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LE KOLBRIN ET SON DESTRUCTEUR DES NATIONS (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Dans la première partie de cet article, j’évoque l’Islande qui, après plus de 1480 tremblements de terre en 48 heures, attend fiévreusement l’éruption du volcan Fagradalsfjall.

Nous assistons effectivement à la hausse de l'activité volcanique mondiale et des tremblements de terre concomitants. Or, si on analyse les faits historiques, comme c’est mon cas, on remarque alors que les éruptions volcaniques ont des implications potentielles sur notre climat.  Cela montre bel et bien comment des éruptions historiques ont déclenché un refroidissement mondial.

(Voir ma série https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/10/rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan-partie-1.html )

Or, depuis un bon moment, les nouvelles de volcans en éruption ou menaçant d'y entrer font le tour des médias, notamment en Islande où, malgré un sursis, une éruption volcanique est toujours attendue.

Un fait est ici remarquable : beaucoup d’Islandais qui ont vécu là-bas toute leur vie, disent qu'ils n'ont jamais ressenti de telles choses. Voici deux très courtes vidéo :

https://twitter.com/i/status/1724340826199752940

https://twitter.com/i/status/1724363228036166096

Bien au-delà de l’impact d’une éruption sur le pays, c’est le refroidissement potentiel dû à l’événement qui est à craindre. L’une des éruptions les plus importantes d’Islande s’est produite en 1783, l'écoulement de la lave a duré huit mois, produisant d'importants nuages de soufre qui ont plané sur l'Europe du Nord pendant six mois y provoquant un refroidissement estimé à 1,3°C durant les deux années suivantes.

Outre l'Islande, c’est le mont Etna en Italie qui commence à faire des siennes. Ainsi que le Sabancaya au Pérou, le Popocatépetl dans le centre du Mexique, le Klyuchevskoy au Kamchatka en Russie et le Sakurajima au Japon.

Comme vous voyez, ça commence à faire BEAUCOUP ! Regardez cette image issue du site www : volcanodiscovery.com   En rouge, ce sont les volcans en éruption et en orange : ceux qui menacent, avec une activité mineure.

Les éruptions volcaniques sont l’un des principaux facteurs qui, comme je le claironne depuis DES ANNEES, poussent la Terre vers sa prochaine phase de refroidissement global. Je l’ai déjà expliqué et je vais encore le refaire : les éruptions et leur puissance augmentent lors de périodes de faible activité solaire prolongée. C’est aujourd’hui le cas dans ce nouveau cycle solaire de 11 ans.

Le soleil a une incidence certaine sur notre bouclier magnétique terrestre, lorsque son champ et fort, le nôtre l’est également. Or, depuis un moment déjà, le bouclier terrestre s’amenuise en fonction de celui du soleil qui a faibli. Désormais, nous sommes bombardés, mitraillés par des myriades de balles invisibles. Pourquoi ? Parce que la faiblesse de son champ est concomitamment du nôtre. Il laisse passer un afflux de rayons cosmiques pénétrant et excitant le magma de notre Terre riche en silice.

De plus, je répète, il influe sur les masses nuageuses qu’il augmente et sur la pluviométrie. On ne compte plus les désastres écologiques dus aux inondations, dans le nord de l’Europe.

Pendant les minimums solaires, comme c’est désormais le cas, le champ magnétique du soleil s’affaiblit et la pression extérieure du vent solaire diminue. C’est alors une aubaine pour les rayons cosmiques de haute énergie qui peuvent ainsi pénétrer dans le système solaire interne, et dans l’atmosphère de la terre, en agitant son magma et en provoquant tremblements de terre, pluviométrie décuplée et éruptions en MASSE.

Or, une nouvelle étude dont voici le lien prouve bel et bien comment les éruptions historiques ont déclenché un refroidissement mondial.

https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.2221810120

Elle s’intitule High sensitivity of summer temperatures to stratospheric sulfur loading from volcanoes in the Northern Hemisphere. Haute sensibilité des températures estivales à la charge de soufre stratosphérique provenant des volcans de l'hémisphère Nord.

Elle a été publiée le 6 novembre dernier par l'École des sciences de la Terre et de l'environnement de St Andrews avec des collègues internationaux de Suisse et des États-Unis. Elle a été éditée dans les Actes de la National Academy des Sciences (PNAS).

Ceux qui ont lu mes précédents articles savent que les époques inhabituellement froides de notre passé, sont associées à de grandes éruptions volcaniques (les années 540, 1450 et 1600). Ces éruptions avaient toutes entraîné la formation de particules de soufre réfléchissant la lumière du soleil. J’évoque d’ailleurs ce fait dans mes récents ouvrages.

Cependant, la quantité de soufre qu’elles ont injectée dans la haute atmosphère restaient inconnues, jusqu’à ce que l’on étudie les isotopes du soufre présents dans des carottes de glace du Groenland et de l’Antarctique.

On connait désormais quelle fraction de ce soufre a atteint la stratosphère.  Cette étude mise en parallèle avec celle des cernes des arbres, révèlent que les plus grandes périodes de refroidissement historiques étaient EFFECTIVEMENT dues à des éruptions volcaniques aux hautes latitudes.

Pire encore, on sait désormais combien notre climat est fragile. En effet, pour produire de tels refroidissements, les scientifiques ont longtemps cru qu’il fallait des quantités monstrueuses de soufre dans notre atmosphère. Or, il n’en est rien, puisque cette quantité injectée dans la stratosphère par ces éruptions pourrait être d’environ la moitié de celle estimée précédemment.

