Retour sur le climat : le vrai (Partie 3)
Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html
Un pourcentage supérieur de ce CO2 va même doper la croissance végétale. Il n’est pas toxique lorsqu’on le respire et il est juste un peu plus lourd que l’air et s’il y a accumulation, il n’y a plus d’air là où il est. Contrairement au CO des poils à charbon qui, lui, est toxique.
Mais bizarrement, c’est à une époque où les pays émergeants (Inde, Chine, etc.) commencèrent à arborer une croissance annuelle à deux chiffres qu’on va voir arriver une courbe affolante. Une courbe en crosse de hockey publiée en 1998 par Michal E. Mann, propre à vouloir reconstituer la t° moyenne du globe depuis 1000 ans.
On y constate une t° constante jusqu’aux années 2000 où là, on assiste graphiquement à une envolée de la température adroitement mise en corrélation avec une augmentation concomitante du CO2. L’évidence était prouvée, c’était le CO2 produit par l’homme qui était à l’origine de l’envol de la t° exponentielle.
Bien que rapidement contestée, c’est cette courbe qui a permis à tout un mouvement puissant de se saisir de l’opportunité. Le mal était fait ! Al Gore va alors prédire la disparition des glaces aux pôles en 2013 et venir formater l’opinion publique mondiale grâce à un film à grand spectacle « Une vérité qui dérange ». En plus d’une bonne paie, il recevra le prix Nobel de la paix.
Al Gore et une longue lignée de salopards ont donc fait du CO2 et du réchauffement des outils propres à les enrichir toujours davantage, ce au mépris de la vraie science.
« Grace » à eux, presque toutes les sources d’énergie émettant du carbone ont été marquées par les militants du climat et les gouvernements occidentaux comme une menace devant être effacée entre 2030 et 2050.
Alors qu’une grande partie du monde occidental, y compris les États-Unis et l’Europe, dépend du gaz naturel pour de nombreuses applications énergétiques, les globalistes et les escrocs du changement climatique ont aussi mis le gaz naturel sur la liste des vilains.
De quoi provoquer à très court terme une chute de l’activité économique, ainsi qu’à des prix beaucoup plus élevés pour toutes les autres sources d’énergie en raison de la demande croissante. Il n’existe AUCUNE solution énergétique verte qui puisse remplir le même rôle que le gaz.
Aux États-Unis même les cuisinières à gaz font polémique. Biden et sa bande d’escrocs veulent les interdire au nom de la « santé ».
Ces affirmations trouvent leur origine dans une seule étude publiée en décembre par l’International Journal of Environmental Research and Public Health. Le groupe est financé par des fonds privés qui défendent des politiques vertes agressives et s’efforce de «transformer les systèmes énergétiques mondiaux à travers l’économie réelle ».
Bref, au même titre que l’étude partisane du Lancet faisant de l’hydroxy chloroquine un poison mortel, celle-ci est rédigée par des personnes ayant un parti pris.
Devant leurs mensonges de Réchauffistes qui prennent l’eau de partout mais certainement pas à cause de la fonte des glaces, les globalistes tentent des entreprises désespérées autant que grotesques. La pression en faveur de l’interdiction des cuisinières à gaz n’est pas une question de santé, mais de contrôle devant faire des émissions de carbone et les produits énergétiques des problèmes de santé.
C’est encore et toujours la peur qui est utilisée comme levier afin d’inciter le public à soutenir la décarbonation.
Au même titre que Davos vient de se prendre une méchante claque lors de sa réunion 2023, le culte du climat est vraiment désespéré, c’est pourquoi j’enfonce le clou afin de réveiller les sceptiques.
La vérité sur le changement climatique commence à se répandre dans le grand public. Car, sachez-le, la température moyenne de la planète n’atteint pas des niveaux dangereux.
Selon la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA), l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique, la température de la Terre a augmenté de moins de 1°C au cours du siècle dernier.
