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Retour sur le climat : le vrai (Partie 17)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

N’en déplaise, puisque les CONS osent tout, nos réchauffistes de malheur ne pourront aller à l’encontre de leur théorie à la noix. Ils feront donc pleurer « sainte » Greta et prétendront qu’un tel refroidissement, comme celui qui arrive là, maintenant, tout de suite, se produit à cause du réchauffement. Rien ne leur fait peur et surtout pas la plus MONSTRUEUSE connerie !

http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/12/le-great-reset-mais-pas-celui-de-klaus-chwab-et-de-davos.html  

Ainsi, le lundi 21 décembre 2020, et bien que la Grande conjonction était davantage visible dans les endroits proches de l'équateur, elle fut observable en début de soirée, aux toutes premières heures de la nuit. Une proximité maximale qui ne s'était pas produite depuis le 16 juillet 1623.

Les deux géantes n’étaient alors éloignées que de quelques minutes d’arc, à peine observable en raison de sa trop grande proximité avec le Soleil. Il fallait donc remonter quatre siècles en arrière, le 4 mars 1226, pour retrouver une telle configuration visible à l’œil nu.

Chez moi, près de la frontière belge, dans l'hémisphère nord, le phénomène fut visible à un niveau bas à l'horizon, à 19h37 en France (18h37 à l'échelle UTC), en direction du Sud-Ouest, dans un ciel bien dégagé.

Se produisant tous les 20 ans, le phénomène se traduisait cette fois-ci par un alignement presque parfait entre les deux « grosses dames », avec un écart de seulement un dixième de degré ou 6,1 minutes d'arc entre ces deux planètes.

Mais si elles avaient la même ascension droite ou longitude céleste lors de la grande conjonction, ce n’était qu’une impression car, elles ne seraient pas si proches de la Terre. C 'était une illusion d'optique. En réalité, Jupiter était à plus de 880 millions de kilomètres de la terre, alors que Saturne était éloignée de nous à de 1,6 milliard de kilomètres.

Selon la doxa, Gaïa met en effet un an pour faire le tour du Soleil, Jupiter 12 ans et Saturne 30 ans. Ainsi la grande horloge cosmique ne nous donne un tel spectacle que très rarement.

Un rapprochement similaire ne se produira pas avant le 15 mars 2080. Après, il n'y aura pas d'autre opportunité avant l'an 2400...  Mais pour l’instant, j’observais chaque soir, depuis des jours, cette lente phase de convergence.

Mercredi 16 décembre 2020, cela était d’autant plus majestueux que la Lune s'était invitée près des deux planètes et notamment le lendemain soir du jeudi 17 décembre.

Le rapprochement entre Jupiter et Saturne, signait de grands bouleversements. Certaines planètes, dont Neptune, subissaient des effets particuliers. Sur Terre, une vague de chaleur sévissait en Australie.

Jeudi 17 décembre, dans le Pacifiques, les habitants des régions côtières des îles Fidji avaient été appelés à gagner les hauteurs à l'approche du cyclone tropical Yasa qui pouvait provoquer des vagues de 16 mètres. Le cyclone de catégorie 5, la plus élevée, continuait à gagner en intensité en se dirigeant vers l'archipel des Fidji, avec des rafales allant jusqu'à 325 kilomètres/heure.

20 ans, c’est le temps que Jupiter met pour rattraper Saturne dans sa course autour du Soleil, qui effectue elle-même une rotation complète en un peu plus de 29 ans. Les deux géantes se retrouvent alors alignées avec notre étoile et apparaissent extrêmement proches dans le ciel.

Les rapprochements varient d’une conjonction à une autre. Les rapprochements angulaires varient toutefois d’une conjonction à une autre en raison des caractéristiques orbitales de chacune des planètes, notamment leur légère inclinaison par rapport au plan de l’écliptique.

Il est donc souvent beaucoup plus important que celui auquel nous allions assister. Lors de la précédente conjonction, le 28 mai 2000, Jupiter et Saturne étaient ainsi éloignées de 68,9 minutes d’arc : soit plus de deux fois le diamètre de la pleine Lune, et dans la constellation du Taureau.

Cette fois, il fallait scruter le ciel dans la direction du sud-ouest vers 18h idéalement, sous la constellation du Capricorne. Rarissime en termes d’éloignement angulaire, elle coïncidait avec le solstice d’hiver.

Ainsi, suivant une formule célèbre et si chère à nos frères la truelle : « Ce qui est en bas, est comme ce qui est en haut ; et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, pour faire les miracles d'une seule chose… », n’allez surtout pas penser que ce qui se passait loin, très loin dans l’espace, n’allait avoir aucune influence sur nos vies.

