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Après nous, les mouches !

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Ou comment l’élite nous avertis afin de se libérer, histoire d’obtenir des peuples zombifiés une espèce d’assentiment, afin de se dédouaner de toute responsabilité.

Le Monde après nous (Leave the World Behind) est un thriller psychologique postapocalyptique écrit et réalisé par Sam Esmail, sorti en 2023. Avec ce film, Netflix nous propose un drame apocalyptique. Une famille qui rêvait d'une pause dans une luxueuse maison de location plonge en plein chaos après une cyberattaque qui neutralise tout appareil, et l'irruption de deux inconnus.

Mais est-ce bien une cyberattaque ? On pourrait tout aussi bien en déduire l’explosion d’une bombe EMP.

L’explosion d’une telle bombe provoque une émission d'ondes électromagnétiques brève et de très forte amplitude qui peut détruire de nombreux appareils électriques et électroniques et brouiller les télécommunications.  Cette impulsion peut être générée artificiellement par une explosion nucléaire ou un générateur à micro-ondes, mais peut aussi être d'origine naturelle, comme la foudre, une éruption solaire ou statique.

D’où l’intérêt de mes nombreux articles consacrés au véritable climat et son chef d’orchestre : notre Soleil. https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/12/retour-sur-le-chef-d-orchestre-le-soleil.html

Voici le synoptique du film : Amanda et Clay louent une maison dans un coin reculé du Long Island pour y passer des vacances paisibles avec leurs deux enfants. Un soir, les propriétaires, Ruth et G. H., reviennent en urgence, affirmant qu'une coupure électrique a paralysé les alentours. Sans téléphone, télévision, ni internet.

Dans ce film, le père de famille n’est qu’un lâche, pur produit de la société actuelle. Quant à sa femme, dès la première scène et faisant écho à la pensée élitiste, elle déclare détester l’humanité. Le fils, adolescent boutonneux dans toute sa splendeur, ne dégage que peu d’énergie à part celle qu’il met à se masturber.

La petite fille, quant à elle, sans doute suite aux différents « confinements couillonavirus », ne vit qu’à travers les écrans et surtout la série Friends, dont elle n’a pas vu le dernier épisode : chose qui a tendance à la laisser hystérique. Ce dernier épisode de Friends se nomme justement : the last one. Au passage, Matthew Perry (1969-2023), réalisateur de la série Friends, est mort dans des circonstances bizarres, peu de temps avant la sortie du film.

Ajoutez à cela un profond élément de tension raciale introduit subrepticement, avec la mention de ne pas faire confiance aux blancs et vous avez là, un joli cocktail.

Situé dans une chambre au sous-sol, un cadre est plutôt provoquant, c’est le tableau United States of Attica (1972), de l’artiste Faith Ringgold, née le 8 octobre 1930 et subventionnée par les Rockefeller.

En 1969, David Rockefeller avait voulu acheter un de ses tableaux. Mais les gens ont vite réalisé que dans la peinture Flag for the Moon, on pouvait lire les mots « Die Nigger » (Mourir nègre) dans les étoiles et les rayures. Façon, pour l’artiste, de dire que trop d'Américains se couchaient affamés, tandis que le gouvernement dépensait des milliards pour placer leur drapeau sur la lune.

Là, dans le film, la peinture présente dans la chambre nous montre la carte géographique des États-Unis, mais sous un jour inédit. Elle y est assombrie et assaillie par un amoncellement de textes qui lui confèrent un aspect confus.

Une confusion augmentée par les à-plats de couleurs rouges et vertes soutenues par un trait noir qui ne sont pas sans rappeler le drapeau panafricain. Les inscriptions énumèrent les violences commises aux États-Unis contre les personnes noires et autochtones depuis le début du 18e siècle. Elles sont si nombreuses qu’elles poussent l’œuvre vers l’illisibilité.

Même si tous ces faits sont vrais, pourquoi vouloir ranimer davantage une animosité noir-blanc déjà si présente outre Atlantique ? Ainsi, dans un but délibéré, c’est une Amérique divisée autant que maléfique qui est là représentée à charge et construite sur la violence et l’oppression. Faith Ringgold ayant été fortement soutenue par David Rockefeller, était-ce un hasard ?

Jetez donc un œil sur les mémoires de David Rockefeller. Notamment sur ceci : « Quelques-uns croient même que nous (la famille Rockefeller) faisons partie d’une cabale secrète travaillant contre les meilleurs intérêts des ÉTATS-UNIS, caractérisant ma famille et moi en tant qu’internationalistes et conspirant avec d’autres autour de la Terre pour construire une politique globale plus intégrée ainsi qu’une structure économique – un seul monde si vous voulez. Si cela est l’accusation, je suis coupable et fier de l’être. » –David Rockefeller, MEMOIRES, page 405.

Plus loin dans le film, le propriétaire de la maison nous parle « complot », avec les trois étapes nécessaires afin de détruire un pays de l’intérieur sont clairement expliquées (isolement-chaos synchronisé- guerre civile). Bien entendu, jamais l’élite du Deep State n’est désignée.  Ce sont les méchants Russes, Coréens ou arabes qui sont ici montrés du doigt. Néanmoins, au passage, on remarque désagréablement qu’un seul peuple est autorisé à être détesté : les américains ???

