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Dans la série l'effet couillonavirus : politique moyenâgeuse

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Le confinement relève d’une politique moyenâgeuse. 

Si les Braxracourcix qui nous dirigent l’utilisent c’est parce que nous n’avons pas de masques, pas de gants et pas de tests, pas assez de respirateurs, de lits et de tous les consommables nécessaires pour soigner les gueux. Lorsqu’en Chine ou ailleurs vous voyez des cohortes de bonhommes habillés comme dans SOS Fantômes, avec des gros fusils, c’est parce qu’ils désinfectent tout. Et si nous, les Gaulois, nous n’en faisons pas autant, c’est parce que personne n’a encore eu l’idée géniale de donner l’ordre à toutes nos casernes de pompiers de mettre de l’eau de javel dans les cuves à eau des camions incendie et d’aller nettoyer les rues. Partout.

Pourquoi malgré nos taxes, impôts divers et variés sommes devenus si nuls ?

Parce que nous sommes dirigés par des nuls.

Nous sommes devenus nuls parce que cette Europe de merde et sa monnaie ont saccagé toute notre industrie, et seule l’Allemagne a pu supporter cette pression monétaire, comme je l’explique dans Tonton Malthus est revenu !

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-371412.html

Du coup toutes les capacités industrielles ou presque sont en Allemagne. Ainsi pendant qu’en Gaule on réalise péniblement 5000 tests jour, en Allemagne, ils en font 500 000 par semaine.

Voilà pourquoi nous reproduisons connement ce que nous avions fait au 14e siècle pour vaincre la peste noire.

À suivre.

Olivier

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la peur ( suite)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Cet article n'est pas de moi ! Il est néanmoins à mettre en perspective avec mon article du 2 avril :  http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/04/la-peur.html

En effet, 12 experts médicaux illustrent ici au mieux le propos exposé dans mon précédent article !

Bonne lecture.

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-371412.html

12 experts s'interrogent sur la paranoïa du coronavirus

Vous trouverez ci-dessous notre liste de douze experts médicaux, dont les opinions sur l'épidémie de coronavirus contredisent les récits officiels du MSM.

Le Dr Sucharit Bhakdi est spécialiste en microbiologie. Il était professeur à l'Université Johannes Gutenberg de Mayence et directeur de l'Institut de microbiologie médicale et d'hygiène et l'un des chercheurs les plus cités de l'histoire allemande.

Ce qu'il dit : "Nous craignons qu'un million d'infections par le nouveau virus n'entraîne 30 décès par jour au cours des 100 prochains jours. Mais nous ne réalisons pas que 20, 30, 40 ou 100 patients positifs pour les coronavirus normaux meurent déjà chaque jour. [Les mesures anti-COVID19 du gouvernement] sont grotesques, absurdes et très dangereuses […] L'espérance de vie de millions de personnes est raccourcie. L'impact horrible sur l'économie mondiale menace l'existence d'innombrables personnes. Les conséquences sur les soins médicaux sont profondes. Déjà, les services aux patients dans le besoin sont réduits, les opérations annulées, le personnel hospitalier diminue. Tout cela aura un impact profond sur toute notre société.

Toutes ces mesures conduisent à l'autodestruction et au suicide collectif basés sur rien d'autre qu'un fantôme.

Le Dr Wolfgang Wodarg est un médecin allemand spécialisé en pneumologie, homme politique et ancien président de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe. En 2009, il a appelé à une enquête sur les conflits d'intérêts présumés entourant la réponse de l'UE à la pandémie de grippe porcine. Ce qu'il dit : "Les politiciens sont courtisés par des scientifiques… des scientifiques qui veulent être importants pour obtenir de l'argent pour leurs institutions. Des scientifiques qui se contentent de nager dans le courant dominant et qui veulent leur part […] Et ce qui manque en ce moment, c'est une façon rationnelle de voir les choses. Nous devrions poser des questions comme « Comment avez-vous découvert que ce virus était dangereux ? », « Comment était-il avant ? », « N'avions-nous pas eu la même chose l'année dernière ? », « Est-ce même quelque chose de nouveau ? » Ça manque."

Dr Joel Kettner, professeur de sciences de la santé communautaire et de chirurgie à l'Université du Manitoba, ancien administrateur en chef de la santé publique de la province du Manitoba et directeur médical du Centre international des maladies infectieuses.

Ce qu'il dit : "Je n'ai jamais rien vu de tel, rien de semblable à ça. Je ne parle pas de la pandémie, car j'en ai vu 30, une chaque année. Cela s'appelle la grippe. Et d'autres virus de maladies respiratoires, nous ne savons pas toujours ce qu'ils sont. Mais je n'ai jamais vu cette réaction, et j'essaie de comprendre pourquoi. […] Je m'inquiète du message au public, de la peur d'entrer en contact avec les gens, d'être dans le même espace que les gens, de leur serrer la main, de rencontrer des gens. Je m'inquiète de nombreuses conséquences liées à cela. […] Dans la province de Hubei, où il y a eu de loin le plus de cas et de décès, le nombre réel de cas signalés est de 1 pour 1000 personnes et le taux réel de décès signalés est de 1 pour 20.000. Alors peut-être que cela aiderait à mettre les choses en perspective."

Dr John Ioannidis Professeur de médecine, de recherche et de politique de la santé et de science des données biomédicales à la Stanford University School of Medicine et professeur de statistique à la Stanford University School of Humanities and Sciences. Il est directeur du Stanford Prevention Research Center et codirecteur du Meta-Research Innovation Center de Stanford (METRICS). Il est également rédacteur en chef du European Journal of Clinical Investigation. Il a été président du Département d'hygiène et d'épidémiologie de la faculté de médecine de l'Université d'Ioannina ainsi que professeur adjoint à la faculté de médecine de l'Université Tufts. En tant que médecin, scientifique et auteur, il a contribué à la médecine factuelle, à l'épidémiologie, à la science des données et à la recherche clinique. De plus, il a été pionnier dans le domaine de la méta-recherche. Il a montré qu'une grande partie de la recherche publiée ne répond pas aux bonnes normes scientifiques de preuve.