En fait, comme je l’indique depuis des lustres, la température de la Terre a été beaucoup plus élevée qu’aujourd’hui à plusieurs reprises dans son histoire, bien avant que les émissions de carbone d’origine humaine n’existent.
Les relevés officiels de température utilisés par les climatologues ne remontent qu’aux années 1880, ce qui représente un laps de temps infime par rapport à la durée de vie épique de l’atmosphère terrestre.
Il n’y a pas de différence significative entre les modèles de tempête d’aujourd’hui et ceux d’il y a 100 ans. Comme je l’explique en détail dans Tonton Malthus est revenu, la propagande sur le réchauffement climatique dure depuis longtemps. Dans les années 1980, on nous expliquait sur un ton catastrophiste que de grandes parties des continents seraient sous l’eau en l’an 2000.
Depuis longtemps, le but des globalistes est de contrôler ainsi presque tous les aspects de notre vie quotidienne. Sans les énergies à base de carbone, presque toutes les industries s’effondreront.
S’ils y parviennent, réalisant ainsi le « doux » rêve de tonton Schwab, le vide laissé par le gaz, le pétrole et le charbon sera insondable. Tout ce qui restera sera une production alimentaire minimale et une population humaine en diminution. Ceux qui survivraient vivraient un cauchemar bien pire que les propos les plus sombre de Georges Orwell, car les gueux seraient esclaves des restrictions de carbone.
J’y reviendrai plusieurs fois car c’est vital que vous le compreniez. L’élite complote depuis longtemps pour utiliser l’environnementalisme comme excuse à la centralisation. Depuis 1972 au moins, lorsque le Club de Rome, un groupe de réflexion rattaché aux Nations unies, a publié « Les limites de la croissance ». Vingt ans plus tard, il publiait un livre intitulé « La première révolution mondiale ».
Dans ce document, ces messieurs recommandent spécifiquement d’utiliser le réchauffement climatique comme vecteur : « En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pourrions nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement de la planète, les pénuries d’eau, la famine et autres, feraient l’affaire. Dans leur ensemble et leurs interactions, ces phénomènes constituent effectivement une menace commune qui doit être affrontée par tous ensemble. Mais en désignant ces dangers comme l’ennemi, nous tombons dans le piège, dont nous avons déjà averti nos lecteurs, à savoir confondre les symptômes avec les causes. Tous ces dangers sont dus à l’intervention de l’homme dans les processus naturels, et ce n’est qu’en changeant d’attitude et de comportement qu’on peut les surmonter. Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même. »
Ceux qui désirent vérifier mes propos peuvent le faire sur ce lien : Cette déclaration provient du chapitre 5
https://archive.org/details/TheFirstGlobalRevolution/page/n85
Le principe reste toujours le même, galvaniser des foules zombifiées derrière un « ennemi commun ». Faire feu de tout bois, contre un seul ennemi : nous. Traduction : nous devons nous phagocyter en suivant une seule bannière, celle de ce même globaliste qui aura créé le problème pour ensuite venir parader avec sa solution : nous éradiquer. Et les élites considèrent la catastrophe environnementale, causée par l’humanité elle-même, comme la meilleure motivation possible.
Encore une fois, ce n’est pas une question de santé, c’est une question de contrôle dans une longue chaîne qui mène au totalitarisme du carbone. Et comme tout est planifié en amont dans les loges et Bilderberg, en 1988, nous avions eu droit à la création du GIEC.
En 1992, nous aurions droit au sommet de Rio, en 1997, aux protocoles de Kyoto, etc. Puis de 1998 à 2015, nous allions nous taper toutes les conventions internationales. Elles vont se succéder jusqu’à celle de Paris, la 21e d’où son nom : COP21. En 2002, à Johannesburg, Chirac dira : « notre maison brûle et nous regardons ailleurs. » Et en 2015, c’est Fabius qui déclarera lors de la COP21 : « C’est la vie même sur notre planète qui est en cause, l’urgence est absolue. » IL FAUT FAIRE VITE, TRES VITE !!
À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.
« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.
Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :
https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html
Olivier
Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/02/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-4.html