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« Bankable ? » (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/bankable-partie-1.html  

MANUEL DE SURVIE CONTRE TOUS LES MEFAITS D’EM. MANUEL

À l’attention de l’ex-Gilet jaune devenu, par la force des choses, pourfendeur de 49.3.

La Gaule est actuellement endettée à hauteur de 3 000 milliards d’euros. Il n’y pas de quoi l’avoir … la gaule ! Elle est irremboursable, mais elle fournit chaque année un revenu universel aux banxters apatrides. Et dans toute cette affaire, nous ne sommes qu’un petit pays.

Seulement voilà, chez nous, avec l’argent facile, la charge de la dette c’était déjà 20 milliards à débourser en 2020. Mais avec ce qui arrive là, maintenant, tout de suite, les experts anticipent qu’au mieux, elle va passer à 60 milliards en 2027. Leur source de revenu c’est nous, les gueux et nos impôts divers et variés.

Le premier budget de l'Etat est l'Éducation nationale. Pour 2023, il est de 60,2 milliards d’euros.

Mais la vraie question est : où sont donc passés ces 3 000 milliards. En avez-vous vu la couleur ? Sont-ils passés dans nos autoroutes toujours plus chères, notre justice toujours plus longue, notre armée toujours plus petite et sans munitions, notre police et gendarmerie en manque de tout sauf de lacrymogènes, nos hôpitaux en désolation, nos écoles et administrations diverses qui le sont tout autant.

Où sont-ils passés bordel de merde !?

N'oubliez jamais que c’est à cause du manque de lits d’hôpitaux qu’on a trouvé le prétexte de nous confiner tous. Mais qui, de Sarkozy en passant par le chamallow Hollande jusqu’à Macron, se sont fait les champions du monde de la suppression de lits ?

Que sont devenues nos autoroutes payées avec nos impôts. Elles sont privatisées. Payées par les Français puis PRIVATISEES !

C’est à dire que selon mon schéma, l’Etat a emprunté aux banxters pour les construire. Les a réglées avec nos impôts, puis les a redonnées (revendues à perte) à ces vampires qui nous vident deux fois de tout notre sang. Merci BlackRock et Vanguard ! Voilà pourquoi on vous franchise à la naissance avec un tampon de 50 000 euros ou plus sur le front.

Vous n’êtes, chacun, qu’une marchandise perdue en mer, dans un océan de DETTES. Ainsi, dira le riche, « ton travail ainsi que celui de tes enfants et petits-enfants, m’appartient à VIE ». Mais c’est pour l’intérêt général bien sûr ! Tout comme la vaccination c’était pour le bien commun. Mais c’est bien et ça s’appelle « le service de la dette ».

Maintenant, nous allons parler de l’essence et des allumettes. Bien évidemment, vous l’aurez tous déjà compris, les banques sont fragiles, trop.

C’est le modèle économique même des banques qui les rend fragiles et pas uniquement la cupidité des méchants banquiers ou des vilains capitalistes !

J’expliquais déjà leur fonctionnement abject, il y a dix ans, dans mon second livre La Promesse. Par définition, une banque de dépôts récupère votre argent pour proposer un crédit à un autre.

N’allez surtout pas croire, comme beaucoup trop, qu’elle possède au coffre l’équivalent de ce qu’elle prête. Loin de là ! Elle possède ou plutôt se doit de posséder quelques pourcents de réserves !

Par définition si Bruno Le Maire dit qu’il y a le feu à cause de Poutine qu’il n’a pas réussi à juguler, vous allez tous vous précipiter chez votre banquier pour vous barrer avec votre fric avant que les méchants dévoreurs de bébés n’arrivent à votre porte. Tous les clients veulent alors récupérer leur argent en même temps, et aucune banque, aucune, n’a les moyens de sortir autant de liquidités immédiatement. AUCUNE.

Alors, lorsqu’on vous dit que la vaccination sauve le monde, que la Russie va perdre ou que Biden n’est pas un pédo-criminel, ne le croyez pas. Mais lorsqu’on vous dit, et ce sacré Bruno le premier, que les banques sont solides, ne le croyez SURTOUT pas. Elles sont tout sauf ça !

Tout est histoire de confiance. Tout comme beaucoup ont longtemps cru et croient encore hélas ! dans les vertus de la raie-publique, une banque c’est de la monnaie et la monnaie, c’est une histoire de CONFIANCE comme dirait le serpent Kaa afin de nous faire croire que nous n’y sommes pas tous … dans le caca.

Car peu importe qu’elles possèdent un, dix, ou vingt pourcents de tout ce qu’elles ont prêté en réserve. En cas de panique, ça ne change strictement rien à l’affaire.  Car, au mieux, il en manquera toujours 80 % ! Et encore faudrait-il pour cela que leurs fameux fonds propres ne soient pas placés dans des obligations d’États pouvant faire prout lorsque les taux remontent !

Une banque c’est sérieux ! Tout du moins tout le temps qu’on y croit. Ensuite, c’est du ressort de l’Etat et des banques centrales qui, comme en 2008, viennent en sauveurs et avec vos impôts, pallier éventuellement à la perte de confiance.

Mais, comprenez-le bien une fois pour toute dans vos p’tites têtes d’ex Gilets jaunes traqueurs de 49.3, les sauver de la faillite ne veut pas dire sauver vos sous ; l’épargne de, peut-être, toute une vie !

La législation européenne sur le sauvetage des banques est très claire. Elle fait basculer votre cœur entre le « bail-in » et le « bail-out ». La question est : on renfloue comment ? De l’intérieur ou de l’extérieur ? Le bail-in c’est de l’intérieur, tandis que le bail-out c’est un renflouement… mais de l’extérieur. De l’intérieur, il fait participer les créanciers (actionnaires, clients, etc.) à son sauvetage.

Le bail-out lui (sauvetage extérieur), c’est quand l’Etat ou la banque centrale vient renflouer. C’est 2008, mais c’est aussi ce qui vient de se passer en Europe avec le Crédit Suisse où l’argent vient de la Banque Centrale suisse la BNS, ou aux USA avec la Silicon Valley. Alors, on sauve qui ? La banque ou ses clients et actionnaires ?  

En Europe, puisque nous sommes les cons lèche-cul du vieil oncle Sam, on aime les « bail-in », les renflouements de l’intérieur où l’on fait payer les déposants au-delà de 100.000 euros. C’est 250.000 $ aux Etats-Unis

En France cette « justice » est assurée par le Fonds de garantie des dépôts et de résolution, le FGDR. Tout ce qui dépasse c’est Waterloo morne plaine. Mais rassurez-vous, cette belle « résolution » n’a pas été mise en place pour vos beaux yeux de sans dents. L’idée de base du législateur européen était d’empêcher les Etats de faire faillite en raison de la faillite d’une banque. À seul fin d’éviter que la BCE, la banque centrale européenne, ne soit pas obligée de créer de la monnaie et donc de l’inflation.

Mais alors qu’on me cherche l’erreur, car depuis un bail, cette fameuse BCE se livre à quantité de QE qui nous ont noyés sous un océan d’argent DETTE !?

En réalité jouer à Zorro a un coût : celui de nos sous, en limitant les montants garantis. Bref, c’est répartir les pertes ! Mais style Titanic. Pour 2500 personnes environ à bord, l'armateur n'avait pas jugé nécessaire de prévoir autant de places dans les canots de sauvetage que de personnes à bord ! Pour ne pas encombrer les ponts supérieurs, c'est-à-dire la belle vue des riches, il avait réduit de 32 à 20 le nombre de chaloupes, avec une capacité de 1178 places.

C'est-à-dire même pas la moitié du total des personnes à bord. Et comme les riches avaient accès rapide aux canots, vous connaissez la suite. Dans notre cas, c’est hélas ! bien pire c’est du dix-neuf chaloupes pour les riches et une, c’est-à-dire cette limite de 100 000 euros pour les pauvres. Toi bien comprendre ? Tu ne comptes pas, le système a été conçu en Europe pour sauver les banques et éviter l’effondrement.

Les Français sont les champions du monde du bas de laine. Ils en ont pour 2 698,5 milliards d’euros de dépôts dans nos banques. Forcément, ça attire les convoitises ! N’est-ce pas Black Rock et Vantard !?

D’un autre côté, la fameuse usine à gaz censée protéger notre argent c’est 6 milliards d’euros de dotation dans le FGDR, le fonds de garantie des dépôts et de… résolution. Inutile alors d’être bon en maths! À chaque fois que vous avez 2 698 euros en banque, le FGDR pourra, en cas de coup dur, vous rembourser UN euro !

Mais, ici, maintenant, tout de suite, c’est le moment où les Athéniens s’atteignirent ! Pourquoi ? Parce que les banques centrales viennent de se lancer dans une action coordonnée. Et la FED va fournir autant de dollars aux autres banques centrales que nécessaire. 

La crise de 2007-2008 s’était embrasée avec le fusible Lehman Brothers. La FED avait alors joué les pompiers pyromanes en distribuant littéralement des milliers de milliards de dollars au monde entier pour sauver le système déjà mort.

Sur plus de 20 000 milliards de dollars, la France avait aussi reçu son quota d’argent torche cul.

Cela avait permis à la BCE de cacher les cadavres sous le tapis sans avoir à demander à l’ensemble des pays, à commencer par l’Allemagne qui fait des cacas nerveux, de créer plus d’argent ! Mais qui a dit un jour que la main qui prête est toujours au-dessus de celle qui reçoit ? Certains osent dire qu’elle viendrait d’un membre de la famille Rothschild ? Moi, vous savez ce que j’en pense … !

Seulement voilà pour le couillon qui croirait encore que nous ne sommes pas les vassaux du vieil oncle sénile autant que pédophile, je ne sais pas ce qu’il lui faut de plus.

Car ce sont les Américains et la FED qui s’en sont chargés à notre place. Et la FED, c’est du privé, elle appartient en réalité, et bien que beaucoup d’Américains l’ignorent encore, aux 13 familles ou lignées sataniques qui dirigent en réalité ce bas monde-démon.

Alors, qu’on ne s’avise pas de venir me parler d’indépendance européenne, sous risque de claques dans la gueule. Dois-je vous rappeler comment tous nos dirigeants européens viennent tous de se coucher devant le sabotage pur et simple des gazoducs qui nous alimentaient en gaz russe et que les Américains ont détruit ? De quoi nous ramener au Moyen Âge. La BCE se contente de distribuer les confettis que lui fournit la FED. Elle donne des euros, mais l’essentiel des banques veulent des dollars …

Ce n’est pas parce que la FED vient de sauver tous les dépôts de la SVB que la BCE en Europe fera la même chose. Croyez-moi, prochainement les zombis vont tomber par grappes. Deutsche Bank est l’un des plus vérolés. La banque s’est fondée en 1870. Elle est basée aujourd'hui à Francfort-sur-le-Main.

Son implosion va laisser des morceaux de viande pourrie partout. Elle est 8e en Europe par sa capitalisation en 2018. Banque universelle, ses filiales sont présentes dans plus de 75 pays, les plus importantes étant à Londres, New York et Singapour.

C’est l’heure des « complotistes », sachez-le !

Des banques pourries jusqu’à la moelle en passant par les stocks physiques du marché de Londres comprenant des entrepôts remplis de sacs de pierres au lieu de minerai précieux.

Je l’écris depuis déjà douze ans, tout dans notre monde est faux. Tout.

Les chiffres, les statistiques, les indices, les réserves, les bilans, les comptes de résultats, tout est faux et factice. Ajoutons-y leur fausse science, leur fausse médecine, leur fausse astronomie, etc. Et le tout qui remonte avec puanteur du fond des chiottes du Deep State se nomme Révélation : l’Apocalypse biblique.

De l’autre côté de l’Atlantique, côté Silicon Valley, la FED, cet outil des élites et au service du « Diable », vient d’atomiser tous les bons du trésor de cette banque. Comment et pourquoi ?

Beaucoup de grandes banques mondiales sont restés, depuis 2008, et malgré moult QE, des morts vivants. Une banque ne peut néanmoins pas cacher son bilan à ses propres traders. Donc, si elle est morte, son trader le sait ! Et cela signifie que le cours de l’action de cette banque est connu ainsi que la santé réelle de son bilan or toutes les magouilles possibles et imaginables que l’on connait à ces banxters. Ainsi, la seule erreur de la banque de la Silicon Valley est-elle de ne pas avoir caché ses pertes. Ce que tout bon banxter se refuse inexorablement à faire.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape  

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/04/bankable-partie-3.html

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« Bankable ? » (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

MANUEL DE SURVIE CONTRE TOUS LES MEFAITS D’EM. MANUEL

À l’attention de l’ex-Gilet jaune devenu, par la force des choses, pourfendeur de 49.3.

Que nul ne se méprenne sur l’aspect apparemment désinvolte de mon article. Le but est ici de vous convaincre que, prochainement, ni vous ni moins ne seront plus « bankables ».

L’heure est grave, d’où l’EXTRÊME intérêt d’avertir mon prochain. En juin 2020, j’avais voulu faire de même concernant une plan-démie couillonavirale montée de toute pièce.

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/06/de-mamon-a-corona-comment-en-est-on-arrive-la.html

À l’époque, et comme ici, je l’avais mis gracieusement à disposition de mon prochain. Tout ce que j’ai écrit dans De Mammon à Corona s’est, hélas ! révélé exact.