Ce qu'il dit : "Les patients qui ont été testés pour le SRAS-CoV-2 sont de manière disproportionnée ceux qui présentent des symptômes graves et de mauvais résultats. Comme la plupart des systèmes de santé ont une capacité de test limitée, le biais de sélection peut même s'aggraver dans un avenir proche. La seule situation où une population entière fermée a été testée était le bateau de croisière Diamond Princess et ses passagers en quarantaine. Le taux de létalité était de 1%, mais il s'agissait d'une population largement âgée, dans laquelle le taux de mortalité de Covid-19 est beaucoup plus élevé. […] Le taux de mortalité de Covid-19 pourrait-il être aussi bas ? Non, disent certains, soulignant le taux élevé chez les personnes âgées. Cependant, même certains coronavirus dits bénins ou à rhume commun qui sont connus depuis des décennies peuvent avoir des taux de létalité atteignant 8% lorsqu'ils infectent des personnes âgées, dans des maisons de soins infirmiers. […]

Si nous n'avions pas connaissance d'un nouveau virus et si nous n'avions pas vérifié les individus avec des tests de PCR, le nombre total de décès dus à une « maladie de type grippal » ne semblerait pas inhabituel cette année. Tout au plus, nous aurions pu remarquer avec désinvolture que la grippe cette saison semble être un peu pire que la moyenne.

« Un fiasco en devenir ? Alors que la pandémie de coronavirus s'installe, nous prenons des décisions sans données fiables », Stat News, 17 mars 2020"

Le Dr Yoram Lass est un médecin, homme politique israélien et ancien directeur général du ministère de la Santé. Il a également travaillé en tant que doyen associé de la faculté de médecine de l'Université de Tel Aviv et, au cours des années 80, a présenté l'émission de télévision scientifique Tatzpit. Ce qu'il dit : "L'Italie est connue pour son énorme morbidité dans les problèmes respiratoires, plus de trois fois n'importe quel autre pays européen. Aux États-Unis, environ 40.000 personnes meurent au cours d'une saison régulière de la grippe et jusqu'à présent, 40 à 50 personnes sont mortes du coronavirus, la plupart d'entre elles dans une maison de soins infirmiers à Kirkland, dans l'État de Washington. […] Dans chaque pays, plus de personnes meurent d'une grippe régulière que celles qui meurent du coronavirus. […]

… Il y a un très bon exemple que nous oublions tous: la grippe porcine en 2009. C'était un virus qui a atteint le monde depuis le Mexique et jusqu'à aujourd'hui il n'y a pas de vaccination contre lui. Mais quoi ? À cette époque, il n'y avait pas de Facebook ou il y en avait peut-être, mais c'était encore à ses balbutiements. Le coronavirus, en revanche, est un virus ayant des relations publiques. Quiconque pense que les gouvernements mettent fin aux virus a tort. - Interview dans Globes, 22 mars 2020

Le Dr Pietro Vernazza est un médecin suisse spécialisé en maladies infectieuses à l'hôpital cantonal de Saint-Gall et professeur de politique de la santé. Ce qu'il dit : "Nous avons des chiffres fiables d'Italie et un travail d'épidémiologistes, qui a été publié dans la célèbre revue scientifique "Science", qui a examiné la propagation en Chine. Cela montre clairement qu'environ 85% de toutes les infections se sont produites sans que personne ne s'en aperçoive. 90% des patients décédés ont de façon vérifiable plus de 70 ans, 50% plus de 80 ans. […] En Italie, une personne sur dix diagnostiquée meurt, selon les résultats de la publication Science, qui est statistiquement une personne sur 1000 infectées. Chaque cas individuel est tragique, mais souvent - comme pour la saison de la grippe - il affecte des personnes en fin de vie. […] Si nous fermons les écoles, nous empêcherons les enfants de devenir rapidement immunisés. […] Nous devons mieux intégrer les faits scientifiques dans les décisions politiques. Entretien à St.Galler Tagblatt, 22 mars 2020

Frank Ulrich Montgomery est radiologue allemand, ancien président de l'Association médicale allemande et vice-président de l'Association médicale mondiale. Ce qu'il dit : "Je ne suis pas fan du confinement. Quiconque impose quelque chose comme ça doit également dire quand et comment en sortir. Puisque nous devons supposer que le virus sera avec nous pendant longtemps, je me demande quand nous reviendrons à la normale ? Vous ne pouvez pas fermer les écoles et les garderies avant la fin de l'année. Parce qu'il faudra au moins aussi longtemps avant d'avoir un vaccin. L'Italie a imposé un confinement et a l'effet inverse. Ils ont rapidement atteint leurs limites de capacité, mais n'ont pas ralenti la propagation du virus pendant le confinement. - Entretien au général Anzeiger, 18 mars 2020"

Le professeur Hendrik Streeck est un chercheur, épidémiologiste et clinicien clinicien allemand sur le VIH. Il est professeur de virologie et directeur de l'Institut de virologie et de recherche sur le VIH à l'Université de Bonn. Ce qu'il dit : "Le nouveau pathogène n'est pas si dangereux, il l'est encore moins que Sars-1. La particularité est que le Sars-CoV-2 se réplique dans la partie supérieure de la gorge et est donc beaucoup plus contagieux car le virus saute de gorge en gorge, pour ainsi dire. Mais c'est aussi un avantage : parce que Sars-1 se réplique dans les poumons profonds, il n'est pas si infectieux, mais il pénètre définitivement dans les poumons, ce qui le rend plus dangereux. […] Vous devez également tenir compte du fait que les décès dus au Sars-CoV-2 en Allemagne étaient exclusivement des personnes âgées. À Heinsberg, par exemple, un homme de 78 ans souffrant de maladies antérieures est décédé d'une insuffisance cardiaque, et cela sans atteinte pulmonaire Sars-2. Depuis qu'il a été infecté, il apparaît naturellement dans les statistiques de Covid 19. Mais la question est de savoir s'il ne serait pas mort de toute façon, même sans Sars-2. Entretien à Frankfurter Allgemeine, 16 mars 2020"

Dr Yanis Roussel et. Al. - Une équipe de chercheurs de l'Institut Hospitalo-universitaire Méditerranée Infection, Marseille et de l'Institut de Recherche pour le Développement, Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille, conduisant une étude évaluée par les pairs sur la mortalité par coronavirus pour le gouvernement de la France dans le cadre des `` Investissements pour le programme du futur.

