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Retour sur le climat : le vrai (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

Un pourcentage supérieur de ce CO2 va même doper la croissance végétale. Il n’est pas toxique lorsqu’on le respire et il est juste un peu plus lourd que l’air et s’il y a accumulation, il n’y a plus d’air là où il est. Contrairement au CO des poils à charbon qui, lui, est toxique.

Mais bizarrement, c’est à une époque où les pays émergeants (Inde, Chine, etc.) commencèrent à arborer une croissance annuelle à deux chiffres qu’on va voir arriver une courbe affolante. Une courbe en crosse de hockey publiée en 1998 par Michal E. Mann, propre à vouloir reconstituer la t° moyenne du globe depuis 1000 ans.

On y constate une t° constante jusqu’aux années 2000 où là, on assiste graphiquement à une envolée de la température adroitement mise en corrélation avec une augmentation concomitante du CO2. L’évidence était prouvée, c’était le CO2 produit par l’homme qui était à l’origine de l’envol de la t° exponentielle.

Bien que rapidement contestée, c’est cette courbe qui a permis à tout un mouvement puissant de se saisir de l’opportunité. Le mal était fait ! Al Gore va alors prédire la disparition des glaces aux pôles en 2013 et venir formater l’opinion publique mondiale grâce à un film à grand spectacle « Une vérité qui dérange ». En plus d’une bonne paie, il recevra le prix Nobel de la paix.

Al Gore et une longue lignée de salopards ont donc fait du CO2 et du réchauffement des outils propres à les enrichir toujours davantage, ce au mépris de la vraie science.

« Grace » à eux, presque toutes les sources d’énergie émettant du carbone ont été marquées par les militants du climat et les gouvernements occidentaux comme une menace devant être effacée entre 2030 et 2050.

Alors qu’une grande partie du monde occidental, y compris les États-Unis et l’Europe, dépend du gaz naturel pour de nombreuses applications énergétiques, les globalistes et les escrocs du changement climatique ont aussi mis le gaz naturel sur la liste des vilains.

De quoi provoquer à très court terme une chute de l’activité économique, ainsi qu’à des prix beaucoup plus élevés pour toutes les autres sources d’énergie en raison de la demande croissante. Il n’existe AUCUNE solution énergétique verte qui puisse remplir le même rôle que le gaz.

Aux États-Unis même les cuisinières à gaz font polémique. Biden et sa bande d’escrocs veulent les interdire au nom de la « santé ».

Ces affirmations trouvent leur origine dans une seule étude publiée en décembre par l’International Journal of Environmental Research and Public Health. Le groupe est financé par des fonds privés qui défendent des politiques vertes agressives et s’efforce de «transformer les systèmes énergétiques mondiaux à travers l’économie réelle ».

Bref, au même titre que l’étude partisane du Lancet faisant de l’hydroxy chloroquine un poison mortel, celle-ci est rédigée par des personnes ayant un parti pris.

Devant leurs mensonges de Réchauffistes qui prennent l’eau de partout mais certainement pas à cause de la fonte des glaces, les globalistes tentent des entreprises désespérées autant que grotesques. La pression en faveur de l’interdiction des cuisinières à gaz n’est pas une question de santé, mais de contrôle devant faire des émissions de carbone et les produits énergétiques des problèmes de santé.

C’est encore et toujours la peur qui est utilisée comme levier afin d’inciter le public à soutenir la décarbonation.

Au même titre que Davos vient de se prendre une méchante claque lors de sa réunion 2023, le culte du climat est vraiment désespéré, c’est pourquoi j’enfonce le clou afin de réveiller les sceptiques.

La vérité sur le changement climatique commence à se répandre dans le grand public. Car, sachez-le, la température moyenne de la planète n’atteint pas des niveaux dangereux.

Selon la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique, la température de la Terre a augmenté de moins de 1°C au cours du siècle dernier.

En fait, comme je l’indique depuis des lustres, la température de la Terre a été beaucoup plus élevée qu’aujourd’hui à plusieurs reprises dans son histoire, bien avant que les émissions de carbone d’origine humaine n’existent.

Les relevés officiels de température utilisés par les climatologues ne remontent qu’aux années 1880, ce qui représente un laps de temps infime par rapport à la durée de vie épique de l’atmosphère terrestre.

Il n’y a pas de différence significative entre les modèles de tempête d’aujourd’hui et ceux d’il y a 100 ans. Comme je l’explique en détail dans Tonton Malthus est revenu, la propagande sur le réchauffement climatique dure depuis longtemps. Dans les années 1980, on nous expliquait sur un ton catastrophiste que de grandes parties des continents seraient sous l’eau en l’an 2000.

Depuis longtemps, le but des globalistes est de contrôler ainsi presque tous les aspects de notre vie quotidienne. Sans les énergies à base de carbone, presque toutes les industries s’effondreront.

S’ils y parviennent, réalisant ainsi le « doux » rêve de tonton Schwab, le vide laissé par le gaz, le pétrole et le charbon sera insondable. Tout ce qui restera sera une production alimentaire minimale et une population humaine en diminution. Ceux qui survivraient vivraient un cauchemar bien pire que les propos les plus sombre de Georges Orwell, car les gueux seraient esclaves des restrictions de carbone.

J’y reviendrai plusieurs fois car c’est vital que vous le compreniez. L’élite complote depuis longtemps pour utiliser l’environnementalisme comme excuse à la centralisation.  Depuis 1972 au moins, lorsque le Club de Rome, un groupe de réflexion rattaché aux Nations unies, a publié « Les limites de la croissance ». Vingt ans plus tard, il publiait un livre intitulé « La première révolution mondiale ».

Dans ce document, ces messieurs recommandent spécifiquement d’utiliser le réchauffement climatique comme vecteur : « En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pourrions nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement de la planète, les pénuries d’eau, la famine et autres, feraient l’affaire. Dans leur ensemble et leurs interactions, ces phénomènes constituent effectivement une menace commune qui doit être affrontée par tous ensemble. Mais en désignant ces dangers comme l’ennemi, nous tombons dans le piège, dont nous avons déjà averti nos lecteurs, à savoir confondre les symptômes avec les causes. Tous ces dangers sont dus à l’intervention de l’homme dans les processus naturels, et ce n’est qu’en changeant d’attitude et de comportement qu’on peut les surmonter. Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même. »

Ceux qui désirent vérifier mes propos peuvent le faire sur ce lien : Cette déclaration provient du chapitre 5

https://archive.org/details/TheFirstGlobalRevolution/page/n85

Le principe reste toujours le même, galvaniser des foules zombifiées derrière un « ennemi commun ». Faire feu de tout bois, contre un seul ennemi : nous. Traduction : nous devons nous phagocyter en suivant une seule bannière, celle de ce même globaliste qui aura créé le problème pour ensuite venir parader avec sa solution : nous éradiquer. Et les élites considèrent la catastrophe environnementale, causée par l’humanité elle-même, comme la meilleure motivation possible.

Encore une fois, ce n’est pas une question de santé, c’est une question de contrôle dans une longue chaîne qui mène au totalitarisme du carbone. Et comme tout est planifié en amont dans les loges et Bilderberg, en 1988, nous avions eu droit à la création du GIEC.

En 1992, nous aurions droit au sommet de Rio, en 1997, aux protocoles de Kyoto, etc. Puis de 1998 à 2015, nous allions nous taper toutes les conventions internationales. Elles vont se succéder jusqu’à celle de Paris, la 21e d’où son nom : COP21. En 2002, à Johannesburg, Chirac dira : « notre maison brûle et nous regardons ailleurs. » Et en 2015, c’est Fabius qui déclarera lors de la COP21 : « C’est la vie même sur notre planète qui est en cause, l’urgence est absolue. » IL FAUT FAIRE VITE, TRES VITE !!

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci : 

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html    

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/02/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-4.html

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

Il y a quelques années et sur ce blog, j’avais déjà évoqué le fait que six des grandes épidémies de grippe, au moins depuis 1917, étaient synchronisées avec le cycle des taches solaires.

En outre, toutes ces épidémies, à l'exception d'une seule, ont entraîné un changement antigénique, dans lequel le virus de la grippe a développé une nouvelle couche de protéines qui l'ont rendue résistante aux immunités que la population avait accumulées au fil des ans.

Il n'existe aucun mécanisme connu par lequel l'activité solaire peut favoriser l'évolution du virus, à l'exception du rayonnement pénétrant, qui est intrinsèquement destructeur.

L'abaissement de l'immunité humaine peut également être une conséquence de l'activité solaire, selon Solco W. Tromp, directeur du Centre de recherche biomédicale aux Pays-Bas.

Plus de 30 années de recherche, utilisant des données sanguines de 730 000 donneurs mâles, ont conduit Tromp à la conclusion que le taux de sédimentation du sang varie avec le cycle des taches solaires. Puisque ce taux est parallèle à la quantité d'albumine et de gamma globuline, la résistance à l'infection peut également correspondre à l'activité du soleil.

