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Paroles, paroles, rien que des bobards concernant notre Histoire !!! (Partie 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Les anciens Égyptiens et les anciens pré-Incas/Incas ont eux aussi évolué sur deux continents différents séparés par l’Atlantique et ne sont « jamais » rentrés en contact ; Cependant les deux cultures possèdent mystérieusement la même souche frappante identique en termes d’art, d’architecture, de symbolisme, de mythologie et de religion.

Les étudiants de l’époque victorienne, étant confrontés à cette énigme, concluaient que les deux cultures ont forcément dû être les enfants d’une même civilisation mère.

De nos jours, les comparaisons entre Égyptiens et Incas ne sont pas seulement ignorées par les occidentaux, elles sont tout simplement supprimées. Il y a cependant beaucoup de similarités déconcertantes et non résolues entre les anciens Égyptiens et les anciens pré-Incas/Incas alors que les deux cultures ont évolué des deux côtés de l’Atlantique, séparées par cet énorme océan.

Pour les Victoriens cette hypothèse d’un parent commun expliquait formidablement bien les parallèles. Ces chercheurs de l’époque victorienne appelaient ce parent commun «Atlantis », s’inspirant de Platon et des historiens classiques.

Atlantis serait le dénominateur commun de ces deux cultures.

De nos jours, les institutions scientifiques dominantes rejettent cela, avec une hostilité particulière, tandis que les parallèles partagés par les anciens pré-Incas/Incas et les anciens Égyptiens sont ignorés. Cependant, les esprits les plus brillants du passé croyaient qu’Atlantis a belle et bien existé.

Les civilisations égyptiennes et incas/pré-incas… construisaient des pyramides de pierre et des pyramides en escalier dans le désert, le long des rivières et elles étaient alignées avec les points cardinaux.  Elles momifiaient leurs morts. Les momies étaient soi-disant disposées au sein des pyramides, souvent accompagnées d’offrandes de nourriture et des effets personnels. Les deux cultures croyaient en la vie après la mort et croisaient les bras de leurs morts. Il s’agissait de montrer l’état d’ « équilibre » dans lequel on opère après la mort, de la même façon que nous avons vécu une vie équilibrée. Les deux bras représentent les opposés équilibrés, le côté gauche et le côté droit se croisant.

Elles plaçaient des masques en or sur leurs morts, symbolisant leur passage dans l’éternité, « l’autre côté » du miroir, derrière le voile d'Isis, le plus haut lieu des cieux, qui est éternel et spirituel, pas comme la terre, qui est temporaire et physique; Aussi, cela transmettait un sens alchimique, l’idée qu’alors que ces personnes ont vécu sur terre, leurs âmes éternelles ont pris les commandes de leur forme humaine, et l’ont transformé en or. Les deux civilisations ornaient leurs morts de colliers en or dont les extrémités représentaient deux têtes d’animaux tournées vers l’extérieur, symbolisant nos pouvoirs humains équilibrés dans un état de paix. Cet  équilibre  était, pour eux,  ce que la transmutation alchimique accomplie, d’où l’utilisation d’or.

Ils construisaient à l’identique les mêmes temples triptyque.

Cette conception architecturale se retrouve dans le monde entier où elle orne les façades et symbolise la même religion universelle qui était pratiquée partout dans l’ancien monde. Cette religion était basée sur l’ « équilibre des contraires ». Les portes extérieures jumelles symbolisent les opposés, tandis que celle du milieu symbolise le Soi supérieur éternel.

Ces temples étaient similaires dans les moindres détails de renflements ou bosses dans les sculptures de pierre, les plus importants étaient composés des pierres pesant chacune plusieurs centaines de tonnes. Des bâtiments antisismiques qui utilisaient la même conception inclinée vers l’intérieur, et qui ont résisté à l’épreuve du temps. Comment l'expliquer ?

Ces constructeurs effectuaient des coupes d’une précision inégalée, de sorte que, de nos jours, même une feuille de papier passe difficilement entre deux blocs. Le mortier était peu utilisé, ils taillaient les pierres afin d’y placer des agrafes métalliques. Comment deux civilisations séparées par un océan ont pu arriver aux mêmes idées ?

