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economie

RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL DE SATAN (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

L'empire se réorganise, il se transforme,  il s'adapte à la nouvelle donne, sur un mode dégradé. Il ne retrouvera jamais une prospérité pareille à celle des deux premiers siècles de notre ère, ce qui contribuera à  vraie chute cette fois-ci, avec les invasions barbares et la déposition du dernier empereur à la fin du 5e siècle.

La dégradation constatée à partir des 3e et 4e siècles est avant tout économique et politique.

L'entrée progressive des Barbares sur le territoire désorganise l'appareil administratif et les réseaux commerciaux. Leur installation au Maghreb et en Egypte, en particulier, réduit l'approvisionnement de Rome en céréales.

Pour certains experts, vient s’ajouter à cela la «peste antonine ». L'épidémie frappe l'Empire romain à la fin de la dynastie antonine, durant les règnes de Marc Aurèle et Commode, entre 165 et 190. Certains historiens la voient comme cause probable du déclin démographique de l'empire et du dépeuplement des villes.

Il s'agissait probablement de la variole. Elle s'expliquerait essentiellement par l'impact de la «première mondialisation », notamment les mouvements des troupes à travers l'Empire qui ont favorisé la propagation des maladies contagieuses.

Ainsi, nous constatons que l'optimum climatique disparait doucement pour être remplacé par une période d'incertitudes, de désorganisation et de changements qui va durer environ trois siècles, constituant la transition de la fin de l'Empire romain.

Il en est de même de nos jours car, bien caché derrière un hypothétique réchauffement entropique soi-disant causé par la gueusaille, c’est en réalité une nouvelle période de refroidissement planétaire qui vient de pointer son nez.

Elle est adroitement cachée aux populations, par le biais d’un cirque médiatique voulant que nous soyons toutes et tous de vilains producteurs de CO2, cette horrible chose néfaste à la planète et sa végétation. Pourquoi ?

Afin de créer ce RESET des hommes riches tant voulu par Davos et qui permettra de prendre définitivement l’ascendant sur nos libertés déjà « en train de reculer » comme les glaces des Pôles.

Mais revenons à nos moutons !

Ailleurs sur cette terre, l'origine de l'effondrement des cités mayas a longtemps posé question aux archéologues. Le climat apparaît désormais comme un facteur clé de leur abandon.

Plus proche de nous, une profonde instabilité climatique aurait précipité la chute de l'empire khmer au 15e siècle. Plus proche encore, au début du 17e siècle, le climat se refroidit en Chine. Les sécheresses et les inondations se multiplient tandis que des famines dramatiques déciment des régions.

Déjà fragilisée, la dynastie au pouvoir finit par disparaitre. Dans une région proche de Shanghai (Jiangnan), généralement considérée comme un paradis, les années 1640 commencent mal.

La décennie qui vient de s’achever s’est caractérisée par un climat anormalement froid et sec et les récoltes ont été mauvaises. Le prix des denrées n'a cessé de monter, poussant aux tensions sociales.

Plus proche de nous encore, et en Gaule, la météo va jouer en défaveur des rois afin de nous amener la future « démocratie ».

Et c’est au moment de la Révolution française que ce discours anxieux au sujet du climat va se changer en catastrophisme à tous les étages. Il va y jouer un rôle important. Pour les révolutionnaires, cette dégradation du climat va devenir un moyen de blâmer la royauté pour sa mauvaise gestion des territoires ayant entrainé des disettes (mauvaises récoltes, prix du pain).

Le peu que comprenne la paysannerie de cette révolution téléguidée, c’est la récupération de droits dont ils estiment avoir été spoliés depuis vingt à trente ans. En effet, depuis plusieurs décennies le prix du bois augmente, l’aristocratie essayant de récupérer des droits féodaux autant que pécuniers sur les forêts.

Privatisées, les aristos construisent des murs autour, y mettent des gardes forestiers, pour rentabiliser au mieux la production de bois au détriment de la gueusaille. Au moment de la Révolution, une certaine élite parisienne vivant dans un autre monde (comme aujourd’hui) va mal apprécier ces revendications paysannes.

Ces déjà « bobos parisiens » sont acculturés au fait que l’accaparement des richesses forestières constitue la meilleure façon de gérer le patrimoine. C’est à partir de ce moment là qu’un discours en provenance d’agronomes et diffusé par les maires et les curés auprès des élites provinciales. Elle va considérer que lorsqu’on coupe le bois on crée une catastrophe climatique.

Manière machiavélique de gouverner les usages populaires de la nature, auquel va s’ajouter une loi de 1791 (deux poids deux mesures) qui permet au propriétaire forestier de déboiser chez lui, sans aucune autorisation administrative.

De là l’idée d’inculquer au gueux une conscience environnementale, mais à sens unique. 1789 peut donc, derrière ses faux idéaux, se résumer à comment on peut, par la tromperie, gérer un peuple de paysans libres, par le biais de la main invisible du gros propriétaire terrien.

Le tout aura été accompli sur fond de sécheresses, inondations, gels, orages… Car, sachez-le bien ! même sans industries polluantes et CO2 « mortifère », depuis un certain temps déjà, la météo est exécrable.

Celles des années 1787 et 1788 a fait flamber les prix du pain et poussé les Français dans la rue. Si elle n'a pas causé la Révolution, elle a lancé la mécanique de la rébellion qui sera formidablement entretenue par une élite prédatrice autant que franc-maçonnique.

De là à penser que le 14 juillet 1789 pourrait venir du 13 juillet, pas du 13 de 1789, jour d'émeutes comme d'autres en ce mois fiévreux ; mais d’un bien plus terrible : celui de l'année 1788, il n’y a qu’un petit pas facile à franchir.

Ce jour est celui où un terrible orage non politique mais climatique ravagea la France. «Tous les pays affectés de cet orage n'offraient plus que le spectacle de pays totalement ruinés et détruits par la grêle, écrit Charles-Joseph Messier, un astronome passionné de météorologie. Tout fut enterré, haché, abîmé, déraciné ; les toits découverts, les vitres brisées, les vaches et les moutons tués ou blessés ; le gibier, la volaille périrent. »

Une grêle désastreuse tua plusieurs personnes. Louis XVI étant à la promenade, son cocher fut tué. Les chevaux blessés, les portières du carrosse brisées. Les scientifiques se passionnent alors pour le sujet, allant jusqu’à peser des grêlons de plus d'un demi-kilo.

Les dégâts sont évalués à 25 millions de livres, soit 5 % du budget de l'Etat. Mais, comme de nombreuses pertes n'ont pas été déclarées, la note réelle aurait été deux fois plus élevée.

Même si plus de mille paroisses sont frappées, il serait cependant naïf de croire que l'orage de 1788 a déclenché la tempête de 1789. La France en comptait 38 000 à l'époque. Les récoltes amputées par la grêle ont certes poussé les prix à la hausse, mais on savait déjà que les récoltes seraient médiocres. En réalité, l'orage de 1788 est un symbole de la pagaille climatique qui a précédé la Révolution française.

Car la météo des années 1780 a été désastreuse. J’ai déjà longuement expliqué que tremblements de terre et éruptions volcaniques sont en lien étroits avec l’activité solaire. Le 8 juin 1783, débute l'éruption du volcan Laki en Islande.

Elle va durer huit mois. En Europe, les trois hivers suivants sont terribles. En 1785, une sécheresse inhabituelle survient en été. Il tombe dans le pays et dans les environs une quantité prodigieuse d'eau pendant le mois d'octobre et la moitié de novembre.

L'été 1787 est catastrophique après des récoltes miraculeuses l'année précédente. Des pluies fréquentes empêchent de moissonner. Quand la moisson est faite, le grain pourrit. La paille et le foin manquent. L'automne est pire encore.

Puis l'hiver est trop doux. Insectes et mauvaises herbes prolifèrent. La douceur continue au printemps. Puis en mai-juin, le thermomètre grimpe encore. Les grains de blé sont « échaudés » : la chaleur freine leur croissance.

Il ne pleut presque plus, comme en 1774, juste avant la « guerre des farines » de 1775, provoquée par la flambée des prix du pain.

Le pays s'échauffe aussi pour d'autres raisons. A court d'argent, après les dépenses engendrées par la contribution française à la guerre d'indépendance américaine (déjà), le roi veut augmenter les impôts et revenir sur les pouvoirs accordés aux parlements régionaux au début de son règne. Le 8 août, n'ayant pas encore perçu le problème de la récolte, il se résout à annoncer la convocation des Etats généraux.

Il maintient la libéralisation des exportations de grains mise en œuvre l'année précédente par son ministre des Finances, Etienne-Charles de Loménie de Brienne.

Les campagnes sont pour l'instant paisibles. Mais les médiocres moissons de l'été vont faire basculer le climat politique. L'orage du 13 juillet, et plus encore l'échaudage, aboutissent à un déficit de production d'environ un tiers, après une récolte 1787 déjà médiocre.

Les prix du blé et des autres céréales grimpent, dès juillet. La mécanique de la rébellion est enclenchée. En août, une première émeute éclate à Lamballe, en Bretagne, suivie d'autres en Provence et dans le Languedoc à l'automne.

Ayant succédé à Loménie de Brienne, Jacques Necker tente de réagir. Il interdit en septembre les exportations de grains. Deux mois plus tard, il subventionne même les importations d'Amérique.

Après un été trop chaud, la fin de l'automne puis l'hiver sont glaciaux. Jamais depuis en France les températures n'ont été aussi basses (86 jours de gel à Paris). Thomas Jefferson raconte dans ses Mémoires les grands feux au coin des rues à Paris, pour réchauffer les pauvres. Messier décrit une Seine glacée : « On y avait établi de petites boutiques de fruits et autres. »

Plus de 230 émeutes seront provoquées par le blé sur les quatre premiers mois de l'année 1789, soit quatre fois plus que sur toute l'année précédente. Dans certains champs qui ont gelé trop tôt, il faut ressemer en urgence, ce qui diminue encore la quantité à manger.

Les transports sont freinés par la glace des fleuves et des rivières. Et le dégel apporte à son tour son lot de catastrophes, car des blocs de glace cassent ponts et moulins. Le prix du blé continue de monter. A Lille, il prend 50 % en neuf mois.

La population n'en peut plus. Les actes de rébellion se multiplient partout et la maréchaussée est débordée. A Paris, des manifestants défilent le 27 avril en scandant notamment « Mort aux accapareurs ! Le pain à deux sous ! » Les autorités ordonnent l'inspection des fermes, pour que le grain disponible soit mis en vente. C'est dans cette atmosphère tendue que s'ouvrent les Etats généraux, le 5 mai 1789.

Des hypothèses circulent pour expliquer la pénurie. Au début, les grands fermiers et les marchands de grains ont été accusés de garder des stocks en espérant les vendre plus cher. J’adhère tout à fait à cette explication ! La soudure, cette époque entre l'épuisement des stocks et la récolte suivante, est douloureuse. Des pluies tombent en juin, retardant la moisson.

Le prix du pain continue de monter. Les manifestants qui défilent à Paris début juillet exigent avant tout la baisse des prix du grain et du pain. Les prix culminent à la mi-juillet, avant que les céréales des nouvelles récoltes commencent à arriver sur les marchés.

Mais c'est trop tard : la Bastille a été prise le 14 juillet, et un nouveau chapitre de l'histoire de France a commencé. Bien sûr, la crise agricole engendrée par l'incroyable succession de gels, d'inondations, de sécheresses et d'orages n'explique pas à elle seule la Révolution française.

La crise financière aiguë, les idées nouvelles des Lumières (orchestrées par les frères la truelle), une noblesse et un clergé cramponnés à leurs privilèges, l'inconscience du roi y ont aussi leur part.

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/10/rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan-partie-3.html

Olivier

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RIEN DE NOUVEAU SOUS LE SOLEIL DE SATAN (partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

C’est l’Histoire, la VRAIE, et non pas une vision binaire des choses, qui nous permet de déterminer le la réalité des faits. Chaque humain vivant sur cette planète est bien entendu libre de se laisser duper par une élite putride, néanmoins, ce que nous sommes tous, pour la plupart, possède au tréfond de lui un irrépressible besoin de VERITE. C’est tout l’intérêt de mon sujet.

La sensibilisation au climat afin d’amadouer le gueux ne date pas d’hier. Le climat peut changer le cours de l'Histoire, et ça, nos dirigeants le savent très bien. La Véritable Histoire fait état de catastrophes récurrentes que nos anciens savaient prédire et que, de tout temps, l’élite s’est empressée de cacher aux peuples.

