Bienvenu dans goulag mondialiste (Partie 2)
Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-1.html
La diabolisation du CO2 est liée, parole de « conspirationniste », à l’obsession mondialiste de nous contrôler numériquement afin d’aboutir à la grande réinitialisation du système bancaire.
Le Reset de tonton Schwab a besoin d’une monnaie contrôlante à laquelle personne ne peut échapper. Cette réinitialisation doit être mondiale et unifiée, d’où ces comportements et discours complètement irrationnels.
Les émissions mondiales de CO2 liées aux activités humaines atteignent 30 milliards de tonnes (Gt) par an. Soi, même pas un pourcent de la quantité de CO2 stocké dans l’atmosphère, qui est de 3 200 milliards de tonnes. Soit 100 fois plus.
Quant à l'empreinte carbone annuelle de la France, elle est estimée à 604 millions de tonnes équivalent CO2. Soit 1/5290e des réserves atmosphériques.
Ainsi, pour un flux de 1/5290e du stock dans l’air, les froggies devraient accepter de cuir à petit feu dans la casserole écologique et voir le prix du gaz et de l’électricité doubler.
30 milliards d’euros vont être consacrés, en France, à des mesures qui ne servent à rien. Un pet de mouche. Or, face à la nature et son stock, on n’y peut rien ! Mais d’abord, est-on sûr que nous courons à la catastrophe ?
En effet, de tout temps, le CO2 a été là et souvent à des niveaux bien plus élevés. Mais face à ce « ministère de l’écologie » qui exige que nous obtempérions tous, nul n’a le droit d’en douter. Et ce ministère orwellien, nous le devons à un type du nom de Maurice Strong qui, poussé par Rockefeller, a pris le pouvoir à l’ONU, il y a de cela 50 ans.
Et lorsque vous voulez savoir qui est la famille Rockefeller, je vous invite à consulter ma série les concernant : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/04/roro-et-son-empire-base-sur-la-fausse-science-partie-1.html
Vous comprendrez alors que Strong, ce type qui avait arrêté ses études à 14 ans, bénéficiait néanmoins d’appuis en béton armé et de l’aval de scientifiques vendus au système.
On lui doit le sommet de Rio où, devant 108 chefs d’états, il avait déclaré que nous allions à la catastrophe et qu’il fallait se débarrasser du CO2. Or, partout où vous voulez augmenter le rendement agricole (serres), il faut du CO2 et le personnel est loin d’en souffrir.
Néanmoins, bien qu’étant avant tout un FERTILISANT, dans tous les documents officiels, on a fait du CO2 un polluant.
https://twitter.com/i/status/1674280911616049153
Début des années soixante-dix, l’oncle Sam était déjà vérolé et son dollar tout autant. Une grande partie du monde occidental était plongée dans une crise économique stagflationniste.
En 1971, et en réponse à cette mouise, Nixon a complètement désolidarisé le dollar de l’étalon-or. Désormais et pour faire simple, plutôt que de s’essuyer dans les rideaux, les USA pouvaient produire autant de papier-cul qu’ils en souhaitaient et en y noyant le monde entier DANS DE LA FAUSSE MONNAIE.
C’est en partie ce qui a finalement intensifié les pressions inflationnistes. Les années glorieuses de l’après-guerre (le boom de l’après-guerre) se sont envolées en Europe, tandis que les prix des biens (et du pétrole/essence) aux États-Unis ont grimpé en flèche jusqu’en 1981-1982, lorsque la Réserve fédérale a augmenté les taux d’intérêt jusqu’à environ 20% et a délibérément provoqué une récession.
Les banques ont toujours fait les guerres et « le climat ». Et ce n’est pas pour rien qu’en 1969, le FMI a créé le système des DTS, BIZARREMENT juste avant la suppression de l’étalon-or.
Le DTS est basé sur un panier de devises internationales : le dollar américain, le yen japonais, l’euro européen, la livre sterling et le renminbi chinois. Le FMI fixe chaque jour la valeur du DTS sur la base des montants fixes des monnaies composant le panier du DTS et sur les taux de change quotidiens du marché entre les monnaies composant le panier.
La valeur actuelle d’un DTS est d’environ 1,40 dollar américain ou 1,24 euro. Le droit de tirage spécial (DTS) est donc un actif de réserve international portant intérêt qui complète les autres actifs de réserve des pays membres.
Il s'agit d'une créance sur les monnaies librement utilisables des pays membres du FMI. Et encore plus bizarrement, ce sont ces mêmes DTS qu’ils s’apprêtent à utiliser comme fondement de la dernière marche devant nous mener au Nouvel Ordre Mondial (NOM) : leur monnaie numérique. Sur ce sujet voir : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/05/a-b-c-d-et-cbdc.html et si vous êtes curieux et courageux, ma série nommée https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/03/bankable-partie-1.html
Là-dessus, venons-en à mon vieux « pote » nazi, tonton Schwab. Son usine à gaz (mais sans CO2) sera fondée en 1971. C’était le début d’une nouvelle ère pas forcément réjouissante, pour les nostalgiques des hippies. En effet, c’est durant cette douce décennie que les rouages de l’Occident vont fortement se corroder aidés en cela par une caste de Malthusiens déjà aux ordres du Deep State. Quant au jeune nazillon, Klaus Schwab, il aura pour parrains Kissinger et Maurice Strong, sur lequel je reviendrai.