Ce qu'ils disent : "Le problème du SRAS-CoV-2 est probablement surestimé, car 2,6 millions de personnes meurent d'infections respiratoires chaque année, contre moins de 4.000 décès pour le SRAS-CoV-2 au moment de la rédaction du présent document. […] Cette étude a comparé le taux de mortalité du SRAS-CoV-2 dans les pays de l'OCDE (1,3%) avec le taux de mortalité des coronavirus communs identifiés chez les patients AP-HM (0,8%) du 1er janvier 2013 au 2 mars 2020. Le test du chi carré a été réalisée et la valeur P était de 0,11 (non significative). […] … Il convient de noter que des études systématiques d'autres coronavirus (mais pas encore pour le SRAS-CoV-2) ont révélé que le pourcentage de porteurs asymptomatiques est égal ou même supérieur au pourcentage de patients symptomatiques. Les mêmes données pour le SRAS-CoV-2 pourraient bientôt être disponibles, ce qui réduira encore le risque relatif associé à cette pathologie spécifique. « SARS-CoV-2: peur contre données », International Journal of Antimicrobial Agents, 19 mars 2020"

Le Dr David Katz est un médecin américain et directeur fondateur du Yale University Prevention Research Center. Ce qu'il dit : "Je suis profondément préoccupé par le fait que les conséquences sociales, économiques et de santé publique de cet effondrement presque total de la vie normale - écoles et commerces fermés, rassemblements interdits - seront de longue durée et calamiteuses, peut-être plus graves que le bilan direct du virus lui-même. La bourse va rebondir dans le temps, mais de nombreuses entreprises ne le feront jamais. Le chômage, l'appauvrissement et le désespoir qui en résulteront seront des fléaux de santé publique de premier ordre. « Notre lutte contre le coronavirus est-elle pire que la maladie ? », New York Times, 20 mars 2020"

Michael T. Osterholm est professeur régent et directeur du Center for Infectious Disease Research and Policy à l'Université du Minnesota. Ce qu'il dit : "Considérez l'effet de la fermeture indéfinie des bureaux, des écoles, des systèmes de transport, des restaurants, des hôtels, des magasins, des théâtres, des salles de concert, des événements sportifs et d'autres lieux et de laisser tous leurs travailleurs au chômage et au chômage. Le résultat probable ne serait pas seulement une dépression, mais une rupture économique complète, avec d'innombrables emplois perdus de façon permanente, bien avant qu'un vaccin ne soit prêt ou que l'immunité naturelle ne s'installe. […] La meilleure solution consistera probablement à laisser les personnes à faible risque de maladie grave continuer à travailler, à maintenir les activités commerciales et manufacturières en fonctionnement et à « diriger » la société, tout en conseillant en même temps aux individus à haut risque de se protéger par l'éloignement physique et augmenter notre capacité de soins de santé de la manière la plus agressive possible. Avec ce plan de bataille, nous pourrions progressivement renforcer l'immunité sans détruire la structure financière sur laquelle nos vies sont basées. « Face à la réalité de Covid-19 : un verrouillage national n'est pas un remède », Washington Post, 21 mars 2020"

Le Dr Peter Goetzsche est professeur de conception et d'analyse de la recherche clinique à l'Université de Copenhague et fondateur de la Cochrane Medical Collaboration. Il a écrit plusieurs livres sur la corruption dans le domaine de la médecine et le pouvoir des grandes sociétés pharmaceutiques. Ce qu'il dit : "Notre principal problème est que personne n'aura jamais de problèmes pour avoir pris des mesures trop draconiennes. Ils n'auront des ennuis que s'ils en font trop peu. Donc, nos politiciens et ceux qui travaillent avec la santé publique font beaucoup plus qu'ils ne devraient le faire. Aucune mesure draconienne de ce type n'a été appliquée pendant la pandémie de grippe de 2009, et elles ne peuvent évidemment pas être appliquées chaque hiver, ce qui est toute l'année, car c'est toujours l'hiver quelque part. Nous ne pouvons pas fermer définitivement le monde entier. S'il devait s'avérer que l'épidémie s'atténuerait avant longtemps, il y aurait une file d'attente de personnes voulant s'en attribuer le mérite. Et nous pouvons être sacrément sûrs que des mesures draconiennes seront à nouveau appliquées la prochaine fois. Mais souvenez-vous de la blague sur les tigres. "Pourquoi soufflez-vous la corne ?" "Pour éloigner les tigres." "Mais il n'y a pas de tigres ici." " Voilà !"

« Corona : une épidémie de panique de masse », article de blog sur Deadly Medicines du 21 mars 2020"

Source : https://off-guardian.org/2020/03/24/12-experts-questioning-the-coronavirus-panic

 

 

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Il est l’or de l’or noir Monsignor !

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-371412.html

Les Saoudiens ont, il y a peu, baissé leurs culottes en essayant de conclure, mais sans succès, un accord avec la Russie, le deuxième exportateur après l'Arabie Saoudite, pour réduire ensemble la production de pétrole afin de maintenir le prix à un niveau élevé. La Russie veut maintenir sa production à un niveau élevé et elle utilisera cette crise pour saper davantage la production américaine de pétrole. La Russie n'a pas de déficit budgétaire et est bien placée pour survivre sans trop de dommages à une baisse des prix du pétrole brut. Ce n’est pas le cas de l'Arabie Saoudite.

L’administration Trump a demandé aux Saoudiens de produire moins de pétrole, mais comme l’industrie touristique saoudienne est également morte, le prince héritier saoudien a besoin de chaque dollar qu’il peut gratter. Les Saoudiens continueront à pomper et à vendre leur pétrole à n’importe quel prix. La Maison Blanche craint maintenant de perdre complètement son industrie du schiste bien-aimée et tous les emplois qui y sont liés.