Dans mon livre en deux tomes Dernier regard sur un monde corrompu, j’évoque le déclin de l’Empire sumérien provoqué par des changements climatiques profonds.

La chute de Rome, l'effondrement des cités mayas, ou encore des Ming, la Révolution française, tous ces évènements ont marqué l'Histoire avec en toile de fond un seul dénominateur commun :  une origine... climatique !

La météo qui fait flamber le prix du pain, les famines qui déciment des régions entières en Chine, la fin de « l'optimum climatique romain », ont provoqué révoltes ou révolutions, crises sociales ou alimentaires qui ont finalement conduit à un changement de régime.

On nous parle de « prise de conscience », mais l’idée est dans l’air carboné depuis des lustres. Passionné d’histoire, j’ai cherché à quand pouvait bien remonter la genèse du canulard anthropique si utile aux élites, afin d’assoir leur domination totale. On se rend alors compte qu’un grand débat au sujet des changements climatiques s’est d’abord instauré autour du cycle de l’eau.

À l’époque, c’est la déforestation qui tenait lieu en place de la pollution industrielle.

La naissance de la climatologie et de la théorie des âges glaciaires remonte à des temps anciens. Les premières études scientifiques sur le climat sont déjà en lien avec le changement climatique anthropique, autour du fait qu’on coupe trop d’arbres. Au début, il s’agit d’un discours impérial d’optimalisation

Dès le 15e siècle, des explorateurs européens vont constater les pluies diluviennes (mousson) qui tombent à certains endroits du globe (canaries, caraïbes) et les attribuer à une mauvaise gestion de la nature réalisée par les autochtones.

De ce fait, la balle est alors dans le camp des impérialistes qui vont trouver là prétexte à revendiquer des territoires gérés par des « sauvages ignares ». Ce qui va permettre de créer une hiérarchie des peuples : d’un côté les cons de sauvages et de l’autre ; les « catholiques civilisateurs ».

Espagnols et Portugais vont alors s’en donner à cœur joie. L’idée va faire son chemin qu’en arrivant pour coloniser ces lieux, les occidentaux optimisent la situation en coupant le bois.

Chose que ne faisaient pas, ou alors très peu, les « idiots de sauvages » vivant là. « La terre appartient à celui qui la travaille », donc dégagez bandes de sauvages ! Cet argument pro colonisation va faire son chemin avec la Nouvelle France et la Nouvelle Angleterre.

Se basant sur l’idée qu’étant sous la même latitude, tout en ignorant à l’époque les effets du Golf Stream (voir mon précédent article), en cultivant intelligemment la terre, ces pays « hautement civilisateurs » allaient se retrouver là avec le même climat doux qu’en France et en Angleterre. Bref ! une motivation destinée à inciter des hommes à aller coloniser le Canada en plein milieu d’un mini âge glaciaire.

Retenez-le c’est déterminant !

L’Orient n’y fera pas exception, j’en parle déjà dans le tome 1 de Dernier regard sur un monde Corrompu. Babylone fut un empire florissant, jusqu’à ce qu’un changement climatique majeur ne rende ces contrais inhabitables.

Il n’en faudra pas plus pour que, fin 18e, début 19e siècle, tout ceci ne soit interprété par l’Occident déjà oxydé, comme les conséquences climatiques d’une mauvaises gestion locale causé par des autochtones ayant alors dans ce cas trop coupé de bois, et qui, en changeant le climat, ont causé leur propre dégénérescence raciale.

Déjà, à l’époque, c’est le climat qui façonne l’intellect des sociétés et des civilisations. Un simple exemple avec Montesquieu. Avec lui, la théorie des climats issue de l’antiquité trouve son apogée. Elle culmine dans son ouvrage L’esprit des lois (1748).

Pour lui, à travers son discourt, de près ou de loin, rien n’est étranger au climat : toutes les institutions humaines s’en ressentent. Plus loin encore, chez les penseurs grecs, on relève l'influence des éléments climatiques sur les comportements humains. Cette théorie était basée sur une étude minutieuse de la géographie humaine et des climats.

Mais pour l’instant, remontons le cours du temps avec la fin de l'optimum climatique romain, au 3e siècle de notre ère. Il va marquer le début du déclin d'un immense empire qui regroupe alors le quart de la population mondiale. La chute de Rome n'interviendra que beaucoup plus tard, à la fin du 5e siècle, et le climat est loin d'en être le seul responsable.

Ce n'était jamais arrivé depuis que l'Egypte est devenue romaine. Au printemps 246 après J.-C., sous pression du directoire romain, à Oxyrhynque (Haute-Egypte), les fonctionnaires impériaux ordonnent d'enregistrer tous les stocks  de céréales dans les 24 heures, sous peine de lourdes pénalités. L'Etat ratisse en procédant à des achats de récoltes à des prix incroyablement élevés dans cette ville, signe d’une volonté désespérée d'acquérir des céréales à prix fort.

Cet épisode n'est pas isolé cette année-là dans la vallée du Nil. Il est la conséquence de changements climatiques aux conséquences dévastatrices en Egypte, qui est alors THE «greniers à blé » de l'Empire romain. Depuis quelques décennies déjà, les crues du Nil sont devenues irrégulières et moins abondantes. Le pays vit alors « la pire crise environnementale au cours des sept siècles où l'Egypte a été romaine.

Au même moment en Palestine, le rabbin Bar Hama, une figure, est témoin d'une terrible sécheresse dans les années 230-240.

A l'autre bout de l'empire, à Carthage (actuelle Tunisie), l'évêque Cyprien prend publiquement la défense des premiers chrétiens, tenus pour responsables du désastre.

Les témoignages écrits existent, mais ils sont trop rares et épars. Mais, comme je l’explique souvent dans ma littérature, les progrès de plusieurs disciplines scientifiques ont permis de mesurer le changement climatique qui ébranle l'Empire romain au 3e siècle.

La glaciologie, notamment l'analyse des carottes de glace du Groenland, restitue les variations du climat au semestre près.

La dendrochronologie, étude des anneaux de croissance des troncs d'arbres, permet de reconstituer les niveaux des températures et des pluies.  Tout ceci mis en parallèle avec les maigres récits des historiens a permis d'importantes avancées, laissant poindre une période de froid généralisé. Même les glaciers alpins qui font actuellement les « choux gras » des Verts permettent d'en savoir plus.

Dans le massif du Mont-Blanc, à cette époque, après des années de fonte, la mer de Glace commence à progresser à nouveau. Ainsi, comme ce qui nous pend au nez, la fin du 2e siècle de notre ère a marqué la fin de « l'optimum climatique romain », qui durait depuis  400 ans.

Il ne s'agit aucunement d'un cataclysme brutal, mais d'une évolution sur plusieurs décennies. Et cette « crise » marque, en réalité, un retour à la normale. Car, sachez-le bien, ce qui était exceptionnel, c'est justement cet optimum, marqué par des températures plus douces, une humidité plus forte dans le bassin méditerranéen, et un climat particulièrement stable.

Outre ces conditions favorables, l'optimum climatique se caractérise par l'absence d'éruptions volcaniques majeures susceptibles de voiler l'atmosphère de Gaïa. En fait, même celle du Vésuve qui a détruit Pompéi en 79 après J.-C., n'a heureusement pas eu d'impact sur le climat.

Ce sont ces conditions favorables qui, durant quatre siècles, ont accompagné l'essor de l'Empire romain. Néanmoins, l'expansion de la civilisation romaine ayant démarré sous la République, bien avant l'avènement de l'optimum ; elles n'en sont évidemment pas la seule explication.

L'optimum concerne d'ailleurs une grande partie du globe, bien au-delà de l'Europe et du bassin méditerranéen. La Chine de la dynastie des Han connaît alors son essor à la même époque.

Le grand responsable ? Celui dont je vous parle depuis des années dans mes livres et articles : le soleil et ses cycles. Ils ont évolué dans un sens moins favorable. Ensuite, des perturbations climatiques et océaniques du type de celles qu'on connaît aujourd'hui avec El Nino, ont joué.

Enfin, des éruptions de volcans plus fréquentes ont envoyé des aérosols à haute altitude, faisant écran au soleil. Ce qui est certain, c'est que : tout comme aujourd’hui, même si les déboisements à grande échelle ont pu avoir un impact au niveau local ; l'activité humaine n'est pas responsable de la fin de l'optimum.

Pénalisées par un climat plus frais et plus sec, les récoltes sont moins bonnes. Suffisamment pour provoquer des disettes et des famines dans plusieurs régions de l'Empire romain à des intervalles plus fréquents.

Autre conséquence notable, les fleuves gèlent plus souvent et plus longtemps, perturbant la navigation fluviale qui était un moyen de communication essentiel à cette époque.

Moins de céréales signifie moins d’argent, et moins d'impôts dans une société où l'agriculture tient une place prépondérante.  De plus, cela se produit à un moment où la population augmente avec des besoins plus importants. 

Au milieu de 2e siècle, l'empire comptait 75 millions d'habitants (sans doute le quart de la population mondiale), 20 millions de plus qu'au début de notre ère.

C'est aussi la période où la pression des peuples germaniques aux frontières européennes de l'Empire commence à se faire sentir. Les razzias se multiplient. Avec moins de rentrées pour payer les soldats, la crise climatique contribue à créer un défi militaire pour l'empire le plus étendu du monde. Cette crise sans précédent ne signe néanmoins pas la chute de l'Empire romain.

Elle intervient beaucoup plus tard, en 476 pour la partie occidentale (l'Empire romain d'Orient, ou Empire byzantin, ne s'éteindra qu'au 15e siècle). Mais dans les décennies qui suivent la fin de l'optimum, Rome perd de sa puissance.

Fin de la première partie.  Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/10/rien-de-nouveau-sous-le-soleil-de-satan-partie-2.html

Olivier

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Décarbonation des économies et carbonisation de nos existences.

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

De l'inflation gargantuesque aux coups d'État en Afrique, le tout ajouté à une Ukraine vampire, la Bourse reste aveugle et étrangement calme.

En Gaule, on découvre la flambée des prix de l'énergie et de l'alimentation, tandis que les grandes entreprises agroalimentaires profitent de l'inflation.

Partout l'influence française fond comme neige au soleil. Pourtant, même avec l’émergence des BRICS, les marchés financiers semblent insensibles à ces bouleversements majeurs.

En France, la classe moyenne doit tenter de survivre. Les associations tirent l’alarme, les chiffres de l’inflation s’envolent, les gens restreignent leur nourriture et leur chauffage.

Nous devenons un pays à l’abandon.

Ne pensez pas que cela soit un hasard ou une erreur, c’est le fruit des politiques néolibérales antinationales menées depuis des années en toute connaissance de cause afin de permettre l’avènement de la globalisation.

Et cela concerne tous les pays développés d’Europe. L’inflation s’accompagne ainsi d’une paupérisation de la population, qui dépasse largement le seul cas français.

Tous les acquis de l’après-guerre ont été détricotés volontairement avec les politiques néolibérales, il ne reste rien du service public à la française, ni de l’hôpital, ni de l’école, ni de l’Université, ni des administrations civiles.

Mais les Français et leurs voisins ont d’autres priorités, sans oublier l’immigration de masse, qui permet de remplir le pays par des gens … qui en général se moquent éperdument de ce pays, dont ils partagent à peine la langue et certainement pas la culture.

Sans classe moyenne, c’est le nerf même du pays qui est enlevé. Désormais, elle est mise en état de survie, pour ne pas déranger.

Derrière nos dirigeants télécommandés, l’élite mène une belle opération de psychologie sociale destinée à faciliter cette fameuse transition énergétique, qui va appauvrir des milliards de citoyens ordinaires à travers le monde pour enrichir quelques « profiteurs » : les futurs princes de ce NOM qu’ils appellent tant de leurs souhaits.

L’un des mécanismes de cette opération passe notamment par l’organisation de pénuries dans les énergies fossiles, pour justifier la transition climatique. Selon les merdias, le « pic de demande » devrait être dépassé avant 2030.

Un « pic de demande » qui se confond assez facilement avec le fameux « peak oil », le pic de production, longtemps craint puisqu’entièrement créé par les élites à travers leur droit à polluer ou quota carbone.

Bien entendu, cette information joue délibérément sur l’ambiguïté entre demande et production largement freinée.