Une des scènes les plus palpitante du film est ce pétrolier qui vient s’échouer sur la plage. Il porte un nom significatif : White Lion, un navire de traite négrière, échoué en Virginie, en 1619. Une des scène du film nous montre une radio dans la voiture avec la station de radio 1619. Hasard ou encore une fois volonté délibérée d’exacerber la vindicte ?  Surtout lorsque, plus loin, l’actrice principale se livre aussi à une diatribe sur la méchanceté de l’Amérique.

Dès la première scène, dans la chambre, le 666 de l’élite fait son apparition.

À un moment du film, deux des personnages centraux portent des tee shorts : Obey et Nasa ; obéi à la Nasa.

Bref ! Tout ce qui, à l’époque, a été provoqué par l’élite, est désormais utilisé par cette même élite afin de justifier la chute des USA. Et en utilisant pour ça les instincts les plus bas des acteurs. Le film se termine avec Rose, la petite fille addict à Friends, qui, s’étant échappée on ne sait pourquoi, se retrouve dans une superbe villa équipée mode survivaliste. En une apothéose de circonstance, elle trouve son dernier épisode de Friends, qu’elle visionne alors qu’autour d’elle le monde s’écroule.

Elle baigne alors dans la lueur des écrans, totalement zombifiée, semblant vivre uniquement à travers les médias de masse. Cette villa survivaliste semble vouloir nous dire que « Seuls les plus riches survivront au cataclysme ».

Pour sa réalisation, le clan Obama s’est personnellement impliqué et le producteur a fait appel à des experts mondiaux dans la gestion de crises. Le démantèlement de la société dans son ensemble et sa démoralisation, semblent au centre du sujet, ainsi que la mise à mort des USA.

Message, avertissement ? La société que ce film nous montre semble bien abêtie dans son ensemble. Est-ce le vœux de l’élite ou déjà un constat flagrant ? Dans le générique, les drapeaux américains à l’envers en disent déjà long avec l’œil unique qui est là pour nous rappeler qui sont les producteurs. Tout le film tourne autour de l’isolement et n’est pas sans nous rappeler la psychose du covid-19.

Quant à la bande annonce, elle est ici : https://youtu.be/glPta0GQkTI

J’ai visionné la chose qui m’a laissé, comme beaucoup je pense, sur ma faim. Que doit on déduire de ce film apocalyptique ? Surtout lorsqu’on apprend par qui il est produit ; Barak Obama et sa « femme ». Mes lecteurs savent ce que je pense du Deep State dont les Obama ainsi que les Clinton constituent des « cygnes noirs ». En outre, les psychopathes ont cette particularité qui est de toujours annoncer ce qu'ils vont faire.

Souvenez-vous de Bill le coyote durant la période pré-covid.  Il avait laissé un tweet sur l’oiseau bleu à un moment où celui-ci était encore « fréquentable » avant de basculer dans le X. Bill Gates tweetait le 19/12/2019 : « je suis particulièrement enthousiaste à l'idée de ce que l'année prochaine pourrait signifier pour l'un des meilleurs achats dans le domaine de la santé mondiale : les vaccins. »

Dans un de mes articles récent, je vous explique l’idée du WEF de Davos qui est de nous concocter un sabotage de l’internet. Quant au zombi Zuckerberg, il se prépare à la fin du monde : le créateur de Facebook se fait construire un bunker de 160 hectares à Hawaï. Et pour revenir au film, il annonce un black-out des liaisons internet y compris satellites, une cyber attaque majeure du pays.

Comme par hasard c'est ce que « redoute » le WEF de l'autre psychopathe, Klaus Schwab.

https://twitter.com/i/status/1733769233845149998

Comme très souvent dans les films et séries, il y a de nombreux messages cachés. Le tee short « OBEY », à côté de celui de la NASA, le drapeau US sur la Lune. Le cerf est aussi très présent dans le film.

La chute et la repousse annuelle de ses bois évoquent nécessairement la régénération, la mort et la résurrection, la longévité, voire l'immortalité. Le cerf est un animal «passeur », qui relie le ciel et la terre, la vie et la mort, le monde visible et le monde invisible. Passage de l’ancien monde au NOM ?

Pour revenir à « OBEY », il rattache également toute une symbolique à laquelle Macron n’est pas insensible, j’y avais d’ailleurs consacré un article il y a deux ou trois ans.

Obey ! le rêve de tous ces "élites" qui rêvent de nous voir tous obéir aveuglement à leurs souhaits de pervers. Ils le font à grands coup d'ingénierie sociale et surtout de beaucoup, beaucoup de messages SUBLIMINAUX.

Inutile donc de vous dire que derrière ce film, l’élite ou ce qui se fait passer pour telle, nous réserve encore des surprises de derrière les fagots. Un simple et dernière exemple avec le film américain Civil War :   https://twitter.com/i/status/1751709078433194416

Avec ce  film qui sort bientôt aux USA, avons nous là affaire à de la "prédiction" à la Jacques Attali, le prophète des loges ?

Bonne fin d’année tout de même.

Olivier

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