Je vais donc ici vous parler économie, mais de la vraie, et en termes simples. Une chose que la plupart des économistes se refuse à faire, presque tous recroquevillés dans la fatuité d’un langage qu’ils sont seuls à comprendre.

Quant au rôle de nos merdias subventionnés dans cette histoire, il est odieux, puisque proche des cimes élyséennes d’un gouvernement corrompu au-delà du possible.

Le temps est donc venu de vous révéler la suite de leur plan machiavélique et comment vous en prémunir. Si vous aimez vos proches et désirez les protéger, ces quelques pages sont à lire de A à Z et bien entendu, à partager sans MODERATION.

« Mélodie d'amour chante le cœur d'Emmanuelle Qui bat cœur à corps perdu Mélodie d'amour chante le corps d'Emmanuelle Qui vit corps à cœur déçue… », disent les paroles de la chanson.

Quant à la mienne de chanson, elle va servir, je l’espère, à mettre en garde des millions de cœurs déjà et depuis bien trop longtemps déçus.

Vous remarquerez qu’un siège est resté libre entre Emmanuelle et Emmanuel, c’est celui de l’INTELLIGENCE et de la CONNAISSANCE, le seul sur lequel l’humain désabusé puisse encore poser son cul en toute sérénité.

J’ai, depuis longtemps, disserté sur le rôle de l’argent en ce bas monde-démon, sa réelle valeur et surtout vers quoi il sert en réalité à nous amener. Tout tourne autour de l’idée de fosses pénuries, elles-mêmes entourées par un vol de cygnes noirs.

Je vais donc commencer par un bref rappel puis vous parler de la banque de la Silicon Valley qui s’est effondrée tout en étant paradoxalement plus étique, c'est-à-dire plus propre que les autres. Mais avant, parlons de la crasse de ceux qui savent laver leur linge sale plus blanc que blanc.

Comment devient-on riche en ce monde-démon ? les riches achètent du cash-flow, du revenu, là où les pauvres travaillent pour de l’argent. Ce qui différencie le riche du pauvre, c’est sa capacité machiavélique à entretenir et maquiller très habilement sa capacité d'autofinancement.

Nous donnons tous de notre temps pour de l’argent : beaucoup trop. Et à grands coups de 49.3, la cadence ne fait que s’accélérer. Les riches, par contre, font travailler l’argent pour eux.

Ils possèdent tous de multiples sources de revenu. C’est ce revenu qui fait leur richesse et certainement pas le fait de travailler. Ils nous possèdent toutes et tous en tant que travailleurs et qu’unités de cash-flow. Et comment deviennent-ils riches ? Le deviennent-ils en payant comptant ? Non ! Ils le deviennent toujours davantage en empruntant à la banque, mais à des taux très, très privilégiés.

Là où on va coincer le gueux dans l’étau des taux, eux, ils respirent le bon air des cimes himalayennes de l’argent facile, avec de grosses bombonnes d’oxygène ; des taux proches de zéro, voire plus bas.

Je vais vous parler de vol. Une p’tite histoire. Un voleur dérobe plusieurs lingots d’or. Il se présente à la banque, ou chez un préteur. Dans les deux établissements, on le croit riche. En réalité, il n’est qu’un voleur jusqu’alors fauché et ayant déjà effectué plusieurs séjours en prison.

Si, ni le banquier, ni le préteur, ne s’en inquiète, le voleur bénéficie d’une auréole. Elle va alors, comme souvent, lui permettre de quitter l’un ou l’autre des établissements les poches pleines de cash.

Si vous ne connaissez rien du passif d’un individu, de la dette qu’il transporte, qu’il a accumulé, comment pouvez-vous lui faire confiance ?

Seule la comptabilité en partie double le permet. Vous savez, celle qui coute chaque année beaucoup d’argent à tout entrepreneur digne de ce non, lorsqu’il paye grassement son expert-comptable ? C’est elle qui fait de vous un mec à poil devant son banquier.

Tant qu’un individu vient jouer les « Américains » devant vous en ne brandissant que sont actif, vous ne pouvez pas vous en faire une réelle idée quant à sa valeur financière. Le passif, c’est sale, et chez beaucoup trop, l’art consiste à savoir adroitement le cacher.

Dans le Centième Gueux, paru en 2020, j’évoque le cas du groupe Altis (SFR, RMS, BFM, TV, etc.), un groupe surendetté à milliards.

Mais Altis c’est BFM poubelle et tant d’autres choses qui servent au Gouverne-ment à surfer sur les mensonges les plus dégoutants et dont hélas ! les Giles jaunes furent victimes ainsi qu’actuellement tous ceux qui, dans nos rues, sont à juste titre contre la réforme des retraites.

Le passif de Patrick Drahi, PDG d’Altis, est largement supérieur à son actif. Mais là où l’on viendrait vous saisir tous vos biens, lui, il s’en tape !

En effet, tant qu’il a accès au crédit facile pour se renflouer en conséquence, peu lui importe. Ce type doit tout aux banques centrales et à leur politique d’argent facile à taux zéro. Son influence médiatique lui a donné les appuis politiques qui eux-mêmes lui ont ouvert les portes des plus grosses banques. S’il y a perte, en plus, elle sera défiscalisée.

J’en reviens à mon cheval de bataille. Un riche est celui qui, à moindre frais, s’achète de multiples sources de revenu : Traffic d’influence (style Drahi) ; immobilier ; chaines de magasins, de restaurants ; franchises en tout genre ; etc.

Mais la plus belle des manières de le devenir et le rester, le must, celle qui fait que nous allons prochainement tous exploser en plein vol, c’est celle-ci. Le sujet ESSENTIEL de mon propos à destination du Gilet jaune tueur de 49.3.

Le plus beau joujou des Rothschild, Rockefeller, Soros et toute cette super classe de vampires, c’est la DETTE. Les dettes des Etats qui sont encore souverains, mais plus pour longtemps. Du moins c’est ce qu’ils espèrent.

Ici, nous entrons dans la cour des grands, des très GRANDS. Les parrains de cette mafia mondialiste qui aspire tant à son Ordo Ab Chaos. Ils fournissent actuellement essence et allumettes pour tout réduire en cendre.

Et leurs petits kapos de Young Global Leaders sont là afin d’entretenir le feu et souffler sur les braises. D’ailleurs, au passage, ne trouvez-vous pas que Macron s’y consacre en virtuose à grand renfort de 49.3. Il y excelle même ! Alors attention au PIEGE du fascisme à mille pourcents qui arrive à grands pas !

Beaucoup de manifestants sont déjà sauvagement frappés par des robocops aux QI de bulots malades. Mais ce n’est rien en comparaison de l’Eurocorps : Corps de réaction rapide européen, que tous ces salauds de non-élus nous gardent en réserve au cas ou …

En attendant, tout l’art consiste à confisquer, tel un parasite, toute la richesse produite par les plus grands producteurs : nous, les peuples, les goym, les sans-dents. Je m’explique.

Même le plus grand des mafieux des années trente seraient stupéfaits, voire écœurés de constater à quel niveau de vilénie sont rendus actuellement les vrais mafieux de ce monde, ceux en costar cravate. Ceux qui ont pignon sur rue et veulent soi-disant sauver le monde d’un virus inexistant à grand renfort de vaccins mortifères mais très, très rémunérateurs.

N’oubliez pas ce que la mafia fait ! Elle prête à des taux faramineux et te menace de te briser les genoux, voire pire, si tu ne rembourses pas dans les plus brefs délais. Obtenir, confisquer, séquestrer du revenu est leur mot d’ordre. De tout temps, cela a constitué la meilleure façon de devenir riche et de le rester. S’interposer, tel un cancrelat, sur le revenu des gens, leur sueur.

C'est-à-dire entre la création des richesses et leur répartition, tout en en prélevant la part la plus importante possible. C’est ce qu’ont toujours fait les mafias, mais à petite échelle.

Tu ouvrais ton bar. Il te fallait donc être protégé. Cela allait te coûter 10 ou 15% de ton chiffre d’affaires. Mais ici, on ne joue pas dans la même cour. Non !

Le monde des riches avec leurs splendides costumes et leurs prix Nobel de la paix (paie), leurs légions d’horreur, leurs ONG et leurs médailles en tout genre, sont les pires criminels qui existent. Mais ces mafieux-là, ne finissent jamais en prison. Ils bénéficient tous d’une justice à deux vitesses, une justice aveugle pour les riches et à l’œil qui voit tout pour les autres.

Un voleur riche et un toxico riche, ne bénéficient ni l’un ni l’autre du mauvais traitement réservé au p’tit dealer de banlieue ou à la mémé qui doit voler une tranche de jambon pour survivre.

Quatargate au sein du Parlement européen. Ursula von der Leyen (l’hyène) et les millions d’euros de rétrocommissions touchés par le biais du PDG de Pfizer, Albert Bourla, afin d’empoissonner tranquillement 450 millions d’Européens. Pierre Palmade pédo-toxico qui s’en sort haut la main grâce à des p’tits secrets de trou du cul non avoués. La justice possède bel et bien deux paires de lunettes ! Et pour nous, les pauvres gueux, elle sait sortir la grosse loupe.

Bref ! le must du revenu, ce sont les Etats et LEURS OBLIGATIONS. La Dette d’un Etat comme la France, c’est le must, sans défaut possible. En effet, essayez donc de ne pas payer vos impôts. L’Etat a les moyens (police, justice) de venir vous chercher par la peau du cul afin de vous les faire payer.

Les Banxters internationaux qui, chaque mois, prêtent à la France sur les marchés et avec cotation, s’interposent depuis longtemps (loi du 3 janvier 1973) entre l’Etat et nos impôts et ce qu’on en fait réellement.

Cette belle loi interdit depuis de battre monnaie et oblige l’Etat français à emprunter sur les marchés internationaux, avec un taux plus ou moins avantageux, en fonction de la bonne note qu’attribuent ces messieurs en fonction de l’Etat économique global du pays, pour un temps encore souverain.

Ils nous phagocytent en se plaçant délibérément entre l’impôt que nous versons et le service public auquel il est censé servir. Telle une tique, ils sucent en permanence le sang du contribuable, tout en lui refilant ces maladies dont je vous parlerai plus loin. L’incroyable escroquerie c’est qu’en fait ils prêtent du vent aux Etats pour récolter du réel, du tangible.

Cette année, en 2023, la France doit emprunter 270 milliards sur les marchés rien que pour les frais de fonctionnement et le remboursement de sa DETTE. Or, avec ce que vous allez apprendre plus loin, vous allez comprendre pourquoi défiler dans les rues ne sert à rien. Voilà pourquoi il faut en permanence sauver les banques, ce que même « les gauchistes » vous diront.

Davos ne cherche-t-il pas à nous mener tout droit et tous pucés vers une gouvernance mondiale à la chinoise ?

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

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Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/bankable-partie-2.html

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 21 et conclusion)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

En conclusion à tout ce cirque.

Certains me reprocheront peut-être de trop m’attarder sur un sujet. Peu importe ! Avant de savoir lire, il faut apprendre. Le climat et la chasse au "méchant CO2" sont bel et bien l’arbre cachant une forêt tropicale d’âneries. Il fallait bien l’élaguer. Je l’ai fait. Je n’ai fait que relayer l’essentiel, cette essence du ciel noyée au beau milieu d’un brouhaha informe autant qu’ignoble.

Le climat n’est pas l’une des pierres d’un l’édifice censé nous perdre, il en constitue un élément essentiel : les fondations. Cette pierre sur laquelle le Diable mondialiste de Davos danse. Ce n’est pas le club de Rome qui me contredira ! Autour, tout se résume à un chantier informe, un échafaudage de bric et de broc constitué d’individus vendus au système et qui prospèrent en surfant sur des mensonges scientistes insultant pour l’intelligence, en créant de la diversion. Au milieu de tout cela, de ces gens qui gueulent leurs mensonges, moi, le « complotiste », j’essaie de chuchoter le vrai.

Ils font du bruit, beaucoup ! Un vacarme constitué de tapage merdiatique, d’infos qui tournent en boucle et destinées à nous anesthésier à l’aide de ce qui n’est pas important. C’est la dramatisation artificielle du non-événement qui fait l’événement destiné à occuper les esprits.

L’hiver, il fait très froid et l’été, très chaud. C’est dramatique !

Se laver les mains, laisser les vieux à la cuisine pour noël, se vacciner pour crever plus vite et surtout "protéger les autres". Rester assis pour prendre son café, les virus passeront au-dessus de vos têtes de gagnants. C’est ainsi que le non-événement a épousé la non-information.  

Il l’a ensuite engrossé d’un bruit, qui, in fine, n’est rien du tout. Même pas un pet de lapin malingre dans la blogosphère.

Quel que soit le sujet, les médias bien-pensants nous parlent de l’arbre moralisateur qui nous cache la forêt de leur lâcheté. Tout y passe : méchants russes, gentil Zelenski ; méchants Gilets jaunes, gentil gouvernement ; méchant emprunteur-pollueur, gentils banquiers, véreux certes, mais au-dessus de tout soupçon. Le tout bien enrobé dans une belle crème de PEUR en tout genre et pendant ce temps, couillonavirus et ses sombres sbires courent les rues.

Les instigateurs de cette opération qui a écrasé l’humanité ces trois dernières années, ne sont toujours pas jugés et ne le seront probablement jamais. Et les médias restent muets comme des carpes dès qu’un sujet est vraiment sérieux.