Le travailleur lambda comprend d’une oreille distraite que nous commencerons à manquer de pétrole avant 2030… donc qu’il faut accélérer la transition énergétique, parce que tout va mal.

En réalité, c’est l’inverse qui se produit : la baisse de la demande précède la baisse de la production. Et la baisse de la consommation n’a rien à voir avec la disponibilité de l’énergie.

Elle résulte d’un choix politique orchestré par le reset de Davos.

Et l’Agence Internationale de l’Énergie de relayer que des efforts de recherche et des investissements dans l’exploration sont indispensables pour éviter les pénuries de pétrole tout en mettant en garde contre la dévalorisation des actifs financiers dans ce domaine.

Conclusion : le choix est fait d’organiser de plus en plus vite une baisse de la production, donc une hausse des prix et une pénurie grandissante, pour accélérer la transition énergétique et ses immenses profits, notamment dans la fabrication de voitures électriques chinoises qui verra d’autant plus vite l’effondrement économique de l’industrie automobile européenne et de toutes ses filières attenantes.

Le béotien, naïf par nature, continue à surfer sur le tsunami de mensonges de nos merdias financés.

Ils sont : économiques, sanitaires, énergétiques, géopolitiques, etc. Au milieu de tout cela, nos dirigeants semblent nager à contre-courant en prenant les décisions les plus excentriques, puisque contraires à l’intelligence la plus élémentaire.

Les faillites augmentent de manière exponentielle en fonction des prix de l’énergie qui explosent. Les actions de nos dirigeants semblent irrationnelles ? Vous devriez plutôt vous demander quel est leur intérêt à détruire la France et plus largement l’Europe. Parce que c’est bien de ça dont il s’agit. Cela constitue leur feuille de route et ils l’appliquent à la virgule.

Au beau milieu de toute cette propagande soviétique, avec 25 % d’augmentation des prix de l’alimentaire et 35 % de concitoyens qui ne mangent plus à leur faim, le français a perdu un quart de son pouvoir d’achat en même pas deux ans. Mais Bruneau Le Maire va tous nous sauver !

Avec un cout de production du KW à 5 centimes d’euro, on facture cette électricité actuellement à 24 centimes (pour l'instant). Soit presque 500% de bénéfice. Le Portugal qui s’est habilement sorti du cout de calcul alambiqué des mécanismes de contrôle européens, facture à ses consommateurs un KW à 14 centimes.

La France première productrice européenne, il y a encore peu, refuse de le faire, pourquoi ? Seules les décisions politiques sont à l’œuvre, et certainement pas le coût des matières premières. C’est une aberration d’indexer le prix de notre électricité sur celui du gaz. Merci l’Allemagne !

Avec une énergie qui augmente constamment, même un abruti comprendra que l’inflation ne peut baisser. L’industrie est dépendante de l’énergie ; point barre !

Et Le Maire nous prend tous pour des cons. En plus, les taxes pleuvent et une TVA à 20% va être rajouté sur les travaux de rénovation obligatoires pour les « passoires thermiques ». Voudrait-on flinguer l’investissement locatif qu’on ne s’y prendrait pas mieux !

Au milieu de tout cela, tel un masochiste de bas étage, l’Occident oxydé est en train de s’imposer une décarbonation, facteur le plus inflationniste que l’on puisse librement s’imposer sous de faux prétextes.

C’est hors de nos moyens, puisqu’avec plus de 3000 milliards de dette (1000 rien que durant la période covid), nous devrions, pour ce faire, emprunter chaque année 70 milliards à des taux qui deviennent prohibitifs et pour lesquels nos impôts vont exploser.

Cerise sur le gâteau mondialiste, c’est sans retour sur investissement et pour une cause perdue d’avance. Pourquoi ? Parce que le CO2 constitue le vrai carburant de la végétation et des récifs coraliens où, à de nombreux endroits, globalement, ils sont loin de mourir comme on tente de nous le faire croire.

De taxes en crédits carbone, il faut coute que coute que le gueux soit convaincu que la partie est fichue, et à cause de lui. Que Gaïa va mourir s’il ne se sacrifie pas et vite.

Et pourtant, les solutions existent et pour certaines, depuis LONGTEMPS. Pollution et réponse énergétique pourraient largement être contrôlées.

Si l’on considère vraiment le CO2 comme l’ennemi public numéro UN, les bio bêtons, le béton de chanvre pourraient largement compenser la construction représentant à elle seule 30% du CO2 mondial.

Il n’y a pas de pays riche à basse énergie.

Culture d’algues, térébenthines (terpène), filière thorium (réserve minimum 2000 ans de conso mondiale) constituent toutes autant d’alternatives énergétiques bien plus efficaces que les éoliennes et les panneaux solaires ainsi que ces foutues voitures électriques incendiaires.

Je ne suis pas en train de dire que les particules fines émises par nos pots d’échappement constituent la panacée, j’en parle sur un chapitre ENTIER dans mes deux derniers bouquins.

Je désire simplement vous convaincre qu’ils n’ont rien à voir avec les changements climatiques.

Au lieu de ça, afin de satisfaire une nouvelle religion verte, on nous la met "vert profond" en  nous imposant : taxes à gogo, éoliennes et  panneaux solaires.

Le CO2, c’est 0,4% de l’atmosphère terrestre. 97% de ce carbone sont produits par la nature elle-même.

Et on voudrait nous faire croire que les 3% produits par l’industrie réchauffent la planète. Dans cette nouvelle religion, c’est le rapport du GIEC qui fait office de « révélation ». Et qui, de projections en modélisations, nous amène à des hypothèses totalement fausses.

Pourquoi décarbonation et pas dépollution ? Parce qu’au même tire que couillonavirus, elle permet aux lobbies de faire aboutir de nouveaux projets très lucratifs. Une fois qu’une éolienne est morte (20 ans max) on ne sait pas la recycler. Qu’en est-il des 1000 tonnes de béton pour chaque pied d’éolienne ?

Dans une religion organisée, on a toujours tort. C’est son clergé qui délivre des indulgences. Obama déclarait « science is clear ».

Dire le contraire c’est être climatosceptique. Or, ces gens-là font de leurs hypothèses des conclusions. Le climat est éminemment complexe avec des milliers de variables. Rien qu’au niveau montée des eaux, leur niveau était déjà élevé et bien avant la révolution industrielle.

Le Gulf Stream est un courant océanique chaud de surface, une espèce de pompe prenant sa source entre la Floride et les Bahamas, et qui se disperse dans l'océan Atlantique quelque part au large de la Nouvelle-Écosse et de Terre-Neuve tout en se prolongeant par d'autres courants marins. Un arrêt du Gulf Stream serait bien plus dangereux pour notre climat planétaire que leur fichu CO2.

Le moteur de la circulation thermohaline est la différence de densité due à la salinité et à la température des eaux. Les eaux arctiques sont plus denses car elles sont plus froides et plus salées. Les eaux atlantiques sont moins denses car elles sont plus chaudes et moins salées.

Les premières plongent donc sous les secondes en direction de l'Arctique, créant une aspiration des eaux atlantiques vers le nord. Bien que certains lui contestent un rôle majeur dans la régulation des températures hivernales de l'ouest de l'Europe, les observations faites de part et d'autre de l'Atlantique nous amènent à conclure que le Gulf Stream est la seule vraie source de chaleur locale responsable du climat hivernal européen particulièrement doux.

Il transfère en hiver son énergie thermique aux vents d'ouest froids, stabilisant le déséquilibre entre les couches atmosphérique et océanique dû à un rayonnement solaire diminué. Les deux couches s'équilibrent, réduisant de la sorte le refroidissement des températures. 15 °C de plus en moyenne que pour l'Est canadien. Vous voyez par là combien le climat est complexe et fragile.

Un modèle ne compte que par ses hypothèses pas par ses conclusions. Un consensus scientifique n’est qu’un oxymore. La science n’a jamais progressé par le biais du consensus.

L’état qui s’associe de fait à ce consensus, véritable nouvelle religion, s’octroie ainsi de nouveaux pouvoirs sur la plèbe. Si vous allez à contre-courant, avant vous étiez un hérétique, et désormais un complotiste.

Concernant le climat, bien malin celui qui est capable de le prédire à long terme, tant celui-ci dépend d’une multitude de facteurs qui s’entremêlent : température moyenne mondiale, pression de la basse atmosphère, durée du jour, indices géomagnétiques, étendue de la glace de mer à haute latitude, et plus encore.

Beaucoup d’indices climatiques sont liés à l’activité solaire à travers ses taches : un cycle 11 ans (cycle de Schwabe) et de 90 ans (cycle de Gleissberg). Et même à d’autres de plus grande durée.

En plus, et comme je le claironne depuis des années, viennent s’ajouter à cela les signatures des quatre planètes joviennes (Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune).

On comprend alors aisément qu’au travers d’une espèce de phénomène d’antenne, puise se dégager les composantes que l’on retrouve dans le niveau de la mer, la pression, la température… provenant de cette chaîne causale allant des planètes joviennes au Soleil (ou directement à la Terre), avec des conséquences sur les changements d’ensoleillement (donc le climat), le niveau de la mer et les marées.

Bref, une très grande partie des variations géophysiques ont une origine externe (astronomique-gravitationnelle). Ce que nos ancêtres étaient loin d’ignorer.

Regardez-donc SVP cette courte vidéo : https://twitter.com/i/status/1701517487022510513

« Rien de nouveau sous le soleil » déclare le livre (Bible). Et, en effet, depuis plus de 2000 ans, rien n’a changé. Les maîtres de l’Empire romain croyaient à la divination astrologique, mais ils voulaient s’en réserver à eux seuls les avantages. Ils tenaient à connaître l’avenir, mais ils entendaient que leurs sujets l’ignorent.

Désormais, nos maîtres font même mieux. Certes ils ne brûlent plus les livres, mais ils nous anesthésient sous une pensée unique abrutissante et chassent les tenants d’un autre discours.

Preuve qu’Orwell et son 1984 sont désormais dépassés, le Royaume-Uni va imposer des amendes allant jusqu'à 15 000 £ et des peines de prison d'un an aux propriétaires qui ne respectent pas les normes de neutralité carbone en refusant d'installer des pompes à chaleur et d'autres améliorations énergétiques.

En Allemagne, moteur désormais poussif de l’industrie européenne, en 2024, tout le monde sera obligé de démanteler les chaudières et les radiateurs à ses frais. La loi est adoptée.

Tous les locaux résidentiels et commerciaux seront contraints de passer progressivement à des méthodes « écologiques ». Les Allemands devront abandonner progressivement les systèmes fonctionnant au pétrole et au gaz.

À partir de janvier 2024, au moins 65 % du chauffage des nouveaux bâtiments devra provenir de sources d’énergie renouvelables qu’on sait être poussives. Les radiateurs des appartements et des bureaux du vieux parc seront également remplacés de force par des analogues « verts ».

Ainsi met-on sur le dos des peuples des phénomènes qui les dépassent, et de loin, et dont hormis la pollution, ils ne sont nullement les responsables. Pour être encore plus clair, les « grosses » de notre système solaire jouent sur les fréquences qui modulent (forcent) l’activité solaire, et de nombreux paramètres terrestres parmi lesquels le niveau de la mer, les indices océanographiques, et enfin la température, s’en trouvent affectés.

Une crise climatique se profile ? NON. Même pas à l’horizon ! Nous y sommes déjà entrés. Personne ne vous en parle, et à la place, on vous fait croire que vous êtes un pollueur-réchauffeur tout juste bon à être taxé. C’est ce que ça veut dire. Le climat concerne tout le monde.

Aujourd’hui, savoir ce qui s’approche et ne pas le dire est criminel. À part des « complotistes » comme moi, qui le fait ?

En doutant du récit issu du GIEC, vous péchez ainsi contre Gaïa et son climat. Vous devez alors faire pénitence pécuniaire. C’est ainsi qu’on en arrive à payer quatre ou cinq fois plus chères sa note EDF ou GDF au nom d’une décarbonation sensée sauver la planète.

Avant, le manant devait donner son obole afin de construire des cathédrales, maintenant il doit le faire pour sauver Gaïa. Créer la peur et la culpabilité à partir de rien est leur solution. Elle permet la confiscation des biens et des libertés au nom d’une flagellation mentale, faisant de chacun un responsable.

C’est le retour des indulgences de la Renaissance et du fait qu’elles enrichissent et profitent toujours aux mêmes arnaqueurs. Ils font du CO2 le nouveau Diable. Ne pas se conforter à cette idée, c’est aller au bal des sorcières ; c’est accepter de mourir sur le buché numérique.

