avis à tous les irréductibles du CO2 ! À lui seul, i rejetterait plus de dioxyde de carbone dans l’atmosphère que tous les humains réunis.

Le climat change, notre planète change, ils changent même beaucoup, et nous n’en sommes certainement pas les responsables. La musique solaire et ses incidences sur terre nous la devons à notre soleil et ses plus grosses ballerines (Jupiter, Saturne, etc.) Derrière cette musique se cache peut-être un chef d’orchestre. Je vous en parlerai plus loin.

Et pour en revenir au Kolbrin, en voici un autre extrait : « Les hommes ont oublié les jours du Destructeur. Seuls les sages savent où il s’en est allé et quand il reviendra, au moment prévu. … Quand le moment est arrivé, certaines forces mises en œuvre par les étoiles du firmament, s’activent. Leurs façons d’agir changent, elles bougent ou s’arrêtent de façon imprévisible, il n’y a plus de constance. C’est à ce moment que la grande lumière rougeoyante apparaît dans le ciel. »

Dans la suite de cet article, je vous donnerai lecture d’un chapitre de mon livre La Promesse, paru en 2013. Ce chapitre fait longuement mention du « Destructeur des nations ».

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/le-kolbrin-et-son-destructeur-des-nations-partie-2.html

PS : il me reste quelques exemplaires de ce livre. Celles et ceux qui le désirent pour les fêtes peuvent me contacter : oliviercapevecteur@gmail.com 19,90€ +4€ de frais de port.

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