Le vacarme, c’est de savoir si nous aurons vraiment une retraite ou si bribri est en réalité un homme. Or 49.3, l’essentiel, c’est de comprendre que le vrai problème concernant le paiement des retraites, c’est le taux de natalité désastreux qui ne permet plus le renouvellement des populations. Merci madame Veil, merci vaccins Covid-19 ! Le bruit, c’est cette culture de haine à l’endroit de la famille traditionnelle. L’essentiel, pardonnez-moi, mais je vais être grossier, c’est de comprendre qu’on ne fait pas un enfant dans le caca ou en se léchouillant la foufoune.

L’essentiel, c’est de combattre le délire du genre et la légalisation du mariage homosexuel qui détruit l’ordre naturel de la procréation voulu par Dieu. L’essentiel, c’est de combattre la légalisation du meurtre des enfants-à-naître (230 000 avortements chaque année en France), qui fut imposée sans référendum aux Français par les lobbies maçonniques (loi Veil).

L’essentiel c’est de combattre cette prison numérique qui arrive à grands pas et constitue la jumelle putain de ce fameux réchauffement entropique. C’est d’ailleurs tellement important à saisir que dès demain, et à la suite de ce dernier article, j’embraye sur cette « putain numérique » liée au monstrueux clash bancaire qui s’en vient avec :

Manuel de survie contre les méfaits d’EM Manuel.

Le bruit infame, c’est ce ballon météo chinois « ET » abattu « courageusement » par l’US air force. L’essentiel, ce sont les bombes saoudiennes et une petite bombe à neutron israélienne qui tombent sur les femmes et les enfants du Yémen. Tout en oubliant que la Gaule reste un grand marchand d’armes.

Le vacarme, c’est de s’indigner sur le nombre trop important d’étrangers et de nouvelles mosquées. L’essentiel, c’est de comprendre que, le grand remplacement, et le génocide culturel de la France sont issus non pas des migrants qui arrivent dans nos pays devenus athées, mais de cette Révolution judéo-maçonnique de 1789 entièrement construite par ces riches argentiers du monde qui nous considèrent tous comme du bétail ; des goym.

Le vacarme, c’est de faire une fixation sur l’arriviste Macron. L’essentiel, c’est de comprendre qu’il est un pion, un Young Global Leader interchangeable du système mondial au même titre que l’étaient ses prédécesseurs, et qu’en réalité il n’a aucun (vrai) pouvoir, hormis celui de l’ombre : le Deep State.

Le vacarme, c’est ce bruit de fond médiatique concernant l’Ukraine. L’essentiel est aussi de comprendre que la raison du timing de cette guerre en Ukraine, est de nous faire oublier l’opération corona et ainsi de nous empêcher de demander des comptes à ses instigateurs. Comptes moraux et comptes tout court.

Le vacarme, c’est la diabolisation de certains « fascistes » de façade. L’essentiel, c’est de réaliser que ces gens sont en réalité des pions du système républicain et qu’au-delà de leur opposition de façade, ils sont dans les faits tous favorables à la substantifique moelle de la déconstruction antichrétienne (avortement, mariage homosexuel, faire de nous des portefeuilles numériques, etc…).

L’essentiel, c’est aussi de comprendre que la diabolisation des faux résistants « en dangereux fascistes » est une ruse des médias du système dont le but est d’empêcher la population de réaliser qu’il n’y a, en fait, aucune résistance. Et que la vraie résistance est actuellement dans la rue. En bonne successeur aux Gilets jaunes, elle s’est muée en pourfendeuse de 49.3.

À défaut de vrais fascistes, la dictature a un besoin vital de s’en inventer des faux. C’est qu’il faut maintenir cette illusion d’un combat d’idée qui en réalité n´a pas lieu.

Enfin, le vacarme le plus assourdissant de tous, c’est chercher fébrilement des solutions dans un cadre républicain. Celui de cette raie-publique.

L’essentiel est de savoir prendre de la distance d’avec tout ce bruit entretenu. Mettre des boules Quies et penser spiritualité plutôt qu’horizontalité.

Davos faisant partie intégrante de ces maladies, tout cela constitue le meilleur des remèdes, notamment contre certains maux qui auraient tendance à vous faire déféquer tendance caca vert.

Le sujet Davos étant tellement grave et nécessaire à la juste COMPREHENSION de ce qui s’en vient, qu’il m’a incité à écrire un bouquin non prévu dans mon programme : Davos et son écheveau mondial. Il paraitra, je pense, en juin prochain. Si Dieu le veut !

Car, il semblerait que tonton Schwab et son WEF soient dans la merde, qu’elle soit verte ou non, et jusqu’au coup. Le fossé entre la vraie vie, telle qu’elle est vécue, et les sombres prévisions des Davosiens fous n’a jamais été aussi profond.

Ainsi, la chute brutale du niveau de vie amène-t-elle la grande majorité des gens à se préoccuper du présent immédiat et de la survie de la famille au lieu des nouvelles technologies vendues comme étant bonnes pour la planète par cette engeance de malheur.

Tonton est la crédibilité, ça fait Deux ; ne serait-ce qu’à travers cette image !

On pourrait considérer ce phénomène comme une curiosité. Mais ce serait une erreur. Le Titanic de Schwab et son p’tit zigouigoui ont peut-être heurté un gros iceberg de crédibilité.

C’est justement la crétinerie absconse de cette bande de gueulards de Davos qui devrait nous alerter sur le fait que notre Occident est désormais bien plus qu’oxydé.

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/12/chronique-d-un-occident-oxyde.html

Il est pourri jusqu’à l’âme. Leur enfer n’est même pas pavé de bonnes intentions, ils aiment le mal, ils sont le mal. Ils l’incarnent et désirent nous y entrainer, faisant fi de toute réalité objective. Le monde doit-être tel qu’ils désirent le voir. Point barre. Ils sont les rois de la dissonance cognitive, mais qu’importe puisqu’argent aidant, ils sont les « rois ».

Ainsi, tous les zélateurs européens non élus du climat font-ils équipe avec les néocons américains et britanniques, russophobes jusqu’au trognon. L’aile « verte » de la coalition s’affaiblit peut-être, mais les cons restant cons, nous devons nous attendre à ce que les pressions climatiques sur la transition verte augmentent, alors que les niveaux de vie s’effondrent à un rythme jamais vu depuis la Seconde Guerre mondiale.

Un animal mourant est doublement dangereux. Tant que l’hégémon américain peuplé de néo-cons et son zombi aux commandes continueront à s’agiter, nous devons nous méfier.

Mes lecteurs habitués savent que j’ai principalement deux têtes de turc, Gates et Schwab. J’en ai d’autres, mais je les garde pour mes bouquins. C’est de bonne guerre !

Mais si l’on désire vraiment remonter à l’origine de l’idée devant faire de nous tous des cancrelats bons à éradiquer, c’est pré-reset que nous devons jeter un œil d’Horus. Pourquoi ? Parce que l’idée générale faisant des riches les sauveurs de Gaïa et de nous les méchants pollueurs, se noie dans un océan de think tank et autres rassemblements de blérots censés penser pour nous et surtout pour « notre bien ».

Le smog de CO2 nous amène ainsi vers des origines assez douteuses. L’initiateur du concept n’a jamais été la Team Schwab, mais David Rockefeller, président de la Chase Manhattan Bank, et son protégé (et plus tard « conseiller indispensable » de Klaus Schwab), Maurice Strong.

Argent aidant, dans les années 1970, David Rockefeller et ses proches, ont lancé un éventail d’organisations et de groupes de réflexion. Il s’agissait notamment du Club de Rome néo-malthusien, de l’étude du MIT intitulée « Limites à la croissance » et de la Commission trilatérale ».

Je reviendrai donc prochainement sur le cas de « l’ami Roro » et de sa famille, de grands sociopathes devant l’Eternel.

En 1971, le Club de Rome va publier un rapport profondément vicié, « Limites à la croissance ». Il prédisait la fin de la civilisation, en raison de la croissance démographique combinée à l’épuisement des ressources. C’était en 1971. En 1973, Klaus Schwab, lors de son troisième Davos annuel, a présenté « Limites à la croissance » comme sa (vision de l’avenir) aux chefs d’entreprise réunis.

En 1974, le Club de Rome, dans son rapport, Turning Point, va affirmer que « l’interdépendance doit entraîner une diminution de l’indépendance » : le moment est venu d’élaborer un plan directeur pour un nouveau système économique mondial. C’est Maurice Strong, le protégé de Rockefeller, qui, en tant que président de la conférence des Nations unies à Stockholm en 1972, à l’occasion de la Journée de la Terre, va encourager une stratégie économique de réduction de la population et d’abaissement du niveau de vie dans le monde entier pour « sauver l’environnement ».

En tant que secrétaire général de la conférence des Nations unies à Rio, Strong va commander le rapport du Club de Rome. Un rapport qui admettait que l’affirmation du réchauffement planétaire par le CO2 n’était qu’une ruse pour forcer le changement. « Le véritable ennemi est l’humanité elle-même et son comportement devait être modifié », dixit Strong.

Le délégué du président Clinton à Rio, Tim Wirth, avait admis la même chose en déclarant : « Nous devons nous occuper de la question du réchauffement planétaire. Même si la théorie du réchauffement de la planète est fausse, nous ferons le ‘bien’ en matière de politique économique ». Ce qu’il faut retenir, c’est que la time Rockefeller-Davos a toujours été une escroquerie visant à faire éclater une nouvelle bulle financière pour maintenir à flot le projet d’hégémonie du dollar.

Cependant, le monde est en train de passer du NOM de Davos à la décentralisation et à la multipolarité.

Au WEF de cette année 2023, c’était évident : Davos est périmé. Mais l’effet le plus important sur la guerre financière : c’est le « nouveau système économique » que Davos envisageait.

Monnaie hélicoptère pour les gueux et un raz-de-marée de dépenses pour les technologies renouvelables, les subventions (comme les crédits CO2) et la liquéfaction de la transition. Il s’agissait d’incuber une nouvelle bulle, basée sur une nouvelle monnaie à coût zéro (connue sous le nom de Théorie monétaire moderne).

C’est la raison pour laquelle Black Rock et les oligarques étaient si excités par Davos. Cependant, l’arrivée de taux d’intérêt élevés, dont je vais vous parler dans Manuel de survie contre les méfaits d’EM Manuel, a pour effet de tuer la nouvelle « option bulle », précisément au moment où le monde occidental est à la veille d’une grave contraction économique.

Par un « heureux hasard » pour Davos, l’UE est donc « en guerre contre la Russie ».

Un intermède « heureux » et distrayant pour le gueux et qui, comme d’habitude, réussit à obscurcir toute image plus large. Pour les médias "du bien", il n’y a bien entendu aucune trace de bottes de l’OTAN sur le terrain ukrainien, mais bizarrement on en relève des empreintes partout, et surtout depuis 2014.

Washington a compris que les États-Unis sont en train de perdre leur guerre par procuration. Néanmoins, en Europe, et surtout en Gaule, ce fait reste « sous les radars » des principaux médias. Le point le plus important est que ce « réveil » tardif face à la réalité ne modifie pas d’un iota la position des néoconservateurs.

Ils veulent l’escalade (tout comme une petite faction vert caca en Allemagne, ainsi qu’une faction de premier plan en Pologne et, comme d’habitude, dans les États baltes).

Les chars et les avions envoyés sur le terrain ne changeront pas le cours de la guerre.

Ça, même les plus cons de nos dirigeants européens le savent. Ils commencent donc tous à trainer du pied. En effet, question symbolisme et batailles sanglantes passées, que l’Allemagne envoie les descendants de leurs panzers en Ukraine, n’est pas du meilleur effet côté russe.

Mais, puisque nous avons affaire à des dingues, hormis les bruits de bombes sales et autres attaques chimio-biologiques, ce risque est peut-être calculé par la bande à Biden. Car, si faute de munitions et autre, l’armée ukrainienne se replie vers la frontière polonaise, voire la traverse, avant la livraison des chars. Ils seraient alors absorbés par l’armée polonaise friande d’en découdre avec l’ours russe.

Est-ce cela, en fait, l’intention finale des néoconservateurs ? La Pologne mobilise déjà 200 000 hommes. Elle deviendrait alors le nouvel homme de paille du vieil oncle obèse et à bout de souffle. La plus grande armée d’Europe prendrait alors la relève dans une guerre européenne plus large contre la Russie et encore et toujours pour les sombres intérêts du Deep State.

Hormis la peste verte, toute cette bande de va-t’en guerre russophobe se trouve au bord d’un précipice économique.

Les niveaux de vie s’effondrent au rythme le plus rapide depuis la Seconde Guerre mondiale. Nos classes politiques d’alcooliques pédo-criminels n’ont aucune réponse à cette crise.

Du haut de leurs certitudes de Young Global Leaders à la mords-moi-le-nœud, tous ces déconnectés du réel croient encore mordicus que les peuples européens accepteront tout : se geler les couilles, la spirale des prix, les emplois perdus en raison de la hausse des coûts de l’énergie, les rayons vides  dans les magasins, les pics d’énergie, les dysfonctionnements du système (trains, aéroports, santé et les systèmes de transport) qui empêchent le bon fonctionnement de la société. C’est la même chose pour les Américains.