Les zones les plus densément peuplés et celles où on cultive le plus sur terre, sont les régions les plus chaudes. Alors ! Concernant les serres, celles, où, aujourd’hui, on obtient le meilleur rendement sont celles où l’on y injecte du CO2.

On augmente ainsi de 20 à 25% le rendement de serres ou l’on produits des tomates et autres.

Chaleur plus carbone c’est certes très positif pour les gueux, mais certainement pas pour l’élite qui, au nom de son portefeuilles et de son NOM, désire nous priver de tout, même de l’eau et surtout de nos libertés.

Il tombe chaque année 512 milliards de m3 d’eau sur terre, et on en récupère qu’un pourcent. En Egypte, du temps des Pharaons Ptolémée, le pays était le grenier à blé de Rome, en récupérant 25% des eaux du ciel. Actuellement, en France, on en récupère qu’un pourcent et on nous menace déjà de sécheresse ! L’humanité consomme en eau douce 0.6 fois le débit annuel de l’Amazone.

Je ne parle même pas des possibilités de recycler les eaux usées à destination des cultures.

Nos notes d’électricité et de gaz explosent. Des organismes ont calculé le coup de la décarbonation en Gaule, pour en arriver au zéro carbone à l’horizon 2050. Ils l’ont estimé à soixante-dix milliards par an. Soit environ mille euros par Français.

Le gouvernement Macron parle de dix fois moins. Mais peu importe, car c’est se faire hara-kiri pour du pipi de chat.

Entre l’électricité et le gaz qui augmentent vers des hauteurs stratosphériques, au même titre que les carburants, on est en train de nous tondre de tous les côtés en exigeant en plus une isolation folle de nos logements.

Le décret sur la fin des locations des passoires thermiques vient d’être publié et précise certaines modalités d’application. Au nom du « dérèglement climatique », les mesures consistent à interdire à la location les logements considérés insuffisamment isolés, et donc trop soumis aux déperditions d’énergie, soit les classes F et G du diagnostic de performance énergétique.

Un logement situé à Lille ou à Marseille nécessiterait les mêmes normes d’isolation thermique. C’est une loi dans l’air du temps, conçue pour plaire aux écologistes au détriment de propriétaires qu’elle contraint à réaliser des travaux avec de l’argent qu’ils n’ont pas, travaux qui ne seront jamais rentabilisés. C’est 20 % du parc locatif qui est à terme condamné.

ET, que dire de tous ces textes de loi passé en catimini au moment de Noel ou durant la période bronze cul ? L’article 47, par exemple, qui modifie l’article L.2211-1 du code de la défense, donnant maintenant le pouvoir au Premier Ministre de prendre toutes les mesures qu’il estime nécessaire pour réquisitionner des biens, des personnes ou des services.

Charge au pouvoir règlementaire (des administrations, en somme) de fixer la nature de ces réquisitions à titre sanitaire, climatique, et j’en passe et des meilleures.

Autrement dit, le législateur, dans sa grande clairvoyance-bienveillance, donne carte blanche au Premier Ministre pour prendre toute mesure qu’il estime justifiée afin de nous ressortir ad nauseam des cauchemars style période de paSS sanitaire SS puis vaccinal.

Comprenez-vous le piège vers lequel Davos et ses larbins sont en train de nous emmener ?

Pensez à vos enfants et petits enfants. Réveillez-vous et faites circuler SVP.

Olivier

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Ça va chauffer !!

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Pour les actifs, la période bronze cul se termine. Elle aura été la dernière à se dérouler de « manière normale ».

D’ici peu, le Gaulois va comprendre ce qu’est devenu son pays, laminé par des roublards incompétents aux ordres du gouvernement de l’ombre.

Dès lors, les Français, ainsi que les autres, auront une idée de la direction que prend tout cela.

Chez le vieil oncle pédo-criminel qui n’en finit pas de jouer « les Américains », le marché obligataire vacille parce que son gouvernement ne peut s’empêcher d’augmenter les dépenses. La chute des dominos ne tardera pas à nous atteindre de plein fouet.

La bande du vieux sénile émet de plus en plus d’obligations pour emprunter toujours plus d’argent, mais pour les acheteurs d’obligations du monde entier (alias les prêteurs), ce qui était considéré comme pratiquement sans risque semble maintenant être un mauvais pari.

L’incitation à l’achat, appelée taux d’intérêt, doit donc augmenter. Mais cette hausse entraîne une baisse de la valeur des obligations existantes. Qui veut des anciennes quand les nouvelles sont plus rémunératrices ?

Au beau milieu de tout ce marasme, il y a « du X », pas le porno, mais le X d’Elon Must qui va faire monter la mayonnaise.

X publie régulièrement des données et des graphiques montrant au monde entier à quel point les injections d’ARNm ont causé des dommages à des millions de personnes, combien d’entre elles ont été handicapées et tuées par ces injections.

Quant à l’Ukraine et son clown, Je doute que notre marionnette, Zelenski, soit encore au pouvoir à Halloween. L’OTAN cessera d’exister et chaque nation d’Europe se battra alors pour régler ses propres problèmes souverains, sans qu’il ne reste grand-chose de l’économie industrielle. Attendez-vous à ce que les gouvernements tombent.

Il va donc falloir une bonne dose de PEUR pour cacher la triste Vérité aux peuples (nouvelles pandémies, pénuries, intensifications des conflits, etc.)

Entre les chinoiseries et une russophobie délirante, ça va donc swinguer au sein de notre vieil occident oxydé. Pour celles et ceux qui désirent en savoir plus et se prémunir j’ai ça :https://www.thebookedition.com/fr/chronique-d-un-occident-oxyde-p-394854.html et https://www.thebookedition.com/fr/davos-et-son-echeveau-p-399771.html

« Bonne rentrée »

Olivier.

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La Vérité, rien que la Vérité, toute la Vérité concernant une monstrueuse OPA.

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Le moindre des béotiens vivants recroquevillés dans son canapé, ivre de Netflix, dispose néanmoins aujourd’hui de plus de données que n’en possédait, au crépuscule de sa vie, le plus érudit des savants de l’Antiquité.

Mais l’intelligence ne se mesure certainement pas en mégatonnes de données, loin de là ! Et c’est heureux !

Il n’existe pas de conspiration millénaire des adultes pour cacher aux enfants l’inexistence du Père Noël, mais uniquement la gourmande crédulité des enfants, qui réclame son mensonge.

Si vous désirer faire voler en éclats votre crédulité, ce site et mes livres sont là pour ça.

Sur toute la surface de Gaïa, il existe aujourd’hui, en gros, une seule plaque tectonique chargée d’une majorité de sans dents pour la plupart lâches.

En effet, ils craignent la vie encore plus que la mort. Pourquoi ? Parce qu’ils désirent vivre protégés du rhume, de la météo et de la guerre. Des événements qui, malgré leurs méfaits, sont l’ordinaire de l’humanité depuis sa Chute.

En bon nombriliste, c’est Davos qui est au centre de cet écosystème mondial. Celui d’une humanité qui se réorganise autour de l’élimination politique, économique et finalement physique des lâches.

C’est-à-dire de ceux qui tiennent assez peu à la vie pour tendre le bras à des thérapies géniques de peur d’une grippe, pour fermer des industries rentables « pour sauver Gaïa » ou pour avoir, depuis des décennies, confié le soin de leur sécurité à un vieil oncle obèse autant que précriminel.

Et comme OTAN en emporte le vent et les flatulences verbales des mondialistes, le vieux débris de la White House, au bras tremblant mais toujours animé par ceux de l’ombre, s’apprête à euthanasier une Europe de crétins qui, en majorité, le méritent amplement, étant donné qu’elle est désormais progressiste, c’est-à-dire mentalement organisée autour de ces déviances les plus crasses.

Et là-dedans, moi, le p’tit écrivaillon presqu’inconnu, j’arrive et vous propose ici un remède contre l’OPA que « l’élite » mondialiste réalise chaque jour, chaque minute, chaque seconde, sur vos intelligences.

Mon dernier bouquin est sorti : DAVOS ET SON ECHEVEAU ; Des origines du mal au crime mondial. « Vous n’aurez plus rien mais serez des esclaves heureux. »

Il constitue une bombe de révélations en ce qui concerne notre désormais très proche futur dystopique, entièrement voulu par l’élite pédo-sataniste.

Orwell en ferait une dépression. Un jour, Steve Jobs aurait déclaré : « La simplicité peut être plus difficile à atteindre que la complexité. Il faut travailler dur pour arriver à faire simple. »

En effet, j’ai travaillé dur sur ce livre. Il est très difficile de faire simple. C’est pourtant son but. Vous expliquer qui sont ces individus malsains qui ont réalisés une OPA sur nos intelligences, et pourquoi ?

Tout l’intérêt est de vous faire comprendre qu’il est déjà très tard et peut-être trop tard. En effet, après avoir réalisé une OPA sur nos neurones, c’est sur nos vies et nos droits humains qu’ils s’apprêtent à le faire.

À peine né, les parents s’assurent de vous faire croire au père noël. Puis, bientôt, les religions s’assurent que vous restiez loin du Bon fournisseur d’accès. L’éducation judéo-maçonnique s’assure de vous conditionner.

L’employeur s’assure de vous exploiter. Les banquiers s'assurent que vous restiez endettés. Big Pharma s'assure que vous restiez malades.

Les fabricants d'armes et l’OTAN en emporte le vent s'assurent que nous restions toujours en guerre (la prochaine arrive à grands pas).

La justice s’assure d’être toujours du bon côté : celui des riches. Les merdias vendus s'assurent que vous ne puissiez jamais connaître la Vérité.

Les gouvernements s'assurent que tout ce qui précède soit légal. Quant à Davos, par le biais de moult restrictions (eau, alimentation, énergie, pandémies), le WEF de tonton Klaus s’assure prochainement de faire crever le plus grand nombre d’entre nous, et de réduire à l’esclavage numérique les survivants.

Quant à moi, en bon « complotiste », je vous assure d’écrire et diffuser la Vérité, toute la Vérité, et rien que la Vérité.

Je m’en préoccupe dans la solitude de mon bureau, car préférer être seul, ce n’est pas détester les gens, c’est détester les conversations sans intérêt. C’est ne pas aimer la socialisation superficielle, l’ingénierie sociale à tous les étages d’un monde-démon qui pue un peu trop la merde.

C’est donc préférer le chant des oiseaux et la mélodie d’un cœur qui bat désormais uniquement pour l’Esprit.

Néanmoins, ce cœur a besoin de se ressourcer. Le site est donc en veille. Mais, avec plus de huit cents articles concernant la vraie histoire, le N.O.M., le vrai climat, la bonne astronomie, Davos et ses frasques orchestrées par le vieux pédophile nazi et ses vilains p’tits Young Global Leaders et leurs multiples méfaits, vous n’avez pas de quoi vous ennuyer.

Les mois qui ont précédé sont parsemés d’articles qui m’ont permis de brosser toute l’étendue du désastre dans lequel le pays « France » semble décidé à s’enfoncer avec une obstination macronienne, oscillant entre la précipitation improvisée et une planification consciencieuse.

Gageons qu’avant les Grandes révélations des prochains mois, la période regorgera de pépites encore plus croustillantes.

Quoi qu’il en soit, ce blog existe depuis sept ans afin de vous apporter la VRAIE information. Il complète ma littérature dans laquelle je développe dans les moindres détails tout ce qui est vu ici.

Alors, si vous désirez m’aider, il y a mes livres, car tout faire seul et entretenir un blog sans publicité, ça coute du temps et de l’argent !

Je me suis assuré que mes livres soient prochainement présents partout où mes lecteurs se trouvent ! Grâce à un réseau de distribution étendu. Afin de m’aider, vous pouvez pour l’instant les obtenir chez mon éditeur : https://www.thebookedition.com/fr/37027_olivier-cape  

À partir de septembre, ils seront aussi disponibles à la vente en quelques clics sur les librairies en ligne Amazon.fr, Fnac.com et Rakuten.com.

Ils pourront également être commandés directement en magasin, en s'adressant auprès de milliers de librairies physiques en France comme la Fnac, Cultura, Decitre, Chapitre, Furet du Nord, Gibert Joseph ou encore les espaces culturels Leclerc, grâce au réseau du livre Dilicom.