Comme je l’indique depuis plus de dix ans dans mes livres et articles, nous y étions.

L’élite le savait et le cachait aux peuples comme hélas de nombreuses autres choses. Fin 2019, le cycle solaire 24 se terminait pour laisser place au cycle solaire 25. Le soleil allait donc nous réserver de nombreuses surprises. La présence ou pas de taches à sa surface serait à mettre en relation avec des faits graves qui allaient se dérouler sur Terre (guerres, révolutions, épidémies, pénuries et changements climatiques et non réchauffement).

L’alignement très précis du 21 décembre 2020 entre Saturne-Jupiter, nous et le Soleil, allait créer une fantastique antenne captant une énergie démentielle.

Le Soleil allait, tout comme nous, en être très affecté. La Terre allait se trouver balayée par une énergie considérable par sa quantité et ses effets.

Voilà pourquoi j'avais édité cette image avec la formule "êtes-vous prêts !?"

Ainsi, quelques jours au préalable, une éruption majeure avait déjà déclenché trois forts tremblements de terre en Alaska, en Argentine et en Russie. Car, comme je l’ai déjà expliqué, il existe une corrélation claire entre la densité de protons envoyés par le soleil : l'activité solaire, les éruptions volcaniques et les forts tremblements de terre.

Dès lors et jusqu’à fin février 2021, les tremblements de terre allaient s’accroitre. Les volcans donnaient également des signes d’activité accrue. L’humain est bien peu de chose face à la nature. Et les phénomènes qui nous intéressent ici entraient en parfaite opposition avec les prétentions de nos « élites » qui proclament tous à cœur et à cris qu’un réchauffement climatique, ou plutôt désormais que les changements climatiques, sont imputables à l’homme. Un simple exemple !

Le Samalas, est un super volcan situé sur l'île de Lombok, en Indonésie, sous les tropiques et en pleine Ceinture de Feu. Son éruption en 1257 aura constitué l’événement volcanique majeur du Moyen Âge, dont les conséquences dues au refroidissement brusque de l’atmosphère auront un fort impact sur la Terre, durant trois longues années.

En 2020, le sol sous Dar el Sallam, la capitale financière de la Tanzanie, s’était proprement liquéfié mystérieusement sous les maisons et les entreprises. De la boue avait été vue sortir du sol, fissurant des dizaines d'habitations et provoquant des évacuations massives.

Le 29 novembre 2020, provoquant une énorme CME, une éruption solaire majeure avait provoqué, je le répète, trois séismes d’amplitude sur Terre. Ces éruptions provoquent un déferlement de particules (protons) sur Terre entre deux et trois jours plus tard.

C’est ce déferlement de particules qui est alors responsable de nombreux phénomènes sur la Gaïa d’Al Gore en modifiant le noyau terrestre. Le Time avait déclaré 2020 la pire année de l’histoire.

À des changements sociaux et économiques allaient donc s’ajouter des désordres naturels de plus en plus fréquents. Les pires inondations, les pires ouragans, des aurores boréales descendant loin vers l’équateur dues aux éruptions solaires violentes, etc. N’est-ce pas ce que nous connaissons depuis !?

N’oublions jamais la tempête géomagnétique de Carrington, en 1859.

L'Événement de Carrington, du nom de l'astronome britannique ayant observé une spectaculaire augmentation de l'activité de la surface du Soleil, est la plus grande tempête solaire connue de l'humanité. Elle provoqua le mort de plusieurs opérateurs du télégraphe à cause des surtensions induites qui firent fondre les fils du télégraphe.

Au moment où je rédige l’article, nous sommes le lundi 6 mars 2023. Il y a quelques jours, des aurores boréales furent visibles sur les Hauts de France. Dans la nuit du 26 au 27 février 2023, puis la suivante, des aurores boréales étaient visibles dans le nord de la France.

Que se passerait-il, désormais, dans nos sociétés hyperconnectées ?!

L’éruption de 1859 s'était accompagnée d'une éjection d'un plasma de particules qui a atteint la Terre en seulement 17 heures (alors que le temps ordinaire est d’environ 60 heures).

Notre magnétosphère terrestre s’est alors fortement comprimée, la faisant passer de 60 000 kilomètres à quelques centaines de kilomètres.

Notre champ magnétique s'est alors brusquement intensifié, produisant ce qu'on appelle un orage magnétique. Il en a résulté d'incroyables aurores boréales, il était alors possible de lire un journal en pleine nuit, jusqu'à des latitudes aussi basses que celles du Panama.

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Quant à celles et ceux qui veulent en savoir plus, j’ai ceci :

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-381845.html                 

Olivier

Suite ici : 

 

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-18.html

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