Tout autour de nous tout n’est que cycles. Des moments importants désormais ignorés par la plèbe qui préfère planter son nez dans un écran plutôt qu’admirer le ciel étoilé. Au printemps 2023, les grosses dames de notre système solaire vont entrer dans le bal.

Un double alignement en direction de la Terre débutera dans les prochains mois. À partir de la mi-mai, les évènements seront plus marqués.

Jupiter-Uranus et Saturne-Neptune sont concernées. Tel un catalyseur énergétique, les deux ensembles seront dirigés vers le Soleil et vers la Terre qui sera derrière. Tout cela amènera une énergie considérable sur notre étoile et sur Terre. Cela va avoir pour effet que de dérégler le climat de Gaïa encore plus fort.

Si ce changement vient bien du CO2, il convient d’opérer une volteface, une transition énergétique digne de ce nom. Il est clair que depuis un siècle et dans l’hémisphère nord, ça s’était réchauffé, jusqu'en 2000. Il suffit d’observer le glacier du Mont Blanc pour s’en convaincre. De 1945 à nos jours, la date des vendanges n’a fait qu’avancer dans le temps. Au Moyen âge (de 1000 à 1300 environ) et selon les données du GIEC, il faisait beaucoup plus chaud qu’aujourd’hui. Durant le Moyen âge, la température était plus de 3 degrés supérieure à celle que nous avons aujourd'hui.

Si c'est vrai, il faudra m'expliquer où veulent en venir les « scientifiques » du GIEC ? Le Groenland (terre verte) fut colonisé par les Vikings lorsqu’il n’y avait pas de neige, d’où son nom. Puis dans les années 1600 à 1800, nous avons connu un petit âge glaciaire.

La Tamise était alors gelée tous les hivers. Nous assistons bien à plusieurs siècles de réchauffement suivis de plusieurs siècles de refroidissement. Et typiquement, le réchauffement ou le refroidissement était de l’ordre du °C par siècle.

Or, depuis quelques dizaines d’années, on nous bassine comme quoi l’effet de serre serait la cause du réchauffement. Ils convient alors de se poser les bonnes questions et d’y répondre : Les activités humaines produisent-elles et rejettent-elles du CO2 ? Est-il vraiment un gaz à effet de serre ? L’effet de serre réchauffe-t-il véritablement la terre ?

L’énergie solaire qui parvient au sol le réchauffe et se transforme en rayons infrarouges. Comme les vitres d’une serre (d’où le nom) les gaz présents dans l’atmosphère piègent alors une partie de ces rayons et réchauffent l’atmosphère.

Ce qui a un effet bénéfique puisque sans cet effet conjugué à celui de la pression atmosphérique (principe de la thermodynamique), la t° moyenne sur terre qui est normalement de +15°C tomberait alors selon eux à -18°C.

Donc, certains gaz dit « à effet de serre » vont bloquer ces rayonnements terrestres et renvoyer, tel un tennisman, l’essentiel de ce rayonnement infrarouge vers le sol. Ce rayonnement étant réfléchi et renvoyé sur terre pendant qu’une petite partie retourne dans l’espace, c’est ça l’effet de serre. Et la chaleur de +15°C est, comme par hasard (merci mon Dieu !), une température optimale pour le développement de la vie.

Le campeur sait que le matin ou il se réveille sous un grand ciel bleu, il va se les geler, alors que sous un ciel couvert la t° est douce car la chaleur émise par la terre est presqu’entièrement reflétée par les nuages. Les gaz constituant majoritairement l’atmosphère : azote (78 %) et oxygène (21 %) ne contribuent pas à l’effet de serre. Seules les molécules contenant 3 atomes ou plus peuvent intercepter le rayonnement terrestre. Ce sont donc les gaz présents en petites proportions qui vont contribuer à cet effet. Ce sont par ordre d’importance décroissante :

- la vapeur d’eau H2O (0,3%), elle est indépendante de l’activité humaine et régulée.

- Le CO2 (0.04%), ensuite viennent le méthane CH4 (0.00018%)

- Le protoxyde d’azote N2O (0.00003%), l’ozone O3 (0.000003%), etc.

Et, pour moins de 1 %, des gaz rares comme l'argon (0,93 %), le néon (0,0018 %, 18 ppm), le krypton (1,14 ppm), le xénon (0,08 ppm), l'hélium (5,24 ppm) et, dans les basses couches, de la vapeur d'eau, du dioxyde de carbone. Et rien que le taux de méthane nous prouve à lui seul que les vaches peuvent continuer à péter en cœur sans modifier le niveau des mers !

1ppm cela signifie un par million, c’est 1/1000000ième. Or nous venons de voir qu’actuellement, le taux de CO2 dans l’atmosphère est aux alentours de 400ppm, soit 0.04%. On peut remonter dans le temps et voir qu’en l’an mille, la concentration de CO2 dans l’air était de 280 ppm soit, 0,028%.

Et néanmoins avec 50% de CO2 en moins, le Groenland était vert, il y faisait plus chaud ! Cette concentration est restée ainsi jusqu’en 1800 avec quelques menues fluctuations à la hausse comme à la baisse.

Puis à partir de 1850, nous allons connaître la Révolution industrielle et les choses vont « s’aggraver » pour monter jusqu’à nos fameux 400ppm, c’est incontestable ! Notre terre tire presque exclusivement toute sa chaleur du soleil qui a une t° extérieure de 5500°C. Il nous envoie de la lumière visible, de l’ultraviolet et nos fameux infrarouges proches.

La terre va en réfléchir à peu près 30% et absorber le reste. Elle va réémettre une partie de ce rayonnement sous forme d’infrarouges lointains : ceux qui sont visibles avec des lunettes de vision nocturne. Et si nous n’avions pas d’atmosphère, c’est tout le rayonnement qui serait renvoyé dans l’espace et nous gèlerions en surface.

Chez nos « voisins », ce qui est paradoxal, c’est que Vénus (460°C), plus loin du soleil est néanmoins plus chaude que Mercure (170°C) relativement proche du soleil. Pourquoi ? « Parce que l’atmosphère de Vénus est composée de 96% de CO2.  C’est cela qui crée un effet de serre énorme, dirait le GIEC, alors que sur Mercure, il n’y a pas d’atmosphère. »

Mais, minute papillon ! c’est oublier un peu vite les lois de la thermodynamique et le rôle joué par la pression atmosphérique. Concernant ma remarque sur la température au sol due à la pression, sur terre, il s'agit de la pression dû essentiellement à l'azote et l'oxygène, le CO2 ne représentant que 0,04% du poids de notre atmosphère ! D’autre part, faits qu’il serait trop long à développer ici, Vénus n’a pas toujours été une planète. Il y a seulement quelques milliers d’années, elle entra en contact avec la terre y causant de grands cataclysmes et garda une grande chaleur interne longtemps après qu’elle se soit fort heureusement stabilisée.

Pour qu’il y ait effet de serre, il faut que l’infrarouge lointain puisse être absorbé par l’atmosphère et pour qu’un gaz puisse absorber ces infrarouges, nous savons qu’il faut qu’il soit composé de trois atomes dans sa molécule voire plus. Ou deux atomes s’ils sont différents, ce qui est le cas du CO2. Le qualitatif est donc là avec le CO2 et tous les gaz correspondant à l’énoncé, mais en quantitatif, tout cela représente quoi ?

À la base, le soleil nous envoie environ 1360 W /m2, ce que l’on nomme irradiation solaire totale.

C'est la puissance reçue par unité de surface qui serait perpendiculaire aux rayonnements juste au-dessus de l'atmosphère terrestre. Avec les différents facteurs que sont : orientation, jour/nuit, etc., la valeur moyenne reçue sera ; en tenant compte de l’albédo (la partie réfléchie par la terre), de 240 W/m2, presque six fois moins.

Et nous avons vu que depuis la Révolution industrielle l’augmentation du CO2 dans notre atmosphère avait été d’environ 50%, ce qui peut sembler énorme (400-280=120ppm). Mais attendez !

Après calcul, cela va correspondre, en tenant compte des autres gaz à effet de serre, à une augmentation de 3W/m2 (de forçage radiatif).

Mais certaines études réalisées par le GIEC indiquent que la puissance émise par notre soleil varie selon des cycles (tâches solaires) de 1360W/m2 avec plus ou moins 0,5W/m2 selon les périodes de 11 ans.

Chose qui, tenant compte des différents facteurs évalués, va résulter en une différence d’environ 0,1 W/m2 ressenti au niveau du sol. Bref, c’est un pet de lapin dans la Blogosphère !

On constate alors que ces scientifiques vendus au système créent des modèles liés à des incertitudes qui vont en engendrer d’autres. Ils parlent de boucles de rétroaction positives qui peuvent être néanmoins compensées par des boucles rétroactives négatives, le tout en un grand flou artistique d’où semble exclue la moindre touche d’humilité devant la complexité de notre univers.