Quant aux anciens, La Quête, La Promesse, J’ai à te parler, C’était donc vrai ! et Dernier regard sur un monde corrompu, il m’en reste quelques exemplaires (des pépites), chez moi. Il suffit de me contacter par mail

oliviercapevecteur@gemail.com.

À bientôt si on me laisse encore écrire. Et surtout bonne lecture et excellentes vacances en cette fin de dernière période bronze cul à peu près normale.

PS : un dernier conseil : prenez de la hauteur !

Olivier

 

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DES ORIGINES AU CRIME MONDIAL

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

L’humanité n’a jamais eu autant d’information à sa disposition. Depuis plus de vingt ans l’accès au web s’est généralisé. Moult lanceurs d’alertes vous invitent à partager la vraie information contre une déferlante de mensonges merdiatiques aux ordres.

Et pourtant … l’oligarchie prospère, elle joue les virtuoses sur vos certitudes de gueux égotiques, nourries sauce judéo-maçonnique. Pendant que beaucoup pérorent dans leurs certitudes, elle pousse ses pions avec plusieurs coups d’avance…

Beaucoup jouent sur l’attachement aux idéologies, les querelles d’ego. Ils sont victimes de cette cinquième colonne dite « antisystèmes » parfaitement inscrite dans la dialectique « thèse-antithèse » servant à une seule synthèse finale, pas celle des peuples, mais celle de l’élite.

Quant à celles et ceux, trop rares, qui constatent qu’il existe bel et bien à cet état de fait des causes plus profondes sur lesquelles se pencher pour élucider le mystère d’une telle passivité face à notre élimination programmée, j’ai concocté ce livre.

Il catalyse tout ce qu’un « tout juste éveillé » doit savoir afin de garder les yeux ouverts face à cette déferlante de somnifères qui arrive à grands pas.

Il fera de vous un insomniaque dans ce monde-démon, un humain averti qui en vaudra dix.

Dès la naissance, chacun s’est vu bercé par un courant judéo-maçonnique venu du fond des âges. Ce courant de pensée prétendument athée nous a englué dans l’ultime séduction : celle remettre son corps, son esprit et son destin aux mains d’une entité plus forte, qu’elle soit étatique, scientiste ou collectiviste.

Le projet du Nouvel Ordre Mondial n’est qu’un savant mélange des trois. Il est mâtiné sauce new-âge pour complaire à la naïveté des idéalistes et à notre irrépressible besoin d’espérer en l’homme déchu.

Toute ma littérature mentionne le dangereux messianisme du mouvement sioniste, mais ce serait une grave omission de ma part d’oublier de mentionner que cette tournure d’esprit est commune aux cultures des trois religions Abrahamiques.

Trop d’individus nouvellement « éveillées » sont victimes du syndrome du sauveur. Qu’ils attendent l‘intervention des p’tits gris, de la confédération galactique, de Trump, Musk, Poutine, ou que sais-je encore ; ils sont tous victimes de ce syndrome habilement instillé.

Il s’agit d’un cheval de Troie mental plurimillénaire. Les religions enchainent aux dogmes. Elles ont toutes été savamment orchestrées du fond de ces cryptes qui encryptent. Sur le parvis du temple, elles délivrent ainsi à la plèbe un message exotérique.

Il est exploité pour maintenir les peuples enferrés dans l’espoir de … pendant qu’une élite « ésotérique » mène à bien ses projets.

Tout n’est qu’énergie et vibrations, dans un univers ou certains vibrent hélas trop bas. La plus mauvaise des résonnances est celle de la PEUR, elle nous provient de très bas, pour ne pas dire des profondeurs du Deep State.

Il convient de comprendre que nos laquais de dirigeants savent jouer sur ces fréquences basses, tels des virtuoses au service du mal. C’est la raison pour laquelle des Attali, Schwab ou Harari admettent ouvertement leurs plans anxiogènes.

Les basses vibrations encouragent à la passivité. Elles nourrissent en nous le sentiment d’impuissance et de fatalisme.

Lorsqu’un Attali déclare tout de go qu’à partir de 65 ans nous devrions tous terminer sauce Soleil Vert, lorsqu’un Harari pérore que bientôt le gueux sera un morceau de viande inutile, ou que Schwab proclame que nous n’aurons plus rien et seront heureux, ils nous présentent ces finalités comme inéluctables.

Tous sont des virtuoses de la programmation mentale. Elle participe à l’effraction de notre libre-arbitre. Ainsi, plus nous accordons d’attention à l’avenir qu’ils nous préparent, plus nous nourrissons mentalement la potentialité qu’il se réalise.

À ce titre, la grande divulgation à laquelle nous assistons avec pléthore de révélations anxiogènes, concourt pleinement à la feuille de route mondialiste : liquider avec notre complicité l’ordre ancien pour participer de concert à l’avènement du nouveau.

C’est du bel ouvrage, un travail d’artiste sataniste. À travers la multiplication de crises générées artificiellement, il permet à chaque fois de faire accepter la « solution » prévue d’avance.

Covid et son « vaccin » mortifère, Ukraine et son troisième conflit mondial servant à prouver l’obsolescence des nations ; CO2 et climat en vue d’instaurer le paSS SS carbone et l’identité numérique.

Cette stratégie du choc à répétition stimule la peur. Et la sidération mène tout droit à l’obéissance aveugle.

Mais avant tout, il convient d’accroître peu à peu le chaos à un niveau tel que même les personnes au fait du programme tombent dans le piège de s’en remettre au « sauveur » qui prétendra les en délivrer grâce à l’apparition d’un faux : clou du spectacle. D’où l’intérêt de mon livre.

Quelque soit le danger instauré de toute pièce (Virus, Russie, ET, etc.), il convient d’instaurer l’ultime élément fédérateur derrière lequel unir les peuples de toutes les cultures sous une même bannière. C’est un avenir prométhéen qui, soi-disant, nous attend. Prométhéen pour les 0.001 pourcents d’ultra riches et dystopique pour les autres : les pauvres, les gueux, les sans dents.

Ainsi, ne soyons pas étonnés que le transhumanisme constitue la suite logique d’un processus ayant débuté par le fait de prêter des caractéristiques humaines à Dieu, et aboutissant à la déification de l’humain riche. Davos et le vieux nazi de Schwab envisagent bel et bien cette fusion homme-machine.

Va-t-elle nous sauver miraculeusement au seuil du feu nucléaire, feu d’artifice mondial ? Va-t-il advenir un autre évènement du même acabit, dans la plus pure tradition des prophéties autoréalisatrices ?

Les « tout juste éveillés » comprendront alors qu’il n’existe aucun salut à attendre des hommes.

Mon livre est là pour ça ! Vous apprendre les noms et les organismes qui œuvrent délibérément à notre perte. Mais notre pire ennemi n’est pas à rechercher du côté du forum de Davos ni chez le vieux sénile pédophile de la White House. Ce pire ennemi se trouve tapi en nous-mêmes : dans nos croyances.

Notre ego place un voile de défiance et de peur entre celui que nous croyons être et ce monde-démon. L’ennemi, depuis longtemps caché en nous, est nourri sauce aigrelette tendance maçonnique. Il est cet intellect et sa manière de substituer les noms et les habitudes que nous avons des êtres et des choses.

Il nous amène à leur appréhension, mais bien mal. L’incarnation est, pour ainsi dire, une école où l’on commence par ingurgiter de force l’immangeable. Les tenanciers de la cantine sont toujours les mêmes : ceux qui empoisonnent notre intellect, notre corps, mais aussi et surtout, ceux qui nous privent de la Good Vibration.

Survivre, c’est effectuer un jeûne, tout désapprendre pour repartir de zéro. Pas par nous-mêmes, mais à l’aide le la Bonne Vibration qui rend libre.

DAVOS ET SON ECHEVEAU invite donc à se poser la bonne question : Et si la véritable foi n’était pas de croire, mais de ressentir ?

De percevoir au niveau le plus subtil cette substantifique moëlle vibratoire autant qu’universelle qui palpite derrière la multitude des formes de vie, et que l’élite ne veut surtout pas nous voir découvrir, pire, ressentir.

C’est le but du livre : vous faire comprendre qui nous sommes pour la plupart réellement, et ce qu’ils sont et font de nous.

Le comprendre induit une radicale transformation intérieure, suite à laquelle nous devenons imperméables à toute sollicitation parasite, à toute propagande, toute forme de chantage ou menace, mais aussi à toute séduction matérialiste.

Ces actuelles révélations, plus douloureuses que celles des méfaits de nos dirigeants, n’en sont qu’à leur commencement. La mise à nu du mal n’est qu’un prélude aux retrouvailles avec notre nature éternelle.

Mes lecteurs le savent : climat et astronomie sont deux de mes dadas. Début juillet, notre soleil a fait des siennes, ses radiations ont violemment frappé la Terre. Elles se sont fait ressentir au niveau des télécommunications, mais aussi dans nos corps et dans nos esprits de manière inédite.

Ce n’était qu’un coup de semonce. N’en déplaise en vendus du GIEC, d’autres vagues vont suivre, de plus en plus fortes. La nature opère autour de nous et en nous, nos anciens le savaient très bien ; trop bien !

Il fallait donc le cacher aux peuples, ce que l’élite s’est empressée de faire. Nous ne sommes donc qu’au début d’un processus cyclique que l’oligarchie au pouvoir espère contrecarrer grâce à ses nombreux joujoux : chemtrails, Haarp (High-frequency Active Auroral Research Program), ondes 5G, nanotechnologies injectées afin de conserver leur contrôle d’un cheptel humain largement dégarni.

Cette tentative est vouée à l’échec, comme toute entreprise prométhéenne. Mais je tiens ici à être CLAIR. L’ordre du jour est bel et bien au balayement de tout ce que nous avions jusqu’ici connu.

La vérité est que la dépopulation prévue aura bien lieu. Mais les actuels p’tits jardiniers espèrent y échapper, eux qui cultivent à souhait l’ivraie en voulant exterminer le bon grain.

Ils se sont accaparés du jardin et des mérites de la récolte en faisant fi du Vrai propriétaire des lieux. Comme je l’explique CLAIREMENT dans ce livre, il y aura bel et bien une récolte ; mais certainement pas celle que Davos appelle de tous ses souhaits. Elle se fera mais certainement pas selon les critères de sélection concoctés par les mondialistes.

La récolte affectera aussi bien les gueux que les élites autoproclamées. Seuls ceux capables d’accepter leur propre et totale remise en cause sauront traverser les temps qui viennent : ceux de la REVELATION. Tous ceux restant attachés à leurs acquis, à leurs représentations du Monde et d’eux-mêmes, ou ceux qui auront misé sur la technologie pour s’en sortir seront emportés.

Bonne lecture.

https://www.thebookedition.com/fr/davos-et-son-echeveau-p-399771.html

Olivier

 

 

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DAVOS ET SON ECHEVEAU Des origines du mal au crime mondial

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

« Vous ne posséderez plus rien, mais serez heureux. »

OLIVIER CAPE

Dans cet ouvrage, je vais vous parler d’une OPA réalisée sur nos intelligences, cette planète, ainsi que sur nos vies.

Observez le logo du WEF, la volonté d’y faire apparaitre un triple six est évidente. De plus, la lettre « O » est la 15ème dans notre alphabet. 1+5 = 6 : 3 fois O pour 666. Hasard ?

Le hasard n’existe pas ! D’ailleurs, laissez-moi vous le prouver durant 490 pages. Vous guider par le biais de ce fameux 666 tant galvaudé. En lui soustrayant moult scénarii hollywoodiens tous plus frelatés les uns que les autres, vous verrez alors où il vous mène réellement. À travers un réseau mondialiste autant que machiavélique, nous allons dérouler un fil d’Ariane : celui des fils de Mammon. Un chemin ardu, pervers … censé nous mener toutes et tous là.

Désormais, quel que soit le MENSONGE, aucun Etat ne peut plus « protéger » le peuple. Que faire alors ?

Je vais aller loin, très loin dans les ramifications historiques. Nous allons jouer les voyageurs du temps en dissertant longuement sur ceux qui se sont accaparés le lien social. Ils jouent désormais sur lui tels des virtuoses, en utilisant le MENSONGE ABSOLU.

À travers leur ingénierie sociale du Diable, ils font tout pour passer le Firewall (Pare-feu) de chacun de nous. Cet ouvrage se veut vital, car beaucoup n’ont pas encore compris quels sont les enjeux planétaires. Une guerre se déroule actuellement, bien plus cruelle encore que celle d’Ukraine : celle du bien contre le mal. Hélas ! pour l’instant, ce sont les riches qui l’emportent.