Les kapos larbins chargés de la gestion et du fonctionnement du « système » sont désorientés. Les récits mensongers s’effondrent ; les révélations de Twitter ont perturbé l’ancien « équilibre ». Kiev ne pourra bientôt plus compter sur le soutien financier de Washington.

Là-dessus n’oublions pas le MONSTRUEUX scandale de couillonavirus. Bientôt, tout comme Schwab arborant fièrement (il n’y a pas de quoi) son minuscule zigouigoui de vieux singe prostatique, le roi sera nu. À poil, une main devant, une main derrière. Biden pourra se casser moult fois la gueule en montant ou descendant les escaliers, personne n’aura plus envie de rire tant le climat (social) sera tendu comme le string d’une grosse de cent vingt kilos (c’est pour l’exemple : je ne suis pas grossophobe).

Les Américains vont peut-être décider de se débarrasser de leur zombi de série B ? La saga des documents classifiés de Biden constitue alors sans doute une ruse destinée à provoquer son départ avant les primaires démocrates.

Tout cela et tenu à bout de bras par une bande d’individus encore sensés, face à un ours russe qui a un réel avantage stratégique dans tous les domaines d’engagement avec les forces ukrainiennes. Alors que l’Occident n’a que l’avantage éphémère d’une illusion d’optique en forme d’escalade, le tout badigeonné de vert.

La Team Poutine dispose de la latitude nécessaire pour gérer toute escalade (par le biais de représailles) en miniature et de manière dispersée, afin d’éviter de donner aux guerriers de Washington leur « Pearl Harbour » tant espéré.

Là-dessus, je termine cette longue série « climatique » en espérant qu’elle vous aura permis de cerner ce vaste problème. À savoir : cette bande de cons juste capable de nous conter des mensonges à longueur d’année.

J’ai détricoté leurs sombres mensonges, ce long fil d’Ariane menant droit à ce triste constat : sans un réveil massif et sans une prompte volonté de solidarité, nous sommes tous dans la merde, soit-elle verte ou non. Et justement, question solidarité, parmi mes dizaines de milliers de lecteurs, j’aimerais bien qu’elle s’exprime un peu plus cette solidarité, ne serait-ce qu’au travers de l’intérêt suscité par mes livres.

Triste reflet d’une époque, beaucoup se contentent ainsi de venir puiser, sans même jamais un petit geste de solidarité, un mouvement de reconnaissance. Pour les autres, c’est simple :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape Un bon livre vaut bien mieux qu’une triste soirée devant un Netflix de série C.

Olivier

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 20)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

J’aime ma box, si je rate un épisode de ma série, elle est là afin de palier à mon inexcusable manquement. Là c’est pareil, COP aidant, si en bon Zorro vous avez raté la « dernière chance de sauver la planète », ne vous affolez pas bande de zéros, il y en aura plein d’autres.

C’est comme à chaque nouvel album d’Astérix, tout commence par une bonne bagarre sans mort, rien de des baffes, et se termine par THE Gueuleton. Là, c’est pareil, pendant que se déroule la sarabande des ripailles climatiques, les années s’écoulent, les Romains sont toujours là, et le méchant CO2 aussi. Tel un nouveau fortin, il enserre chaque année un peu plus notre monde voué à mourir sous un nouage de carbone mortel.

Les émissions de « Gaz à Effet de Serre » ont ainsi augmenté de 40% entre 1990 et 2010 et Cop ou pas Cop, rien n’indique que les courbes vont s’infléchir d’un iota dans les décennies qui viennent. Ceux qui craignent d’en manquer peuvent être rassurés. En effet, d’après l’Agence Internationale de l’Énergie (AIE), le charbon redevient la première source d’énergie du monde, alors qu’il est le plus efficace pour produire du CO2.

Le « World Resources Institute » (WRI) a décompté pas moins de 1200 centrales à charbon en projet dans le monde, dont près de 500 en Inde et 400 en Chine. Ces centrales s’ajouteront aux 2400 déjà existantes aujourd’hui.

Ne pas construire ces nouvelles centrales, qui représenteront des tas de Gigawatts additionnels, réclamerait soit l’érection de plusieurs millions d’éoliennes très « décoratives » soit, plus simplement, de demander à ceux qui en auraient bénéficié de contribuer à la « sauvegarde de la planète » en renonçant à vivre.

Mais de toutes les façons, sachez-le, des Nicolas Hulot hululant autant que faire se peut ou pas, ces centrales seront construites, car elles ont l’appui indirect des potes à Nicolas, les écologistes de mes deux, qui, dans leur infinie modernité, et avec le puissant appui des médias, ont savamment emprunté l’adage de p’tits singes : « tout voir tout entendre mais ne rien dire », en un bel ostracisme de façade vis-à-vis de leurs concurrents plausibles : le nucléaire et les gaz de schistes.

Mais revenons un instant là où les Athéniens s’atteignirent, non pas en Grèce, mais aux Maldives, là où sans doute en application d’un « Principe de Préparation » non explicité, les Maldiviennes et les Maldiviens ont mis en œuvre quelques initiatives intéressantes : La construction du « premier Nightclub sous-marin du monde ».

Moyennant un billet d’avion au tarif prohibitif, le gueux pourrait y boire un verre en compagnie des DJs les plus célèbres. Mais ce n’est pas tout, en ajoutant au prix du billet quelques milliers d’euros supplémentaires, vous pourriez dormir dans un hôtel sous-marin, le Hilton Maldives Underwater (plus de 9000 € la nuit) Et pour la p’tite faim, pas de problème, l’édification d’un restaurant sous-marin vous permet de dîner avec les poissons.

Tous ces projets ont été mis à l’abri de la submersion. Ont-ils un caractère expérimental ? Doit-on y voir l’application du principe de précaution chez les dirigeants maldiviens, des esprits supérieurs tendance madame Irma tant l’amorce d’une immersion progressive de l’ensemble des structures hôtelières du pays semble flagrante ?

À quand un gouvernement et des administrations qui seront devenus sous-marins ?  J’ai ouï-dire qu’avant que la France l’emporte, les Maldives s’étaient portées candidates à l’organisation des jeux Olympiques de 2024, date à laquelle leur submersion projetée par le GIEC devrait normalement paradoxalement être terminée.

Concernant ce gouvernement sous-marin, j’aimerais simplement qu’il pense non pas à l’immersion des immenses dépôts d’ordures qui décorent quelques îles telles que Thilafushi, mais à leur disparition pure et définitive.

Cette île reçoit chaque jour plus de 350 tonnes de déchets, tandis que des gigantesques panaches de fumée s’en dégagent. Ce n’est pas bien ça ! Mais que l’on se rassure, ces incendies n’utilisent pas ou peu de combustibles fossiles et sont par ailleurs parfaitement durables et renouvelables, donc assurément écologiques.

Métaux lourds, déchets chimiques, batteries, amiante, plomb, mercure, cadmium…sont d’ores et déjà balancés dans le lagon, mais les verts ostracisent encore, car sans attendre la bonne fin du projet d’immersion des installations de traitement des ordures, le gouvernement des Maldives avance avec détermination dans le développement de son économie, essentiellement basée sur le tourisme.

Et qui dit tourisme dit infrastructures et plein de p’tits « navions » et plein de « naéroports » très appréciés des écologistes. Les Maldives possédaient déjà jusqu’à 2019 cinq aéroports, deux internationaux (Gan et Hulhulé) et trois régionaux (Hanimaadhoo, Kadhdhoo et Kaadedhdhoo).

À titre d’exemple, voici le premier aéroport, celui d’Hulhule, construit en 1960.

Ces aéroports sont tous situés à quelques centimètres au-dessus au niveau de la mer, et aucune trace de travaux de protection contre la montée « irréversible » des eaux n’est visible ?

C’est bizarre ça ! Ces installations finiront donc inéluctablement comme l’Atlantide de Platon : englouties lorsque la montée des eaux planifiée par le GIEC, et tonton Al Gore, se produira, d’autant que plusieurs de ces réalisations écologiques majeures ont été entreprises avec la même technologie, et sans plus de précaution contre l’engloutissement.

Le ceriops tagal est un palétuvier présent dans les mangroves des rivages de l'océan Indien. Et la construction de nouveaux aéroports fut envisagée, tels que celui de Farukolhu où poussent les derniers exemplaires maldiviens de ceriops tagal.

Et c’est avec une ferme détermination écologique que tous ces arbres totalement dénués d’utilité pour l’atterrissage des avions ont été éliminés.

Mais une rude tâche attend encore les Maldives avec environ 1200 îles à équiper, et un manque cruel de militants écologiques. Étant donné que la France, elle, en a pléthore, ne pourrions-nous pas, dans le cadre de la coopération internationale, en prélever quelques-uns et les prêter aux Maldives pour les aider dans leur entreprise ?

Nous sommes là en présence d’un grand écart à la Jean Claude Vandamme, une contradiction fondamentale. D’un côté nous avons des prédictions apocalyptiques qui rendraient hystérique un moine bouddhiste, et de l’autre, un gouvernement des Maldives qui investit massivement à la construction d’éphémères aéroports ce, malgré la perspicacité démontrée dès 2009 par l’ancien Président des Maldives et son implication personnelle au plus près des réalités écologiques.

Ou alors, le gouvernement des Maldives dispose peut-être d’informations ignorées du gueux lambda ?

Il est en relation avec les ET en provenance de la planète Smurtch qui lui ont expliqué qu’ils étaient avec lui et que la montée des eaux, ils en faisaient leur affaire. D’ailleurs, semble-t-il, surfe sur le Net l’info comme quoi l’un des leurs serait déjà revenu il y a deux mille ans. Il marchait même sur les eaux. Comme quoi, rien à craindre ! Tout est sous contrôle au pays des ET.

En effet, on y perd son latin dans ce changement de vocabulaire auquel on a assisté depuis quelques années (« Réchauffement climatique » puis « changement climatique » puis « bouleversement climatique »). Le « réchauffement » ne serait alors plus considéré comme certain, mais seulement « possible » et la montée des eaux qui en est le corollaire ne serait plus inéluctable.

Une telle explication serait, en l’espèce, insuffisante. En effet, toutes ces simagrées ont véritablement débuté à Rio, en 1992, avec la conférence des Nations unies sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de sommet de la Terre de Rio de Janeiro au Brésil du 5 au 30 juin 1992, réunissant 120 chefs d'États et de gouvernements et 189 pays. Merci tonton Maurice !

Et son 15e principe déclare : « Pour protéger l'environnement, des mesures de précaution doivent être largement appliquées par les Etats selon leurs capacités. En cas de risque de dommages graves ou irréversibles, l'absence de certitude scientifique absolue ne doit pas servir de prétexte pour remettre à plus tard l'adoption de mesures effectives visant à prévenir la dégradation de l'environnement. »

Et en vertu de l’interprétation légale du 15e principe (dit « principe de précaution ») énoncé dans la déclaration de RIO, le moindre poil de cul, de pet de mouche de début de commencement de soupçon d’éventualité de l’ombre d’un risque est suffisant pour imposer la mise en œuvre des actions de correction préventives, quel que soit le coût de celles-ci.

Une autre possibilité serait que le gouvernement des Maldives collaborant avec le Mossad israélien disposerait des services d’une équipe de « climatologues » qui, ayant refait les calculs du GIEC, auraient conclu que les prévisions apocalyptiques de celui-ci seraient infondées.

La découverte serait tenue secrète afin de préserver intactes les chances de bénéficier de l’averse de pluie de milliards  la plus importante possible au beau milieu de la tempête de conneries climatiques qui a commencé.

Mais rejetons cette éventualité car personne ne peut imaginer un gouvernement faisant preuve d’une telle duplicité.

Mais d’autres cas de comportements étranges auraient été signalés, et pourraient aller dans le sens de cette hypothèse. Ainsi, on sait que celui qui se comporte depuis des années comme un prédicateur évangéliste, j’ai nommé Al Gore, a accumulé une bonne centaine de millions de dollars en prêchant la montée des eaux et la submersion de toutes les bandes littorales à cause de l’addiction de l’humanité au gaz démoniaque.

On sait moins qu’il avait acquis, pour environ 9 millions de dollars, une modeste demeure en bord de mer en Californie. Les prêches du monsieur relèveraient-ils ainsi d’une habile manœuvre destinée à provoquer une désaffection pour les résidences de bord de mer et à en faire baisser les prix ?

Personne ne peut croire une chose pareille. En tous les cas, je ne sais pas pour vous, mais moi, j’ai comme une GROSSE envie de gerber !

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html                  

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-21-et-conclusion.html

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 19)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

COPCOPCOP CODE, rock and roll des enculés !

Si on les écoute tous ces cons, on sera bientôt beaucoup à finir comme ça, et seuls les popcorns sauront remonter en surface !

(COP), ce n’est pas pop, c’est l’acronyme dont on nous casse régulièrement les oreilles pour « Conferences Of the Parties ». Ce sont ces fameuses réunions annuelles arrosées au champagne et au caviar où nos « braves guerriers » de l’apocalypse s’autorisent à penser « sauvetage » de la terre.

Ce sont tous les signataires de l’accord international sur le climat initié par le « Sommet de la Terre » de Rio en 1992. Parmi toutes les COP, la plus célèbre, au niveau burlesque, au point d’en dépasser Les Bronzés font du ski, aura été la COP15, une des toute « dernière chance de sauver la planète », à Copenhague, il y a quatorze ans.

