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Alors ces changements climatiques, info ou intox ?

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Si ce changement vient bien du CO2, il convient d’opérer une volteface, une transition énergétique digne de ce nom. Il est clair que depuis un siècle et dans l’hémisphère nord, ça s’est réchauffé ! Il suffit d’observer le glacier du Mont Blanc pour s’en convaincre. De 1945 à nos jours, la date des vendanges n’a fait qu’avancer dans le temps.

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-371412.html

Au moyen âge (de 1000 à 1300 environ) et selon les données du GIEC, il faisait beaucoup plus chaud qu’aujourd’hui. Durant le moyen âge, la température était plus de 3 degrés supérieure à celle que nous avons aujourd'hui ...  Si c'est vrai, il faudra m'expliquer où veulent en venir les « scientifiques » du GIEC ? Le Groenland (terre verte) fut colonisé par les Vikings lorsqu’il n’y avait pas de neige, d’où son nom.

Puis dans les années 1600 à 1800, nous avons connu un petit âge glaciaire. La Tamise était alors gelée tous les hivers. Nous assistons bien à plusieurs siècles de réchauffement suivis de plusieurs siècles de refroidissement.

Et, typiquement, le réchauffement ou le refroidissement était de l’ordre du °C par siècle. Hors, depuis quelques dizaines d’années, on nous bassine comme quoi l’effet de serre serait la cause du réchauffement. Ils convient alors de se poser les bonnes questions et d’y répondre : Les activités humaines produisent-elles et rejettent-elles du CO2 ? Est-il vraiment un gaz à effet de serre ? L’effet de serre réchauffe-t-il véritablement  la terre ?

L’énergie solaire qui parvient au sol le réchauffe et se transforme en rayons infrarouges. Comme les vitres d’une serre (d’où le nom) les gaz présents dans l’atmosphère piègent alors une partie de ces rayons et réchauffent l’atmosphère. Ce qui a un effet bénéfique puisque sans cet effet conjugué à celui de la pression atmosphérique (principe de la thermodynamique), la t° moyenne sur terre qui est normalement de +15°C tomberait alors selon eux  à -18°C.

Donc, certains gaz dit « à effet de serre » vont bloquer ces rayonnements terrestres et renvoyer, tel un tennisman, l’essentiel de ce rayonnement infrarouge vers le sol. Ce rayonnement étant réfléchi et renvoyé sur terre pendant qu’une petite partie retourne dans l’espace, c’est ça l’effet de serre. Et la chaleur de +15°C est, comme par hasard (merci mon Dieu !), une température optimale pour le développement de la vie.

Le campeur sait que le matin ou il se réveille sous un grand ciel bleu, il va se les geler, alors que sous un ciel couvert la t° est douce car la chaleur émise par la terre est presqu’entièrement reflétée par les nuages. Les gaz constituant majoritairement l’atmosphère : azote (78 %) et oxygène (21 %) ne contribuent pas à l’effet de serre. Seules les molécules contenant 3 atomes ou plus peuvent intercepter le rayonnement terrestre. Ce sont donc les gaz présents en petites proportions qui vont contribuer à cet effet. Ce sont par ordre d’importance décroissante :

- la vapeur d’eau H2O (0,3%), elle est indépendante de l’activité humaine et régulée.

- Le CO2 (0.04%), ensuite viennent le méthane CH4 (0.00018%)

- Le protoxyde d’azote N2O (0.00003%), l’ozone O3 (0.000003%), etc.

Et, pour moins de 1 %, des gaz rares comme l'argon (0,93 %), le néon (0,0018 %, 18 ppm), le krypton (1,14 ppm), le xénon (0,08 ppm), l'hélium (5,24 ppm) et, dans les basses couches, de la vapeur d'eau, du dioxyde de carbone. Et rien que le taux de méthane nous prouve à lui seul que les vaches peuvent continuer à péter en cœur sans modifier le niveau des mers !

À suivre

Olivier

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