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Retour sur le climat : le vrai (Partie 21 et conclusion)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/01/retour-sur-le-climat-le-vrai-partie-1.html

En conclusion à tout ce cirque.

Certains me reprocheront peut-être de trop m’attarder sur un sujet. Peu importe ! Avant de savoir lire, il faut apprendre. Le climat et la chasse au "méchant CO2" sont bel et bien l’arbre cachant une forêt tropicale d’âneries. Il fallait bien l’élaguer. Je l’ai fait. Je n’ai fait que relayer l’essentiel, cette essence du ciel noyée au beau milieu d’un brouhaha informe autant qu’ignoble.

Le climat n’est pas l’une des pierres d’un l’édifice censé nous perdre, il en constitue un élément essentiel : les fondations. Cette pierre sur laquelle le Diable mondialiste de Davos danse. Ce n’est pas le club de Rome qui me contredira ! Autour, tout se résume à un chantier informe, un échafaudage de bric et de broc constitué d’individus vendus au système et qui prospèrent en surfant sur des mensonges scientistes insultant pour l’intelligence, en créant de la diversion. Au milieu de tout cela, de ces gens qui gueulent leurs mensonges, moi, le « complotiste », j’essaie de chuchoter le vrai.

Ils font du bruit, beaucoup ! Un vacarme constitué de tapage merdiatique, d’infos qui tournent en boucle et destinées à nous anesthésier à l’aide de ce qui n’est pas important. C’est la dramatisation artificielle du non-événement qui fait l’événement destiné à occuper les esprits.

L’hiver, il fait très froid et l’été, très chaud. C’est dramatique !

Se laver les mains, laisser les vieux à la cuisine pour noël, se vacciner pour crever plus vite et surtout "protéger les autres". Rester assis pour prendre son café, les virus passeront au-dessus de vos têtes de gagnants. C’est ainsi que le non-événement a épousé la non-information.  

Il l’a ensuite engrossé d’un bruit, qui, in fine, n’est rien du tout. Même pas un pet de lapin malingre dans la blogosphère.

Quel que soit le sujet, les médias bien-pensants nous parlent de l’arbre moralisateur qui nous cache la forêt de leur lâcheté. Tout y passe : méchants russes, gentil Zelenski ; méchants Gilets jaunes, gentil gouvernement ; méchant emprunteur-pollueur, gentils banquiers, véreux certes, mais au-dessus de tout soupçon. Le tout bien enrobé dans une belle crème de PEUR en tout genre et pendant ce temps, couillonavirus et ses sombres sbires courent les rues.

Les instigateurs de cette opération qui a écrasé l’humanité ces trois dernières années, ne sont toujours pas jugés et ne le seront probablement jamais. Et les médias restent muets comme des carpes dès qu’un sujet est vraiment sérieux.

Le vacarme, c’est de savoir si nous aurons vraiment une retraite ou si bribri est en réalité un homme. Or 49.3, l’essentiel, c’est de comprendre que le vrai problème concernant le paiement des retraites, c’est le taux de natalité désastreux qui ne permet plus le renouvellement des populations. Merci madame Veil, merci vaccins Covid-19 ! Le bruit, c’est cette culture de haine à l’endroit de la famille traditionnelle. L’essentiel, pardonnez-moi, mais je vais être grossier, c’est de comprendre qu’on ne fait pas un enfant dans le caca ou en se léchouillant la foufoune.

L’essentiel, c’est de combattre le délire du genre et la légalisation du mariage homosexuel qui détruit l’ordre naturel de la procréation voulu par Dieu. L’essentiel, c’est de combattre la légalisation du meurtre des enfants-à-naître (230 000 avortements chaque année en France), qui fut imposée sans référendum aux Français par les lobbies maçonniques (loi Veil).

L’essentiel c’est de combattre cette prison numérique qui arrive à grands pas et constitue la jumelle putain de ce fameux réchauffement entropique. C’est d’ailleurs tellement important à saisir que dès demain, et à la suite de ce dernier article, j’embraye sur cette « putain numérique » liée au monstrueux clash bancaire qui s’en vient avec :

Manuel de survie contre les méfaits d’EM Manuel.

Le bruit infame, c’est ce ballon météo chinois « ET » abattu « courageusement » par l’US air force. L’essentiel, ce sont les bombes saoudiennes et une petite bombe à neutron israélienne qui tombent sur les femmes et les enfants du Yémen. Tout en oubliant que la Gaule reste un grand marchand d’armes.

Le vacarme, c’est de s’indigner sur le nombre trop important d’étrangers et de nouvelles mosquées. L’essentiel, c’est de comprendre que, le grand remplacement, et le génocide culturel de la France sont issus non pas des migrants qui arrivent dans nos pays devenus athées, mais de cette Révolution judéo-maçonnique de 1789 entièrement construite par ces riches argentiers du monde qui nous considèrent tous comme du bétail ; des goym.

