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SATANISME OU LUCIFÉRIANISME ? (suite 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Chaque sujet développé sur ce blog l'est bien plus dans mes différents livres dont les liens se trouvent en bas de page.

Et toujours concernant cette invasion passive, dans le contexte Gilets jaunes on nous avait sorti une jolie diversion de derrière les fagots perpétré mardi soir 11 décembre 2018 par Chérif Chekatt. Il avait pénétré dans le centre historique de Strasbourg, armé d’un pistolet et d’un couteau et avait attaqué des passants à plusieurs endroits, avant de parvenir à s’enfuir. Après 48 heures de traque, il avait été tué par des policiers le jeudi suivant, au soir, et dans une rue du quartier du Neudorf, au sud du centre-ville.

Après être parvenu à se cacher durant un peu plus de 48 heures, il avait  été abattu jeudi 13 décembre vers 21h. Il venait d'ouvrir le feu sur les policiers avec la même arme que celle utilisée lors de sa course sanglante, à savoir un pistolet de calibre 8 mm datant de 1892. Pourquoi nous fournir une telle information ?

Paradoxe ou volonté délibérée en pleine période de signature du traité de Marrakech, il était bon de connaitre Ellis Island, une île située à l'embouchure de l'Hudson à New York, un kilomètre au nord de Liberty Island qui abrite la statue de la Liberté. Elle a été, dans la première partie du 20esiècle, l'entrée principale des immigrants arrivant aux États-Unis. Les services d'immigration y ont fonctionné du 1erjanvier 1892 au 12 novembre 1954. L'île est gérée par le gouvernement fédéral et fait désormais partie du monument national de la Statue de la Liberté. L’élite qui aime les signes et les nombres se moquait une fois de plus des gueux.

Nous sommes déjà depuis plus de 20 ans intoxiqués aux médias mainstream par les images subliminales d’ours blancs squelettiques faisant de la planche à roulette sur 1m2 de glace. Désormais l’ours c’est nous. Le Blanc occidental qui va devoir accepter toute la misère du monde et se serrer la ceinture sur son iceberg. Car le Pacte de Marrakech validé les 10 et 11 décembre 2018 entend «gérer » le déplacement de 50 millions de migrants vers une Europe qui n’a rien demandé, du moins ses habitants.

Certes il convient de rappeler combien nos oligarques ont su piller l’Afrique, mais l’argent qui en résultat est bien au chaud sur des comptes offshores orchestrés par la City, et jamais les peuples européens n’en ont vu la couleur. Mais circulez, il n’y a rien à voir, et les hôtes n’ont pas leur mot à dire, les élites se sont déjà entendues pour ouvrir les frontières et noyer le poisson nationaliste, ce poison des mondialistes. Car n’oublie jamais gilet jaune qu’en défendant ton pays, à leurs yeux, tu es un fasciste, raciste, homophobe, antisémite, etc., ouf ! j’arrête le liste est trop longue.

Mais tout ne marche pas comme prévu dans l’Union européenne avec une Italie qui a des couilles. Elle est redevenue populiste (version sioniste ?). En plus, nous avons la montée de la colère en Gaulle. C’est un incendie qui risque de se propager car, sache-le Astérix, le monde nous regarde ! Mais dans ce marasme, ce qui est le plus abjecte et à l’image de cette caste de dégénérés, c’est que devant la grogne populaire, les signataires du pacte de Marrakech tentent de passer en force, lâchement, et bien loin des principaux intéressés, ceux qui vont subir physiquement le choc migratoire.

J’explique dans mes livres comment la Rome est tombée et combien l’esclavage fut l’épine dorsale de leur économie. Nous sommes encore et toujours des esclaves de l’Empire. A l’époque, même affranchie, tu restais un citoyen de seconde zone. De nos jours, c’est la classe moyenne qui a pris la place des affranchis. Dès lors, que convient-il de penser du choc social auquel nous sommes tous confrontés, du moins les affranchis ; ceux qui ont un boulot. Nous assistons depuis un bon moment déjà, Europe aidant, au déclassement programmé des classes moyennes européennes consécutif au remboursement de la Dette. À Rome, esclave ou affranchi, l’Empire avait le droit de vie ou de mort sur ta carcasse. Rome pillait les plus faibles par le biais de son formidable outil militaire. La Rome moderne basée à Bruxelles, et antichambre du mondialisme, possède la Dette, une arme qui permet de mettre un pays à genoux (la Grèce) et de le piller avec la bénédiction des grands instituts supranationaux : BCE et FMI.

À suivre.

Olivier

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