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Préparation de la daube en gelée. (Partie 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/08/preparation-de-la-daube-en-gelee.partie-1.html

J’en ai déjà parlé, l’ONU a ainsi conçu un texte sur le génome humain et les droits de l’homme qui, sous couvert d’éthique, autorise la brevetabilité du génome humain modifié. Les pressions du privé, de l’industrie en général, font céder certains Etats sous couvert de progrès technologiques. En réalité, les autorités participent à une transgression programmée des droits de l’Homme. Si vous en doutez encore, souvenez-vous de ce qui s’est passé depuis deux en France, et au nom de la « prévention ».

Nous assistons à un simulacre de démocratie pourtant déjà pas très réjouissante pour le gueux. Il est piloté par des intérêts financiers et idéologiques au sein desquels le comportement des Nations Unies laisse peu de place à la contestation, voire plus du tout. L’ONU n’est SIMPLEMENT pas un système démocratique. Il ne l’a d’ailleurs jamais été : voir sur ce sujet https://vecteur-douceur.over-blog.com/2018/09/la-meditation-room-et-la-triste-realite-de-ce-monde/demon.html

Il est privé, la gouvernance a basculé des nations à un système privé antidémocratique financé par des fonds privés. Cette situation fait le lit de violentes révoltes à venir avec la complicité de nos élus.

Les injections permettent, je le répète, d’introduire des nanotechnologies dans l’organisme. Les injections sont une finalité, et elles ne protégeront pas davantage les populations contre les autres maladies que contre le fantomatique Covid-19.

Tout ce qu’elles vont faire, c’est accroître davantage encore l’effondrement du système immunitaire. Ceux qui, les premiers, ont succombé à cette pandémie sont ceux qui avaient été vaccinés contre la grippe et autre en 2018-2019. Pourquoi ? Parce que ces injections contenaient déjà du graphène.

Différents éléments n’apparaissent pas dans la composition officielle des sérums. Et pour cause, ils sont livrés sans notice. Pourtant à l’examen, les nanotechnologies identifiées et leur analyse, pourtant décriées par la presse, il y a peu, permettent de comprendre ce que Big Pharma envisage à travers le développement d’injections dites thérapeutiques. L’observation à la microscopie et la spectroscopie du contenu des injections expérimentales contre Covid-19 a montré ce que je dénonce depuis bientôt deux ans et qui m’a valu d’être attaqué : la présence de nanotechnologies et d’oxyde de graphène.

L’élite se doit de jouer sur nos peurs. Elle le fait depuis longtemps et avec l’ardeur d’un virtuose. Ainsi, le registre que nous venons de voir, n’est qu’une partie de ce qu’ils nous ont mitonné et au sein duquel la chaleur d’un bon p’tit plat de réchauffiste tient alors toute sa place.

Mais avant de voir en détail la recette tant attendue de la daube en gelée, revenons un instant au pays de sainte Greta et les enjeux du « changement climatique ». L'écologie est certainement une belle cause : mais cela la rend d'autant plus vulnérable aux manipulations. Réchauffement et refroidissement de l'atmosphère répondent à des facteurs nombreux et complexes ; et pourtant on a privilégié, au détriment de la rigueur scientifique et au profit des élites mondialisées, une explication unique et un seul responsable, celle du CO2.

Mieux que le canulard radiophonique du 30 octobre 1938 diffusé par la CBS avec un Orson Welles faisant paniquer l’Amérique, qui croit à la réalité d’une invasion extraterrestre : « La Guerre des Mondes », un autre de même envergure est pourtant ignoré du public. Je veux parler de celui dont faisait partie le professeur et journaliste Victor Navasky, l’écrivain Leonard Lewin et l’économiste John Kenneth Galbraith. Ce groupe a produit un rapport censé examiner les problèmes qui se poseraient aux États-Unis s’ils devaient connaître une paix durable.

« The Report from Iron Mountain » sera publié en 1967 et largement relayée par la presse. La supercherie ne sera éventrée qu’en 1972. Galbraith, l’un des initiateur du canular, déclara à la sortie du rapport que s’il doutait de l’opportunité de le rendre public, il était totalement d’accord avec ses conclusions. En ce mois d’août 2022, période bronze cul, rares sont ceux qui se souviennent de sa parution en 1967. Il est connu en France comme « le rapport sur l’utilité des guerres ».

Il a pourtant fait un tabac dans les milieux intellectuels. Aux Etats-Unis, dans les cercles dirigeants à Washington, c’est la panique. La Maison Blanche et l’administration Johnson font caca culotte. Comment en est-on arrivé là ?

Tout commence en 1966 avec la lecture d’un article insolite dans le New York Times au sujet d’une liquidation sur le marché boursier en raison d’une panique par rapport à des risques… de paix. C’est ce qui va donner l’idée du gag à nos lascars et premièrement au rédacteur en chef du magazine satirique Monocle, Victor Navasky. Mais alors que ce rapport devait constituer une satire sur les guerres et la connerie humaine, c’est l’effet inverse de celui escompté qui va survenir.

Ainsi, un ouvrage capable d’amener le lecteur à réfléchir à la fois sur la futilité et l’absurdité de la course aux armements et les bienfaits d’une économie de paix va-t-il se transformer en une bombe. Une petite équipe d’intellectuels de la gauche libertaire (dont J.K. Galbraith lui-même) échafaude alors la trame d’un récit crédible et une mise en scène qui frise un complot bien ficelé.

Elle s’évertue à faire croire qu’une thèse sur les conditions de la paix présentée dans ce Rapport a été élaborée entre 1963 et 1966 sous les auspices du gouvernement des Etats-Unis ; qu’il a été soigneusement rédigé par des personnalités (anonymes bien sûr) de haut niveau, estampillé confidentiel, et qu’il a vocation à rester top secret en raison des informations sensibles qui y sont exposées.