Bref ! Ce qui résulte de ma réflexion c’est que : le 1er gaz à effet de serre est de loin les nuages, la vapeur d’eau ! Concernant le CO2 entropique, celui qui vient soi-disant du pollueur payeur, si l’on écoute les merdias serviles, nous sommes les grands coupables pourvoyeurs du fléau. Alors que plus de 95% du CO2 (c'est-à-dire de ces 400ppm) dans l’atmosphère est produit naturellement (la végétation, les micro-organismes divers, vous et moi et les animaux qui respirent), la décomposition de la végétation, les volcans, etc.

La part liée à l’homme se situe entre 3 et 5% de ces 0,04% de CO2 présent dans l’atmosphère.

Ce qui dans la fourchette haute nous donne : 0,04x5%=0,002%, soit 20ppm : 20 particules par million. Refaites mes calculs si vous voulez, mais je crois bien que tout ce battage médiatique qui nous prend en otage depuis plus de 20 ans et qui tend à vider nos portefeuilles, c’est pour 20ppm dans l’atmosphère !

Malgré sa petitesse, ce CO2 est néanmoins jugé, grâce à tout ce battage médiatique, comme étant l’ennemi public n°1 bon à être éradiqué ! Alors qu’en réalité, il est essentiel à tout le développement de notre biomasse. Sans lui, pas de vie, on a donc besoin du C02, alors !?

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html  

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-3.html

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Retour sur le climat : le vrai (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Plus de 500 ans après la première circumnavigation, peut-être aidé en cela par le fait que le logo de l’ONU soit ce qu’il est (comme un encéphalogramme plat !), il existe encore un certain nombre de personnes convaincues que la Terre est plate.

Mais ce n'est pas l'unanimité qui définit une certitude scientifique, c'est l'existence d'un nombre suffisant de preuves convergentes en particulier lorsqu'elles sont partagées par des scientifiques issus de plusieurs disciplines et de différents horizons.

Cette condition est-elle manifestement remplie pour le changement climatique ? Certainement pas !!! Alors qu’il n’y a pas eu de réchauffement climatique depuis l’an 2000, on nous dit que tous les phénomènes auxquels nous assistons sont le résultat du « réchauffement de la planète », causé par l'activité humaine.

En réalité, ce à quoi nous assistons sont les signes et les symptômes de ce « Grand minimum solaire » auquel j’essaie de vous sensibiliser depuis longtemps, et non pas d'un réchauffement planétaire causé par l'activité humaine des sans-dents.

Au cours de l’année 2020 et après, nous avons eu un solide avant-goût du cycle solaire 25.

Début 2018, l'activité des taches solaires était déjà au niveau du minimum prévu pour dans deux ans. Nous atteindrons le creux du cycle solaire 25 en 2029-2030, date à laquelle Davos espère avoir rempli son agenda (hasard ?)

Durant un tel phénomène, davantage de rayons cosmiques pénètrent dans l'atmosphère terrestre. Ces particules à grande vitesse (principalement des protons) entrent en collision avec des atomes atmosphériques et se dissocient en particules plus petites qui propagent la formation de nuages à basse altitude.

Certaines particules atteignent la surface de la Terre. De cette manière, davantage de rayons cosmiques accélèrent la formation de tempêtes, de précipitations irrégulières, de tempêtes de neige, de grêle, d'inondations locales et, à long terme, un refroidissement global.

Ajoutons à cela que dans un grand minimum solaire, les rayons cosmiques qui parviennent à la Terre et pénètrent à la surface peuvent déclencher des tremblements de terre, des volcans et d’autres anomalies tectoniques.

Les particules pénétrantes (muons) en provenance de l'espace diminuent la viscosité du magma riche en silice. En conséquence de ces éruptions, des quantités accrues d'aérosols et de gaz volcaniques peuvent générer une atténuation globale entraînant un refroidissement et de mauvaises récoltes. Et c’est actuellement le cas.

L'augmentation de l'activité volcanique affecte également les volcans sous-marins. Les 2/3 de tous les volcans sont sous l'eau et la plupart du temps, ils passent inaperçus. C’est très probablement la raison pour laquelle la glace de mer flottante de l’Arctique s’est rétrécie, alors que celle de l’antarctique enclavée se développait. En 2017, les scientifiques y ont découvert 91 volcans sous la calotte. Le phénomène est également observé au Groenland. 

Aujourd'hui, le pôle Nord se déplace de 80 km par an et se dirige vers la Sibérie. C'est-à-dire que les pôles magnétiques terrestres se rapprochent l'un de l'autre, au même moment que le champ magnétique terrestre s'affaiblit, les deux phénomènes s’accélérant.

Depuis 150 ans de 1850 jusqu'en 2000, le champ magnétique terrestre s'est affaibli de 10%. De 2000 à 2010, il s’est encore affaibli de 5%, en une baisse exponentielle.

Ainsi, dans un grand minimum solaire, les sécheresses locales et les mauvaises récoltes peuvent être causées non seulement par moins de pluie et plus de vents, mais simplement par une humidité spécifique plus basse.

Hélas, ces sécheresses seront probablement interprétées à tort comme étant dues au réchauffement et à l'évaporation. Les dommages aux cultures, la chaleur locale de surface, les incendies de forêt et les dommages biologiques peuvent aussi être accélérés par une augmentation du rayonnement UV.

Il existe une relation directe entre l’augmentation des rayons cosmiques et l'appauvrissement de la couche d'ozone. Dans un minimum solaire l’appauvrissement en ozone signifie que les UV-B et C plus cancérigènes et nocifs atteignent la surface.

La réduction en cours de l'intensité du champ géomagnétique laisse entrer plus de rayons cosmiques et plus de rayons UV du soleil. La haute atmosphère, est principalement chauffée par les ondes EUV (Extrême Ultraviolet) émises par le Soleil.

Etrangement, et c’est là où ces salopards sont amplement rusés, les partisans du faux dogme du changement climatique d'origine anthropique prédisent les mêmes extrêmes climatiques que ceux attendus dans un « Grand minimum solaire », sauf le refroidissement à long terme.

Mais ils les attribuent aux mauvaises causes. Et c’est peut-être la raison pour laquelle le GIEC et l’ONU réfléchissent encore à la théorie du réchauffement climatique anthropique, alors même qu’il n’y a pas eu de réchauffement depuis plus de 20 ans.

Hélas pour nous, si les tendances en matière de flux de rayons cosmiques se poursuivent, beaucoup de leurs prédictions vont se réaliser et les gens qui s'interrogent sur le caractère véritable ou non des changements climatiques découvriront rapidement qu'ils sont réels, mais qu’en fait ils n'ont strictement rien à voir avec les gaz à effet de serre et en prime, ils auront froid au cul.

Le GIEC (Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat), est, à notre époque déviante ce que la petite vérole fut à nos aïeux.

Pendant qu’il agite l'épouvantail de l'Apocalypse Climatique engendrée par l'homme, chez nous, dans le 4ème Reich européen, l’Allemagne, pays vert longtemps cité en exemple, entre dans l’ère du charbon avec le titre envié de 1er pollueur européen.

Elle poursuit en effet la construction de 23 centrales à charbon (le lignite bien gras et pourri) et 20 centrales à gaz (russe) après avoir démantelé à ce jour 9% de son nucléaire pour le remplacer par 27 000 éoliennes qui peinent à produire un peu plus de 11% de leur électricité et qui, contrairement à la verdure, rejettent du CO2 à cause du couplage obligé au thermique fossile.

Elle est belle la transition énergétique. On est alors en droit de se demander si Nicolas Hulot ne nous a pas menti ? MDR !

Depuis 150 ans de 1850 jusqu'en 2000, le champ magnétique terrestre s'est affaibli de 10%. De 2000 à 2010, il s’est encore affaibli de 5%, en une baisse exponentielle. Maintenant avant de continuer, j’aimerais vous faire lire cet article que j’avais écrit sur ce blog le 29 août 2018 : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2018/08/urgent-climat-et-catastrophes-a-venir.html   

Les plus courageux pourront également visionner la vidéo qui l’accompagne. Maintenant, revenons à nos moutons, ou plutôt nos alignement et comètes !

Le Coronavirus, est un « virus à couronne », corona, en latin.  Pourquoi ? Parce que lorsqu'on l'étudie au microscope, on observe qu'il est rond et entouré de protubérances, comme un bouchon de bière.  

Ne sous-estimez jamais le pouvoir des mots, le Français est une langue de révélation, et j’en parle allégrement dans le tome 2 du Centième Gueux. Le mot Coronavirus   est un mot composé.

L'effet corona, quant à lui, aussi appelé « effet couronne », est un phénomène de décharge électrique entraînée par l'ionisation du milieu entourant un conducteur. Il apparaît quand le champ électrique dépasse une « valeur critique » à l'approche d'un gros orage, par exemple, qui constitue l’une des formes naturelles de ce phénomène.

Et concernant "notre pote" Covid-19, l’effet corona est à mettre en relation avec l’enveloppe bleutée du virus qui apparait au microscope.

Corona, c’est en quelque sorte non pas une Histoire d'O, mais une histoire d’ions, la même manifestation de charge qui apparait dans les cieux nordiques avec les aurores boréales.