Cela symbolise une quête de perfection. Elles construisaient des portes trapézoïdales, similaires au triangle, qui indique une ascension spirituelle. Elles plaçaient des serpents symétriques au dessus de ces portes trapézoïdales. On y retrouve l’idée d’équilibrer les énergies opposées, via ces animaux jumeaux dans des poses symétriques.

Cette image des « opposés équilibrés » semble avoir été l’idéal enseigné en ces lieux où il fallait passer par ces portes. Ces peuples allongeaient les crânes de leurs enfants pour aiguiser leurs sens et améliorer une certaine « perspicacité spirituelle ». Cette pratique bizarre n’a pourtant pas vraiment suscité la curiosité des scientifiques modernes.

Ils érigeaient des obélisques sacrés et d’autres monuments représentant la fertilité, la naissance, la longévité, la force… les obélisques faisaient parti des monuments les plus adorés. Et surtout, on retrouvait chez ces civilisations le symbolisme solaire en tant que partie intégrante de leurs religions. Elles représentaient le symbole de « l’œil solaire », associant le soleil à un œil et vice versa.

Elles représentaient leur divinité solaire en tant que cercle avec un point au milieu, qui était aussi un symbole du Soi dans les deux cultures.

En Egypte, le dieu solaire était Ra, au Pérou c’était Inti, l'incarnation du soleil et  protecteur de l'empire Inca. Ces peuples utilisaient des divinités animales dans des poses symétriques encadrant un emblème solaire central. Tout comme le soleil frappe un équilibre parfait entre l’hiver et l’été … il était donc essentiel pour leur propre soleil intérieur (le soleil symbolisant l’âme éternelle) d’équilibrer leurs propres énergies animales jumelles positives et négatives, afin de rester en équilibre et en harmonie avec une nature déifiée en lieu et place du Grand Jardinier.

Ils utilisaient un motif en forme d’animal sur le front pour évoquer le pouvoir du troisième œil… construisaient des bateaux en roseaux … représentaient des dieux volants… des spirales pour symboliser l’entrée-sortie vers les mondes matériels et spirituels sensée englober notre entité éternelle. Ainsi, preuve est faite que même si, pour la « science » actuelle ni les Égyptiens ni les Incas n’étaient en contact l’un avec l’autre, les deux civilisations partageaient néanmoins un gigantesque patrimoine commun. Alors pourquoi les chercheurs échouent-ils dans l’étude des analogies ?

Nous venons de voir au travers de ces 4 articles moult analogies importantes toujours visibles sur les ruines des anciennes civilisations balinaises et mayas, civilisations jumelles qui se sont développées de chaque côté de l’Océan Pacifique, qui, selon les chercheurs n’auraient jamais été en contact et se seraient développées, selon les savants, indépendamment l’une de l’autre. Les analogies partagées ici mettent l’accent sur une ancienne histoire différente de ce que les érudits racontent.

Une Histoire que je m'évertue d'écrire depuis dix ans à travers mes livres.

https://www.thebookedition.com/fr/le-centieme-gueux-tome-1-le-poison-p-373835.html

https://www.thebookedition.com/fr/le-centieme-gueux-tome-2-antidote-p-373998.html

Les preuves montrent une relation beaucoup plus profonde partagée par Bali et les mayas de l’antiquité. Pourtant les chercheurs institutionnels ignorent complètement ces analogies, parce qu’ils sont sous un contrôle si subtil que même eux n’en ont pas conscience.

De quelle manière ?

Ces chercheurs historiens et archéologues des courants dominants sont sans doute pour la plupart fondamentalement honnêtes et accomplissant une tâche extrêmement laborieuse qui consiste à déterrer des objets de notre passé antique. Quand ils disent « il n’y a aucun mystère dans le passé, l’hyperdiffusionnisme est un modèle dépassé de l’histoire », il semble clair que certains d’entres-eux  y croient réellement et qu’ils ne cherchent à tromper le public.

À suivre.

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