J’en parle dans Tonton Malthus est revenu ! Trump, qui a sanctionné le gazoduc russo-allemand Nord-Stream II tout en demandant à l’Allemagne d’acheter du gaz de schiste américain, est maintenant en mauvaise posture. La Russie n’a pas besoin d’un nouvel accord de l’OPEP. Elle dispose de réserves financières et peut vivre avec des prix du pétrole bas pendant beaucoup plus longtemps que les Saoudiens et les autres. Trump devra faire une offre à laquelle la Russie ne pourra pas résister pour obtenir une coopération sur les prix du pétrole.

Mais quoi ? L’Ukraine, en faillite et infestée de fascistes ? La Syrie? Les riches sionistes cesseraient leurs dons à Trump s’il renonçait à la détruire. Quant à limiter la production américaine en allant contre la loi du libre marché, ce n’est même pas la peine d’y penser.  Le Congrès ne l’acceptera jamais, tout comme la levée des sanctions contre la Russie.

En fait, rien n’intéresse la Russie maîtresse du jeux, et le carnage va continuer et va ravager les pays producteurs qui ont besoin de chaque centime alors que Covid 19 s’attaque à leur population. Pendant ce temps, le marché américain du schiste fera faillite.

Avec la moitié de la planète confinée, le pétrole produit se vomis de partout. Il y a une offre énorme de l’OPEP qui ne veut pas baisser sa production. Et là, l’oncle Sam s’en ramasse une bien profonde, une quenelle de 170, une épaulée. Les producteurs de pétrole de schiste, les trumpistes, vont devoir fermer moult puits. C’est "sainte Greta" qui va être heureuse car c’est tout simplement du jamais vue dans la consommation de notre économie ultra-carbonée aux pieds d’argile.

Entre l’offre et la demande, c’est le grand écart. Nous assistons à une augmentation très importante des stocks et donc… les prix pourraient continuer à baisser.

Nous parlons ici d’économie réelle, pas de bubulles spéculatives, là, il convient de stocker ! Où ? Dans des citernes et des supertankers. Mais la production pétrolière, c’est comme un long, très long, très très long train de marchandise, ça met des plombes à s’arrêter, et cette inertie fait gonfler le volume à stocker. Lorsque toutes les capacités de stockage seront saturées, certains seront prêts à tout pour se débarrasser de l’or noir en excédent…

De la même manière, on a le droit de rêver ! si l’économie repart vite, il faudra le même temps pour réenclencher la production… nous pourrions alors assister à un effet yoyo, et avoir une hausse des prix du pétrole fulgurante après une énorme baisse.

Entre ce FAIT, les pénuries, les taxes qui vont nous écraser, et les effets yoyo des périodes de confinement à venir, la crise économique que nous allons vivre sera bien plus terrible que celle de 2008.

En 2008, la crise était d’abord financière, c’est la crise dite des «subprimes », dans laquelle pour aller mieux, on imprime de l’argent torche cul. Le malade est mis sous perfusion d’un médicament qui le soigne tout en torpillant son système immunitaire. Aujourd’hui, c’est différent, nous sommes face à un arrêt cardiaque du malade. Vous pouvez lui donner tous les médocs du monde, imprimer autant de billets torche cul que vous voulez, ce dont ne se prive pas l’élite, aucun milliard de dollars ne permettra de fabriquer des masques, des respirateurs, des gans, de la bouffe, etc…

L’économie et les entreprises sont à l’arrêt, les commerces fermés, les gueux confinés. 3,5 milliards de terriens viennent de sortir de l’économie productive… C’est du jamais vu, même en temps de guerre. Mais chez nous, en Gaule, nous sommes montés sur amortisseurs pour le moment. Je m’explique ! Chez nous, dans l’hexagone, les mesures d’urgence rendent ce monstrueux marasme pour l’instant relativement peu palpable pour la majorité des concitoyens. Pourtant, la bête est là, bien à l’œuvre, elle dévore en coulisses tous nos outils de production. Restaurants, hôtels, bars, cafés, commerce… Alors que les aléas classiques sont déjà difficiles à encaisser, beaucoup ne rouvriront pas. Moult affaires fragiles parce que les marges sont faibles, les charges importantes, vont se trouver asphyxiées.

Effectuer des reports (prêts, loyers, charges, etc.) ne fait que décaler le problème. Lorsqu’il faudra réouvrir, il faudra payer les arriérés, à nouveau payer du personnel, et surtout attendre des clients fauchés et/ou traumatisés qui ne viendront pas. Beaucoup trop de ces clients réduiront, forcés, leurs dépenses parce que l’inquiétude économique, les plans sociaux, le chômage provoqueront un choc terrible de confiance et une défiance envers la consommation.

Ainsi, combien de temps tous ces lieux publics potentiellement vecteurs importants de contamination pourront-ils supporter cette bérézina ?

Les gouvernements successifs ont fait de la France, depuis 40 ans, un pays bronze culs. Le PIB du tourisme y représente environ 8 % environ du PIB total ! Or, toute l’industrie française du tourisme est à l’arrêt. Qui aura envie de voyager et quand ?

Lorsque le moment de ressortir de notre petit confort précaire viendra, lorsque nous aurons quitté Canal+ et Netflix se sera pour nous contempler une économie détruite faite de centres-villes fantômes, d’entrepôts vides où Mad Max et sa clique ne tarderont pas à roder.

À suivre.

Olivier

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La douloureuse (suite)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-371412.html

De nombreux cas sont déjà signalés de commerçants demandant le prêt de l’État à leur banque pour faire face à leurs échéances. Ces banques tentent alors de leur faire signer un prêt avec caution personnelle, alors que le prêt de Bruno Lemaire est garanti par l'Etat, donc sans caution. Paniqués, les commerçant sont prêts à signer n'importe quoi du moment qu'ils ne se retrouvent pas interdits de chéquier en Banque de France ce qui signifie la mort immédiate.