Ces aurores qui possèdent comme caractéristiques d’émettre un halo de lumière vert bleutée lorsque notre soleil fait des siennes à cause d’alignements par exemple !

Et c’est exactement la même apparence que l’enveloppe du coronavirus au microscope. C’est là l’explication officielle du nom de cette famille de virus. La curiosité est que cet effet électrique occasionne un grand dégagement d’ozone. Ce qui nous fait tourner en rond entre le microcosme et le macrocosme en un ouroboros à la Nimrod !

Notre climat avec ou sans co2 n’est certainement pas un long fleuve tranquille.

J’ai déjà évoqué sur ce blog des tranches de notre histoire le démontrant très clairement. Aujourd’hui, je vais évoquer sommairement la France de la seconde moitié du 6èmesiècle à l’aide des écrits de Grégoire de Tours évêque, issu de la noblesse gallo-romaine qui tenait des chroniques sur les débuts des royaumes francs.

Avec lui, on est encore loin du cloisonnement du Moyen-Âge qui émergera quelques siècles plus tard. Il connaissait bien le territoire de la Gaule et même au-delà jusqu’à l’Empire byzantin. Les nouvelles circulaient assez facilement et rapidement sur tout le territoire. Grégoire rapporte régulièrement des évènements météorologiques et cosmologiques qui se sont produits en moins de 50 ans.

On y trouve une forte activité magnétique du Soleil avec plusieurs aurores boréales visibles jusqu’à des latitudes assez basses (Tours), des chutes de météorites, des phénomènes inexpliqués autour de la Lune et du Soleil, des hivers hyper doux avec deux floraisons dans l’année, des inondations gigantesques, des sécheresses et des hivers terribles, des orages titanesques et de la foudre en boule, des invasions de sauterelles, des famines, des maladies innommées mais très dangereuses.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Et toujours pour ceux qui veulent en savoir davantage, il y a Tonton Malthus est revenu.

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html

Olivier

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https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-2.html

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Lorsque l’âge moyen de la mort vient titiller celui de la retraite.

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Souvenez-vous braves gens ! Il y a six mois, il fallait voter Macron pour SAUVER notre pays du fascisme en évitant un régime d’extrême droite.

Il y a un an et demi, il fallait suspendre sans traitement et sans indemnité les soignants qui refusaient l’injection mortifère (à court ou moyen terme).

Et aujourd’hui, triste ironie du sort, ce sont ENCORE les mêmes qui nous demandent de combattre la bande à Macron en descendant dans les rues banderoles au vent.

Si j’ai bien compris l’histoire, ceux qui n’ont été solidaires de personne durant cette couillonnade covidienne nous intiment aujourd’hui l’ordre d’être solidaire de leurs petits intérêts ?

La réforme française sur les retraites prévoit de retarder le départ à la retraite des travailleurs. Seulement voilà, la moitié d’entre eux ne travaillent déjà plus quand ils atteignent 62 ans.

La connerie humaine n’ayant pas de limite, faire partie de la smala inculte du parti Renaissance (RE), ex En Marche, ça donne ça ! Seuls 56 % de nos travailleurs âgés de 55-64 ans occupent encore un emploi. Et cela empire chez les 60-64 ans puisqu’ils ne sont que 33,5 % à travailler.

Pourtant, le projet du gouvernement prévoit de repousser l’âge pivot à 64 ans : une décote serait ainsi appliquée pour ceux qui partiraient entre 62 ans et 64 ans, et une surcote pour ceux prolongeant au-delà de cet âge.

Mais que les « vieux » se rassurent, pour trouver du boulot en « haut lieu » il semble bien qu’il suffise de savoir dire ou penser une connerie par jour, c’est à la portée de tout le monde.

Ce pays part en vrille et ces incultes vendus au Grand Capital en sont la preuve. Où sont passés nos grands dirigeants lettrés d’après-guerre ?

Il faut dire que la réforme de la scolarité (encore une) est passée par là depuis les années 60, laminant le niveau scolaire des enfants de gueux tout comme celui des gosses de nos « élites ».

La réforme des retraites est partie pour reléguer loin bien loin le covid-19 et l’Ukraine.

Durant les semaines qui viennent, toutes et tous n’auront que cela en tête oubliant bien vite la valse des vaccins mortifères et ses effets qui devraient pourtant constituer la seule et unique raison de manifester afin de faire tomber nombre de têtes pourries autant que collabos de Big Pharma.

Mais, pour revenir à notre mouton (à tondre toujours plus). Faut-il être pour ou contre ce projet que peu de Français comprennent, et qui charrie des arguments vus ou entendus mille fois ?

L’attitude la plus sage semble être de ne surtout pas s’en mêler, et de laisser une Macronie déficiente aux prises avec ceux qui, jusqu’ici, l’ont fidèlement soutenue.

Ceux qui descendent dans la rue au nom de la « solidarité » aujourd’hui, n’ont pas levé le petit doigt (bien au contraire), il y a un an et demi, et ont massivement appelé à voter Macron, il y a six mois. Les manifestants d’aujourd’hui ont fait élire Macron hier, ne l’oublions surtout pas.

Ce que je n’oublie surtout pas, ce sont tous ces syndicats qui ont sus regarder ailleurs lorsque les soignants non-vaccinés et autres ont tous été voués aux gémonies.

Jetés plus bas que terre, on les a accusé de tous les mots et menacé de toutes les punitions (pas d’argent, de soins, et même d’interdiction d’accès aux supermarchés).

Ma question est donc : Où était donc passé la solidarité de tous les français concernant un facteur décisif, bien plus important que l’argent : LA SANTE.

En effet à quoi sert-il de gagner un âge légal de départ à la retraite plus court, si l’on est déjà mort avant ? Il est donc ironique de voir les adversaires de la réforme des retraites descendre aujourd’hui dans la rue derrière des banderoles syndicales qui ont servi massivement, hier, à instaurer la dictature sanitaire et le paSS vaccinal SS, puis à faire réélire notre petit, très petit Jupiter.

Et si mon article ne plait pas à certains, qu’ils passent leur chemin.

Olivier

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Un sale coup à la bombe sale ? (Suite et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Le 11 septembre 2001, le nouveau plan était prêt avec deux avions pour trois tours (cherchez l’erreur). Ce fut le coup de la « bombe sale », l’occasion rêvée aux États-Unis pour y suspendre les libertés civiles et pour aller casser la gueule à n’importe qui, n’importe où à l’étranger, dans le cadre de leur guerre globale contre le « terrorisme », comble de la mauvaise foi habituelle chez les Yankees.

Ni une ni deux, tonton Sam s’est dirigé en Asie centrale en envahissant l’Afghanistan en 2001. Deux tentatives de coup d’État ont échoué, l’une au Turkménistan en 2002 et l’autre au Kirghizstan en 2005, toutes deux déjouées par les Russes.

Et si les Américains se sont attardés durant vingt ans en Afghanistan, c’est parce que la CIA y trouvait son compte à travers le commerce de l’héroïne. C’est qu’il en faut du fric pour arranger un coup d’état par ci, une révolution orange par là et distribuer des pots de vin à qui mieux mieux !!

Mais comme on n’arrête pas le progrès, le fentanyl est une drogue à propriété analgésique opioïde. Son potentiel analgésique vaut environ 100 fois celui de la morphine et 50 fois celui de l'héroïne. Il est surtout moins cher.

Alors lorsque les toxicos américains ont commencé à se tourner vers cette "perle rare" fabriquée en Chine, l’héroïne afghane est tombée en désuétude. Comme les Américains sont des gentlemen, leur cadeau d’adieu a été la tentative de coup d’État au Kazakhstan en janvier 2022. Elle a été réprimée par les troupes russes invitées par le président du Kazakhstan.

Ainsi s’est refermée la porte de l’Asie centrale sur le gros pif sclérosé de l’Oncle Sam.

Passons au Caucase. Le gouvernement de Géorgie a été renversé en 2003 et les États-Unis, avec l’aide d’Israël, ont commencé à y former l’armée. Un soupçon de séparatistes tchétchènes y sera ajouté, avec une infusion de fondamentalistes islamiques via la vallée de Pankisi en Géorgie.

Le 8 août 2008, le président géorgien Saakashvili a commencé à bombarder les soldats de la paix russes en Ossétie du Sud. La Russie a réagi en expulsant l’armée géorgienne de la région et en la désorganisant en grande partie Depuis, la Géorgie est restée sans défense, et la porte du sud s’est aussi refermée sur le pif US.

Passons maintenant chez l’actuel joueur de piano avec sa bite, j’ai nommé Zelenski. Là, on peut le dire, les Américains ont réussi à foutre la merde.

Ils ont mis en branle le vieux plan d’un démon, Zbigniew Brezinski.  Moyennant beaucoup d’argent sale de la CIA, la révolution orange de Kiev en 2004 a été suivie de diverses autres révolutions et coups d’État, pour culminer avec la violente révolution du Maidan au printemps 2014.