Le vacarme, c’est de faire une fixation sur l’arriviste Macron. L’essentiel, c’est de comprendre qu’il est un pion, un Young Global Leader interchangeable du système mondial au même titre que l’étaient ses prédécesseurs, et qu’en réalité il n’a aucun (vrai) pouvoir, hormis celui de l’ombre : le Deep State.

Le vacarme, c’est ce bruit de fond médiatique concernant l’Ukraine. L’essentiel est aussi de comprendre que la raison du timing de cette guerre en Ukraine, est de nous faire oublier l’opération corona et ainsi de nous empêcher de demander des comptes à ses instigateurs. Comptes moraux et comptes tout court.

Le vacarme, c’est la diabolisation de certains « fascistes » de façade. L’essentiel, c’est de réaliser que ces gens sont en réalité des pions du système républicain et qu’au-delà de leur opposition de façade, ils sont dans les faits tous favorables à la substantifique moelle de la déconstruction antichrétienne (avortement, mariage homosexuel, faire de nous des portefeuilles numériques, etc…).

L’essentiel, c’est aussi de comprendre que la diabolisation des faux résistants « en dangereux fascistes » est une ruse des médias du système dont le but est d’empêcher la population de réaliser qu’il n’y a, en fait, aucune résistance. Et que la vraie résistance est actuellement dans la rue. En bonne successeur aux Gilets jaunes, elle s’est muée en pourfendeuse de 49.3.

À défaut de vrais fascistes, la dictature a un besoin vital de s’en inventer des faux. C’est qu’il faut maintenir cette illusion d’un combat d’idée qui en réalité n´a pas lieu.

Enfin, le vacarme le plus assourdissant de tous, c’est chercher fébrilement des solutions dans un cadre républicain. Celui de cette raie-publique.

L’essentiel est de savoir prendre de la distance d’avec tout ce bruit entretenu. Mettre des boules Quies et penser spiritualité plutôt qu’horizontalité.

Davos faisant partie intégrante de ces maladies, tout cela constitue le meilleur des remèdes, notamment contre certains maux qui auraient tendance à vous faire déféquer tendance caca vert.

Le sujet Davos étant tellement grave et nécessaire à la juste COMPREHENSION de ce qui s’en vient, qu’il m’a incité à écrire un bouquin non prévu dans mon programme : Davos et son écheveau mondial. Il paraitra, je pense, en juin prochain. Si Dieu le veut !

Car, il semblerait que tonton Schwab et son WEF soient dans la merde, qu’elle soit verte ou non, et jusqu’au coup. Le fossé entre la vraie vie, telle qu’elle est vécue, et les sombres prévisions des Davosiens fous n’a jamais été aussi profond.

Ainsi, la chute brutale du niveau de vie amène-t-elle la grande majorité des gens à se préoccuper du présent immédiat et de la survie de la famille au lieu des nouvelles technologies vendues comme étant bonnes pour la planète par cette engeance de malheur.

Tonton est la crédibilité, ça fait Deux ; ne serait-ce qu’à travers cette image !

On pourrait considérer ce phénomène comme une curiosité. Mais ce serait une erreur. Le Titanic de Schwab et son p’tit zigouigoui ont peut-être heurté un gros iceberg de crédibilité.

C’est justement la crétinerie absconse de cette bande de gueulards de Davos qui devrait nous alerter sur le fait que notre Occident est désormais bien plus qu’oxydé.

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/12/chronique-d-un-occident-oxyde.html

Il est pourri jusqu’à l’âme. Leur enfer n’est même pas pavé de bonnes intentions, ils aiment le mal, ils sont le mal. Ils l’incarnent et désirent nous y entrainer, faisant fi de toute réalité objective. Le monde doit-être tel qu’ils désirent le voir. Point barre. Ils sont les rois de la dissonance cognitive, mais qu’importe puisqu’argent aidant, ils sont les « rois ».

Ainsi, tous les zélateurs européens non élus du climat font-ils équipe avec les néocons américains et britanniques, russophobes jusqu’au trognon. L’aile « verte » de la coalition s’affaiblit peut-être, mais les cons restant cons, nous devons nous attendre à ce que les pressions climatiques sur la transition verte augmentent, alors que les niveaux de vie s’effondrent à un rythme jamais vu depuis la Seconde Guerre mondiale.

Un animal mourant est doublement dangereux. Tant que l’hégémon américain peuplé de néo-cons et son zombi aux commandes continueront à s’agiter, nous devons nous méfier.