Effectuons donc un p’tit retour en arrière, en 2009 pour être exact. L’instant était grave car la mise en scène avait pour objet principal de dénoncer la croissance des émissions de CO2, qui allait entraîner un réchauffement brutal de la planète, lui-même causant la fonte des glaces polaires, d’où une inexorable montée des eaux qui allait, non moins inexorablement, noyer les Maldives et bien d’autres pays « pauvres ».

Il convenait donc d’obtenir des institutions internationales les milliards qui allaient permettre de sauver ces pauvres gens de l’engloutissement aux Maldives et dans d’autres États insulaires.

Il y avait eu un immense élan international d’opinion, orchestré par les mouvements écologistes, avec l’appui des médias. Les dirigeants de la « planète en danger » avaient enfin été convaincus de l’imminence de la « catastrophe climatique ».

Ils s’étaient ainsi « tous » déplacés pour célébrer l’événement. Cuiller de caviar à la bouche et coupe de champagne à la main, ils allaient tous pouvoir figurer sur la photo de famille et dire à leurs p’tits enfants : « J’étais là, j’y étais le jour où, ensemble, nous avons terrassé l’hydre et célébré la fin du gaz diabolique et le début d’une nouvelle ère de PAIE et d’amour de l’argent vert. »

Devenu superstar après son show aquatique, le Président des Maldives, lui, premier arrivé à Copenhague, avait galvanisé les foules en formulant, dans un meeting son engagement à faire des Maldives, en dix ans, le premier pays à atteindre l’objectif « zéro carbone ».

Afin de lui faire plaisir, lui, Président d’un pays qui coulait et coule encore (mais des jours heureux), on avait invité la star de Titanic, Leonardo Di Caprio. Tout un symbole ! Et pour fêter cela, il y aurait du caviar à la pelleteuse et du champagne dans les jacuzzis.

Quatorze années après, les Maldives sont toujours là, et bien là, un fleuron du tourisme international. Pour y aller, nul besoin de bottes en caoutchouc ou de scaphandre autonome, non rien de tout cela, un simple string et beaucoup de pognon suffisent !

Dans cette course au « sous-développement durable » qui lui permettrait de faire plus que les meilleurs, les Maldives partaient mieux placés que la France, alors au 149e rang des dégueulasses producteurs de carbone : « salauds de Gaulois ! » Malgré cet avantage certain, le gain de 110 places pour parvenir au premier rang restait une gageure car la compétition était rude tant certains avaient pris de l’avance.

Parmi les plus difficiles à déloger figuraient les 5, premiers ex-æquo, qui se livraient et se livrent encore une lutte acharnée pour le podium et dont les émissions étaient déjà réduites à 0,01 tonnes (d’équivalent carbone) par an et par habitant (159 fois mieux que la France, et 90 fois mieux que les Maldives), j’ai nommé : le Burundi, le Tchad, le Mali, le Congo ex-Zaïre et la République Centre Africaine.

Ils s’étaient donc « tous » déplacés non pas pour voir mourir la Mama, mais pour COP15, la « dernière chance de sauver la planète », pour y décider des voies et moyens de réduire « l’empreinte carbone » des terriens.

Ce fut beaucoup mieux que le Festival de Cannes, le sommet de la démesure avec 98 chefs d’État, des dizaines de milliers de délégués, et presque autant d’activistes environnementaux. Tous les merdias étaient présents, des milliers de journaleux, moult limousines et avions privés.

Bref tous ces bien-pensants allaient générer en une quinzaine de jours, plus que la quantité totale de CO2 émise par les 10 pays du monde les plus frugaux en cette matière abjecte autant que satanique, voire luciférienne : le CO2.

À chacun des COP, qui depuis Copenhague se sont déroulés dans un silence médiatique sépulcral, on assiste, pour simplifier, en marge des ripailles et célébrations festives, à une discussion courtoise entre plusieurs camps.

Il a celui qui réclame des milliards par centaines en compensation des dommages qui seraient occasionnés par les conséquences du réchauffement climatique découlant du malfaisant CO2. Le mieux étant de leur donner l’argent, tout de suite, dans des valises en carton recyclable, afin qu’ils puissent se préparer convenablement au désastre.

Les plus actifs de ceux-là ne sont pas ceux de l’oasis, mais les membres de l’AOSISAlliance of Small Island States »), un groupe de pression onusien important, puisque représentant 44 États et 28% des pays en voie de développement.

Parmi eux, ces malheureux menacés d’engloutissement, on sera surpris de découvrir Trinité-et-Tobago, membre de l’OPEP, deuxième rang mondial des émissions de CO2 par habitant (les Yankees n’étant que 12e).

Mais, mieux encore, prenons de la hauteur, car on sera aussi surpris de découvrir Sainte-Lucie parmi les membres de l’AOSIS cette charmante destination de vacances des caraïbes, culminant à près de 1000 mètres.

De l’autre côté, nous avons les méchants, tous ces salauds de pollueurs des pays développés, les responsables désignés de la « future catastrophe certaine ». Ils sont tristes, ils regrettent, et pourraient éventuellement être d’accord sur le principe, à condition qu’on remette à plus tard les modalités pratiques d’évaluation et de paiement de la rançon.

Puis, nous avons également l’arbitrage avec lequel il faut compter, ou plutôt qui savent COMPTER. J’ai nommé l’ONU et ses porte flingues, les ONG écologistes, qui soufflent le feu sous la marmite, car ils ont un intérêt commun à ce que la barre soit placée le plus haut possible.

En effet, l’argent ne fait peut-être pas le bonheur, mais il assoie le pouvoir. Et là, le gros cul, pardon, leur pouvoir est directement fonction de la densité de la pluie de milliards de dollars, car ce sont eux qui ont la charge de répartir la rançon ou plutôt le peu qui en restera lorsqu’ils auront prélevé chacun leur part respective.

Hormis les combattants et l’arbitre, vous avez également les spectateurs qui observent. Parmi eux, certains se marrent vraiment en se frottant les mains. En effet, la Chine et l’Inde ne peuvent ignorer le débat, car cela leur rapporte beaucoup, bien que le développement économique et tout le CO2 qui va avec soit l’absolue priorité.

Ils veulent bien accepter les transferts (de votre poche dans la leur) destinés à leur permettre d’améliorer leur efficacité énergétique, mais ils refusent absolument d’accueillir les ONG qui auraient la charge de les contrôler.

Le monopole absolu dont dispose la Chine sur le secteur stratégique des terres rares (95% de la demande mondiale, il y a peu) lui donne un intérêt particulier à ce que les pays riches se ruinent à son profit en coûteux jouets, notamment les éoliennes et autres panneaux solaires qu’on ne peut fabriquer sans « terres rares ».

La Chine joue donc « gagnant-gagnant » ce qui veut dire ici qu’elle gagne deux fois : l’argent qu’on lui donne pour « améliorer son efficacité énergétique » et l’argent qu’on lui donne pour acheter ces jouets qui font tant plaisir aux écologistes (cette merde verte) sans pour autant réduire d’un iota nos émissions de CO2.

À chacun des COP, on frôle la catastrophe et la machine menace d’imploser, mais, en final, le fric l’emporte et on arrive toujours à un accord qui sauve l’essentiel : ne pas interrompre les rendez-vous annuels entre copains si propices au tourisme et les bons gueuletons climatiques. L’impératif est que les COPS demeurent VERTES et VERTUEUSES.  On doit rester dans du durable et du renouvelable, bordel !

Une belle feuille de route se doit d’être assortie d’un gentil compte rendu final : « Mes chers amis, la conférence internationale sur le réchauffement climatique s’est terminée aujourd’hui avec un bel accord. Il en résulte que nous devons envisager les futures discussions destinées à décider des futures réunions préparatoires à la prochaine réunion plénière concernant une réduction du méchant CO2 dans l’avenir. L’ONU se félicite de nos accords, étape décisive dans la prévention d’un futur réchauffement climatique. »

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html             

Olivier

Suite ici :   https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-20.html

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 18)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

À ces changements terrestres globaux, allait s’ajouter une modification de la qualité de la lumière solaire néfaste au vivant, et aux cultures. Voilà pourquoi l’ONU nous parle de l’arrivée de famines d’intensités jamais vues sur Terre. Allait encore s’ajouter à cela l’influence sur les esprits faibles, il y en a BEAUCOUP.

Les perturbations sociales allaient donc monter crescendo et s’ajouter à ce programme déjà peu réjouissant. En effet, des études ont montré, depuis longtemps déjà, l’influence du Soleil sur les « fragiles du haut » qui regorgent hélas sur la planète. Les astres nous influencent bel et bien : ne parle-t-on pas d’individus lunatiques ou d’une présence solaire !?

À ce sujet, je ne saurais trop vous conseiller un des mes vieux articles du 9 mai 2017 (il est court).

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2017/05/lien-entre-les-taches-solaires-et-epidemies.html

Nos anciens ont déjà connu des tels événements, mais à l’époque on connaissait les cycles et on savait s’y préparer. De nos jours, hélas, c’est l’idée des JO, du mondial de foot-Baal, du Black Friday ou d’une promotion sur le Nutella qui préoccupe les esprits.

La gueusaille ferait pourtant bien de se réveiller car cette période va être propice à la recrudescence de parasites de toutes les espèces.

Ainsi, comme semblaient l’annoncer d’un air narquois Bill Gates et sa dinde de Thanksgiving, un nouveau monstre viral, plus meurtrier, plus virulent, pourrait bien faire son entrée, si ce n’est déjà fait !

https://apnews.com/article/international-news-england-london-coronavirus-pandemic-b6c78f2173016d7df2e6f4121091a2d6  

N’en déplaise à Al Gore et sa bande de réchauffistes, l’alignement Sature-Jupiter allait entrainer un GROS refroidissement planétaire.

« L'Amérique bat actuellement des centaines de records de basse température - Gelées en Europe - Trou coronal »

Beaucoup de nos cycles allaient s’en trouver affectés ainsi que les courants marins. Passé février 2021, le froid et la sécheresse allaient s’intensifier sérieusement. Le monde avait connu beaucoup de précipitations jusque-là, et même la France n’avait pas été épargnée. Souvenez-vous, le 3 octobre 2020, la tempête Alex dévastait plusieurs communes de la vallée de la Roya, dans l'arrière-pays niçois, faisant au moins huit morts et onze disparus.

Mais lorsque le froid s’installe, il provoque la sécheresse et s’il fait suffisamment froid, les précipitations cessent rapidement. Les niveaux marins aussi s’en trouvent affectés à la baisse.

N’est-ce pas ce que nous connaissons actuellement avec une belle taxe sur l’eau qui nous pend au nez !?

Mais à tout ceci n’oublions surtout pas d’ajouter couillonavirus au tableau. Car oui ! nos dirigeants, petits kapos de l’élite, savaient où ils nous emmenaient de force : vers cette Ordo Ab Chaos si cher à leurs dirigeants de l’ombre ; les Gates, Soros, Attali, Rothschild, Rockefeller, Buffett, etc.

N’ayant réellement jamais débranché la perfusion depuis la crise des subprimes de 2007-2008, le système nous a donc condamné à un phagocytage continu de nos monnaies nous amenant tout droit vers le « grand Reset », la grande réinitialisation, voulu par Klaus Schwab et sa bande de gangsters de Davos. Pourquoi ?

Parce que de l’argent créé à partir de rien, sans base réelle, sans production tangible, n’existe pas. C’est du vent ! c’est un film de SF qui tient tant que la croyance collective est subjuguée. Mais inéluctablement arrive le jour où cette confiance s’érode… comme la monnaie.

À ce titre, je ne saurais trop vous conseiller ma prochaine série d'articles « Bankables? » qui paraitra jeudi 30 mars sur ce blog, juste à la suite de cette série concernant notre VRAI climat et ses CONSEQUENCES.

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/bankable-partie-1.html

Ainsi, puisque tout le monde s’est transformé en vampire et s’alimente sur une bête désormais exsangue : associations, PME, grandes entreprises (chômage partiel), chômeurs, RSA, etc., la fin est proche.

Les actions sont reparties, mais fictivement, dopées à l’argent torche cul, l’immobilier va se casser la gueule car seuls des taux bas garantissaient, jusqu'ici, la solvabilité des acheteurs, sans oublier que l’Etat en arrosant tout le monde évitait les impayés et a endetté nos enfants pas encore nés. Mais jusqu’à quand ?

Jusqu’à ce qu’un raz de marée sociétale autant qu’environnemental ne ravage l’Ancien monde donnant ainsi raison à tous ces oligarques qui nous prêchent un Nouvel Ordre Mondial.

Tout cela va nous mener vers un prochain important clivage de la société entre très riches et trop pauvres, positifs et négatifs, vaccinés et pas vaccinés. L'OMS y veille !

Des zones franches limitées aux cobayes vaccinés vont apparaitre. Sans le sésame de la « sainte » piquouze, vous ne pourrez plus voyager.

Mais avec ou sans, de toute manière, la vie va CONSIDERABLEMENT se compliquer. C’est bientôt l’approvisionnement coûte que coûte qui sera dans tous les esprits : nourriture, chauffage, électricité, charbon, bois, pétrole vont prochainement déclencher les convoitises les plus basses, les plus barbares.

N’oublions jamais cet adage : ce sont trois jours et neuf repas qui séparent l’homme civilisé du pur barbare sanguinaire (souvenez-vous du Nutella !).