Ils n’ont pas eu à y ajouter un soupçon de nazisme, il y était déjà présent et à forte dose anti-Russe. Mais là également, l’Oncle Sam et son OTAN en emporte le vent, sont en train de se prendre la porte dans la gueule.

La Russie y a gagné cinq nouvelles régions (Crimée, Donetsk, Lugansk, Zaporozhye et Kherson), tout en transformant l’Ukraine en un vampire moribond toujours en quête du sang (argent) des Européens. Tout en inondant l’Europe de huit millions de goules elles aussi en quête du sang européen. 

Dans cette histoire, seuls les oligarques Ukrainiens et Bruxellois y trouvent leur compte. L’argent ne va certainement aux pauvre mais dans des paradis fiscaux, quant aux armes non détruites, elles sont utilisées pour inonder le marché noir international. L’Ukraine est un État zombi en faillite, avec de loin le gouvernement le plus corrompu de la planète.

En 2010, la hausse des prix des céréales dans les pays d’Afrique et du Moyen-Orient, qui subsistaient en grande partie grâce aux importations de céréales russes, y a provoqué une grande misère. En effet, une mauvaise récolte en Russie a fourni à tonton Sam ce qui aurait pu être une manne dans ce qui est devenu le Printemps arabe.

En conséquence, des bouleversements sociaux, aboutissant parfois au renversement du gouvernement et à la guerre civile, se sont produits au Yémen, en Libye, en Syrie, en Tunisie, en Égypte, à Bahreïn, à Alger, en Irak, en Jordanie, au Maroc, à Oman, au Koweït, en Mauritanie, en Arabie saoudite, au Soudan, à Djibouti et au Sahara occidental.

Cette manne a permis à l’Oncle sénile d’élaborer un tout nouveau plan pour attaquer la Russie par le sud en jouant une fois de plus la carte du radicalisme islamique. Une fois encore, l’argent sale de la CIA y sera grandement utile.

Les jeunes islamistes radicalisés de ces divers pays en détresse ont été organisés en ISIS, alias le Califat ou État islamique, qui a ensuite été implanté en Irak, en Syrie et en Libye, avec des armes, un entraînement et un soutien médiatique généreux, et des vidéos de propagande hollywoodienne.

Mais à un moment donné, le Pentagone et le Département d’État sont entrés en guerre l’un contre l’autre, par le biais d’un ISIS interposé. Et toutes les attentions ont convergé vers la Syrie.

Le plan consistait à établir l’État islamique en Syrie, puis à l’étendre à la Turquie en orchestrant un renversement de gouvernement dans ce pays.

D’ailleurs, Erdogan a failli y passer et doit un grand merci à Poutine. Cette gangrène du radicalisme islamique devait s’étendre plus au nord dans les régions musulmanes turcophones de Russie. Poutine a donc neutralisé ce plan en deux étapes.

Premièrement, en 2015, la Russie a introduit ses forces en Syrie et a procédé au bombardement d’ISIS, permettant ainsi au gouvernement syrien de rétablir son autorité sur une grande partie du pays.

Deuxièmement, en 2016, elle a empêché un renversement du gouvernement turc organisé par les États-Unis et l’assassinat d’Erdogan en le prévenant. C’est là que la Turquie s’est décidée à prendre un laxatif lui permettant d’éliminer l’influence américaine, tout en renforçant ses liens avec Poutine. La Turquie a même acheté à la Russie son système de défense aérienne russe S-400.

Erdogan vient récemment de renvoyer l’ascenseur à Poutine. En effet, les Américains ne reculant devant aucune bévue, l’OTAN a voulu absorber la Suède et la Finlande, juste pour prouver qu’elle peut s’étendre où bon lui semble.

Ce faisant, elle violait les termes du traité de Paris de 1947, en vertu duquel la Finlande doit rester militairement neutre. Du coup, cela remettait automatiquement la Finlande en état de guerre contre la Russie. Cependant, ce plan a rencontré un obstacle lorsque la Turquie a refusé de ratifier cette expansion car, la Suède donne asile aux terroristes kurdes, et la Finlande ne se joindra pas à elle si la Suède ne le peut pas.

Erdogan commande la deuxième plus grande armée de l’OTAN. Quant au président Assad de Syrie, il a été visé par un renversement et une mort violente par toutes les administrations américaines depuis Clinton. Alors, en touche finale, les deux ont décidé de passer du statut d’ennemis à celui de coopérateurs avec les Russes.

Les autres efforts de l’Amérique pour déstabiliser et affaiblir la Russie en semant le trouble dans le Caucase ont également échoué en Arménie. Une révolution de couleur a permis d’installer à la tête du pays Nikol Pashinyan, formé par Soros. Mais, le garant de la souveraineté arménienne est la Russie ; sans son soutien, ce petit pays serait avalé par la Turquie et l’Azerbaïdjan.

Un Azerbaïdjan qui, en 2020, a englouti le Haut-Karabakh, une province disputée par l’Arménie et l’Azerbaïdjan mais occupée par l’Arménie depuis peu après la dissolution de l’URSS.

Pour protéger la population arménienne de cette région, la Russie a dû y introduire ses casques bleus. En plus d’y imposer la paix, le Haut-Karabakh offre un corridor terrestre de la Russie à l’Iran, via l’Azerbaïdjan, ajoutant une autre route, plus courte, de Moscou à l’Iran, et de là à la mer d’Oman et à l’océan Indien.

Ce corridor nord-sud offre à la Russie un accès au commerce mondial. Et notre Bruno Le Maire national peut s’étrangler parce que cet accès contourne tous les principaux points d’étranglement contrôlés par l’Occident : le Kattegat à l’embouchure de la mer Baltique, le Bosphore et les Dardanelles entre la mer Noire et la Méditerranée, le détroit de Gibraltar à l’embouchure de la Méditerranée et le canal de Suez.

Mais la connerie américaine ne s’arrête pas en si bon chemin. Un autre point majeur d’étranglement contrôlés par l’Occident est le détroit de Malacca. Il relie l’océan Indien, via la mer d’Andaman, à la mer de Chine.

Y passe une grande partie du commerce de la Chine avec le monde et une grande partie du pétrole qui alimente l’économie chinoise. Alors, non contents d’emmerder la Russie, les États-Unis ont également déployé divers efforts pour créer des problèmes à la Chine en créant des tensions entre celle-ci et ses voisins du sud, près des îles Spratley, que la Chine a revendiquées et transformées en formidables forteresses. Mais tous ces efforts ont été réduits à néant par une victoire stratégique conjointe russo-chinoise en Birmanie (Myanmar) en 2021.

Aung San Suu Kyi, pur produit occidental, a été chassée du pouvoir et remplacée par Min Aung Hlaing, commandant des forces armées. Grâce à cette action conjointe russo-chinoise, un autre corridor de transport nord-sud a été débloqué.

Celui-ci passe par le Myanmar et relie directement la Chine à l’océan Indien, en contournant le point d’étranglement que constitue le détroit de Malacca.

Alors, que reste-t-il à notre Viel oncle obèse ? Une dernière croisade ? La Russie a réussi à démilitariser l’OTAN et l’Ukraine en détruisant son armée. Elle a dénazifié l’Ukraine. Les Russes savent maintenant aussi comment mettre hors d’état de nuire les systèmes de défense aérienne de l’OTAN. Une fois que l’Ukraine sera débarrassée de tous ses systèmes de défense aérienne, la Russie aura le champ libre pour utiliser son armée de l’air et bombarder avec précision l’armée ukrainienne, comme elle l’a fait avec ISIS en Syrie.

https://www.thebookedition.com/fr/chronique-d-un-occident-oxyde-p-394854.html

Mais, comme je l’écris dans Chronique d’un Occident Oxydé, les Russes ne sont pas trop pressés. Je le précise en début d’article, l’Oncle Sam ne peut pas perdre. Et comme il n’est pas à une connerie près, nous pouvons être sûrs qu’il travaille dur sur un autre plan ou deux. 

Voilà peut-être pourquoi la Pologne vient d’annoncer son intention de doubler la taille de ses forces armées pour atteindre 250 000 hommes ?  Seulement voilà ! De jeunes polonais fortement antirusses, mais pas si cons que cela, et surtout pas malheureux, sont-ils assez fous pour aller se jeter dans la gueule de l’ours.

Surtout que plus les Occidentaux essaieront d’embêter la Russie, plus ils RETOURNERONT au Moyen âge, ils auront froids et seront affamés.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Fin

Olivier

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Un sale coup à la bombe sale ? (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Le voyage de Zelenski au Capitole a été programmé pour coïncider avec l’offensive d’hiver de Poutine qui devrait écraser les forces armées ukrainiennes et mettre fin rapidement à la guerre. Le Deep State et Biden comprennent la situation mais ne disposent plus des quotas d’armes nécessaires pour influer sur un tel résultat.

Mais comme je l’indique dans mon dernier livre https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/12/chronique-d-un-occident-oxyde.html, Washington est toujours déterminé à vaincre la Russie, quel qu’en soit le prix.