De plus, contrairement à ce qui était promis, il semblerait qu’URSSAF, échéances, etc., ont bien été prélevés. Mais comme arrivé au 31 mars, il manque 15 jours de recettes, des prélèvements sont rejetés par la banque, qui applique sa politique de pute.

Pendant ce temps, notre ministre du Budget, Darminin, applique sa politique à la Enrico Macias « Donnez, donnez, dodo-onnez, donnez, donnez-moi, donnez, donnez, dodo-onnez, Dieu vous le rendra... », fait la manche pour les hôpitaux. Clairement nos 1 000 milliards en impôts chaque année ne leur suffisent pas.

Le carnage est commencé et le nombre de suicides va exploser à cause de ces criminels de banquiers. D’un autre côté, encore merci Macron, comme les indemnités de Pôle Emploi ont changé, je vous laisse faire le calcul et les crises d'angoisse qui vont avec...  Auquel s'ajoute l'hypertension.

À suivre.

Olivier

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La douloureuse

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Le coût de la crise sanitaire en France se chiffrera en dizaines de milliards d’euros. Peut-on s’attendre, dans le pays le plus taxé au monde, à une hausse d’impôts afin de compenser les mesures de sauvegarde de l’économie ? En 1976, une terrible sécheresse avait déjà poussé Valéry Giscard d’Estaing à majorer l’impôt sur le revenu. Une canicule sans précédent frappait l’Europe, couplée à une période de sécheresse exceptionnelle, qui avait préalablement eu raison des nappes phréatiques.   La « solidarité nationale » avait alors été brandie, et l’armée réquisitionnée pour apporter dans l’urgence du fourrage aux agriculteurs.

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-371412.html

Depuis, cette solidarité a servi de prétexte à de nombreux nouveaux impôts et taxes. Et là, le sieur Gérald Darmanin, ministre de l’Action et des Comptes publics a lancé, en date du 31 mars, « un grand appel à la solidarité nationale ».

De là à penser que l’État n’aurait pas les moyens d’aider les entreprises et les particuliers frappés par les conséquences économiques de l’épidémie de coronavirus, il n’y a qu’un p’tit pas que j’ai déjà franchi depuis longtemps, et vous ? Il faut dire que la note serait salée. 60 milliards d’euros de perte par mois de confinement, vue que la situation sera sans commune mesure avec 2008 ou 1929.

Une mauvaise nouvelle pour les caisses de l’État… et donc pour le contribuable. Mais il n’est pas encore le temps de le dire à tous ces millions de Gaulois confinés et dont beaucoup, hélas ! sont des psychopathes en devenir.

Il faudra pourtant que tous les Gaulois pensent à régler l’ardoise des mesures prises ces dernières semaines par le p’tit village d’irréductibles pilleurs pour sauvegarder l’économie nationale.

C’est que ça coûte une perfusion, hein les hospitaliers ? Et le p’tit village va devoir s’asseoir sur une part non négligeable des revenus fiscaux : TVA, surcoût de prise en charge des malades, chômage partiel, mobilisation exceptionnelle de moyens d’État, etc. J’allais oublier les prestations et diverses aides sociales, tout comme les salaires des fonctionnaires. Alors vous pensez bien que cela va créer un grand écart de trésorerie à la Jean Claude Vandamme qui ne pourra se résorber de lui-même.

 Mais là, la gueusaille est en droit de se poser des questions : « Où est donc passé le flouze, le grisbi, l’oseille, l’argent quoi ? » Les prélèvements obligatoires pèsent pour plus de 48% du PIB en Gaule, faisant de nous tous, pauvres gueux, les champions mondiaux number one de la pression fiscale, avec plus de 1 000 milliards de taxes et d’impôts divers par année.

Alors les amis, qui va payer la casse ? Allons-nous assister au grand retour de l’ISF avec un Macron aux bottes de l’oligarchie bancaire alors que son retrait fut la mesure-totem de son mandat ? La marge de manœuvre du p’tit Jupiter est relativement restreinte, une feuille à cigarette aux vues de la provenance de son principal électorat. On voit mal également le p’tit village surtaxer les carburants au risque de réveiller les Gilets jaunes ou toucher à la taxation des entreprises déjà presque mortes.

Reste les propriétaires les amis !

À suivre.

Olivier

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LA PEUR

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

En fait, « pandémie » évoque une vague d’effroi instantanée chez ceux qui sont facilement manipulés par les médias de masse. Ceux qui contrôlent, planifient sur l’échiquier dissimulé du contrôle humain savent qu’en brandissant ce mot ils ont à disposition une arme instantanément efficace pour affaiblir psychologiquement la résistance des individus vulnérables aux mentalités irrationnelles et facilement impressionnables.

Ainsi, dans un monde fortement conditionné par les merdias, la peur a un énorme pouvoir psychologique.

Coronavirus a été déclenché, avec une joie à peine contenue, par les médias sous les ordres des malveillants contre l’humanité. Poussé au volume maximum et dispersé dans le monde, le message de peur délibérément conçu a pour effet immédiat de rendre la majorité impuissante.

La majeure partie d’entre-nous, sous l’égide d’une école talmudo-maçonnique, a subi un processus d’éducation qui dépend, pour son efficacité, de la perception du pouvoir dévolu à une certaine «autorité ». Une source d’influence qui dépend, pour son efficacité permanente, de ne jamais être soumise à un examen rationnel ou à un véritable examen d’aucune sorte. Tel est le pouvoir envoûtant de l’endoctrinement total.

Dans cette bataille du bien contre le MAL qui fait rage pour savoir « qui contrôle le monde », certains agents cachés ou déguisés apparaissent maintenant au grand jour. Et c’est pourquoi le chaos et la peur sont vraiment dans l’air du temps. Il faut donc se prémunir du masque de l’intelligence contre leurs miasmes mondialistes. Covid-19 est donc un film d’horreur de série B au scénario mal dégrossi. Il mérite à peine de passer sur Netflix. Il y règne tellement de facteurs absurdes dans les tentatives des médias de rendre compte de ce qui se passe, que l’on ne peut que se sentir étourdi et confus si l’on essaie de suivre l’histoire en temps réel.