Mes lecteurs habitués savent que j’ai principalement deux têtes de turc, Gates et Schwab. J’en ai d’autres, mais je les garde pour mes bouquins. C’est de bonne guerre !

Mais si l’on désire vraiment remonter à l’origine de l’idée devant faire de nous tous des cancrelats bons à éradiquer, c’est pré-reset que nous devons jeter un œil d’Horus. Pourquoi ? Parce que l’idée générale faisant des riches les sauveurs de Gaïa et de nous les méchants pollueurs, se noie dans un océan de think tank et autres rassemblements de blérots censés penser pour nous et surtout pour « notre bien ».

Le smog de CO2 nous amène ainsi vers des origines assez douteuses. L’initiateur du concept n’a jamais été la Team Schwab, mais David Rockefeller, président de la Chase Manhattan Bank, et son protégé (et plus tard « conseiller indispensable » de Klaus Schwab), Maurice Strong.

Argent aidant, dans les années 1970, David Rockefeller et ses proches, ont lancé un éventail d’organisations et de groupes de réflexion. Il s’agissait notamment du Club de Rome néo-malthusien, de l’étude du MIT intitulée « Limites à la croissance » et de la Commission trilatérale ».

Je reviendrai donc prochainement sur le cas de « l’ami Roro » et de sa famille, de grands sociopathes devant l’Eternel.

En 1971, le Club de Rome va publier un rapport profondément vicié, « Limites à la croissance ». Il prédisait la fin de la civilisation, en raison de la croissance démographique combinée à l’épuisement des ressources. C’était en 1971. En 1973, Klaus Schwab, lors de son troisième Davos annuel, a présenté « Limites à la croissance » comme sa (vision de l’avenir) aux chefs d’entreprise réunis.

En 1974, le Club de Rome, dans son rapport, Turning Point, va affirmer que « l’interdépendance doit entraîner une diminution de l’indépendance » : le moment est venu d’élaborer un plan directeur pour un nouveau système économique mondial. C’est Maurice Strong, le protégé de Rockefeller, qui, en tant que président de la conférence des Nations unies à Stockholm en 1972, à l’occasion de la Journée de la Terre, va encourager une stratégie économique de réduction de la population et d’abaissement du niveau de vie dans le monde entier pour « sauver l’environnement ».

En tant que secrétaire général de la conférence des Nations unies à Rio, Strong va commander le rapport du Club de Rome. Un rapport qui admettait que l’affirmation du réchauffement planétaire par le CO2 n’était qu’une ruse pour forcer le changement. « Le véritable ennemi est l’humanité elle-même et son comportement devait être modifié », dixit Strong.

Le délégué du président Clinton à Rio, Tim Wirth, avait admis la même chose en déclarant : « Nous devons nous occuper de la question du réchauffement planétaire. Même si la théorie du réchauffement de la planète est fausse, nous ferons le ‘bien’ en matière de politique économique ». Ce qu’il faut retenir, c’est que la time Rockefeller-Davos a toujours été une escroquerie visant à faire éclater une nouvelle bulle financière pour maintenir à flot le projet d’hégémonie du dollar.

Cependant, le monde est en train de passer du NOM de Davos à la décentralisation et à la multipolarité.

Au WEF de cette année 2023, c’était évident : Davos est périmé. Mais l’effet le plus important sur la guerre financière : c’est le « nouveau système économique » que Davos envisageait.

Monnaie hélicoptère pour les gueux et un raz-de-marée de dépenses pour les technologies renouvelables, les subventions (comme les crédits CO2) et la liquéfaction de la transition. Il s’agissait d’incuber une nouvelle bulle, basée sur une nouvelle monnaie à coût zéro (connue sous le nom de Théorie monétaire moderne).

C’est la raison pour laquelle Black Rock et les oligarques étaient si excités par Davos. Cependant, l’arrivée de taux d’intérêt élevés, dont je vais vous parler dans Manuel de survie contre les méfaits d’EM Manuel, a pour effet de tuer la nouvelle « option bulle », précisément au moment où le monde occidental est à la veille d’une grave contraction économique.

Par un « heureux hasard » pour Davos, l’UE est donc « en guerre contre la Russie ».

Un intermède « heureux » et distrayant pour le gueux et qui, comme d’habitude, réussit à obscurcir toute image plus large. Pour les médias "du bien", il n’y a bien entendu aucune trace de bottes de l’OTAN sur le terrain ukrainien, mais bizarrement on en relève des empreintes partout, et surtout depuis 2014.

Washington a compris que les États-Unis sont en train de perdre leur guerre par procuration. Néanmoins, en Europe, et surtout en Gaule, ce fait reste « sous les radars » des principaux médias. Le point le plus important est que ce « réveil » tardif face à la réalité ne modifie pas d’un iota la position des néoconservateurs.