Les États-Unis doivent donc créer un incident qui servira de justification à l’escalade. Lisez cet extrait d’un article paru sur RT : Le risque que Kiev tente de fabriquer une « bombe sale » demeure, a déclaré un haut diplomate russe… (« Radioactive threat from Kiev persists – Moscow », RT).

Les États-Unis ne vont pas abandonner le conflit qui pourrait s’éterniser pendant des années, voire des décennies. Pour l’OTAN : l’Ukraine NE PEUT PAS PERDRE.

Pour l’Etat profond, la seule solution serait donc que les forces de l’OTAN entrent en Ukraine, en espérant que cela mette fin à l’offensive russe. Pour eux, Poutine ne voudra pas affronter directement l’OTAN avec les possibles conséquences (nucléaires).

Mais les membres de l’OTAN sont divisés dans leur vision de la guerre en Ukraine. À l’exception de la Pologne et, peut-être, de la Roumanie, aucun autre n’est pressé d’aller au feu, même notre Jupiter national.

Personne à Londres, Paris ou Berlin ne veut courir le risque d’un conflit nucléaire. Et chez l’Oncle Sam, mis à part les fous du Deep State, peu d’Américains sont favorables à un conflit contre la Russie, pour défendre un pays qu’ils sont presque tous incapables de localiser sur une carte.

Mais agissant en fidèles toutous, les Polonais prévoient de rappeler bientôt 200 000 réservistes en 2023 et cet effet de manche pourrait facilement conduire à une mobilisation nationale.

Comme je l’explique dans mon livre et dans mes derniers articles, attirer la Russie dans une guerre en Ukraine était un vieux rêve de l’élite remontant à au moins dix ans.

Angela Merkel, a vendu la mèche et c’est une réalité que Washington n’a jamais cherché une résolution pacifique du conflit. L’Oncle Sam a travaillé sans relâche pour installer à Kiev un régime anti russe qui l’aiderait à poursuivre sa croisade contre la Russie de Poutine.

Mais le Président russe étant un fin stratège en voie de remporter le conflit ukrainien, Washington ne peut pas permettre que cela se produise.  Elle ne peut pas permettre au monde de voir qu’elle a été battue par la Russie.

Washington doit donc poursuivre la seule option qui lui reste, à savoir le déploiement de troupes américaines en Ukraine afin d’y réaliser SA DERNIERE CROISADE contre la Russie.

Et puisque j’ai utilisé le terme « Croisade », pour en comprendre l’origine, il convient de remonter loin dans le temps, très loin. Pour les rois occidentaux, leur prétention à être ordonnés par Dieu reposait sur l’approbation de la Rome papale.

Mais, pour les Russes, le pape n’était qu’un usurpateur. Papes aidant, le problème a donc persisté. L’idée qu’il existe un club exclusif de nations occidentales qui méritent d’exercer leur autorité sur le reste du monde, est restée jusqu’à aujourd’hui.

Dès lors, nous comprenons bien mieux cette haine occidentale à l’égard de la Russie orthodoxe et les différentes agressions qu’elle aura à subir à travers les siècles d’obscurantisme catholique. Bref ! Mode US : TOUT ce que l’Occident ne peut contrôler doit être détruit.

La Russie aura connu les chevaliers teutoniques, puis les Suédois, les Polonais, puis encore des Suédois, puis les Français sous Napoléon, puis les Allemands sous Hitler, et maintenant les Américains.

Les Allemands et les Suédois l’ont attaqué jusqu’en 1709. Puis ce sera le tour des Français, en 1812 ; puis les Allemands en 1941.

Quant à l’Oncle Sam, le vieux salopard était prêt à l’attaquer en mars 2022. Mais, comme d’habitude, le cul bien au chaud à la Maison Blanche et par personnes interposées. Comment ? Par l’intermédiaire de leurs mandataires ukrainiens et de l’OTAN.

Seulement voilà, ce n’est pas de bol ! Ils ont été devancés par un talentueux joueur d’échec. Et c’est une « opération militaire spéciale » de la Russie qui s’est avancée afin de dénazifier l’Ukraine. https://twitter.com/i/status/1608548897261031426  

L’Occident devrait ainsi prendre garde car une fois agressée, la Russie est entrée dans Paris ; puis les chars russes sont entrés dans Berlin. Et désormais avec le vieux sénile pédophile de Biden, nous devrions donc nous attendre à des feux d’artifice hypersoniques russes au-dessus de Washington.

Mais pas que ! En 2015 j’ai écrit un roman : C’était donc vrai !

Dans ce tome 1 auquel Chronique d’un Occident Oxydé fait suite, j’y évoquais déjà de « drôles » d’armes que les Russes pourraient bientôt utiliser sur Londres et sa City du Diable.

https://www.thebookedition.com/fr/chronique-d-un-occident-oxyde-p-394854.html

Et dans cette perspective, je suis tombé dernièrement sur les prédictions de la « Nostradamus des Balkans ». Cette dame a, en effet, prédit des perspectives aussi surprenantes qu’effrayantes pour 2023.

Si certaines de ses visions peuvent sembler bizarres, sa clairvoyance a pourtant été prouvée à de nombreuses reprises (date du décès de Staline, chute de l’URSS, 11 septembre 2001.etc.)

Née en 1911, cette voyante bulgare décédée en 1996 s’était illustrée pour avoir évoqué l’élection d’un président afro-américain : Barack Obama à la Maison Blanche. En 2022, ses prédictions s’étaient également révélées exactes sur les températures extrêmes ressenties en Inde. La création de bébés nés en laboratoire faisait également partie de ces prédictions.

Avant de disparaître, elle avait notamment évoqué la perspective d’une explosion dans une centrale nucléaire sur le continent asiatique (Fukushima).

Elle voyait également des essais d’armes biologiques, responsables de milliers de morts dans le monde entier. Elle évoquait même un certain proche blackboulage de Gaïa, ainsi que d’une tempête solaire à l’ampleur inouïe (des faits qui correspondent à l’Apocalypse de Jean).

Entre dérives génétiques et résurgence de la Russie, cette dame ne fait qu’apporter de l’eau à mon moulin de « complotiste ».

Seul point de divergence avec elle, Baba Vanga imaginait une invasion extraterrestre avec l’arrivée des aliens prévue pour 2023.

Je ne crois pas aux ET, par contre j’ai ma petite idée sur ce qu’une élite aux abois serait capable de nous réserver. J’y ai d’ailleurs déjà consacré plusieurs articles donc celui-ci : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/10/un-ecran-de-fumee.html  Je l’écrivais déjà en 2015 dans C’était donc vrai !

En 1998, il y a 25 ans, sous le joug de l’ivrogne Eltsine vendu aux Américains, l’économie russe était en ruine, poussée par les US, la première guerre tchétchène était perdue et l’Occident occupé à piller ce qui restait de l’économie soviétique.

Les sentiments séparatistes allaient bon train et la Russie aurait pu s’effondrer, réalisant ainsi le vieux rêve occidental. Mais l’Occident ne pouvait pas attendre et a décidé de donner un coup de grâce à la Russie en déclenchant la deuxième guerre de Tchétchénie.

Et là, au grand dam du Deep State, Poutine est arrivé au pouvoir et a gagné la Seconde guerre de Tchétchénie. L’apparition de Poutine sur la scène mondiale a été une surprise totale pour l’État profond. Il a alors réalisé qu’il avait besoin d’un tout nouveau plan pour détruire la Russie.

La domination complète du monde entier par les États-Unis, a toujours constitué l’obsession du Deep State. La Russie devait donc être attaquée de partout à la fois.  À l’ouest, via l’Ukraine ; au sud, via le Caucase ; et à l’est, via l’Afghanistan et l’Asie centrale.

Les terres russes étant riches en minerais, gaz et pétrole, son commerce devait être perturbé, ses liens économiques rompus et sa politique perturbée par des manifestations internes.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/un-sale-coup-a-la-bombe-sale-suite-et-fin.html

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Un putain d’enfant indigne (Suite et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/un-putain-d-enfant-indigne-partie-1.html

L’idée de base est que les capitalistes vampirisent le travail des prolétaires et que dans un régime communiste, cet apport de sang frais (plus-value) retournera aux gueux, et ce sera le paradis sur terre.

Communisme et socialisme sont deux champs de ruines parsemés de centaines de millions de cadavres de pauvres prolétaires. Le seul moment où de tels outrages à l’intelligence humaine fonctionnent, c’est en temps de pénuries diverses et variées. Comprenez-vous l’astuce !?

Si on rentre dans une période de décroissance contrainte par l’arrivée inéluctable des pénuries, comme expliqué dans ma précédente série, le marché ne peut pas être laissé à lui-même, et il faudra organiser la société pour que les tickets de rationnement soient distribués de façon équitable. Et ça, le communisme sait faire en enfermant ou flinguant ceux qui ne seraient pas d’accord.

