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LE KOLBRIN ET SON DESTRUCTEUR DES NATIONS (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/le-kolbrin-et-son-destructeur-des-nations.html

Extrait de mon livre La Promesse, pages 202 à 220. Premier trimestre 2013. (En quatre parties)

 

« Le destructeur des nations.

Je vous invite à un voyage dans le temps, une époque pas si lointaine où l’on pouvait encore parler de planète X sans passer non pas pour un Illuminati mais pour un illuminé.

Les théories autour de la planète X remontent aux débuts de l'astronomie moderne quand les savants se sont rendu compte que quelque chose affectait l’orbite de Neptune. En 1936, la revue Popular Science n'hésitait pas à publier un article sur la fin du monde qu'entrainerait le passage de cet astre mystérieux. 

À l'époque, même le cinéma s’intéressait au phénomène mythique. C’est à partir des années 80 que la censure a commencé à s'abattre sur le sujet. Aujourd'hui, tandis que les "élites courageuses" se préparent à se terrer dans des bunkers, le public ne se doute de rien.

Hormis quelques fous comme moi, quelques travaux de recherches isolées, de rares flashs à la télévision russe, le silence des médias est total. Ce cover up sans précédent concerne également des sujets annexes comme le changement de couleur du soleil et le bouclier atmosphérique généré par les Chemtrails destiné soi-disant à protéger la population de ses rayonnements nocifs.

Beaucoup refusent ainsi de croire, s’en remettant à des pseudos scientifiques vendus, ayant troqué leurs âmes contre une place dans leurs trous à rats. Quant à la NASA, elle continue de jouer à cache-cache avec les chercheurs de vérité, elle excelle à ce petit jeu, n'hésitant pas à déclarer que les 13 000 enregistrements originaux et gênants des missions Apollo avaient été effacés afin de réaliser des économies.

Pourtant la Terre et les planètes de notre système solaire s’échauffent, même Pluton la plus éloignée. Notre champ protecteur a baissé, le Soleil n’est plus jaune mais blanc, nous n’avons jamais eu autant de cataclysmes, séismes, éruptions, ouragans, tsunamis, sinkholes, astéroïdes, comètes, météores. Lisez-donc cette retranscription d’il y a 30 années déjà !

Vendredi 30 Décembre 1983. Par Thomas O'Toole, journaliste au Washington Post : « Un corps céleste qui pourrait être aussi grand que la planète Jupiter et qui pourrait être si proche de la Terre qu'il pourrait faire partie du système solaire a été trouvé dans la direction de la constellation d'Orion par un télescope infrarouge embarqué à bord d'un satellite astronomique américain. Cet objet est si mystérieux que les astronomes ne savent pas si c'est une planète, une comète géante, une "protoétoile" qui n'a jamais été assez chaude pour devenir une étoile, une galaxie éloignée si jeune qu'elle serait encore dans le processus de formation de ses premières étoiles ou une galaxie tellement enveloppée de poussières qu'elle cache la lumière émise par ses étoiles. Il est vraiment si proche, qu'il ferait partie de notre système solaire, a déclaré le Dr James Houck du Centre de Physique des radiocommunications et de la recherche spatiale de l'université de Cornell et membre de l’équipe scientifique IRAS. Il serait tellement proche de nous que je ne sais pas comment la communauté astronomique pourrait le classer.  Tout ce que je peux vous dire, c'est que nous ne savons pas ce que c'est, a déclaré le Dr Gerry Neugebauer, IRAS chercheur en chef au Jet Propulsion Laboratory de Californie et directeur de l'Observatoire Palomar pour l'Institut de technologie de Californie.

L'explication la plus fascinante pour ce corps mystérieux, qui est si froid qu'il ne projette aucune lumière et qui n'a jamais été vu par des télescopes optiques sur Terre ou dans l'espace, c'est que ce serait une planète gazeuse aussi grande que Jupiter située à 50 trilliards de miles de la Terre. Même si cela peut sembler une grande distance en termes terrestres, c'est un jet de pierre en termes cosmologiques, si proche en fait qu'il serait le corps céleste le plus proche de la Terre au-delà de la planète la plus éloignée, Pluton. Le corps mystérieux a été vu deux fois par le satellite infrarouge pendant qu'il scannait la partie nord du ciel de Janvier à Novembre, mais alors le satellite a manqué de l'hélium super froid qui permet à son télescope d'observer les corps célestes les plus froids. La seconde observation a eu lieu six mois après la première et a suggéré que le corps mystérieux n'avait pas bougé de sa place dans le ciel qui était près de la bordure ouest de la constellation d'Orion à cette époque. Cela suggère qu'il ne s'agissait pas d'une comète car une comète ne serait pas aussi grande que l'objet que nous avons observé et elle aurait probablement bougé, affirme Houck. Une planète aurait dû se déplacer si elle était à une distance de 50 trilliards de miles, mais il pourrait s'agir d'une planète encore plus éloignée qui ne s'est pas déplacée sur une période de six mois. »