Conclusion : les températures estivales pourraient être très sensibles aux éruptions volcaniques à haute latitude.

N’en déplaise à des Al Gore et Greta la folle, notre climat se rie du CO2, par contre, d’autres facteurs insidieux prouvent sans l’ombre d’un doute que lorsque le climat de la Terre est modifié par mère nature, d'autres parties du système climatique peuvent intervenir et amplifier considérablement ce changement initial. Et nos hautes latitudes ressentent particulièrement fortement ces changements climatiques amplifiés.

Comme nous ne pouvons pas tous partir en vacances aux Maldives ou aux Bahamas, il y a de quoi se gratter la tête quant à l’origine du catalyseur qui, régulièrement, vient rappeler à l’espèce humaine qu’elle n’est là et uniquement là par une volonté Divine QU’IL CONVIENDRAIT DE SAVOIR RECONNAITRE EN CES TEMPS PUREMENT ATHEES.

Si ce catalyseur est d’origine astronomique, le fait qu’on est voulu rendre la terre aveugle en piratant presque en même temps tous les observatoires astronomiques du monde, constitue un début de piste.

Lorsqu’on voit un psychopathe comme Bill le coyote dépenser autant d’argent à rependre des substances dans la haute atmosphère (Chemtrails qui n’existe pas, bien sûr !) afin de masquer soi-disant le soleil, on a encore un autre début de piste. Cacher la vérité aux gueux permettrait d’éviter des débordements fous à travers le monde.

Dernière petite précision : une nouvelle comète vient d’être découverte par les astronomes. Selon leurs prévisions, elle pourrait finir par devenir plus brillante que les étoiles dans notre ciel. Ils la surnomment « Tsuchinshan-ATLAS ». Son nom de code, c'est C/2023 A3. Elle pourrait bien devenir, d'ici quelques mois, l'objet le plus brillant de notre ciel.

Les astronomes prévoient que C/2023 A3 atteindra son périhélie (le point de son orbite le plus proche du Soleil), vers le 28 septembre 2024. Et c’est autour du 13 octobre 2024, qu’elle se situera au plus près de la Terre. Entre ces deux points, alors que c'est classiquement Vénus qui occupe cette place avec une magnitude d'environ -4,5, c’est la magnitude d’Atlas qui pourrait faire d'elle l'objet le plus brillant de notre ciel (hors Soleil et Lune).

C/2023 A3 (Tsuchinshan-ATLAS) favorisera l'hémisphère Nord en y étant parfaitement visible. La dernière fois qu'une comète exceptionnellement brillante était visible depuis les latitudes nord, c'était en 1997, lorsque la comète Hale-Bopp a illuminé le ciel.

Certains se diront : « que vient faire cette histoire de comète dans son propos ? » Ils comprendront bien assez tôt avec la lecture d’un extrait de mon livre La Promesse, paru en 2013. Quant aux alignements planétaires, la liste qui suit vous permettra de comprendre ce que nous réservent  les années 2024 et 2025.

Je répète qu’un alignement signifie que les planètes s’alignent dans la même zone du ciel, tel qu’on le voit de la Terre. Le prochain défilé de planètes est le 27 janvier 2024, lorsque Vénus, Mars et Mercure s’aligneront dans le ciel.

Retenez-bien que les planètes de notre Système Solaire ne forment jamais une ligne parfaitement droite dans l'espace, car leurs orbites ne sont pas sur le même plan. Mais parfois, FAISANT ANTENNE, elles se rassemblent près d'un côté du Soleil et apparaissent ensemble dans le ciel.

Lors du prochain alignement complet le 28 février 2025, les sept planètes : Saturne, Mercure, Neptune, Vénus, Uranus, Jupiter et Mars, seront observables dans le ciel simultanément.

Voici la liste des prochains alignements planétaires qui présentent de 5 à 7 planètes :

20 avril 2024 : un grand alignement matinal de Mercure, Vénus, Mars, Saturne et Neptune.

7 juin 2024 : un grand alignement matinal de Mercure, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune.

28 août 2024 : un grand alignement matinal de Mercure, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune.

18 janvier 2025 : un grand alignement matinal de Mercure, Mars, Jupiter, Uranus, Neptune et Saturne.

28 février 2025 : un alignement complet du soir de Saturne, Mercure, Neptune, Vénus, Uranus, Jupiter et Mars. C'est la prochaine fois que 7 planètes seront visibles en même temps.

29 août 2025 : un grand alignement matinal de Mercure, Vénus, Jupiter, Uranus, Neptune et Saturne.

Cela vous permet de voir que sur ces deux ans, il y a de quoi faire avec en prime Atlas qui ne viendra pas soutenir notre monde, bien au contraire ! Vous comprendrez à la lecture de l’extrait.

Il y a déjà LONGTEMPS que je mets mes lecteurs en garde. À titre d'exemple, voici la couverture d'un de  mes articles rédigé en décembre 2020 avec l'alignement Jupiter-Saturne.

https://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/12/le-great-reset-mais-pas-celui-de-klaus-chwab-et-de-davos.html

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/11/le-kolbrin-et-son-destructeur-des-nations-partie-3.html

PS : il me reste quelques exemplaires de ce livre. Celles et ceux qui le désirent pour les fêtes peuvent me contacter : oliviercapevecteur@gmail.com 19,90€ +4€ de frais de port.

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