Ne les laissons pas faire. Ce n’est que l’avis d’un « complotiste », doublé de celui d’un drôle de type qui croit en DIEU : les pires ! Mais c’est le mien, et cette race de « fous » a souvent raison bien avant tout le monde. Je terminerai donc cet ouvrage avec une REVELATION, en vous prouvant avec moult indices qu’il est bel et bien minuit moins quelques broutilles … à l’horloge de ce monde. Il est donc « l’or Monsignor », mais certainement pas celle de DAVOS.

Je vous propose ici un remède contre l’OPA que « l’élite » mondialiste réalise chaque jour, chaque minute, chaque seconde, sur vos intelligences. 

DAVOS ET SON ECHEVEAU constitue une bombe de révélations en ce qui concerne notre désormais très proche futur dystopique, entièrement voulu par l’élite pédo-sataniste. Orwell en ferait une dépression. 

En effet, après avoir réalisé une OPA sur nos neurones, c’est sur nos vies et nos droits humains qu’ils s’apprêtent à le faire.

À peine né, les parents s’assurent de vous faire croire au père noël. Puis, bientôt, les religions s’assurent que vous restiez loin du Bon fournisseur d’accès. L’éducation judéo-maçonnique s’assure de vous conditionner.

L’employeur s’assure de vous exploiter. Les banquiers s'assurent que vous restiez endettés. Big Pharma s'assure que vous restiez malades. Les fabricants d'armes et l’OTAN en emporte le vent s'assurent que nous restions toujours en guerre (la prochaine arrive à grands pas).

La justice s’assure d’être toujours du bon côté : celui des riches. Les merdias vendus s'assurent que vous ne puissiez jamais connaître la Vérité. Les gouvernements s'assurent que tout ce qui précède soit légal.

Regardez donc l’image ci-dessous, et écoutez donc Ted Turner interviewé en 2008.

https://twitter.com/i/status/1687348439468716032

Quant à Davos, par le biais de moult restrictions (eau, alimentation, énergie, pandémies), le WEF de tonton Klaus s’assure prochainement de faire crever le plus grand nombre d’entre nous, et de réduire à l’esclavage numérique les survivants.

En vous procurant ce livre, vous m'aidez, mais vous vous rendez surtout un grand service à vous et aux vôtres.

Bonne lecture.

Olivier

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Bienvenu dans goulag mondialiste (Partie 9 et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mon dialiste-partie-1.html

Schwab et ses sbires du Forum économique mondial ont écrit un article sur Forbes.com qui décrit l’expérience d’un citoyen à l’intérieur d’une Smart City, qui la loue comme le paradis sur terre : « Comment se fait-il que nous n’ayons jamais pensé à cela auparavant ? »

En effet ! Il faut penser au fait que personne n’y possédera rien, que tout y sera partagé : maisons, voitures, outils, même les vêtements. La Smart City, un endroit « chéri », « paradisiaque » et surtout sans intimité. Un paradis où tu ne peux aller nulle part sans être enregistré. Où tout ce que tu fais, pense et rêve est enregistré.

En 2020, lors des prémisses du covid-19, certains ont ri de mes articles concernant l’origine de covid (les ondes). Mais, sachez-le bien, les lampadaires des villes intelligentes, comme Wuhan, sont également des antennes 5G dissimulées. De fait, le système nerveux central des Smart Cities, leur substantifique moelle, sera la 5G.

De quoi lire nos pensées, et via les vaccins et leur nanotechnologie. Mieux, ils pourront insérer des pensées et des émotions dans tout le monde.

Ce  sont toujours les motifs les plus hypocrites qui sont avancés afin de faire évoluer les idées satanistes : https://youtu.be/aeERxJkLzKY

Dans certains concerts, on assiste déjà à des faits troublants avec des spectateurs qui se retrouvent en transe puis, ensuite, perdent la mémoire.

https://twitter.com/i/status/1687194134405091329

Les Smart Cities récoltent les données de chacun. Voilà pourquoi le petit chouchou de Klaus Schwab, Yuval Noah Harari, conseiller du Forum économique mondial, explique : « Les nouveaux maîtres du monde seront ceux qui détiennent les données. »

La richesse d’aujourd’hui n’est plus l’or ou le pétrole. Ce sont des données. Plus une entreprise, un gouvernement ou un empire bancaire possède de données sur la population, plus il leur donne de pouvoir.

Les villes intelligentes seront un moyen sans précédent d’utiliser l’humanité comme un énorme troupeau de moutons pucés que l’on tond en permanence pour les données. Chaque jour, chaque heure, chaque minute, chaque seconde, et même pendant notre sommeil.

Les Smart Cities seront essentiellement des camps de concentration à ciel ouvert, où votre comportement pourra, style chinois, être converti en un score de crédit social.

Ce score sera ensuite utilisé pour déterminer les privilèges auxquels vous avez droit et ceux auxquels vous n’avez pas droit dans la nouvelle société esclavagiste de tonton Schwab.

Ce score de crédit social est déjà en cours de déploiement en Chine, et pendant la pandémie de 2020, de nombreux pays ont mis en œuvre les premiers pas vers ce système de contrôle.

Les identifiants numériques et les monnaies numériques seront au centre de cette grille. Lorsque les gens désobéissent ou critiquent le système, leurs dépenses seront réduites et l’accès aux aspects fondamentaux de la société sera bloqué. La Chine est le terrain d’essai pour le reste du monde.

Mais les Smart Cities nous réservent mieux encore. Tous les lampadaires y sont des lumières LED, qui ont la capacité de manipuler le génome humain. L’expression des gènes peut être désactivée ou activée avec des lumières LED, qui peuvent également activer l’ARNm à l’intérieur du corps humain.

Les études scientifiques documentant ces faits abondent en ligne. Ce qui soulève la question : est-ce pourquoi les autorités insistent pour injecter à tous des technologies d’ARNm qui peuvent être activées par la lumière LED ?

L’humanité reçoit une injection d’ARNm qui peut être activé par des lumières LED, dans des lieux criblés de lumières LED. Voilà pourquoi tonton Klaus, fondateur du Forum économique mondial, promeut l’agenda de l’édition de gènes humains.

Il dit ouvertement que cela changera ce que signifie être humain. Le conseiller du WEF, Yuval Harari, va même jusqu’à déclarer que les élites financières se sépareront de l’humanité, car elles seront génétiquement modifiées pour devenir bien supérieures aux gens normaux.

L’inégalité économique deviendra l’inégalité biologique. Harari dit que les élites deviendront des « Homo Deus » : des êtres divins ou des dieux.

Si toutes ces idées n’étaient pas promues dans le monde entier par des personnes et des groupes tels que Bill Gates, Barak Obama, CNN, Facebook, les Nations Unies, le Forum économique mondial et d’innombrables autres médias des élites, nous penserions sûrement que c’est le scénario d’un film de science-fiction !

Mais c’est une réalité horrible qui est poussée à une échelle énorme. Lors d’un récent sommet mondial du gouvernement à Dubaï, Klaus Schwab a déclaré que ces développements ne sont plus dans le futur, mais sont en cours de développement en ce moment.

Ses mots exacts étaient : « Ils viendront comme un tsunami ». Et en effet, les grandes villes d’Amérique latine sont actuellement transformées en villes intelligentes. Il se passe la même chose à Londres, à Paris et dans toutes les autres grandes villes du monde.

Des millions et des millions de lampadaires LED 5G sont positionnés tous les quelques mètres dans chaque rue de chaque ville. Bill Gates a même investi dans la construction d’une nouvelle ville intelligente en Arizona pouvant accueillir 80 000 personnes, toutes centrées autour de centres de données massifs.

Aux Pays-Bas, le gouvernement a annoncé la destruction de 3 000 fermes afin de faire place à une Smart City monstrueuse appelée Tri State City Network. Elle abritera 40 millions de personnes originaires de Belgique, d’Allemagne et des Pays-Bas. Leur « logique » pour s’emparer des terres et détruire les animaux de 3 000 fermes est qu’ils « émettent trop de CO2 », ce qui « détruit la planète ».

Et pourtant, remplacer les verts pâturages par une monstrueuse Smart City, c’est bon pour l’environnement ?! Actuellement, la majeure partie des Pays-Bas est magnifiquement verte. Un tableau idyllique fait pâturages verts, des moulins à vent, des ruisseaux et des fermes historiques.

Son gouvernement de satanistes veut transformer toute cette belle campagne pittoresque en une immense ville intelligente appelée Holland City.

En Australie, le gouvernement a adopté une loi qui permet aux habitants des zones rurales d’être déplacés de force vers les villes intelligentes lorsque leur zone a été contaminée par des toxines dangereuses. Avec le déraillement du train de l’Ohio, et toutes ces catastrophes partout orchestrées, comprenez-vous alors où ils veulent en venir ?

Nous avons vu à quel point il est facile pour une vaste zone d’être contaminée. Avons-nous ici un précédent ? Avec l’organisation de quelques accidents de train, des millions de personnes pourraient être chassées des zones rurales et forcées à s’installer dans les villes intelligentes.

J’ai conscience que mes propos sont anxiogènes.

On n’est pas chez les bisounours. Le mal absolu de ce programme est indescriptible. Mais ce qui est encore pire, c’est la réticence persistante du public à reconnaître quelque chose qui menace leur existence même ET CELLE DE LEURS ENFANTS ET PETITS ENFANTS.

Ils insistent pour garder les yeux fermés, ne s’occupant que d’un divertissement superficiel. Si nous restons dans cet état flagrant de folie, nous tomberons dans le cauchemar le plus horrible que ce monde n’ait jamais connu.

S’il n’y a jamais eu un moment dans l’histoire du monde pour nous ouvrir les yeux, c’est bien maintenant.

Nous n’avons plus le luxe de nous cacher la tête dans le sable. Ce n’est pas une théorie du complot, car elle est déployée dans le monde entier à une vitesse HYPERSONIQUE.

Sous le couvert de la pandémie, des millions de tours 5G ont été érigées dans tous les pays du monde. Des lumières LED sont installées partout. Tous les vaccins sont désormais sur le point de devenir des ARNm, qui modifient en effet l’ADN et l’ARN humains.

Or, les partisans de toute cette merde n’ont aucune idée des autres mutations ou des risques qui peuvent exister à long terme.

L’agenda des élites est d’assurer des injections régulières avec la technologie de l’ARNm pour l’ensemble de la population mondiale pour le reste de nos vies. C’est pourquoi les statuts des vaccins seront connectés à nos monnaies numériques et à notre identification numérique.

Manquer une injection pourrait bloquer l’accès à la société et aux services bancaires.

Patrick Albert Moore, ex-président de Greenpeace a dit ceci : « Quand le changement climatique est apparu pour la première fois comme un problème, j'ai réalisé que nous étions dupés et qu'il s'agissait d'argent… cet argent est fait pour créer des récits qui effraieront les gens… » La servitude volontaire par la peur.

La responsabilisation est la figure moderne de la honte. L’idée du marketing de la honte est de mettre en exergue un prétendu « problème ».

Il s’agit de créer des angoisses, des peurs et des hontes (et non plus un besoin) tout en lui apportant une solution. Le besoin naîtra de lui-même dans la tête du consommateur ! Les marques sont de plus en plus nombreuses à investir dans ce discours de la culpabilité. Elles incitent à se montrer responsable dans chaque acte de consommation courante.

Ainsi, toute affirmation s’appuyant sur le « consensus scientifique » doit être considérée comme digne d’une enquête si elle est utilisée pour justifier l’agenda de l’ingénieur mondialiste.

Si un opposant, tel qu’un « négateur du climat », est démoli par les médias ou par son entourage professionnel, nous devrions examiner de plus près ses modèles d’idées et de données. Plus jeune, j’ai moi aussi cru à l’élévation du niveau de la mer, à l’effondrement des icebergs et à la sixième extinction.

La recherche de la vérité est un facteur déterminant pour l’avenir de notre espèce.

Rien n’est plus important que de préserver notre santé et notre énergie. Pour cela, nous devons à nouveau nous intégrer à la nature, manger de manière saine, naturelle et équilibrée, et nous occuper de choses qui nous passionnent.

Que pouvons-nous faire ? D’abord et avant tout, nous devons éduquer les gens de nos communautés. La seule raison pour laquelle les tyrans sont capables de réussir cela est l’ignorance des masses.