Quoi qu'il en soit, Houck affirme que le corps mystérieux est si froid que sa température est d'au maximum 40 degrés au-dessus du zéro absolu qui est de -273,15 °C. Le télescope à bord d'IRAS est tellement refroidi et sensible qu'il peut distinguer les objets dans le ciel qui sont à seulement 20 degrés au-dessus du zéro absolu. Quand les scientifiques de l'IRAS ont vu le corps mystérieux, et calculé qu'il pouvait être situé à une distance de 50 trilliards de miles, on a commencé à spéculer sur la possibilité qu'il pourrait se diriger vers la Terre.

Alors, qu'est-ce que c'est ? Que faire s'il est aussi grand que Jupiter et si proche du Soleil que ce serait une partie du système solaire ? Théoriquement cela pourrait être la 10e planète que les astronomes ont cherchée en vain.

Cela pourrait également être une protoétoile, qui comme Jupiter, a commencé à devenir une étoile mais qui n'a jamais eu suffisamment de chaleur pour se transformer en Soleil.

Bien qu'ils ne puissent pas réfuter cette possibilité, Neugebauer et Houck sont tellement tourmentés qu'ils ne veulent pas l'accepter. Ils espèrent que ce mystérieux corps lointain soit une galaxie si jeune que ses étoiles n'ont pas commencé à briller ou tellement entourée de poussières que la lumière de ses étoiles ne peut pas en sortir.

« Je crois que c'est l'une de ces sombres et jeunes galaxies que nous n'avons jamais pu observer au paravent, a déclaré Neugebauer. Si c'est le cas, alors c'est un grand pas en avant dans notre compréhension de la taille de l'univers, comment l'univers s'est formé et comment il continue à se former au fil du temps. »

D'après Neugebauer, la prochaine étape dans l'identification du corps mystérieux est de partir à sa recherche avec les plus grands télescopes optiques du monde. Déjà, le télescope de 100 pouces de diamètre à Cerro Del Tololo au Chili a commencé sa recherche et le télescope de 200 pouces du Mont Palomar en Californie a réservé plusieurs nuits de l'année prochaine pour le chercher. Si le corps est assez proche et émet même un soupçon de lumière, le télescope du mont Palomar devrait le détecter car le satellite infrarouge a mis en évidence sa position.

La NASA a d’abord cherché à occulter le rôle des alignements planétaires sur le climat et la géologie de notre planète afin d'empêcher les gens d'en déduire la présence de la planète X.

Depuis un certain temps, beaucoup sont sensibilisés au thème du Killshot, une tempête solaire de grande ampleur capable de griller la majorité de l'infrastructure électrique de notre planète. Le Soleil est ainsi suivi quotidiennement par des milliers d'internautes prêts à lancer l'alerte au moindre risque, car il fait souvent des siennes.

Au mois de mai dernier, il a produit successivement 4 éruptions de classe X, cela ne s’était jamais vu. Grâce au principe des alignements planétaires, la NASA avait néanmoins anticipé ce danger des années à l'avance.

En novembre 2003, une éruption de classe X 40 aurait pu anéantir le monde tel que nous le connaissons si elle avait été dirigée vers la Terre. À l’époque, elle fut causée par un alignement mettant déjà en jeu Jupiter et la planète X. Entre temps, aucune éruption d'une telle ampleur n'avait eu lieu, du moins si l'on en croit les enfoirés de la NASA.

C'était avant qu’un savant, le professeur Daniel Baker, de l'université Boulder du Colorado, ne dévoile le pot aux roses, en révélant au monde qu’en juillet 2012, une éruption solaire extrêmement puissante aurait pu constituer une catastrophe technologique majeure en court-circuitant les satellites, les réseaux électriques, les équipements de télécommunication et la sécurité des astronautes et du personnel navigant.