Le système bancaire déjà mort, va prochainement, reset de Davos oblige, retirer ses billes et surtout les nôtres du jeu, laissant froidement dans le FROID des millions de chômeurs et des dizaines de milliers de petits commerçants sur le parvis, sans ressources, à la merci des aléas de la pandémie et de la peur qu’elle occasionne.

Ainsi le fait que pour la première fois depuis 1226, Jupiter et Saturne se rapprochaient assez pour donner l’impression d’une double planète, ne constituait pas l’horoscope du gogo pour 2021. Cela allait constituer un caillou de plus dans la godasse du gueux, mais un gros, UN TRES GROS !

Pourquoi pensez vous que les très riches se sont construits des bunkers partout sur la planète ? « Encore un délire de complotiste », diront certains aveugles et sourds.

Les alignements entre nos deux grosses du système solaire sont plutôt rares, se produisant une fois tous les 20 ans environ mais avec des degrés plus importants. Cependant, la précision du rapprochement qui venait n’avait jamais eu lieu depuis le Moyen-Âge (4 mars 1226).

Et c’est justement la précision de l’antenne qui allait ainsi se créer qui serait dévastatrice.

Ainsi, le 21.12, soir du solstice d’hiver, et bien que les meilleures conditions d'observation soient près de l'équateur, la chose serait visible de n'importe où sur Terre, si le temps le permettait, surtout sous les nuages du nord de la France. Les deux grosses planètes apparaîtraient bas dans le ciel pendant environ une heure après le coucher du soleil chaque soir durant quelque temps.

Et si j’ai tenu à préciser cette année 1226, c’est parce qu’elle fut, pour le Moyen-Age, une année catastrophique. Les récoltes estivales furent ruinées. L'automne qui suivit fut très chaud et sec. L’hiver fut très froid et sec et cette sécheresse se prolongea jusqu' en février 1227.  C’est aussi l’époque ou une énorme épidémie de lèpre explosa. D’après vous, à quoi avons-nous assisté depuis et montant crescendo ?

Je suis donc désolé d’avoir à ajouter au marasme ambiant, car c’est bien plus important qu’une hypothétique retraite à prendre et que tous les 49.3 du monde.

Nous sommes bien peu à vouloir dire la Vérité à des peuples zombifiés par un système corrompu. Au risque d’être raillé, méprisé, il faut que certains se dévouent à révéler ces choses afin que la majorité de ceux qui ont encore quelque chose entre les oreilles (ça existe encore) puissent s’y préparer.

Mais afin de faire passer la pilule amère, l’article qui vient (deux parties) devrait vous redonner le sourire.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html                 

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-19.html

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 17)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

N’en déplaise, puisque les CONS osent tout, nos réchauffistes de malheur ne pourront aller à l’encontre de leur théorie à la noix. Ils feront donc pleurer « sainte » Greta et prétendront qu’un tel refroidissement, comme celui qui arrive là, maintenant, tout de suite, se produit à cause du réchauffement. Rien ne leur fait peur et surtout pas la plus MONSTRUEUSE connerie !

http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/12/le-great-reset-mais-pas-celui-de-klaus-chwab-et-de-davos.html  

Ainsi, le lundi 21 décembre 2020, et bien que la Grande conjonction était davantage visible dans les endroits proches de l'équateur, elle fut observable en début de soirée, aux toutes premières heures de la nuit. Une proximité maximale qui ne s'était pas produite depuis le 16 juillet 1623.

Les deux géantes n’étaient alors éloignées que de quelques minutes d’arc, à peine observable en raison de sa trop grande proximité avec le Soleil. Il fallait donc remonter quatre siècles en arrière, le 4 mars 1226, pour retrouver une telle configuration visible à l’œil nu.

Chez moi, près de la frontière belge, dans l'hémisphère nord, le phénomène fut visible à un niveau bas à l'horizon, à 19h37 en France (18h37 à l'échelle UTC), en direction du Sud-Ouest, dans un ciel bien dégagé.

Se produisant tous les 20 ans, le phénomène se traduisait cette fois-ci par un alignement presque parfait entre les deux « grosses dames », avec un écart de seulement un dixième de degré ou 6,1 minutes d'arc entre ces deux planètes.

Mais si elles avaient la même ascension droite ou longitude céleste lors de la grande conjonction, ce n’était qu’une impression car, elles ne seraient pas si proches de la Terre. C 'était une illusion d'optique. En réalité, Jupiter était à plus de 880 millions de kilomètres de la terre, alors que Saturne était éloignée de nous à de 1,6 milliard de kilomètres.

Selon la doxa, Gaïa met en effet un an pour faire le tour du Soleil, Jupiter 12 ans et Saturne 30 ans. Ainsi la grande horloge cosmique ne nous donne un tel spectacle que très rarement.

Un rapprochement similaire ne se produira pas avant le 15 mars 2080. Après, il n'y aura pas d'autre opportunité avant l'an 2400...  Mais pour l’instant, j’observais chaque soir, depuis des jours, cette lente phase de convergence.

Mercredi 16 décembre 2020, cela était d’autant plus majestueux que la Lune s'était invitée près des deux planètes et notamment le lendemain soir du jeudi 17 décembre.

Le rapprochement entre Jupiter et Saturne, signait de grands bouleversements. Certaines planètes, dont Neptune, subissaient des effets particuliers. Sur Terre, une vague de chaleur sévissait en Australie.

Jeudi 17 décembre, dans le Pacifiques, les habitants des régions côtières des îles Fidji avaient été appelés à gagner les hauteurs à l'approche du cyclone tropical Yasa qui pouvait provoquer des vagues de 16 mètres. Le cyclone de catégorie 5, la plus élevée, continuait à gagner en intensité en se dirigeant vers l'archipel des Fidji, avec des rafales allant jusqu'à 325 kilomètres/heure.

20 ans, c’est le temps que Jupiter met pour rattraper Saturne dans sa course autour du Soleil, qui effectue elle-même une rotation complète en un peu plus de 29 ans. Les deux géantes se retrouvent alors alignées avec notre étoile et apparaissent extrêmement proches dans le ciel.

Les rapprochements varient d’une conjonction à une autre. Les rapprochements angulaires varient toutefois d’une conjonction à une autre en raison des caractéristiques orbitales de chacune des planètes, notamment leur légère inclinaison par rapport au plan de l’écliptique.

Il est donc souvent beaucoup plus important que celui auquel nous allions assister. Lors de la précédente conjonction, le 28 mai 2000, Jupiter et Saturne étaient ainsi éloignées de 68,9 minutes d’arc : soit plus de deux fois le diamètre de la pleine Lune, et dans la constellation du Taureau.

Cette fois, il fallait scruter le ciel dans la direction du sud-ouest vers 18h idéalement, sous la constellation du Capricorne. Rarissime en termes d’éloignement angulaire, elle coïncidait avec le solstice d’hiver.

Ainsi, suivant une formule célèbre et si chère à nos frères la truelle : « Ce qui est en bas, est comme ce qui est en haut ; et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, pour faire les miracles d'une seule chose… », n’allez surtout pas penser que ce qui se passait loin, très loin dans l’espace, n’allait avoir aucune influence sur nos vies.

Comme je l’indique depuis plus de dix ans dans mes livres et articles, nous y étions.

L’élite le savait et le cachait aux peuples comme hélas de nombreuses autres choses. Fin 2019, le cycle solaire 24 se terminait pour laisser place au cycle solaire 25. Le soleil allait donc nous réserver de nombreuses surprises. La présence ou pas de taches à sa surface serait à mettre en relation avec des faits graves qui allaient se dérouler sur Terre (guerres, révolutions, épidémies, pénuries et changements climatiques et non réchauffement).

L’alignement très précis du 21 décembre 2020 entre Saturne-Jupiter, nous et le Soleil, allait créer une fantastique antenne captant une énergie démentielle.

Le Soleil allait, tout comme nous, en être très affecté. La Terre allait se trouver balayée par une énergie considérable par sa quantité et ses effets.

Voilà pourquoi j'avais édité cette image avec la formule "êtes-vous prêts !?"

Ainsi, quelques jours au préalable, une éruption majeure avait déjà déclenché trois forts tremblements de terre en Alaska, en Argentine et en Russie. Car, comme je l’ai déjà expliqué, il existe une corrélation claire entre la densité de protons envoyés par le soleil : l'activité solaire, les éruptions volcaniques et les forts tremblements de terre.

Dès lors et jusqu’à fin février 2021, les tremblements de terre allaient s’accroitre. Les volcans donnaient également des signes d’activité accrue. L’humain est bien peu de chose face à la nature. Et les phénomènes qui nous intéressent ici entraient en parfaite opposition avec les prétentions de nos « élites » qui proclament tous à cœur et à cris qu’un réchauffement climatique, ou plutôt désormais que les changements climatiques, sont imputables à l’homme. Un simple exemple !

Le Samalas, est un super volcan situé sur l'île de Lombok, en Indonésie, sous les tropiques et en pleine Ceinture de Feu. Son éruption en 1257 aura constitué l’événement volcanique majeur du Moyen Âge, dont les conséquences dues au refroidissement brusque de l’atmosphère auront un fort impact sur la Terre, durant trois longues années.

En 2020, le sol sous Dar el Sallam, la capitale financière de la Tanzanie, s’était proprement liquéfié mystérieusement sous les maisons et les entreprises. De la boue avait été vue sortir du sol, fissurant des dizaines d'habitations et provoquant des évacuations massives.

Le 29 novembre 2020, provoquant une énorme CME, une éruption solaire majeure avait provoqué, je le répète, trois séismes d’amplitude sur Terre. Ces éruptions provoquent un déferlement de particules (protons) sur Terre entre deux et trois jours plus tard.

C’est ce déferlement de particules qui est alors responsable de nombreux phénomènes sur la Gaïa d’Al Gore en modifiant le noyau terrestre. Le Time avait déclaré 2020 la pire année de l’histoire.

À des changements sociaux et économiques allaient donc s’ajouter des désordres naturels de plus en plus fréquents. Les pires inondations, les pires ouragans, des aurores boréales descendant loin vers l’équateur dues aux éruptions solaires violentes, etc. N’est-ce pas ce que nous connaissons depuis !?

N’oublions jamais la tempête géomagnétique de Carrington, en 1859.

L'Événement de Carrington, du nom de l'astronome britannique ayant observé une spectaculaire augmentation de l'activité de la surface du Soleil, est la plus grande tempête solaire connue de l'humanité. Elle provoqua le mort de plusieurs opérateurs du télégraphe à cause des surtensions induites qui firent fondre les fils du télégraphe.

Au moment où je rédige l’article, nous sommes le lundi 6 mars 2023. Il y a quelques jours, des aurores boréales furent visibles sur les Hauts de France. Dans la nuit du 26 au 27 février 2023, puis la suivante, des aurores boréales étaient visibles dans le nord de la France.

Que se passerait-il, désormais, dans nos sociétés hyperconnectées ?!

L’éruption de 1859 s'était accompagnée d'une éjection d'un plasma de particules qui a atteint la Terre en seulement 17 heures (alors que le temps ordinaire est d’environ 60 heures).

Notre magnétosphère terrestre s’est alors fortement comprimée, la faisant passer de 60 000 kilomètres à quelques centaines de kilomètres.

Notre champ magnétique s'est alors brusquement intensifié, produisant ce qu'on appelle un orage magnétique. Il en a résulté d'incroyables aurores boréales, il était alors possible de lire un journal en pleine nuit, jusqu'à des latitudes aussi basses que celles du Panama.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 16)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

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Charles, notre Ségolène Royal autant que nationale était allée le chercher personnellement pour qu’en 2015 il vienne ouvrir le sommet climatique de Paris (COP21). C’est là, dans un éclair de génie, qu’il avait déclaré doctement sur la chaîne Sky News que « l’incapacité de l’homme à juguler le réchauffement climatique est à la racine de la guerre civile syrienne, le terrorisme et les hordes de réfugiés se ruant vers l’Europe. Certains d’entre nous disaient il a une vingtaine d’années que si l’on ne faisait pas face à ces questions, on allait voir un conflit encore plus grand pour des ressources rares et des problèmes croissants de sècheresse ainsi que l’effet cumulé du réchauffement climatique obligeant les gens à se déplacer ».

Ce n’est pas beau ça ! Autant le Covid-19 aura permis une avancée spectaculaire de la tyrannie, autant le « Réchauffement climatique » permet tout autant moult agressions, ainsi que le déplacement des populations, un nomadisme dont rêve pour nous Jacques Attali.  Lui qui dans L’Homme nomade, rédigé en 2003, prédisait en partie ce qui allait se passer aujourd’hui tant au niveau économique, social que politique.

Mieux, ce réchauffement semble les justifier ! Normal les deux sont interdépendants et issus des mêmes cerveaux dérangés autant que machiavéliques : ceux de l’élite mondiale apatride.

En effet, pour tout individu éveillé, il est évident qu’il n’y a pas de réchauffement global provoqué par l’homme aujourd’hui. C’est nous donner trop d’importance face à l’Univers qui nous dépasse et de loin. Il s’agit là d’une science qui déraille au profit de l’argent (Mammon). C’est devenu politique en un mouvement écologiste.