Les gens n’ont pas la moindre idée de ce qui se profile au-dessus de leur tête. Ils acceptent sans poser de questions tout ce qui les dirige vers ce cauchemar dystopique. Il est de notre devoir de les informer par tous les moyens possibles.

Merci de partager largement mon travail informatif. Envoyez-le à vos contacts par e-mail, publiez-le sur les réseaux sociaux et à vos communautés.

Nous sommes les 99%, les tyrans ne sont que les 1%. Mais le problème est que la plupart d’entre nous ne font rien. La majorité refuse même de voir ce qui est juste devant leur nez.

Ils ont les aiguilles dans leurs bras, les téléphones intelligents dans leurs mains, les lumières LED dans leurs rues, les compteurs intelligents dans leurs maisons, la technologie intelligente dans leurs voitures… et ils disent toujours « tout cela n’est qu’une théorie du complot ».

La folie de ce refus de voir la réalité n’est rien de moins qu’une véritable psychose.

Nous devons ouvrir les yeux. Pas demain, mais AUJOURD’HUI. Ce n’est pas le moment de s’asseoir. Nous devons nous lever et agir. FAITES-LE pour nos enfants.

PS : Quant à celles et ceux qui désirent creuser bien davantage ces sujet cruciaux (car en ces temps apocalyptiques, un homme averti en vaut dix), mon dernier livre vient de sortir : DAVOS ET SON ECHEVEAU. Des origines du mal au crime mondial. « Vous n’aurez plus rien mais vous serez heureux ! » Il est disponible sur ce lien : https://www.thebookedition.com/fr/davos-et-son-echeveau-p-399771.html

Olivier

Fin 

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Bienvenu dans goulag mondialiste (Partie 8)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mon dialiste-partie-1.html

Appuyé sur le « Grand Narratif », le Great Reset est un coup d’État mondial qui a, derrière les prétextes Covid et Climat, deux raisons officieuses : le maquillage de l’effondrement des dettes souveraines par une reprise en main autoritaire de l’économie et l’imposition d’une dystopie totalitaire ; l’accomplissement d’un des fondamentaux du messianisme écologique par un « contrôle » social et démographique au travers de la gouvernance de cette dystopie.

La présence de Davos dans l’écologie remonte à la Conférence de Stockholm de 1972. L’influent Maurice Strong permit à Klaus Schwab et à son Forum de soutenir les activités et sommets environnementaux successifs : PNUE, Commission Brundtland (développement durable), Sommet de Rio, Sommet de Rio+20…

Quant à Schwab, il fut avec Strong l’un des cofondateurs de l’Earth Council, organisation active en faveur des principes de la Charte de la Terre, une déclaration mondialisante de principes écologistes, et de son application pratique, l’Agenda 21.

D’ailleurs, le lendemain du décès de Maurice Strong en novembre 2015, Klaus Schwab écrivait : Dans tout ce qu’il faisait, il avait profondément compris la mission du World Economic Forum qui consiste à améliorer l’état du monde. C’était un grand visionnaire, dont la pensée était toujours en avance sur notre temps. Il fut mon mentor depuis la création du Forum : un grand ami ; un conseiller indispensable ; et, depuis de nombreuses années, un membre du bureau de notre Fondation. Sans lui, le Forum n’aurait pas obtenu le rôle qu’il tient aujourd’hui.

Pendant près d’un demi-siècle, Maurice Strong fut une figure centrale de l’écologie et de ses évolutions successives.

Membre du Club de Rome dès les années 1970, secrétaire-général de la déterminante Conférence de Stockholm où fut présenté le rapport Meadows de ce même club, premier directeur du Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE), membre de la Commission Brundtland, figure ou organisateur des sommets environnementaux décennaux…

Sa biographie complète semble impossible à dresser tant Strong a multiplié les responsabilités et activités économiques, institutionnelles et sociétales, ainsi que les honneurs, du milieu des années 1950 jusqu’à sa mort.

En 2002, il fut notamment récompensé de son rôle auprès des Nations unies, au sein de laquelle il a travaillé durant plusieurs décennies, pour son rôle-clé dans la promotion et la progression du développement durable.

Mais Strong entendait l’écologie, dont Davos est l’héritière, avant tout comme un messianisme.

À propos de la Charte de la Terre il disait : Mais, soyons très clairs, l’action de l’ONU ne sera pas le seul objectif. Le véritable objectif de la Charte de la Terre est qu’elle devienne en fait comme les Dix Commandements, comme la Déclaration universelle des droits de l’homme.

Cette Charte a été déposée dans une Arche de l’Espoir, une initiative d’essence New Age.

Strong a, en effet, été un chef d’orchestre de ce courant, épisode sur lequel il se montre discret. Propriétaire d’une vaste propriété à Crestone dans le Colorado, il a fondé avec sa veuve Hanne la Fondation Manitou, soutenu par son ami Laurance Rockefeller et qui regroupe plus de vingt centres New Age.

Combinées, les activités de Maurice Strong ont ainsi modelé et appuyé un agenda dont le Great Reset constitue l’aboutissement d’un malthusianisme à peine voilé. Et les experts ont prédit que la réduction de la population humaine pourrait bien continuer au point que ceux qui survivent ne pourraient pas se compter à plus du 1,61 milliard de personnes qui peuplaient la Terre au début du 20e siècle.

Regardez donc l’image ci-dessous, et écoutez donc Ted Turner interviewé en 2008:

https://twitter.com/i/status/1687348439468716032

Une conséquence, oui, de la mort et de la destruction, mais en fin de compte « une lueur d’espoir » pour l’avenir de notre espèce et son potentiel de régénération.

Comprenez-le, ces sales individus se servent de l’écologie pour arriver à leurs fins. Et il n’y a pas plus de réchauffement que de ministres honnêtes avec Macron. À tel point que l’ex-président de Greenpeace a cru bon de déclarer : « Le changement climatique, c’est pour effrayer les gens afin de les contrôler et faire de l’argent »

À la fin du mois de juin, « des groupes de réflexion » du monde entier se sont réunis à Paris lors d’un sommet intitulé « Nouveau Pacte de Financement Mondial ».

ONU, FMI, Banque mondiale, rien que du beau monde. Objectif hypocrite : trouver des solutions financières pour lutter contre la pauvreté tout en réduisant les émissions de gaz à effet de serre, responsables du réchauffement climatique. Devinez ce qui en est sorti ?

La nécessité de la centralisation du pouvoir à l’échelle internationale et la création d’un consortium mondial afin de résoudre des problèmes qui, selon eux, dépassent les capacités ou la volonté des nations souveraines.

Les banxters sont plus préoccupés par la taxation du carbone et le réchauffement climatique que par la stagflation (forte inflation et croissance faible, voire nulle) et l’effondrement économique.

Pourquoi ? parce que ce sont eux qui créent ces stagflations, et que l’objectif initial est que l’effondrement économique fasse partie intégrante du plan. Les mondialistes combinent la question du changement climatique avec la finance internationale et l’autorité monétaire.

L’agenda du changement climatique fait intégralement partie de l’agenda de la « Grande réinitialisation ».

Macron a déclaré aux représentants des gouvernements et des groupes de réflexion du monde entier au sommet de Paris que « le monde a besoin d’un choc des finances publiques » pour lutter contre le réchauffement climatique tout en créant « l’équité » pour les pays les moins riches. Il a également fait valoir que le système actuel n’était pas bien adapté pour relever les défis mondiaux.

Le chef de l’ONU, Antonio Guterres, a déclaré que le système financier mondial, qui a été conçu à la fin de la Seconde Guerre mondiale dans le cadre de l’accord de Bretton Woods, ne parvenait pas à relever les défis modernes et qu’il contribue même à « perpétuer et à aggraver les inégalités ».

En d’autres termes, comme je l’explique en détail dans mes deux derniers livres, il soutient la nécessité d’une refonte du système financier mondial similaire à celle qui a été entreprise avec l’accord de Bretton Woods.

Guterres a également proposé un plan de relance de 500 milliards de dollars par an pour les investissements dans le développement durable et les actions en faveur du climat.

Mais il y a mieux, alors que les mesures de relance fiduciaires des banques centrales et les politiques de taux d’intérêt des banquiers mondiaux sont à l’origine de la crise économique actuelle, un plan a été présenté pour utiliser le panier des droits de tirage spéciaux du FMI comme mécanisme visant à accroître la liquidité mondiale.

Ce n’est pas couillonavirus, ni la guerre en Ukraine et certainement pas le changement climatique qui ont créés le marasme monétaire actuel. 

Ce sont les banques et leur utilisation de la manipulation monétaire qui ont déclenché une inflation élevée pendant 40 ans, ce qui a conduit les banques centrales à relever les taux d’intérêt jusqu’à la faiblesse économique.

Cette stratégie a constamment provoqué l’implosion de la dette et des catastrophes boursières dans le passé. Les banquiers et les mondialistes sont la source du problème, ils ne devraient pas être chargés de le régler.

Pourtant, les voici, pour prendre le contrôle et mettre en place un plan de réinitialisation à grande échelle en réponse à la crise qu’ils ont eux-mêmes créée. Mais où cela nous mène-t-il ?

Vers un fonds pour le développement du changement climatique, prescrit par l’ONU. Cette richesse serait redistribuée aux pays les plus pauvres. Par qui ? Eh bien, les mondialistes, bien sûr.

Ils prévoient de taxer le pétrole et le gaz jusqu’à ce que les prix deviennent si élevés que le grand public ne pourra plus se les payer.

Leur but : gonfler les prix par différentes formes de taxation et forcer le public à consommer moins.  Arrivé ici, vous avez compris, du moins je l’espère, que le changement climatique n’est rien de plus qu’un moyen de mettre en place un système économique mondial entièrement centralisé, probablement sous le contrôle du FMI, de la BRI, de la Banque mondiale et de l’ONU.

Un système où les assassins sont aussi les juges arbitres de la manière dont cette richesse est redistribuée, avec récompenses et punitions. Ils peuvent punir les pays qui ne suivent pas leurs diktats et ils peuvent donner des avantages aux pays qui suivent la ligne.

Ce nouveau Bretton Woods aboutira à une crise monétaire que les globalistes utiliseront comme une opportunité pour enfin introduire leur modèle CBDC (Central Bank Digital Currency – monnaie numérique). Un système sans numéraire sans confidentialité dans les transactions et la possibilité de bloquer à volonté le pouvoir d’achat des individus et des groupes.

Mais pour en arriver là, style tonton Schwab, c’est le modèle de la terre brûlée qui est utilisé. L’intention ultime est de détruire l’économie au point que la plupart des industries meurent, que le commerce se rétracte et que la population s’effondre parce que la survie devient intenable.

C’est comme ça que les mondialistes pourront « sauver la planète » en se débarrassant des gens.

Ce « choc financier » revient à chercher à asphyxier dramatiquement le système de sorte qu’il ne puisse plus subvenir aux besoins de la population actuelle. Lorsqu’ils prônent une taxation mondiale et un tribut au nom de l’égalité, ils ne garantissent pas la prospérité équitable pour tous, mais plutôt d’assurer que tout le monde soit également dans la pauvreté.

Et quand ils appellent à une surveillance centralisée des nations pour sauver la planète, ce qu’ils veulent vraiment, c’est une gouvernance mondiale.

Ils veulent contrôler nos moindres gestes tout en nous cantonnant à souhait dans des prisons à ciel ouvert dans des villes prisons tout à fait inhumaines.

Une Smart City est un environnement urbain avec des technologies de surveillance et de collecte de données omniprésentes qui surveilleront et enregistreront même les détails personnels les plus intimes de chacun.

Le but est de tout savoir sur tout le monde.

Vos habitudes alimentaires, où vous allez, ce que vous achetez, qui vous rencontrez, ce que vous pensez, comment vous vous sentez, vos opinions, vos habitudes, votre état de santé et de vaccination, etc. Mais retenez-le encore : c’est pour sauver la planète.

Pour tous nous sauver du changement climatique.

Ils garantissent également que cela rendra votre vie plus connectée, plus sûre et plus saine, à travers une grille de surveillance omniprésente, collectant en permanence toutes les informations sur chaque petit détail de la vie des gens.

Le tout étant parfaitement synchronisé avec des appareils et de la nanotechnologie directement connectés au corps humain, et capables de recueillir des informations sur ce qui s’y passe.