Selon lui, elle a engendré une éjection massive de matière solaire (EMC) se déplaçant à plus de 10 millions km/h. Elle est survenue de l'autre côté du Soleil à partir d'une région qui faisait face à la Terre une semaine plus tôt. Cette éjection de masse coronale (EMC) a sans doute été plus puissante que la fameuse tempête de Carrington de 1859 qui grilla un grand nombre de lignes télégraphiques et qui engendra des aurores boréales jusqu'à l'Amérique centrale.

Baker est loin d'être un inconnu, il a présidé le comité 2008 du conseil national de recherches qui a produit un rapport intitulé « Graves événements de la météo spatiale : Comprendre les impacts sociétaux et économiques ». La NASA opère ainsi à deux niveaux d’informations : scientifique, et des brides d’infos pour les moutons. Dès lors peut-on encore faire confiance un seul instant à cet organisme voué tout comme la plupart des scientifiques à l’avènement de la bête ?

Ainsi, après mes multiples allusions, en arrivons-nous au sujet passionnant autant que décisif pour notre humanité. Le fait que nos élites nous mentent effrontément tout en se comportant comme des taupes, m’oblige à faire appel à des notions techniques, tant physiques qu’astronomiques. Je m’en excuse par avance auprès de celles et ceux pour qui la science n’est pas leur tasse de thé.

Certaines choses sont interdépendantes dans notre univers physique. J’aurais même tendance à y voir, une interdépendance globale. Ne dit-on pas : qu’un bruissement d’ailes de papillon peut déclencher un tremblement de terre à l’autre extrémité de la planète !  Nous verrons très vite que les forces dont il est question sont sans commune mesure avec un bruissement d’ailes. Raison d’autant plus évidente de s’informer.

Lorsqu’en physique, il y a passage d’un courant électrique, il y a obligatoirement création de champs magnétiques, et inversement. Le courant n’est autre qu’un déplacement de charges électriques, des électrons, au sein d’un matériau conducteur. Leurs déplacements sont imposés par l’action de la force électromagnétique.

L’interaction du magnétisme avec la matière constitue le fondement de l’électricité. Le courant électrique nécessite donc le déplacement de particules chargées : les électrons dans un sens et les protons dans l’autre, créant ce qu’on appelle communément, une différence de potentiel ; un plus et un moins. Elle nécessite en outre une source d’énergie afin de mettre les particules en mouvement, une pression en quelque sorte !

Dans notre système solaire, la source d’énergie est le Soleil. Le champ magnétique forme, avec le champ électrique, les deux composantes indissociables du champ électromagnétique ; l’un induit l’autre. Principe utilisé à souhait lors du fonctionnement des moteurs électriques et des génératrices (Nikola Tesla, dont les travaux gênants pour l’avènement du N.O.M. furent étouffés dans l’œuf.)

Le plasma, lui, définit un état de la matière constitué de particules chargées d’ions et d’électrons. Le tube néon, constitué d’un gaz traversé par un courant, en est l’exemple type. Lorsque dans le tube, le courant devient suffisamment intense, le gaz s’illumine et devient du plasma.

Les comètes, quoique méconnues, sont comparables à des tubes à néon. Elles sont sollicitées par de fortes tensions électriques et deviennent chargées électriquement. Elles produisent donc du plasma dans leur entourage gazeux et poussiéreux. C’est cette forte ionisation qui donne à la comète sa luminosité.

Le condensateur est lui un composant constitué de deux armatures conductrices (électrodes) qui vont chacune se polariser différemment par rapport à un isolant central qui les séparent. Tout le temps où les électrodes ne sont pas mises en contact, elles gardent chacune leur charge.

La capacité du condensateur à stocker des charges électriques dépend de la nature de son isolant et de la distance entre ses pôles. Notre système solaire est composé d’un Soleil central autour duquel gravite des planètes sur le plan de l’écliptique.

Imaginez un disque vinyle 33 tours représentant ce que l’on nomme l’écliptique. Au-dessus de l’écliptique nous avons le pôle nord et au-dessous le pôle sud. La Terre est inclinée à 23°27’ par rapport à ce plan afin de donner les saisons. Toutes les planètes gravitent autour du Soleil en sens contre horaire, sauf Vénus.

Olivier

Suite ici :https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/le-kolbrin-et-son-destructeur-des-nations-partie-4.html

PS : il me reste quelques exemplaires de ce livre. Celles et ceux qui le désirent pour les fêtes peuvent me contacter : oliviercapevecteur@gmail.com 19,90€ +4€ de frais de port.

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