Charles marche ainsi, tel un charlatan, mais main dans la main avec l’Américain Al Gore, un homme qui a passé toute sa vie à parler de science sans être un scientifique, tout comme nombre de conseillers de Macron ont parlé Covid-19 sans être médecins

Al Gore s’était vu offrir un os à ronger en lieu et place du poste de Président des États-Unis qui revint alors à Bush Junior, en 2000. Afin de renoncer à contester les élections US dans un mouchoir de poche, le gros nonos ne fut autre que la quête du Graal : le CO2.

Mais il y a bientôt trois ans, et dans le cadre virtuel de « La Semaine du climat NYC » se déroulant du 21 au 27 septembre 2020, l’argent des taxes CO2 ne rentrant certainement pas assez vite dans les caisses de l’élite, Charles avait refait parler de lui en déclarant : « la crise climatique va « éclipser » l’impact de la pandémie. » C’est qu’il avait parfaitement raison le bougre !

" Sans action rapide et immédiate, à un niveau et un rythme sans précédent, nous manquerons la fenêtre de tir  pour créer un avenir plus durable et inclusif."  On croirait entendre parler tonton Schwab et sa fenêtre de tir propice au reset, durant le covid-19 !

Autrement dit, la pandémie mondiale constituait un avertissement que nous ne pouvions ignorer.

"La crise (environnementale) existe depuis de trop nombreuses années, dénoncée, dénigrée et niée. Cela devient maintenant une catastrophe générale qui va éclipser l’impact de la pandémie de nouveau coronavirus ", avait-il déclaré dans un message enregistré diffusé à l’ouverture de la Semaine du climat à New York, lundi  21 septembre 2020 dans le cadre d’un « bidule » contre le changement climatique et pour répondre aux objectifs de développement durable instauré par les Nations Unies.

En janvier 2020 déjà, et devant l’élite mondiale réunie au Forum économique de Davos, en Suisse, Charles avait lancé « un cri d’alarme » sur le changement climatique, avant une rencontre avec « sainte » Greta Thunberg, celle qui est également financée par Georges Soros.

Preuve s’il en faut encore que tout est lié, et que le Covid-19 et le CO2 ne constituaient que deux grosses mailles d’un filet mondial destiné à piéger définitivement la gueusaille.

Ainsi ne saurais-je trop vous conseiller la lecture de Tonton Malthus et revenu ! ainsi que celle de Mammon à Corona, car l’éclairage de fond sur ces deux pièges que constituent pour nous Covid-19 et le CO2 anthropique, est vraiment celui dont nous avons besoin pour démêler le vrai du faux, et pour aborder l'avenir avec lucidité.

C’est du fond du cœur que je vous exhorte au GRAND REVEIL.

 

Mon p’tit cœur fait d’ailleurs boum boum, pendant que, toutes les 26 secondes, et depuis 60 ans, les sismologues ont détecté une impulsion omniprésente émanant des profondeurs de la Terre. Les scientifiques ne savent toujours pas avec certitude ce qui se cache derrière le phénomène. Le pouls a été observé et enregistré pour la première fois par le géologue Jack Oliver au début des années 1960. Il est depuis attentivement étudié et connu pour être plus fort pendant les tempêtes. Mais tempêtes et volcans ne s’éteignent pas et ne se rallument pas toutes les 26 secondes.

Une source unique aurait été détectée en 2005, dans le golfe de Guinée ou baie du Biafra, au large de la côte ouest de l’Afrique ; six ans plus tard, une équipe de chercheurs pensant que les vagues qui s’écrasaient sur cette côte étaient responsables de l’onde sismique a affiné encore plus, en localisant l’origine dans une zone du golfe de Guinée appelée la Baie de Bonny, un golfe de l'océan Atlantique qui se situe en Afrique occidentale, à l'angle nord-est du golfe de Guinée, aux limites du Nigeria (au nord) et du Cameroun, de la Guinée équatoriale et du Gabon (à l'est).

Certains pensaient que c’était le Soleil lui-même qui en était la cause lorsque son énergie frappe l’équateur et les pôles de manière inégale, créant du vent, des tempêtes, des courants océaniques et des vagues, qui travaillent tous à déplacer et à faire converger l’énergie sur le littoral avec la Baie de Bonny comme point zéro de tout ce qui se passe.

Or, comme je l’indiquais depuis longtemps, Le 21 décembre 2020 se produisit un évènement astronomique exceptionnel qui allait très certainement activer le tamtam de Gaïa.  

Sur la grande horloge cosmique bien connue de nos aïeux, il constituait THE EVENEMENT de par sa précision. Je veux parler ici de la grande conjonction Jupiter Saturne avec un dixième de degré d'écart entre nos deux plus grandes planètes du système solaire.

Alors qu'habituellement cette conjonction qui se produit tous les 20 ans les séparait de plus d’un degré, il y avait là de quoi « être branché ». En effet, allait se constituer là, une monstrueuse antenne qui, de par l’alignement presque parfait des planètes, allait nous en jeter « plein la vue ». Les fragiles du haut et tout le reste allaient s’en trouver blackboulés, pour le plus grand plaisir de l’élite et de son Ordo Ab Chaos chéri.

La dernière fois qu'un tel évènement s'était produit, c'était il y a plus de 320 ans. À l’époque, la France comptait à peine vingt millions d’âmes. Souvenez-vous ! La grande famine de 1693-1694 sera due, en effet, à un hiver très rigoureux en 1692, suivi en 1693 d'une récolte très médiocre, causée par un printemps et un été trop pluvieux, causant une flambée des prix des céréales. En résultera une sous-alimentation qui favorisa les épidémies comme le typhus, jusqu'en 1694. La France, connue alors 1 300 000 morts en plus de la mortalité normale.

En 2020, l’évènement coïncidait « à la perfection » avec le solstice d'hiver, à 2h30 d'écart, soit une précision d’un dixième de degré. La grande conjonction aurait lieu le 21 décembre à 13h30 TU, tandis que le solstice d'hiver 2020 aurait lieu le 21 décembre à 11h02 TU.

J’aime à l’écrire : « il est minuit moins deux à l’horloge du monde, veillez donc petits enfants ! » Ici, Covid-19 et remise à zéro aidant, il est désormais Minuit moins quelques secondes, face à un tel évènement, qui ne s'est probablement jamais produit dans l'histoire du monde moderne.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 15)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

Nous avions également connu une saison des ouragans « super active ». En effet, La Nina est un phénomène climatique ayant pour origine une anomalie thermique des eaux équatoriales de surface de l'océan Pacifique centre et Est.

Elle se caractérise par une température anormalement basse de ces eaux. Comme le décrivait Bloomberg, La Nina « déclenche une réaction atmosphérique en chaîne qui risque de faire basculer le temps dans le monde entier, transformant souvent l’ouest des États-Unis en un véritable poudrière, alimentant des ouragans plus puissants dans l’Atlantique et inondant certaines parties de l’Australie et de l’Amérique du Sud ».

Mais qu’on se rassure, l’Atlantique n’était pas en reste. Jeudi 10 septembre 2020, point culminant de la saison des ouragans (7 systèmes dans l’Atlantique), deux de ces perturbations appelées tempêtes, Paulette et René, traversaient toutes deux le centre de l’océan Atlantique en direction de l’ouest-nord-ouest. Les cinq autres n’étaient pas encore devenues des tempêtes le 10 septembre, mais elles devaient être surveillées attentivement au cours des cinq prochains jours. Ainsi allons-nous nous retrouver avec des saisons tardives plus actives. Certains comparaient déjà La Nina 2020 à « La Nina de l’enfer ».

C’est pourquoi j’adressais alors un petit message à certains p’tits crétins qui m’insultaient « courageusement » derrière un pseudo. À une époque ancienne, les températures en Europe ; exemple pour l’Italie et l’Espagne étaient comparables à celle du Canada.

Cela signifie de 15 à 25 degrés de moins ! Même la NASA semblait d'accord, si vous lisiez entre les lignes, avec ses prévisions pour le cycle solaire (25) qui était à venir L’agence le considérait à juste titre comme « le plus faible des 200 dernières années ».

J’ai déjà consacré plusieurs articles à la scientifique intègre Valentina Zharkova, ainsi que plusieurs pages dans mon livre consacré au climat : Tonton Malthus est revenu.

Elle avait rédigé un papier important allant dans le sens de mon propos,  intitulé : « Le grand minimum solaire moderne mène au refroidissement terrestre ». Elle l’avait Publié le 4 août 2020. Sa dernière analyse nous informait que le 8 juin 2020 était, pour elle, la date à laquelle nous entrions dans le Grand Minimum Solaire Moderne.

« Dans cet éditorial, je démontrerai avec le champ magnétique lié à l'activité solaire, nouvellement découvert, que le Soleil est entré dans le Grand Minimum Solaire moderne (2020-2053), qui conduira à une réduction significative du champ magnétique solaire et de l'activité solaire, comme pendant le minimum de Maunder. Nous allons donc vers une réduction notable des températures terrestres. (…) Actuellement, le Soleil a terminé le cycle 24, le cycle le plus faible des 100 dernières années, et en 2020 a commencé le cycle 25. Pendant les périodes de faible activité solaire, comme le grand minimum solaire moderne, le Soleil sera souvent dépourvu de taches solaires. C'est ce que l'on observe maintenant au début de ce minimum, car en 2020, le Soleil a connu au total 115 jours sans tache (soit 78%), ce qui signifie que 2020 est en bonne voie pour dépasser le record de 281 jours sans tache (ou 77%) observé en 2019. Cependant, le démarrage du cycle 25 est encore lent dans les régions actives, donc avec chaque jour / semaine / mois qui passe, la valeur nulle de l'activité solaire est prolongée, marquant un début de grand minimum solaire. »

Elle continuait avec les conséquences pour la Terre.

« De 1645 à 1710, les températures, dans une grande partie de l'hémisphère nord ont plongé lorsque le Soleil est entré dans une phase de calme, appelée le minimum de Maunder. Cela s'est probablement produit parce que l'irradiance solaire totale a été réduite de 0,22%. (…) La température de surface de la Terre a été réduite partout dans le monde, en particulier dans les pays de l'hémisphère nord. L'Europe et l'Amérique du Nord ont plongé dans un gel profond : les glaciers alpins s'étendaient sur les terres agricoles des vallées ; la glace de mer s'est propagée au sud de l'Arctique ; les rivières Danube et Tamise ont gelé régulièrement pendant ces années, ainsi que les célèbres canaux des Pays-Bas. »

Elle suggérait alors qu'un refroidissement global (style minimum de Maunder), se déroulerait à travers les cycles solaires 25-27 (2020-2053).

Elle poursuivait : « De la même manière que pour le minimum de Maunder, la réduction du champ magnétique solaire entraînera une diminution de l'irradiance solaire d'environ 0,22% pendant une durée de trois cycles solaires (25-27). »

Dans d’autres articles, j’ai déjà parlé de l’importance du champ magnétique solaire pour nous, sur terre.  Son affaiblissement actuel laisse passer plus de rayons cosmiques nucléant les nuages et entraînant une baisse de la température terrestre jusqu'à 1,0°C par rapport au températures actuelles. Et c’est ce qu’elle suggère pendant les trois cycles suivants (25-27).

La réduction de la température terrestre, au cours des 30 prochaines années, peut avoir des implications importantes sur la croissance de la végétation, l'agriculture, les approvisionnements alimentaires et les besoins de chauffage dans les hémisphères nord et sud.

Un réveil brutal pour tous ceux qui ont conservé foi dans la science du climat moderne. Alors que nous sommes tous dans une course chaotique VERS DES MENSONGES TOUJOURS PLUS GROS à l’égard des zombies, il sera «amusant » d’observer les visages suffisants et bien-pensants des réchauffistes de tous bois, alors que tombera leur religion orchestrée de toute pièce.

Charles, un charlatan devenu roi, est de ceux-là. Dès 2015, il pensait déjà que « c’est le CO2 qui provoque la guerre en Syrie ! » Dans Tonton Malthus est revenu ! j’explique en détail ce que sont en réalité les membres éminents de la famille royale d’Angleterre ainsi que les sombres implications de l’ex Prince Charles dans l’escroquerie du CO2. Voici un extrait des pages 314-315 :

« Depuis des lustres, on fait gober aux gueux que la famille royale d’Angleterre serait juste un mythe potiche, un emblème fantaisiste sans réel pouvoir ni argent. Tout ceci a été ancré dans l’inconscient collectif à grands coups de sagas, de films et autres romances à la Disney. Irlande du nord, Canada, Australie, Nouvelle-Zélande n’ont pourtant jamais gagné une réelle liberté de la couronne. La reine est chef d’état des 16 royaumes du Commonwealth, tous d'anciennes colonies britanniques devenues indépendantes tout en conservant le monarque du Royaume-Uni comme chef d'État. Depuis la déclaration Balfour en 1926 qui fonda le Commonwealth, ce qu'on appelait alors les dominions, à l'époque le Canada, l'Australie, la Nouvelle-Zélande, l'Afrique du Sud, l'Irlande et Terre-Neuve, ont progressivement été renommés royaumes du Commonwealth. Les pouvoirs de la reine sont en fait immenses tant en Angleterre qu’à travers le monde, sa fortune l’est tout autant. Elle possède 89% des terres canadiennes appelés Crown Land qu’elle loue au gouvernement canadien en recevant un pourcentage. 50 % des côtes du Royaume-Uni lui appartiennent et peut-être même, dit-on, des terrains à Manhattan.