Ils veulent l’escalade (tout comme une petite faction vert caca en Allemagne, ainsi qu’une faction de premier plan en Pologne et, comme d’habitude, dans les États baltes).

Les chars et les avions envoyés sur le terrain ne changeront pas le cours de la guerre.

Ça, même les plus cons de nos dirigeants européens le savent. Ils commencent donc tous à trainer du pied. En effet, question symbolisme et batailles sanglantes passées, que l’Allemagne envoie les descendants de leurs panzers en Ukraine, n’est pas du meilleur effet côté russe.

Mais, puisque nous avons affaire à des dingues, hormis les bruits de bombes sales et autres attaques chimio-biologiques, ce risque est peut-être calculé par la bande à Biden. Car, si faute de munitions et autre, l’armée ukrainienne se replie vers la frontière polonaise, voire la traverse, avant la livraison des chars. Ils seraient alors absorbés par l’armée polonaise friande d’en découdre avec l’ours russe.

Est-ce cela, en fait, l’intention finale des néoconservateurs ? La Pologne mobilise déjà 200 000 hommes. Elle deviendrait alors le nouvel homme de paille du vieil oncle obèse et à bout de souffle. La plus grande armée d’Europe prendrait alors la relève dans une guerre européenne plus large contre la Russie et encore et toujours pour les sombres intérêts du Deep State.

Hormis la peste verte, toute cette bande de va-t’en guerre russophobe se trouve au bord d’un précipice économique.

Les niveaux de vie s’effondrent au rythme le plus rapide depuis la Seconde Guerre mondiale. Nos classes politiques d’alcooliques pédo-criminels n’ont aucune réponse à cette crise.

Du haut de leurs certitudes de Young Global Leaders à la mords-moi-le-nœud, tous ces déconnectés du réel croient encore mordicus que les peuples européens accepteront tout : se geler les couilles, la spirale des prix, les emplois perdus en raison de la hausse des coûts de l’énergie, les rayons vides  dans les magasins, les pics d’énergie, les dysfonctionnements du système (trains, aéroports, santé et les systèmes de transport) qui empêchent le bon fonctionnement de la société. C’est la même chose pour les Américains.

Les kapos larbins chargés de la gestion et du fonctionnement du « système » sont désorientés. Les récits mensongers s’effondrent ; les révélations de Twitter ont perturbé l’ancien « équilibre ». Kiev ne pourra bientôt plus compter sur le soutien financier de Washington.

Là-dessus n’oublions pas le MONSTRUEUX scandale de couillonavirus. Bientôt, tout comme Schwab arborant fièrement (il n’y a pas de quoi) son minuscule zigouigoui de vieux singe prostatique, le roi sera nu. À poil, une main devant, une main derrière. Biden pourra se casser moult fois la gueule en montant ou descendant les escaliers, personne n’aura plus envie de rire tant le climat (social) sera tendu comme le string d’une grosse de cent vingt kilos (c’est pour l’exemple : je ne suis pas grossophobe).

Les Américains vont peut-être décider de se débarrasser de leur zombi de série B ? La saga des documents classifiés de Biden constitue alors sans doute une ruse destinée à provoquer son départ avant les primaires démocrates.

Tout cela et tenu à bout de bras par une bande d’individus encore sensés, face à un ours russe qui a un réel avantage stratégique dans tous les domaines d’engagement avec les forces ukrainiennes. Alors que l’Occident n’a que l’avantage éphémère d’une illusion d’optique en forme d’escalade, le tout badigeonné de vert.

La Team Poutine dispose de la latitude nécessaire pour gérer toute escalade (par le biais de représailles) en miniature et de manière dispersée, afin d’éviter de donner aux guerriers de Washington leur « Pearl Harbour » tant espéré.

Là-dessus, je termine cette longue série « climatique » en espérant qu’elle vous aura permis de cerner ce vaste problème. À savoir : cette bande de cons juste capable de nous conter des mensonges à longueur d’année.

J’ai détricoté leurs sombres mensonges, ce long fil d’Ariane menant droit à ce triste constat : sans un réveil massif et sans une prompte volonté de solidarité, nous sommes tous dans la merde, soit-elle verte ou non. Et justement, question solidarité, parmi mes dizaines de milliers de lecteurs, j’aimerais bien qu’elle s’exprime un peu plus cette solidarité, ne serait-ce qu’au travers de l’intérêt suscité par mes livres.

Triste reflet d’une époque, beaucoup se contentent ainsi de venir puiser, sans même jamais un petit geste de solidarité, un mouvement de reconnaissance. Pour les autres, c’est simple :

https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape Un bon livre vaut bien mieux qu’une triste soirée devant un Netflix de série C.

Olivier

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