Et c’est là où les Athéniens s’atteignirent, parce que technologie et transhumanisme aidant, c’est ce que nous prépare le rejeton satanique de ces deux idées stupides, le Malthusianisme et le Marxisme. Pourquoi ? Parce qu’ils ont réussi à engendrer un sinistre avorton ; j’ai nommé : l’écologisme catastrophique, dont les idées dominent le monde occidental en ce moment.

Et là, désormais, on ne dit plus au gueux qu’il n’y en aura pas assez pour tous. On dit simplement que si l’on utilise les matières premières existantes, on va tous mourir. Elle est pas belle l’histoire !? Ce qui change c’est l’interdiction d’utiliser les matières premières, puisque cette utilisation réchaufferait la planète.

Les scénaristes hollywoodiens n’ont pas changé la fin du film. On y meurt encore tous. Ce qu’ils ont changé c’est l’idée qu’il n’y en a pas assez pour tout le monde tant ils se sont rendu compte que la pénurie qui était censée arriver depuis des lustres n’aurait jamais lieu.

Ils ont donc remplacé l’idée de pénurie mortifère par un scénario gore où la simple intension d’utiliser les ressources naturelles de Gaïa fait de nous, les gueux, des zombis dégueulasses juste bons à être exterminés.

Se dessine ainsi une nouvelle religion avec ses prêtres pédophiles tous menés en chapelets par sainte Greta. Et, bien entendu, à une religion, il faut des ouailles. Ce sont tous ces cons qui gobent tout cru ce scénario à la mort moi le nœud. Dans cette nouvelle religion, comme nous le verrons plus loin, les blasphémateurs condamnés à mort ont une petite chance de s’en sortir si le clergé intervient en leur faveur.

Bien sûr, les membres du clergé reçoivent nombre de cadeaux qu’ils offriront sur les autels de la divinité. Et c’est là où nous en sommes.

Une fausse science a engendré un nouveau clergé qui ne cherche qu’à vivre au détriment de ceux qui bossent. Et le plus extraordinaire est que tout cela se fait au nom de la « Science ». Mais cela avait déjà été le cas des deux supercheries précédentes, Le malthusianisme se prétendait scientifique, mathématique.

Raté avec la première révolution industrielle. Le marxisme se prétendait scientifique. Raté avec la deuxième révolution industrielle. L’écologisme se prétend scientifique. Ça va rater aussi, avec la troisième révolution industrielle, celle de la connaissance.

Mais cette thèse a en commun avec les deux précédentes le fait que ses LAQUAIS haïssent la liberté individuelle et défendent les intérêts des riches et des puissants contre ceux des petits.

Cette nouvelle religion, ENFANT INDIGNE des deux idées stupides précédentes fait déjà des dégâts considérables.

L'ancien chef de la Commission européenne, Romano Prodi, et l'actuelle présidente, Ursula von der Leyen, ont annoncé la probabilité d'une guerre commerciale entre l'UE et les États-Unis.

Sa raison ? « L'Inflation Reduction Act » qui est entré en vigueur aux États-Unis dès le 1er janvier 2023. Cette loi offre des subventions massives aux entreprises mettant en œuvre des projets utilisant des énergies propres et des technologies propres, à condition qu'elles soient résidentes américaines.

Comprenez-vous comment le vieux vampire d’Oncle Sam s’y prend afin de pomper définitivement le peu de sang frais restant encore en Europe ? Nos propres vampires européens en sont à se demander ce qu’il va leur rester ?

C’est environ 370 milliards de dollars de subventions qui serviront d’incitation supplémentaire aux géants industriels européens prêts à se délocaliser aux États-Unis.

De plus, les États-Unis risquent d’accaparer la majeure partie de l’approvisionnement en métaux rares, nécessaires à la production de panneaux solaires et éoliens, ainsi que de batteries et de moteurs de voitures électriques.

Ces mesures, combinées au coût et au manque des ressources énergétiques, contribuent à « l’absorption » de l’industrie européenne par les États-Unis. Nos entreprises dans l’UE ne seront plus compétitives.

Avec « L'Inflation Reduction Act », les États-Unis, placent un plateau d’argent au nez des propriétaires d’usines européens. Dès lors, le choix est simple : la délocalisation ou la mort.

Les géants européens s’apprêtent donc à fermer leurs usines en Europe. Constructeurs automobiles, usines chimiques, sociétés pharmaceutiques et bien d’autres suivront, licenciant des centaines de milliers de travailleurs.

La loi a été signée par le vampire pédophile Joe Biden en août dernier, au plus fort du conflit armé en Ukraine, qui, semble-t-il, aurait dû unir au maximum les pays occidentaux pour affronter la Russie.

Mais le sabotage de Nord Stream a privé l’Union européenne de la majeure partie de son gaz. Et un embargo sur le pétrole offshore ainsi qu’un plafond des prix pourraient laisser le continent sans pétrole russe.

Il s’est avéré que tout ce qui est bon pour les États-Unis n’est pas bon pour l’Europe, qui est devenue dépendante des ressources énergétiques américaines et a presque complètement perdu son indépendance dans la prise de décision.

Cette loi américaine est l’un des principaux outils permettant à Biden de conserver le pouvoir. De nouvelles industries et de nouveaux emplois sont conçus pour atténuer la crise de l’économie américaine à moyen terme (idéalement avant l’élection présidentielle de 2024).

En fait, les pays de l’UE, effrayés par la Russie, ont été placés dans un bocal dans lequel les États-Unis se sont avérés être l’araignée la plus grande et la plus vicieuse. Les tentatives des Européens de résister jusqu’à présent semblent comiques.

La proposition d’Ursula von der Leyen de créer un fonds pour subventionner l’économie en réponse aux avantages américains ne semble pas non plus prometteuse. Les capacités financières de Washington et de Bruxelles sont incomparables, et il n’y a certainement pas d’argent supplémentaire, compte tenu de la crise en Europe et des coûts croissants de l’aide à l’Ukraine.

Les projets de l’UE visant à se fournir en ressources énergétiques alternatives semblent encore moins prometteurs qu’avant février 2022.

La stratégie hydrogène de l’UE prévoyait l’organisation de la production jusqu’à un tiers du volume d’hydrogène en Ukraine et dans les pays d’Afrique du Nord d’où il devait être importé dans l’UE. Depuis le début de la guerre en Ukraine, les pays d’Afrique du Nord, à l’image de l’Algérie et du Maroc, considèrent désormais l’UE comme un client affaibli, perdant rapidement son influence et sa solvabilité.

L’affaiblissement de l’euro et l’atteinte de la parité avec le dollar ont contribué à l’appauvrissement des citoyens de l’Union européenne. Un nouvel affaiblissement de l’euro comme moyen de maintenir la compétitivité de l’économie ne fera qu’alimenter les mouvements de protestation sur le continent.

De plus, les Etats-Unis peuvent orienter leur politique monétaire dans le sens inverse (et tôt ou tard cela arrivera) : en baissant à nouveau les taux d’intérêt et en affaiblissant le dollar, ils stimulent ainsi leurs exportations. Mais cela n’arrivera pas avant que l’Europe ne soit épuisée.

Au lieu de jouer les va-t-on -guerre pour le compte de l’Oncle Sam, c’est une réconciliation avec la Russie et une alliance stratégique avec la Chine qui nous seraient grandement nécessaires.

Et cela se traduirait par une rupture avec les États-Unis, ce que l’UE ne peut tout simplement pas se permettre dans la situation actuelle. Washington en est bien conscient, et c’est pourquoi les Américains se livrent à ce chantage.

La désindustrialisation de l’Europe se poursuivra rapidement en raison d’un certain nombre de circonstances. Premièrement, les États-Unis veulent un résultat rapide pour des raisons politiques.

La production d’automobiles, d’appareils électroménagers et de médicaments sont autant d’activités à forte marge qui procurent un effet positif rapide et visible pour le pays qui les héberge. Et les démocrates doivent « se saigner aux quatre veines » pour démontrer l’efficacité de leurs politiques économiques à court terme en 2023-2024. Ils n’ont nulle part où aller et Trump ou De Santis sont derrière eux.

Deuxièmement, les entreprises ont tendance à prendre rapidement des décisions vitales. La peur de leurs propres gouvernements, des obligations sociales et d’éventuelles sanctions de Bruxelles cède la place à la peur de perdre des marchés de vente, et avec eux l’entreprise en tant que telle.

Les ateliers d’assemblage déménageront aux États-Unis sans annonces bruyantes, les fournisseurs de matières premières et de composants y seront également attirés. Dans le même temps, la décision de déménager ne sera pas temporaire : les allocataires sociaux aux États-Unis seront soumis à des obligations qui ne leur permettront pas de rentrer chez eux avant longtemps (et très probablement jamais).

Il n’y aura donc pas de guerre commerciale entre l’UE et les États-Unis, mais il y aura du cannibalisme ordinaire. Du style de celui que tonton Malthus aurait imaginé lorsque la nourriture commencerait à manquer face à une populace devenue grouillante. Ou de celui qu’aurait pu imaginer un sataniste comme Marx, armé de son petit tiquet de rationnement à destination du survivant adroitement zombifié style 1984, d’Orwell.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

Fin

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Un putain d’enfant indigne (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Lorsque deux monstres copulent, ils ne peuvent qu’en engendrer un autre. Un nouveau, qui sera bien plus vorace encore que ses deux parents.