Cependant, gueusaille aidant, et zombification extrême régnant, ce qui est devenu clair comme de l’eau de roche, c’est qu’une immense quantité de moutons sont rassemblés en troupeau bêlant et paissent, sans résistance. Les tactiques d’effarouchement utilisées sont du style 11-Septembre 2001, et donc plus dangereuses que le virus qui est l’excuse pour les déployer. Dans cet état de psychose induite, toutes sortes de machinations peuvent être perpétrées contre la gueusaille, et, soyez en sûr l’élite excitée, toute en érection, ne s’en privera pas. C’est précisément ce à quoi nous assistons en ce moment.

Beaucoup de ceux qui me lisent, pas assez à mon sens, connaissent déjà les ambitions de l’élite de l’État profond. Je le claironne suffisamment depuis plus de dix ans. Ils savent qu’une phase préplanifiée de chaos social (Ordo ab Chaos) et économique est un facteur clé dans leur tentative de déploiement du Nouvel ordre mondial totalitaire.

Nous y sommes maintenant jusqu’aux trous de nez. Son succès dépend du grand nombre de personnes qui suivent les instructions transmises par les marionnettes politiques de l’État profond et par la lâche répétition de ces instructions par les médias grand public vendus au système de la Bête 666.

Encore une fois, la peur joue un rôle clé ne serait-ce que sur le plan numéraire. Je m’explique : quoi de mieux qu’un stress à long terme afin de mettre un système immunitaire à genoux !? Cette fois, LA PARTIE étant clairement et profondément engagée dans le fondement des gueux, style quenelle épaulée de 170, il convient de garder un niveau constant d’anxiété et d’hystérie en ébullition, tout en veillant à ce que ceux qui sont capables de reconnaître la vraie nature de l’arnaque soient contraints de la fermer, de rester alignés, risquant sinon leur emploi, leur sécurité ou leur statut au sein de la relation maître / esclave, rigoureusement renforcée, du statu quo.

L’ensemble du colosse aux pieds d’argile maintient son assise par la tromperie et l’exploitation pure et simple. Pourtant, chose horripilante aux yeux des trop peu nombreux « conspirationnistes », les exploités moutonneux, les mougeons de service, choisissent largement de ne pas être conscients du fait qu’ils sont utilisés et maltraités au profit d’un idéal fasciste. Zombifiés par des années de télé spectacle et pléthores de matchs de foot, ne se rebellant pas face à un tel traitement, mais s’y conformant doigt sur la couture du pantalon déjà bien baissé, une population muette établit la base de son propre avilissement et de son désormais tout proche esclavage complet.

Comme je le dis et l’écris souvent, ces méthodes sont babyloniennes. Elles ont été pratiquées maintes et maintes fois dans l’histoire du monde, et chaque fois la rétrospective révèle la motivation d’une obsession du pouvoir et du contrôle. Mais extraordinairement, à chaque fois prouvant ainsi combien l’humain est docile, les auteurs ne sont qu’un petit nombre de despotes psychopathes. Que cela prenne la forme d’un pouvoir militaire, d’un dogme religieux ou profane, ou de phénomènes modernes de management des entreprises à la Jeff Bezos ou des banques à la Rothschild, à condition que le drame soit bien géré sur la scène et que le pouvoir réussisse à « terroriser », les « élus » arrivent à leurs fins.

Quel est le plan ? Il est mondial. Les principaux acteurs ont élaboré l’intrigue bien avant que chacun d’entre nous ne le sache. Des Agenda 21 ou bien des réunions comme le Forum économique de Davos ou Bilderberg sont utilisés pour forger un consensus sur le calendrier et les méthodes à employer.

Dans le cas qui nous intéresse, celui du Covid-19, son apparition, ou du moins la diffusion d’un récit sur quelque chose de mauvais portant ce nom, est programmée pour détourner l’attention du gueux qui n’y voit que le doigt là où on lui montre la lune. Et il va l’avoir dans sa lune tant l’accélération de l’installation de réseaux jugés importants pour la création d’un Nouvel ordre mondial totalitaire est marquante. Le déploiement de la 5G, un réseau intelligent numérique et un « internet des objets » y jouera un rôle crucial ; un système de transport robotisé ; le programmes de surveillance de la population par reconnaissance faciale ; de nouvelles souches d’organismes génétiquement modifiés et de vaccins, etc.

Cependant, et là j’espère, les moins réceptifs jusque-là à mon discours, comprendront mon « obsession » face à une politique VERT CACA. L’objectif prédominant consiste à « redéfinir » la finance mondiale de manière à sembler soutenir l’euphémisme du New Deal Vert et de son Saint-Graal « Zéro Carbone ». Voila pourquoi j’ai mis les bouchées doubles à rédiger Tonton Malthus et revenu ! ainsi que le Centième gueux. Ceux qui auront lu ces ouvrages seront clairement enseignés sur notre proche avenir. Et dans notre cas, un homme averti en vaudra dix !!!

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-371412.html

D’où pouvait provenir la saloperie, et le fait que la Chine ait probablement été la cible initiale des armes biologiques ne nuit pas à l’objectif plus répandu de perturber l’économie mondiale dans son ensemble. Les Malthusiens n’ont pas le même regard sur ce monde que le péquin lambda. Récession oblige, ils nous entrainent de force vers le fond du bassin. Seuls ceux qui sauront nager dans le sens du courant auront la vie sauve semble-t-il ! Mais savoir nager dans le sens du courant d’un monde/démon n’est-ce pas déjà avoir le destin d’une feuille morte !?

L’efficacité de cette stratégie mutante dépend amplement du fait que la plus grande partie de la populace soit entraînée à croire aveuglément en l’authenticité, la « réalité » du scénario pourtant «virtuel ». Une stratégie qui masque l’imposition très réelle d’un État fasciste.

Et pourtant nous assistons bien à un film gore de série B, une merde immonde. La pléthore d’actions de répression contradictoires et irrationnelles imposées au nom de la mise à distance du sieur Corona dissout la crédibilité de l’opération jusqu’au point de la voir disparaître. En fait, c’est une farce ; mais une farce qui implique des morts réelles et le soutien d’un État policier, ne peut pas être simplement ignorée, ridiculisée.

