Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

La « désinformation climatique » serait financée « par le X » et la publicité en ligne.

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

 

Le financement de la désinformation par le biais de la publicité sur les plateformes numériques comme X, anciennement Twitter, « mine tout ce qu’on essaie de faire ici » à la COP28, a dénoncé Jake Dubbins, coprésident de Climate Action Against Disinformation, lors du panel organisé à Dubaï.

Pour lui, les annonceurs qui achètent de la publicité sur les réseaux sociaux comme X financent souvent, sans le savoir, la désinformation climatique et les discours haineux. Cette désinformation aggrave la crise climatique. Il a souligné qu’une recherche sur X avec le mot « climate » proposait à l’internaute, de façon prioritaire, du contenu lié à la désinformation, émanent de "sales types" comme moi.

En France, le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) a analysé près de 400 millions de tweets entre janvier 2021 et décembre 2022, donc principalement avant qu’Elon Musk prenne possession de Twitter. Le CNRS a constaté que la communauté climatosceptique produisait ou relayait à l’époque 3,5 fois plus de messages que la communauté du GIEC, qui compte plusieurs centaines de chercheurs en environnement.

Pour ce genre de lascar, les climatosceptiques sont également ceux ayant participé à de nombreuses campagnes de contestation antisystème/antivax pendant la pandémie. Et cette situation a empiré depuis l’achat du réseau social par Elon Musk, selon plusieurs études, dont une publiée au printemps par des chercheurs de l’État de l’Oregon, de l’Université de Californie du Sud et d’autres institutions.

Elon Musk a notamment licencié des centaines d’employés et rétabli des comptes autrefois bannis. Pour tous ces vendus au système, la désinformation nuit à leurs ambitions mondialistes.

« L’atteinte de nos objectifs climatiques est problématique, car on doit rehausser nos ambitions », a souligné Benoit Charrette, homme politique québécois et ministre de l'Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques depuis le 8 janvier 2019.

Le gouvernement, a ajouté le ministre, « n’est malheureusement pas un acteur crédible à leurs yeux », d’où l’importance du rôle joué par la société civile qui tente de mobiliser les gens dans l’action climatique.

En juin dernier, c’est le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, qui a invité les pays à s’attaquer au «grave préjudice mondial » causé par la prolifération de la haine et des mensonges en ligne, lors du lancement d’un rapport sur l’intégrité de l’information sur les plateformes numériques.

Le sujet n’est pas ici de savoir si nous avons des problèmes de pollution ou pas. Nous en avons, c’est indéniable. Et comme je l’explique clairement dans mon dernier livre, il est même grandement à l’origine de ce que les salopards qui nous dirigent se sont dépêchés de déguiser en couillonavirus.

Les particules fines sont un calvaire et la pollution est partout. Seulement voilà, on nous fait focaliser sur ce malheureux CO2 et certainement pas pour les bonnes raisons. La vérité c’est que « le vert » permet de les enrichir toujours plus.

Lorsque dans un débat on ne peut pas discuter, ça devient un monologue, tout sauf de la vraie science objective. Le parallèle avec le Covid-19 est ici FLAGRANT.

Comme toujours, quand on affirme qu’un élément ne peut se discuter, c’est suspect ! Lisez Tonton Malthus et vous verrez o combien les modèles du GIEC sont obsolètes. La science est comme l’avis des humais, elle évolue en fonction des nouvelles observations : des découvertes.

Un exemple avec le phytoplancton. Le véritable poumon du monde ce sont les océans et pour au moins 75 %. Les océans absorbent davantage de CO2 que prévu grâce au plancton. Ce sont les bouleversements climatiques qui menacent cette pompe naturelle. Et ces bouleversement ont un chef d’orchestre que mes lecteurs connaissent bien : notre Soleil. L’homme n’y est pour rien, c’est un gros dégueulasse de pollueur, mais ce n’est certainement pas lui qui réchauffe le climat avec ses pets.

Depuis des années, on nous bassine avec des « puits carbone ». Les forêts sont sûrement le plus connu d’entre eux. Mais les océans jouent aussi un rôle, loin d’être négligeable. D’immenses masses d’eau parcourent le globe au gré des courants. Quand les eaux de surface plongent vers les profondeurs, elles emportent du carbone. Ça, c’est pour la pompe mécanique, intervient aussi une pompe biologique : le plancton qui vit à la surface.

La partie qui n’est pas mangée coule et se dépose au fond des océans et reste stockée des  milliers d’années. Ça je l'écris depuis des années : le rôle de l’océan est plus important que ce qui était jusqu’ici envisagé.

Le problème est le suivant, nos aïeux savaient tout cela, mais, bizarrement, selon une nouvelle étude qui est parue dans la revue Nature, des chercheur semblent juste l’avoir découvert ?

Dans le précédent rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), en 2021, le rôle de l’océan était souligné, mais les mesures imprécises. Les estimations dataient du début des années 2010.  Selon la nouvelle étude, la pompe biologique de l’océan capture chaque année 20 % de plus que la moyenne calculée par le GIEC, de 11 gigatonnes.

Donc, vous voyez à travers cette information, en plus d’être soudoyé depuis des lustres par l’élite qui désire nous faire avaler des couleuvres, les données de GIEC sont alambiquées.

De plus, je vous ai suffisamment prévenu, un dernier rapport climatique prévient que la Terre est sur le point de franchir des points de basculement dangereux. L’un d’eux pourrait déclencher une ère glaciaire en Europe et avoir un impact considérable sur l’humanité.

Mais les récifs coralliens et les forêts tropicales ne sont pas les seuls à être menacés par le dépassement des points de basculement. Les changements dans la circulation océanique de l’Atlantique pourraient avoir des impacts significatifs sur le climat en Europe.

Un changement dans le vortex subpolaire entraînera des hivers beaucoup plus froids et plus enneigés et des étés plus chauds, raccourcira la saison de croissance des cultures de plusieurs mois et entraînera une perturbation importante des approvisionnements en eau.

Bonne fin d’année quand même.

Olivier

Commenter cet article