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Il y a quelque chose de pourri sur Gaïa et même au royaume de la médecine…

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Pour s’en convaincre, il suffit de noter la fréquence des « affaires » impliquant presque tous les grands laboratoires mondiaux, alors qu’en parallèle tous ces lobbys criminalisent des pratiques naturelles. Toutes ces multinationales de mort rendent illégales les pratiques non chimiques … Semences libres (et saines) en danger, brevetage du vivant, la guerre est déclarée par le cartel industriel et pharmaco chimique, contre les gueux, et avec la complicité des autres cartels.

https://www.thebookedition.com/fr/tonton-malthus-est-revenu--p-371412.html

Et parallèlement, les médecins ne sont pas toujours assez vigilants et informés tandis que les agences sanitaires n’empêchent pas systématiquement la vente de produits inutiles et dangereux. Les preuves sont biaisées et les risques cachés par les laboratoires. À tous les niveaux, le profit des industriels passe avant l’intérêt des patients.

Le problème est donc bien plus grave que celui de médicaments dont il suffirait de dresser une liste noire ; c’est tout le système de santé qui est POURRI.

Le scandale du Mediator a néanmoins agit sur l’opinion publique comme un prisme grossissant EN REVEILLANT LES MOINS ENDORMIS. Il révèle que les intérêts économiques prennent toujours le pas sur les impératifs de santé publique. Notre médecine est donc irréversiblement gangrenée par le marketing.

Le cas du Mediator n’est hélas pas une exception. En mai 2004, le laboratoire Warner-Lambert avait été condamné à 430 millions de dollars concernant le marketing sans scrupule visant à placer son antiépileptique. La Food and Drug Administration américaine avait autorisé ce médicament pour le traitement de l’épilepsie, en seconde intention. Mais le labo Warner-Lambert avait demandé à ses visiteurs médicaux de dire aux médecins que c’était une panacée concernant : la migraine, le sevrage alcoolique, et la sclérose latérale amyotrophique.

Chez nous, chaque année, en Europe, ce sont près de 200 000 personnes qui décèdent à la suite d’effets médicamenteux qualifiés de «secondaires». Les surdoses d’antidouleurs tuent plus que l’héroïne et la cocaïne réunies. L’abus de médicaments a même réussi à polluer jusqu’à l’eau du robinet, devenue un cocktail détonant d’antibiotiques, d’anticancéreux, de perturbateurs endocriniens, etc.

Concernant certaines pathologies et leurs traitements, des pans entiers ont été réécrits à décharge pour les labos. Les sites des associations de patients sont également souvent sous influence !

En France, Big pharma engrange 50 milliards d’euros de chiffre d’affaires par an, dont 45% réalisés à l’exportation. Cela représente plus de 110 000 emplois. 150 nouveaux médicaments sortent ainsi des ateliers du diable et arrivent ainsi sur le marché français chaque année. Et plus de 80% de ces merdes sont sans effets sur les maladies tout en en provoquant d’autres. La plupart concerne des pathologies très rentables pour lesquelles le patient va devoir prendre un médicament tous les jours, voire toute sa vie : le diabète ou le cholestérol, par exemple.

Après le scandale du Mediator, on est en droit de se demander comment les labos parviennent-ils à maintenir leur chiffre d’affaires alors que les pouvoirs publics tentent de réduire les dépenses de santé ? On se rend alors compte que l’aluminium pourtant toxique envahit discrètement notre vie quotidienne. Tout le monde en consomme chaque jour sans s’en rendre compte.

Dans l’alimentation, dans les cosmétiques, dans les vaccins et même dans les laits pour bébés, ces salopards utilisent de l’aluminium : agent levant dans le pain et les viennoiseries, conservateur dans les charcuteries et les p’tits plats préparés, anti-agglomérant dans le sel, colorant dans les confiseries, blanchisseur dans les dentifrices, anti-transpirant dans les déodorants…

A doses répétées, il est ingurgité, injecté, posé, respiré, appliqué, bref… le gentil CONtribuable s’intoxique, multipliant par deux les risques d’Alzheimer. Mais ce n’est pas tout, et les chercheurs découvrent peu à peu qu’il provoque d’autres maladies graves.

J’arrête là pour aujourd’hui, j’ai plus l’moral.

Olivier

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