Plus de 7 milliards de gueux assistent ainsi à une manipulation planifiée des personnes et des ressources de cette planète. C’est l’ouroboros de Nimrod qui se répète inlassablement depuis des millénaires. Son principal aiguillon consiste en l’art bien cyclique de répandre la peur et la panique. Mais bordel, il passé où le don de rationalité et de bon sens dont nous avons tous été pourvus depuis notre naissance lorsque nous sortons du CON, avant de devenir des concitoyens ? Lorsqu’il est en bon état, ce 3e œil peut clairement voir derrière la façade et maintenir la ligne de la raison et de la vérité. Nous avons tous autour de nous pléthore d’opticiens, mais l’œil dont je vous parle ici, ils l’ont tué, crevé, fluorisé, style tonton Adolf.

Peu ont vu venir ce drame « Ordo ab Chaos » depuis des années. Trop peu sont éveillés aux durs moments qui nous attendent. Le moment du chaos est sur nous en ce moment, et très visible. L’ordre est à venir et consistera en l’émergence d’un pacificateur : Messie pour les uns Antéchrist pour les autres. On parlera de ce plan de paix sur lesquels les fous de dieu surfent depuis trop longtemps déjà. Il impliquera que les croupiers principaux du casino ratissent tous les jetons et les encaissent pour une satisfaction temporaire. Avant qu’ils ne jettent leur or devenu inutile dans les rues, il leur permettra une petite période de vacances au cours de laquelle les faibles agenouillés pourront se réjouir d’avoir survécu? et bénir l’émergence d’un NOM tant chéri par les Bush, Sarkozy, Attali, BHL et tant d’autres.

Cela se fera sous l’autorité de n’importe qui, ou n’importe quoi, tant qu’ils pourront croire que le monde a été sauvé de l’anarchie et de la ruine.

Ceux d’entre vous dont les genoux sont encore solides, qui ont encore quelque chose entre les jambe et entre les oreilles, doivent profiter de ce moment pour clamer résolument haut et fort « Nous ne voulons pas de votre futur monde de merde : allez brûler en Enfer ».

Décidemment, je pleins de tout mon cœur les athées qui se comptent par centaines de millions sur cette terre ! Merci l’enseignement maçonnique ! Mais, heureusement, il y a une surprise en réserve pour les lâches initiateurs de ce chaos voulu, orchestré.

Oui je pleins les athées, car c’est le Propriétaire des lieux, le Vrai Jardinier qui va prochainement affronter cette dynastie obsédée et démoniaque, de sorte qu’elle trébuche, tombe et ne se relève plus.

Olivier, un croyant heureux.

 

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La démarche qualité

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

La démarche qualité rend tout le monde dingue. Nous ne sommes pas sur terre pour travailler, mais pour créer, c’est tout à fait différent. Travailler, peut se concevoir pour fabriquer des choses intelligentes et non s’aliéner pour 1000€ par mois. Ainsi, fuir le système revient à s’éviter un cancer, loin d’un monde qui est en train de nous soumettre par le biais d’une idéologie du langage.

Luc Boltanski est un sociologue français né le 4 janvier 1940. Ses premières recherches seront menées dans le cadre du Centre de sociologie européenne, dirigé par Raymond Aron puis Pierre Bourdieu. Boltanski sera un « disciple » de Bourdieu jusqu’au moment où son analyse des événements de mai 68 le portera à penser qu’il y a quelque choses qui cloche dans les écrits du sociologue Pierre Bourdieu (1930-2002), surtout en ce qui concerne « la reproduction sociale ».

En effet, Bourdieu se borne à démontrer la reproduction obligatoire de la domination d’une caste sur une autre : tu es fils d’ouvrier tu seras obligatoirement ouvrier, point barre !

Il y a pourtant des oppositions à ce consensus, des révoltes, et Boltanski va chercher à comprendre pourquoi et comment ça fini par péter. Pour lui, c’est lorsque la critique sociale et intellectuelle finissent par se rencontrer. Traduction : c’est lorsque Billancourt rencontre les étudiants, lorsque l’analyse intellectuelle vient s’encanailler et flirter avec le vécu social. C’est pourquoi tout est fait en ce bas monde/démon pour que cette rencontre n’aie jamais lieu.

Alors que l’éducation politique se réalise bel et bien lorsque les deux se rencontrent et commencent à analyser la situation, mais avec deux yeux et non un. Or, le problème rencontré depuis plus d’un an avec les manifestations, c’est que l’œil de gauche intellectuel s’est pris un méchant coup de flashball. « Violence et racisme » aidant (merci Alain Finkielkraut !), nos dirigeants ont su adroitement orchestré une cabale des plus intelligente visant à faire passer le Gilet Jaune pour ce qu’il n’est majoritairement pas. 

Hélas, la mayonnaise a pris et ce mouvement intellectuel de gauche a été très réticent face aux Gilets jaunes, les taxant de racistes d’extrême droite. Pour eux, ces gars se battaient pour le gasoil mais pas contre la « loi El Khomri ». Bref, comme disait un grand penseur dont j’ai, hélas, oublié le nom : « Il y a des révolutionnaires assez cons pour ne pas voir la révolution lorsqu’elle passe devant leur nez. »

La bourgeoisie a eu peur du mouvement Gilets Jaunes et les médias ont tout fait pour. C’est le diviser pour mieux régner et le « je ne vois pas l’intérêt de casser » qui ont prévalu. Et il faut bien reconnaitre que ça marche vraiment cette critique de la violence, sauf si elle est policière. Cependant, je suis mitigé sur le mouvement Gilets Jaune, lorsqu’on dit que c’est un flop, je ne pense pas. Il va en effet être difficile de voir désormais la police comme quelque chose étant là pour nous « protéger » ou les médias pour nous « informer ».

Ça contribue à entretenir le rapport de force. Marx disait : « le capitalisme est un système révolutionnaire qui s’entretien en permanence. » Ce système aberrant se nourrie constamment de sa propre critique. C’est un système d’accumulation pour l’accumulation, du tout pour ma gueule. La seule façon de l’arrêter, c’est une révolution violente. C’est d’ailleurs ce que cherche l’élite afin de pouvoir instaurer définitivement sa dictature.