Net d’impôts, sans droits de succession, cette famille vit grassement sur le dos du contribuable anglais bien racketté comme nous le sommes. L’année 1992 apportera à ce sujet un très léger bémol, une nouveauté. Le peuple grince des dents face à la récession et THE Queen décide alors, en une pirouette politique destinée à freiner la grogne, de payer ses impôts, comme les gueux. Elle le fera, mais sur une base inconnue puisqu’aucun de ses revenus n’est divulgué ainsi que son réel patrimoine qui s’élève à des trillions de livres sterling. Cette famille distille donc à souhait une vision édulcorée de la vérité.

On la dit famille la plus aimée au monde au travers d’une propagande de masse. Un travail de relation presse considérable est là bien présent afin d’arrondir les angles. Et chez nous, un Stéphane Bern très proche de notre p’tit président se fait le porte étendard de cette « sainte » famille à grand renfort d’émissions télé où la vaseline coule à flot. Mariages et naissances royales sont là pour faire pleurer dans les chaumières. Ainsi, chaque petite fille rêve-t-elle de devenir princesse. La reine et les siens peuvent dire merci à Edward Bernays (1891-1995), un personnage presque oublié par l'histoire, et né dans une famille juive autrichienne. Il est le neveu du célèbre psychanalyste Sigmund Freud (1856-1939) par deux fois : son père, Ely Bernays (1860-1923), est le frère de Martha Bernays (1861-1951), la femme de Freud et sa mère, Anna Freud (1858-1955) est l'une des sœurs de Freud. On doit à ce double neveu de Sigmund Freud, l'un des grands maux du 20e siècle : la manipulation de masse. Il a été l'un des théoriciens de la propagande politique qui aujourd'hui, à l'ère de l'hyper-communication, anime entreprises et partis politiques. Merci aussi à ces torchons de magazines style Gala et à Disney de nous faire passer ces familles royales pour cool et combien il est important de les aimer et les protéger afin qu’elles puissent continuer les chasses à courre et leurs activités pédophiles.

Car pédophilie et cannibalisme sont à l’ordre du jour chez beaucoup d’individus fréquentant ou ayant fréquenté cette royauté débauchée. Le monstrueux Jimmy Savile dit Sir Jim était un bon ami du prince Charles, considéré comme son mentor, selon la Princesse Diana. Malheureusement, les grands médias britanniques considèrent Charles et ses semblables occupant des positions de pouvoir et perçus comme étant de sang royal, comme étant au-dessus de tout soupçon. Cette attitude est typique, mais aussi particulièrement ironique si on considère le fait que c’est la même attitude adoptée par les grands médias vis-à-vis des allégations formulées contre Savile pendant tant d’années. Et récemment, c’est le frangin de Charles qui a défrayé la chronique. Le prince Andrew est le troisième enfant et deuxième fils d’Elizabeth II. Et en 2019, depuis quelques semaines, on ne parle que de lui et de son amitié gênante avec Jeffrey Epstein, l'homme d'affaires américain accusé d'avoir abusé de mineures, dont certaines âgées de 14 ans, qui s'est « donné la mort » en prison au début du mois d'août 2019. Andrew est huitième dans l’ordre de succession au trône britannique. »

Fin de l’extrait.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html               

Olivier

Suite ici :https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-16.html

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 14)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

Ils (Nations Unies et Cie.) ont saisi « l'opportunité » de cette conjoncture climatique pour créer une urgence planétaire exhortant tous les pays à des mesures restrictives, coercitives, encouragées par les citoyens eux-mêmes qui, paniqués, ont été programmés par les médias à croire les mensonges du lobby du réchauffement climatique d'origine anthropique.

Le lavage de cerveau a si bien fonctionné que des gosses font la morale aux adultes sur les comportements éco-responsables que nous devons adopter.

On nous fait croire que si l'Homme restreint ses activités de façon significative et s'il verse suffisamment d'argent dans la cagnotte, il sera possible de renverser le processus à grands coups de taxes environnementales.

La réalité, c’est qu’en 2020, nous entrions déjà dans un Grand minimum solaire devant durer de très nombreuses années.

Parallèlement à la multiplication des inondations locales, l'augmentation de la couverture nuageuse et la diminution du chauffage de l'eau de surface de la mer signifie moins d'évaporation, une réduction de l'humidité spécifique (moins de rosée pour les plantes graminée) et moins de précipitations globales et ce, en dépit des précipitations et des inondations régionales.

En général, l'eau a tendance à rester dans la couverture nuageuse pendant des durées plus longues. Lorsque les nuages arrivent à pleuvoir, cela se produit plus violemment, alors que le transport régulier dans les continents diminue.

En conséquence, dans de nombreuses régions, les sécheresses sont historiquement plus fréquentes au cours d'un grand minimum solaire. En raison des courants-jets changeants et des changements des vents, des vagues de chaleur et davantage de feux sauvages sont à prévoir.

Ainsi, dans un grand minimum solaire, les sécheresses locales et les mauvaises récoltes peuvent être causées non seulement par moins de pluie et plus de vents, mais simplement par une humidité spécifique plus basse.

Hélas, Davos aidant, ces sécheresses seront probablement interprétées à tort comme étant dues au réchauffement et à l'évaporation. Les dommages aux cultures, la chaleur locale de surface, les incendies de forêt et les dommages biologiques peuvent aussi être accélérés par une augmentation du rayonnement UV.

Il existe une relation directe entre l’augmentation des rayons cosmiques et l'appauvrissement de la couche d'ozone.

Dans un minimum solaire l’appauvrissement en ozone signifie que les UV-B et C plus cancérigènes et nocifs atteignent la surface. La réduction en cours de l'intensité du champ géomagnétique laisse entrer plus de rayons cosmiques et plus de rayons UV du soleil.

La haute atmosphère, est principalement chauffée par les ondes EUV (Extrême Ultraviolet) émises par le Soleil.

Paradoxalement, et c’est là où ces salopards sont amplement rusés, les partisans du faux dogme du changement climatique d'origine anthropique prédisent les mêmes extrêmes climatiques que ceux attendus dans un « Grand minimum solaire », sauf le refroidissement à long terme.

Mais ils les attribuent aux mauvaises causes. Et c’est peut-être la raison pour laquelle le GIEC et l’ONU réfléchissent encore à la théorie du réchauffement climatique anthropique, alors même qu’il n’y a pas eu de réchauffement depuis plus de vingt ans.

Hélas pour nous, si les tendances en matière de flux de rayons cosmiques se poursuivent, beaucoup de leurs prédictions vont se réaliser et les gens qui s'interrogent sur le caractère véritable ou non des changements climatiques découvriront rapidement qu'ils sont réels, mais qu’en fait ils n'ont strictement rien à voir avec les gaz à effet de serre et en prime, ils auront froid au cul.

D’où l’intérêt PRIMORDIAL de ma série d’articles à faire circuler en masse.

Le GIEC (Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat), est, à notre époque déviante ce que la petite vérole fut à nos aïeux. Pendant qu’il agite l'épouvantail de l'Apocalypse Climatique engendrée par l'homme, chez nous, dans le 4e Reich européen, l’Allemagne, pays vert longtemps cité en exemple, est entré dans l’ère du charbon avec le titre envié de 1er pollueur européen.

Elle poursuit en effet la construction de vingt-trois centrales à charbon (le lignite bien gras et pourri) et vingt centrales à gaz (qui devait être russe) après avoir démantelé à ce jour  9% de son nucléaire pour le remplacer par 27 000 éoliennes qui peinent à produire un peu plus de 11% de leur électricité et qui, contrairement à la verdure, rejettent du CO2 à cause du couplage obligé au thermique fossile.

Elle est belle la transition énergétique. On est alors en droit de se demander si Nicolas Hulot ne nous a pas menti ? MDR !

En une espèce de respiration planétaire, notre climat oscille constamment entre deux extrêmes.

De grandes oscillations qui peuvent durer des siècles. Tout prouve qu’elles arrivent très vite et perturbent le climat en une dizaine d’années. Au Groenland on a noté des écarts de 10° parfois qui constituent de grands bouleversements en seulement dix ans. Pour certains, la cause des grands froids se trouve peut-être au fond des océans.

La température joue un rôle prépondérant dans la circulation océanique. Les eaux chaudes étant moins danses que les froides, leur niveau a tendance à augmenter.

Inversement, celui des eaux froides plus danse a tendance à baisser. Au niveau de l’équateur, les mers sont davantage ensoleillées qu’aux pôles, l’eau s’y réchauffe, son niveau augmente et elle se déplace vers les eaux polaires.

Ce mouvement est connu sous le nom de « Grand convoyeur océanique ». Une fois arrivé aux pôles, leur niveau baisse et elles sont à nouveau refoulées vers l’équateur dans les fonds océaniques. Ces eaux chaudes et leur mouvement drainent un air chaud lui aussi.

Dans l’Atlantique nord, ce courant chaud s’appelle le Gulf Stream (« courant du golfe »). Ce courant océanique prend sa source entre la Floride et les Bahamas et se dilue dans l'océan Atlantique vers la longitude du Groenland.

Sa chaleur équivaut au rendement d’un million de stations électriques. C’est pourquoi l’Angleterre enregistre des températures relativement élevées pendant que le Canada sur les mêmes latitudes enregistre, lui, des grands froids. Ce mouvement des eaux et de l’air chaud réchauffe la planète, et contribue à la stabilisation des phénomènes météos.

Ainsi, ce réchauffement pourrait nous amener vers un futur grand gèle. Avec la hausse des températures, de l’eau froide et peu salée issue de la fonte de l’Arctique se déverserait dans les océans, ralentissant la course du Grand convoyeur et provoquant une grave chute des températures dans certaines régions du monde.

En effet, si une trop grande quantité d’eau douce se déverse dans l’Atlantique nord alors le réchauffement planétaire sera à l’origine d’une glaciation dans ces régions nord.

Des études montrent ainsi que jusqu’en 2004, le grand convoyeur est resté constant, ensuite, il a brusquement changé en ralentissant sa course.

Les scientistes pensent donc que le réchauffement planétaire et la fonte d’eau douce pourraient enrayer la circulation océanique. Adieu côte d’Azur et Grande Bretagne où le climat serait semblable à celui de l’Alaska.

Pour les chercheurs un tel apport d’eau douce sur le tapis roulant que constitue le Grand convoyeur est réaliste puisque c’est le sel qui fait sombrer le tapis roulant dans les latitudes nord.

Un trop grand apport d’eau douce le diluerait et si le sel se trouve trop dilué le grand convoyeur ne s’enfoncerait plus dans l’océan. Un changement de seulement 1% dans la salinité peut être significatif et nous faire basculer dans une situation ou l’eau serait trop douce en superficie pour pouvoir sombrer en profondeur.

Cela provoquerait la diminution de l’énergie motrice du tapis. À la fin des années 70, les chercheurs ont constaté une dilution des eaux profondes salées alors que le pourcentage semblait stable depuis le début du siècle. Ainsi tout le nord-ouest de l’Europe se refroidirait radicalement.

Tout comme Big Pharma use de tous ses pantins largement achetés afin de prolonger la pantomime Couillonavirus, il devient de plus en plus difficile pour les réchauffistes d’étouffer leurs sales mensonges. http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/09/le-declin-de-la-secte-des-rechauffistes.html  

Chaque année, le nord de la Californie subit d'importants incendies qui détruisent des hectares. Ceux de 2020 avaient déjà détruit 230.000 hectares. Contribuant même et surtout à la pantomime couillonavirale, d’épaisses fumées avaient entraîné des alertes à la pollution de l'air notamment dans la baie de San Francisco.

De quoi réjouir les réchauffistes majoritaires, puisque selon une étude publiée fin juillet 2020 dans la revue Nature, la hausse exceptionnelle de la température observée dans l'Arctique n'avait de précédent qu'une augmentation similaire lors du dernier âge de glace.

En Arctique, suivant la doxa, la banquise fondait plus vite que les modélisations actuelles le prédisaient, avaient averti des chercheurs de l'Université de Copenhague et Jens Hesselbjerg Christensen, professeur de climatologie, dans un communiqué de l'Université.

D'autres scientifiques estimaient que la fonte de la calotte glaciaire du Groenland est irrémédiable. Selon eux, elle continuera à rétrécir « même si le réchauffement climatique s'arrêtait aujourd'hui » car les chutes de neige ne compensent plus les pertes de glace, et pourtant … même si mes nombreux articles sur le sujet et mon bouquin concernant la Vérité climatique font réagir certains connards du style de celui-ci : goebbels (site | email) le mardi 25 août 2020 à 16 :56 suite à mon article Au secours, v’la le CO2

« Dis donc toi t'es un sacré débile ! quand 99,9% des scientifiques te disent que le climat se dérègle du fait des industries fossiles notamment, toi tu nies ? tu aurais probablement bien au ta place au 3ème reich ! » On appréciera le niveau intellectuel de l’individu « masqué » !

Mais ce n’est pas grave car la vérité qui nous pend au nez est tout autre. Début septembre 2020, et après d’autres éléments significatifs ayant « égaillés » la planète, au Colorado, en 24h, la température avait chuté de 30°c ! A Denver, la température avoisinait les 33°C le lundi 7 septembre, en début d'après-midi. Mardi matin 8 septembre, elle était tombée autour de 2°C.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html              

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-15.html

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