Dans mon livre Nachash, je passe Einstein à la moulinette. On lui doit néanmoins cette phrase célèbre pavée de bon sens : « Deux choses sont infinies ; l'Univers et la bêtise humaine. Mais en ce qui concerne l'Univers, je n'en ai pas encore acquis la certitude absolue. »

Notre société actuelle semble lui donner entièrement raison. Mais comme je l’indique à nombreuses reprises, l’illogisme actuel et son non-sens scientifique vont disparaître à grand renfort de REVELATIONS.

Notre science actuelle apparemment logique ne constitue en réalité qu’un tissu d’âneries, et 3 ans de Big Pharma à dose intensive nous l’ont prouvés. Quant au « méchant » CO2 réchauffeur, il est de la même trempe que couillonavirus, c’est-à-dire, fabriqué de toute pièce.

Et dans la catégorie « idées totalement fausses mais apparemment logiques » et qui survivent allégrement dans la cervelle du béotien, j’ai un faible pour celles émises par Malthus (en 1798). Voilà pourquoi je lui ai consacré un livre sorti, il y a bientôt 3 ans, Tonton Malthus est revenu.

Dans ce survol rapide de la pensée humaine hautement folledingue autant qu’éminemment dangereuse, n’oublions pas celle de Marx (1848) tant elle est, au même titre que celle de Malthus, séduisante, fausse et a amené à des résultats désastreux.

Remarquez au passage que, bien qu’étant fausses et dingues, rien jusqu’ici n’a jamais entamé la popularité de ces pensées dingues, en particulier chez les « experts » de plateaux télé.

Certains se diront alors en lisant cette article, « Pourquoi revient-il sur de tels poncifs en des temps aussi graves ? » C’est simple ! Les deux salopards ont su, style woke, copuler en un rut grossier autant qu’inutile, sauf pour la classe dirigeante. Je m’explique !

Cette copulation frénétique a, depuis quelques années, accouché d’une espèce d’animal anti christique. J’ai nommé l’écologisme catastrophiste. En effet, moult émissions, séries, films et immondes salopards passant sans cesse à la télé, cherchent à nous convaincre qu’il n’y en aura pas assez pour tout le monde et que nous devons décroitre au sens propre comme figuré (le cœur de la théorie Malthusienne).

Il y a trop de gueux sur Terre et ça commence sérieusement à agacer Bill le coyote qui, seringue à la main, semble avoir trouvé The solution.

Voilà pourquoi nos petits kapos de dirigeants aux ordres du Deep State lorgnent tous avec concupiscence en direction du « système chinois ». Il nous faut donc passer à une société communiste dont les chefs seront chargés de distribuer les tickets de rationnement, (chose que le communisme sait faire).

Le crédit social à la chinoise nécessitant de la haute technologie et beaucoup de « poussières intelligentes », rêve et spécialité de tonton Schwab, on comprend alors pourquoi son Forum Economique Mondiale et tous ces démons qui l’animent, style Harari, son petit mignon en second à l’anus dilaté, se sont empressés de nous gratifier d’une PLAN-démie.

En effet, comment voulez-vous que notre « élite » planétaire, psychopathe autant que pédophile puisse JOUIR tranquillement des bienfaits de Gaïa, s’il faut les partager avec des milliards de gueux ?  Quel horreur !!

Il faut donc faire le ménage à grands coups de virus, guerres et pénuries en tout genre, afin de faire disparaitre moult cancrelats.

Eux seuls méritent Gaïa, puisqu’ils ont gagnés tant d’argent à nous voler. Mais en arriver là, nécessite une préparation méticuleuse. Le gueux est généralement con, mais quand même ! …

Les électeurs votent assez rarement pour des gens qui ont pour objectif de les faire crever et les empêcher de se reproduire.

La recette consiste donc à prendre une grande casserole et commencer à faire cuire tous ces cons, mais à feu doux. Jusqu’à ce qu’ils s’endorment et soient tous cuits. Ça commence donc dans les têtes qu’on ramollies et se termine dans les urnes qu’on contraries.

Pour bien comprendre l’imbécilité congénitale de ce nouveau monstre intellectuel qu’on nomme pompeusement « écologie verte », il me faut expliquer d’abord que les deux parents wokes n’étaient déjà pas très brillants.

En 1798, le pasteur tonton Malthus va, en « parfaite cohésion » avec la pensée christique, nous expliquer que, si la population croît de façon géométrique et la nourriture de façon arithmétique, le monde va faire face à d’immenses famines et que la seule solution est de ne pas faire d’enfants si on veut leur éviter de mourir de faim.

Thèse complètement à l’opposé de la parole du Christ « Croissez et multipliez ».

La thèse voulant qu’il n’y en ait pas assez pour tout le monde, et qu’il était « évident que nous allions un jour manquer de tout pétrole compris » est, comme couillonavirus, de la daube en gelée.

Lorsqu’on comprend que le pétrole n’est pas un résidu fossile, mais un combustible liquide très abondant sur la planète, on commence à voir l’arnaque. Mais créer l’idée de rareté fait monter les prix et ça, Rockefeller l’avait bien compris, il y a plus de cent ans déjà.

Il y a trop de monde sur la terre ? Si l’on parvenait à réunir en un point unique toute la population mondiale actuelle, elle tiendrait dans un carré de moins de 100 km de côté. Il y a de la place pour tout le monde. Et, concernant les richesses diverses de cette merveilleuse planète, si elles étaient partagées de manière EQUITABLE, il y en aurait pour tous, et l’on pourrait encore faire des enfants (beaucoup).

De toute façon, il y a de quoi faire plaisir aux Malthusiens car, ondes en tout genre et vaccinations mortifères aidant, la courbe de natalité va s’inverser d’ici peu puisque les taux de fertilité des femmes baissent partout.

Donc, la population mondiale va commencer à baisser sèchement, cela est certain. D’ici-là, nous allons souffrir d’une remarquable pénurie de main d’œuvre dans les décennies qui viennent.

Au lieux de miser sur l’extermination massive, si nos dirigeants étaient intelligents (ils ne le sont pas), ils miseraient massivement sur l’inventivité humaine qui est infinie. Les seuls à être de trop sur Gaïa, ce sont ces Malthusiens qui, à chaque génération, nous abrutissent le cerveau par le biais de ces foutus professeurs d’université, qui remettent au goût du jour la pensée malthusienne.

À la fin des années soixante, nous en avons eu un « beau » avec Paul Ehrlich, professeur à Stanford, et son bestseller mondial « the population explosion ». Dès les premières pages, nous avions droit à l’apocalypse.

Il y expliquait qu’au début des années 70, l’Inde et le monde entier allait connaître des centaines de millions de mort à cause des famines qui allaient sévir pendant cette décennie. Seulement, pas de bol ! Fin des années 70, l’Inde commençait à exporter du blé, une nouvelle semence ayant été trouvée.  Et depuis la parution de son premier livre, la population de ce pays a plus que doublé et les famines y ont disparu.

Mais qu’on se rassure ! Tout comme avec les mensonges concernant le covid-19 et les vaccinations « salvatrices », tous depuis démentis, les mêmes menteurs continuent à déblatérer sur les plateaux Télé. Concernant Paul Ehrlich, c’est pareil. Il continue à se pavaner comme un coq fier de ses erreurs.

Sa popularité médiatique n’a pas baissé d’un poil bien que s’étant trompé sur tout depuis cinquante ans. Ainsi Big Pharma et la NASA ont encore de bons moments à vivre, puisqu’il continue à être invité par les médias et au congrès des Etats-Unis pour nous expliquer que nous allons tous mourir dans des souffrances atroces et dans un futur très proche.

Et puisque j’ai déjà abordé le cas du pétrole, au milieu des années 70 s’est produit une grande crise énergétique. Le pétrole passe de 2 à 30 dollars le baril.  Le Club de Rome, cette organisation malthusienne dont je vous ai déjà longuement parlé, va alors nous expliquer que l’on n’a encore rien vu, que le monde consomme 50 millions de barils de pétrole par jour et que dans sept ans, il n’y en aura plus.

Cinquante ans plus tard, le monde en consomme 100 millions par jour et nous en avons encore BEAUCOUP en réserve. Ce pétrole est à 74 dollars le baril, ce qui est moitié moins en termes réels qu’au premier janvier 1980…Venons-en maintenant à Marx, le cauchemar communiste auquel j’ai déjà consacré cet article : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/06/onu-soit-qui-mal-y-pense-ou-comment-satan-se-cache-partout-partie-1.html

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« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

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MEILLEURS VOEUX 2023

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Je souhaite une bonne et heureuse année à tous mes lecteurs, même si je suis ABSOLUMENT sûr qu’elle sera très pénible pour BEAUCOUP.

Et pourtant ! La vie pourrait être si BELLE sans ces putains de mondialistes et autres davosiens fous.

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