La question est donc comment ça va péter et pourquoi ?

Comment ? On le sait maintenant : merci Covid 19 !

À suivre

Olivier

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développement personnel (fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Du fait de notre éducation nous avons tous incrémenté un certain nombre de croyances limitantes. La croyance ne se situe pas toujours là où l’on pensait la trouver. Qu’est qui relève de la croyance ? Est-ce le fait de se dire qu’on est capable de devenir astronaute ou artiste peintre ou de présupposer que de toute manière, quoi que l’on fasse et entreprenne, on n’y arrivera pas, et qu’il ne sert donc à rien d’entreprendre quoi que ce soit.

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-371412.html

Ainsi, malheureusement pour beaucoup, il ne sert à rien de vouloir contredire ces fameuses lois du déterminisme social, s’opposer aux schémas du conformisme, car ils ont imprimé dès l’enfance que c’est peine perdu, etc.

Nous sommes toutes et tous dans une confusion totale entretenue par les lois du déterminisme social qui nous gouvernent collectivement. Il est essentiel de comprendre que notre rapport à nous-même n’a strictement rien à voir avec ces lois. Ce schéma déterministe s’applique certainement à la communauté mais pas à vous qui me lisez et pour qui mon propos a du sens en écho à certaines choses qui vous ont déjà interpelé.

Rien de ce qui est possible à l’homme ne peut être au-dessus de tes moyens.

Les seules questions que vous pose le développement personnel sont : qu’est-ce que vous voulez et quelles sont les moyens que vous voulez mettre en place afin d’y parvenir ?

Fin

Olivier

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developpement personnel (suite)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Le développement personnel s’est donc très certainement nourri de cette philosophie ancienne au sein de laquelle l’humain était vu dans sa globalité. Notre réalité dépend de nos pensées, ce sont elles qui dirigent nos actions. C’est bien pour cela que l’élite s’évertue à pervertir nos idées en une pensée globale paralysante.

C’est ainsi qu’avec une approche purement déterministe du monde on se condamne à être passif dans l’existence puisque tout est prévu d’avance. Elle est valable dans la nature mais devient un frein face à l’action individuelle. On possède une marge de manœuvre capable d’influencer le monde ainsi que nous-même. C’est ce potentiel de développement personnel qui peut et doit nous rendre heureux. C’est un projet d’amélioration de la société qui passe d’abord par soi. C’est moins narcissique que de vouloir changer le monde sans se changer soi-même.

En levant un certain nombre de préjugés, de barrières mentales, tout devient alors humainement possible. Ça peut permettre de vaincre une certaine forme de déterminisme social qui prône qu’il faut être issu de tel milieu pour réussir. C’est ce qui résulte des travaux d’analyse du sociologue Pierre Bourdieu (1930-2002) sur la reproduction sociale prônant qu’un fils d’ouvrier deviendra automatiquement ouvrier lui-même.

Ça se vérifie au niveau collectif mais pas au niveau de l’individu qui va savoir se questionner sur lui-même. Si le sportif part dans l’idée de perdre ce n’est même pas la peine d’aller affronter l’épreuve. Le sport n’a alors plus aucun sens. Il est obligé de se mettre dans un état mental et psychologique particulier qui va alors lui permettre de mobiliser des ressources insoupçonnées. C’est pareil pour tous dans chaque partie de vie.

Ces auto-conditionnements fonctionnent sur le principe de la croyance, un moteur, une croyance vertueuse ou pernicieuse. On peut choisir la croyance dès lors qu’elle va devenir mobilisatrice. Si je suis admiratif et désire devenir un astrophysicien, dès demain je peux entreprendre les démarches afin de le devenir. Je commence par étudier mes cours de maths.

À suivre

Olivier

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developpement personnel (suite)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

On peut résumer ce développement à un ensemble de méthodes d’approche qui permettent une amélioration allant jusqu’à la transformation de chacun de nous. On cherche à y exploiter au plus haut niveau ses potentiels cachés.  Dans tous les domaines : sentimental, amical, social, blocages mentaux, etc., le développement personnel peut-être mis à profit. Il convient néanmoins de préciser qu’il est un symptôme de notre époque. Bien que récent, il puise ses ramifications dans la psychologie du 19e siècle. Je m’explique.

C’est un caprice de gosse de riche, il ne naît que dans une société ou la problématique de la survie a été résolue, un privilège qui vient lorsqu’on a plus à penser comment se nourrir et survivre. En 14-18, ou durant la Seconde Guerre mondiale, nos ainés ne cherchaient pas à donner un sens à leur vie. Il cherchaient simplement à survivre, manger, et ne pas se prendre un obus ou une balle perdue.

À mon sens, et ça n’engage que moi, on ne peut vouloir donner du sens à sa vie, à l’intérieur de soi, dans des conditions catastrophiques. Mais on le peut dans une société d’opulence même inégalitaire. Les plus pauvres arrivent à y survivre et dans ce cas, on a tous la possibilité de se transcender. En quelque sorte, une quête d’absolu ne peut se prétendre que dans le confort matériel. Mais en France, beaucoup ont un problème avec la dimension matérielle autant qu’avec la spirituelle. C’est oublier que le VRAI développement spirituel doit permettre le seine adéquation entre le spirituel et le matériel. C’est concilier le spirituel à la vie pratique.

À ce titre, on peut considérer les philosophes stoïciens comme étant certainement les tous premiers adeptes du développement personnel, puisque leur mouvement avait pour finalité le bonheur de l'existence humaine obtenu grâce à une acceptation rationnelle de l'ordre du monde et de son évolution. Leur philosophie reposait notamment sur la distinction centrale entre d'un côté les choses dépendant de nous, et sur lesquelles nous devons concentrer nos efforts, et de l’autre, celles qui ne dépendent pas de nous, contre lesquelles il est vain de lutter et que nous devons au contraire supporter et accepter (principe de détachement).

À suivre

Olivier

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