Dans l’introduction qu’en fait Leonard C. Lewin, ce dernier avoue avoir été contraint de publier, quitte à enfreindre les règles de la confidentialité. Pour enfoncer le clou, Galbraith joue le jeu à sa façon. Le rapport indique que les personnalités du Special Study Group assignées à la rédaction de cet ouvrage explosif auraient été sélectionnées par le Département d’Etat et travaillé durant trois ans, en pleine crise de Cuba. Elles se seraient réunies une fois par semaine au nord de l’Etat de New York, dans un abri-atomique dénommé Iron Mountain.

En déclinant toutes les fonctions essentielles de la guerre, dont les fonctions « vitales » relatives à l’économie de guerre, les membres de ce Groupe d’Etude Spécial parviennent à quelques conclusions surprenantes : Primo, « la paix durable, bien que n’étant pas théoriquement impossible, est probablement inaccessible ».

Secundo, « même dans le cas où la paix durable relèverait du possible, ce ne serait pas forcément souhaitable de la faire régner. Au motif que cette option ne serait pas dans l’intérêt d’une société stable ». De l’avis de nos éminents experts, « un état de paix généralisé conduira à des changements dans les structures sociales de toutes les nations du monde ».

Cette affirmation serait nullement exagérée, car nous assisterions à « des changements d’une ampleur sans équivalent dans l’histoire ». Pour étayer ce point de vue politiquement incorrect, les auteurs rappellent que « la guerre remplit certaines fonctions essentielles à la stabilité de notre société ».

Ils ajoutent : « Tant que d’autres procédés susceptibles de remplir les mêmes fonctions n’auront pas été découverts, (et mis en œuvre), le système qui repose sur la guerre devra être maintenu et amélioré quant à son efficacité. »

Partant du principe que « la guerre constitue la base même de l’organisation sur laquelle toutes les sociétés modernes sont construites », les auteurs du rapport concluent que « la course aux armements pour préparer la guerre et la persistance des guerres représentent un facteur de stabilité auquel il serait très difficile de trouver de bons substituts ».

« La guerre, en tant que système social, a constitué un élément essentiel de l’existence des nations en tant qu’entités politiques indépendantes. Elle a également été indispensable à la stabilité intérieure. Sans guerre, aucun gouvernement n’a jamais été capable de faire reconnaître sa propre légitimité, ou son droit à diriger la société. »

De ces conciliabules discrets dans la Montagne de Fer découlent deux enseignements majeurs. D’une part, pour maintenir la cohésion sociale et assurer le respect de l’autorité politique, la menace extérieure seule ne suffit pas. Il faut adhérer à cette vision, à cette croyance comme à une chose sacrée. A l’intention du lecteur qui n’aurait pas saisi, « la possibilité d’une guerre crée le sentiment de contrainte extérieure sans lequel aucun gouvernement ne peut conserver longtemps le pouvoir ».

D’autre part, « il ne faut (donc) pas s’étonner si les institutions militaires, dans chaque société, réclament d’être prioritaires dans tous les domaines ». En l’absence de conflit, qui est l’hypothèse de départ, reste à savoir comment identifier une menace suffisamment importante ou/et terrifiante capable d’amener les humains à accepter leur sujétion à leur gouvernement.

Pour y parvenir, les auteurs du Rapport misent sur le recours éventuel à des substituts afin, écrivent-ils, « de se préparer très soigneusement à l’éventualité de la paix ».

Tout en précisant : « Nous ne pensons pas que la fin des guerres soit nécessairement souhaitable, quand bien même elle serait possible, mais [la paix] pourrait nous prendre par surprise, sous une forme à laquelle nous pourrions ne pas être préparés ».

Le Special Study Group envisage donc plusieurs scenarii. Parmi eux, celui de faire planer une menace interplanétaire. « Une telle menace donnerait le dernier et le meilleur espoir de paix en unissant les humains vis à vis des dangers de destruction émanant de créatures provenant d’autres planètes ou de l’espace. »

Mais, ajoutent les rapporteurs patentés, « il serait également possible, voire nécessaire, de créer artificiellement des menaces terrestres naturelles à partir de situations connues ou inconnues. Si l’on veut, bien sûr, que la transition vers la paix aboutisse un jour sans désintégration sociale ».

Bref, des ennemis de substitution capables de mettre en péril la survie de l’espèce sont des options à envisager, à la condition qu’ils soient suffisamment terrifiants pour prétendre à cette fonction.

Commencez-vous à voir où je veux en venir !?

Par exemple ? Une crise environnementale sans précédent pourrait succéder à la destruction massive provoquée par des engins nucléaires (et avec autant de dégâts). D’ailleurs, «l’empoisonnement de l’air ainsi que des ressources principales de nourriture et d’eau est déjà en bonne voie et, à première vue, pourrait apparaître comme prometteur ».

Mais ce constat mérite un bémol puisque « la capacité de destruction comme l’appréhension de cette menace sont encore prématurées ». Aussi, affirment nos futuristes avec autorité : «D’après les informations dont nous disposons à ce jour, il faudra encore attendre une génération ou une génération et demie avant que la dégradation de l’environnement, si grave soit-elle, devienne suffisamment menaçante à l’échelle mondiale. Pour offrir une base crédible à cette solution de rechange. »

À SUIVRE SI ON ME LAISSE ENCORE ECRIRE.

« Victime de mon succès », je fais l’objet d’un déréférencement Sauvage de la part des GAFAM, si vous désirez m’aider, le minimum que vous puissiez faire, c’est de cliquer sur les liens si dessous afin de faire remonter mon référencement. D’avance merci.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2022/08/preparation-de-la-daube-en-gelee.partie-5.html

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