Ils ont même la capacité d’en modifier les fonctions. Des articles disent que dans un futur proche, ils seront implantés à l’intérieur du corps humain pour collecter encore plus de données.

Mais, en fait, « grâce » aux vaccins à ARNm, pour beaucoup, ils le sont déjà. Les informations personnelles recueillies par ces milliards d’appareils dans le monde forment un réseau appelé l’Internet des corps.

Actuellement, nous connaissons tous l’Internet des objets (IoT), qui nous permet d’accéder à des informations illimitées sur tout. L’Internet des corps sera essentiellement le même, sauf qu’il rassemblera toutes les informations personnelles les plus intimes sur chaque corps.

Ces données seront entre les mains d’entreprises mondiales, de gouvernements, d’empires bancaires, etc.

Afin de s’assurer que chacun reste dans le périmètre de collecte des données, les déplacements dans les Smart Cities seront limités à 15 ou 20 minutes de chez soi maximum.

C’est d’ailleurs ce concept qui est à l’origine de l’expression « 15 Minute Cities » promu comme la meilleure idée jamais conçue pour sauver la planète du changement climatique.

Une preuve ? Le Forum Économique Mondial veut diminuer le nombre de véhicules de tourisme de 75% d’ici à 2050.

Tout ce dont vous avez besoin sera mis à disposition sur une courte distance, de sorte que personne n’ait jamais besoin d’aller au-delà de ce périmètre. Pour des distances plus longues, un permis sera nécessaire.

En plus de cela, 30 % de toutes les zones sauvages seront fermées pour encourager les gens à chercher « leur bonheur » à l’intérieur des villes intelligentes au lieu de s’aventurer dans la nature extérieure source de vie et de santé.

Style Soleil Vert, des réalités virtuelles seront créées comme une alternative au temps passé dans la nature.

Les exemples sont le MetaVerse et toutes ses alternatives.

Olivier

Suite et fin ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/08/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-9-et-fin.html

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Bienvenu dans goulag mondialiste (Partie 7)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/07/bienvenu-dans-goulag-mon dialiste-partie-1.html

Quant au club de Rome, vingt ans plus tard, il publiera un livre intitulé « La première révolution mondiale ». Ils y discutent spécifiquement de l’utilisation du réchauffement climatique comme moyen de mettre en place une gouvernance supranationale.

Je vous l’ai déjà retranscrit, mais je n’y résiste pas : « En cherchant un ennemi commun contre lequel nous pourrions nous unir, nous avons eu l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries d’eau, la famine et d’autres problèmes similaires feraient l’affaire. Dans leur globalité et leurs interactions, ces phénomènes constituent en effet une menace commune à laquelle il faut faire face tous ensemble. Mais en désignant ces dangers comme l’ennemi, nous tombons dans le piège contre lequel nous avons déjà mis en garde nos lecteurs, à savoir confondre les symptômes avec les causes. Tous ces dangers sont dus à l’intervention de l’homme dans les processus naturels, et ce n’est que par un changement d’attitude et de comportement qu’ils peuvent être surmontés. Le véritable ennemi est donc l’humanité elle-même. »

Nous en arrivons ici au nœud du problème.

Un nœud gordien. En faisant de l’humanité la grande menace, les globalistes entendent fédérer le public autour de l’idée qu’il faut se maîtriser.

En d’autres termes, le public devrait sacrifier ses libertés et se soumettre au contrôle, convaincu que l’espèce humaine est trop dangereuse pour qu’on lui accorde la liberté.

Les globalistes veulent avant tout obtenir deux résultats spécifiques : la fin de la souveraineté nationale et la fin de la propriété privée par le biais d’un minimalisme encouragé par la société.

Ce sont exactement les mêmes objectifs que ceux définis par le Club de Rome dans les années 1970 qui guident aujourd’hui les politiques de l’ONU et du Forum économique mondial.

Le concept d’« économie de partage » que Klaus Schwab et le WEF promeuvent souvent avec fierté n’a pas été imaginé par eux, mais par le Club de Rome, il y a 50 ans.

En une énorme prophétie autoréalisatrice, les mêmes qui ont créés le problème de toute pièce, il y a cinquante ans, arrivent en sauveur de l’humanité, mais au prix de sa liberté. Et c’est encore et toujours Mammon (l’argent) QUI SE CACHE EN COULISSES.

Et question « fin de la propriété privée » laissez-moi vous en conter une bien bonne. Guillaume Vuilletet, vice-président du groupe LREM à l’Assemblée nationale, a déposé le 10 mai 2023 une proposition de loi visant à instaurer un contrôle technique des logements.

Le texte propose de contrôler « la décence » de votre logement au travers de plusieurs critères : la surface minimale, la sécurité et la santé du locataire, l’absence d’animaux nuisibles, les équipements et la performance énergétique.

Cette performance énergétique suppose une consommation de moins de 450 kWh par mètre carré selon une classification allant de A à G. 

Dans l’hypothèse où le contrôle technique demeure infructueux, l’État obligerait le propriétaire à céder temporairement son bien à un bailleur social le temps d’effectuer des travaux de rénovation financés par les loyers qu’il aurait dû percevoir.

Cette nouvelle menace globale ne réside donc pas dans le « dérèglement » du climat mais dans les mesures environnementales elles-mêmes qui «climatisent » les classes moyennes en s’attaquant maintenant à leur petite propriété sous le règne du grand alibi du climat.

Bien entendu, sans grande surprise, les passoires thermiques sont là où les revenus sont les moins élevés. Encore un moyen de faire chier le gueux.

Leur agenda climatique n’a rien à voir avec l’environnementalisme et tout à voir avec l’économie. Comme je le précise en début d’article, ce plan machiavélique a été lancé au milieu d’une crise stagflationniste bien réelle, à un moment où la classe moyenne avait le plus peur de l’avenir et où les prix augmentaient rapidement.

Cette crise n’était pas due à la rareté des ressources, mais à la mauvaise gestion du système financier. N’oubliez jamais qu’il fut un temps où l’on coupait la tête à quiconque s’attaquait à l’intégrité monétaire, source de civilisation.

Or, c’est ce que font en permanence les institutions financières, depuis l’avènement de la FED. Ce n’est pas une coïncidence si le point culminant du programme de lutte contre le réchauffement climatique a lieu aujourd’hui, au moment même où une nouvelle stagflation s’annonce. La plus grande que l’humanité n’est jamais connue.

En cette  dernière période « bronze cul », leur stratégie d’alarmisme climatique est plus que jamais actuellement utilisée pour justifier la suppression croissante de l’énergie et de l’agriculture par les gouvernements.

Il est grand temps de s’éveiller ou vos enfants vivront dans une pauvreté artificiellement créée. 

Ils apprendront dès leur plus tendre enfance que les globalistes ont « sauvé le monde » d’une calamité qui n’a jamais existé. Tout comme les Américains nous ont « sauvé » du fascisme en 1945 et Pfizer du covid -19, depuis 2020.

On leur dira que l’asservissement de l’humanité est une chose dont il faut être fier, un cadeau qui maintient l’espèce en vie, et que quiconque remet en question cet esclavage est un méchant égoïste qui veut la destruction de la planète.

Et les chaines de notre esclavage seront constituées de 1 et de 0 électroniques qui formeront une monnaie numérique.

La monnaie numérique mondiale qu’ils créent entraînera l’élimination de l’argent liquide, étant la seule acceptée dans le nouvel ordre économique mondial. 

Elle sera le mécanisme par lequel ils contrôleront les finances de chaque personne sur terre et en contrôlant nos finances, ils nous contrôleront. Ce sont les fameuses « Central Bank Digital Currency » ou « CBDC » auxquelles j’ai déjà consacré de nombreux articles.

Lorsque ce système monétaire sans numéraire de la CBDC sera mis en place, votre « argent » ne sera plus possédé ou contrôlé par vous. Il l’était déjà difficilement mais là, il n’existera que dans les ordinateurs des banques et du gouvernement.

L’oligarchie aura le contrôle sur votre compte. Les banques et le gouvernement décideront si et comment vous pouvez utiliser votre « argent ».

En effet, tous les transferts de « money » (CBDC) seront soumis à l’approbation de celui qui contrôle le système monétaire sans numéraire. Chaque décision que vous prendrez devra être conforme aux politiques gouvernementales si elle doit être approuvée.

L’élite qui contrôle aura le pouvoir de décider ce que vous pouvez acheter ou vendre et même si vous serez autorisé à acheter ou à vendre quoi que ce soit. Vos choix de vie doivent céder aux caprices « écologiques » de ceux qui exerceront sur vous ce formidable pouvoir.

Faute de quoi, vous serez bannis du nouveau système économique. Tomber en disgrâce auprès de ces satanistes qui contrôlent le système signifiera que vous ne pourrez pas être payé par votre employeur ou qui que ce soit d’autre car votre dépôt direct sera désactivé.

Toute richesse que vous avez accumulée en monnaie numérique sera stockée hors de votre portée derrière un mur impénétrable vous empêchant d’accéder à ce qui vous revient de droit.

Si vous êtes dans cette situation, vous ne pourrez pas acheter de nourriture, payer un loyer ou payer une maison. Vous n’aurez pas la possibilité d’utiliser de l’argent comptant pour effectuer les achats nécessaires, car l’argent comptant ne sera plus accepté.

« Vous n’aurez plus rien mais serez heureux. »

Cependant, les CBDC ne sont qu’une partie de ce système de contrôle numérique qui sera utilisé pour vous asservir. À partir du 1er juillet 2023, aux USA, un autre élément essentiel du système économique sans numéraire commence à fonctionner. Cette partie de leur système surveillera tous vos achats et ventes en temps réel. Cette partie du système économique sans numéraire s’appelle FedNow.

Le programme FedNow fait participer la Réserve fédérale (FED) au processus d’approbation chaque fois que vous utilisez un mode de paiement sans numéraire tel qu’une carte de débit, une carte de crédit ou un chèque.

Jusqu’à présent, les achats et les transferts d’argent étaient traités par les banques des personnes impliquées dans la transaction. Ceux qui effectuaient la transaction n’avaient besoin que de l’approbation de leurs banques respectives.

Désormais, aux Etats-Unis, c'est terminé. Le programme FedNow est  en ligne depuis le 1er juillet 2023, la Réserve fédérale fait désormais partie du processus d’approbation.

Aux USA, les données qui sont échangées par les banques lors du processus d’approbation passent désormais par le système FedNow de la Réserve fédérale. La Réserve fédérale sait alors chaque fois qu'un Américain utilise sa carte de débit, sa carte de crédit, chaque fois qu'il rédige un chèque ou effectue un transfert d’argent de quelque nature que ce soit.

La Réserve fédérale sait quand il est payé, combien, quand il effectue un achat ou une vente, où il achète, combien il dépense et potentiellement, ce qu'il achète. Chaque partie de sa vie financière est ouverte à la Réserve fédérale. Il est soumis à une fouille à nu complète et continue chaque fois qu'il effectue un achat ou une vente.

Tout ce qui se fait chez l’oncle Sam arrive très vite chez nous, pantins de l’OTAN.

Ainsi, prochainement, non seulement votre situation financière devra être approuvée pour acheter ou vendre, mais vos convictions politiques, vos croyances religieuses et votre style de vie seront également examinés dans le cadre du processus d’approbation.

Bref, les CBDC ne constituent que le point de convergence de toute ces idées saugrenues évoquées plus haut.

Elles ont un parrain. Il s’appelle Maurice Strong. A l’énoncé de ce nom, tonton Schwab versera certainement une petite larme tant il vénérait l’individu, et surtout ses idées.

Quelques mois avant la pandémie, Antonio Guterres et Klaus Schwab avaient convenu d’accélérer l’Agenda 2030, parachevant notamment les liens entre l’ONU et Davos, dont le Canadien Maurice Strong, père spirituel de Schwab ou de Achim Steiner, était déjà l’artisan.

L’Agenda 2030 des Nations unies supplante l’Agenda 21 et se compose de 17 Objectifs dits de Développement Durable (ODD).

Au-delà de tout leur tralala, ce « projet écologique » se fond dans le Great Reset de Schwab et de son Forum de Davos. En quelques mots, cet avenir où « vous ne posséderez rien et vous serez heureux » consiste en une réduction drastique du niveau de vie des populations et une mainmise institutionnelle sur l’ensemble de ses conditions d’existence.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2023/08/bienvenu-dans-goulag-mondialiste-partie-8.html

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