Ainsi, au sexe sans tabous, au rock n’roll, au disco et aux drogues, j’aimerais ajouter l’idée de Soleil vert, ce film sorti en 1973 et qui annonçait déjà la couleur et surtout l’idée générale qui tournait dans la tête des malades eugénismes qui gèrent ce monde-démon pour le compte de leur patron : Satan.
Car c’est le moment où nos fondations économiques ont été sabotées et où l’aisance de la classe moyenne a été lentement, mais sûrement, volée par l’inflation. Et c’est au beau milieu de ce marasme institutionnalisé que les Nations unies et autres confréries de frères la truelle associées vont travailler d’arrache-pied à l’élaboration de leur NOM.
Si la CIA et autres officines de l’ombre avaient, depuis les années 50, œuvré à leur projet MK Ultra, ce n’est pas pour rien. Et surtout pas pour les papillons.
La cervelle du gueux se devait d’être disséquée jusqu’au moindre neurone afin d’en retirer, c’est le cas de le dire, la substantifique moelle de l’ingénierie sociale : celle qui aura su nous donner Apollo 11, le 11 Septembre 2001, et surtout couillonavirus. Il fallait coute que coute convaincre les populations d’adhérer à la centralisation du pouvoir à l’échelle mondiale. Surtout : le contrôle gouvernemental de la population humaine, de l’industrie, de l’énergie, limiter la production alimentaire et l’agriculture.
Bref ! au nom de je ne sais quoi, mais surtout de Mammon (l’argent), nos vies se devaient d’être fliquées dans les moindres détails et ce, de la naissance jusqu’à la mort (style Soleil vert). Au nom du « bien commun », ce serait la mort du droit individuel et de la propriété, pour tous. « Vous ne posséderez plus rien mais serez heureux. », ça ne vous rappelle rien !?
Un pouvoir centralisé, une monnaie unique qui le serait tout autant. Ça ne vous rappelle toujours rien !? Dans mes livres, j’ai l’habitude de citer de grands penseurs et philosophes et d’autres qui le sont beaucoup moins. Ainsi, celle de Strobe Talbot, secrétaire d’État adjoint de l’administration Clinton, n’est pas à piquer des vers.
Dans Time Magazine, ce « charmant » monsieur avait déclaré tout de go que : « Au cours du prochain siècle, les nations telles que nous les connaissons seront obsolètes ; tous les États reconnaîtront une autorité mondiale unique… La souveraineté nationale n’était pas une si bonne idée après tout. »
Celle de Richard Gardner, membre du Council on Foreign Relations, figure dans mon avant dernier ouvrage. Dans un article paru dans le Foreign Affairs Magazine en 1974 et intitulé « The Hard Road To World Order » (La voie difficile vers l’ordre global), il annonçait déjà la couleur (verte) : « En bref, la ‘maison de l’ordre global’ devra être construite de bas en haut plutôt que de haut en bas. Cela ressemblera à une grande ‘confusion bourdonnante’, pour reprendre la célèbre description de la réalité par William James, mais un contournement de la souveraineté nationale, en l’érodant morceau par morceau, permettra d’accomplir bien plus que l’assaut frontal à l’ancienne. »
Ce n’est pas beau ça !?
Il y a 50 ans, l’élite nous annonçait donc déjà la couleur. Elle serait verte comme celle de la grenouille qui va cuire tout doucement dans la casserole. Elle ne va pas vouloir s’en échapper tant la montée en température sera lente, progressive, jusqu’à la torpeur salvatrice due à l’ingénierie sociale.
Mais même le con possède ses limites. Il finit un jour par comprendre, même s’il est tard, TRES TARD et peut-être déjà TROP TARD.
L’oligarchie savait que les grenouilles finiraient par se dire « C’est bizarre, il fait vraiment très chaud ici ! ». Alors, comment devenir les rois du monde, et surtout le rester sans y laisser sa p’tite tête de luciférien ?
Il fallait coute que coute que le gueux en arrive à aimer sa prison et son nouvel état d’esclave. Il convenait qu’il en arrive à considérer cet état comme une question de devoir solennel et de survie, non seulement pour lui, mais pour l’espèce tout entière.
Ainsi, tout comme avec les fameux « vaccins » covid, si l’antivax se rebelle, il sera considéré comme un sans-cœur, un monstre d’égoïsme mettant en danger l’ensemble de la collectivité en défiant la structure du pouvoir. C’est du bel ouvrage !
Seulement voilà, "des égoïstes", il y en a eu beaucoup, surement beaucoup plus qu’ils ne l’escomptaient. C’est gênant, puisque le groupe témoin risque de voir tomber les vaccinés autour de lui comme des mouches, mettant en lumière les mensonges éhontés de Big Pharma.
Oui. Nous avons connu une épidémie de tests PCR et une létalité de 0,23 %. Mais désormais, « vaccins aidant », on ne compte plus les problèmes cardiaques, les embolies, les fosses couches, les cancers turbos et autres « bizarreries ». Des coïncidences !
Olivier
Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-3.html