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IL ETAIT UN FOIS TONTON SCHWAB ET SES HORDES DE PSYCHOPATHES (Partie 3).

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour à la première partie : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/02/il-etait-un-fois-tonton-schwab-et-ses-hordes-de-psychopathes-partie-1.html

Le WEF entend désormais réunir l’élite autour des « nouveaux défis économiques, politiques et sociaux » imposés par les bouleversements de la fin du 20e siècle (chute de l’URSS, globalisation et essor des technologies numériques). L’essor de Davos va dès lors être fulgurant.

Le sommet réunit les dirigeants occidentaux, leurs homologues des pays émergents ou ceux des anciennes républiques communistes ou bananières. Le triomphe de Davos est tel que son nom est repris pour qualifier toutes les rencontres du même genre à travers le monde.

Tonton Klaus invite personnellement les dirigeants pour venir s’adresser aux patrons des entreprises mondiales les plus importantes, dans le cadre de rencontres informelles organisées en marge du sommet.

Le WEF est désormais bien plus qu’une rencontre annuelle réunissant dirigeants politiques et hommes d’affaires pour discuter business. Il devient la tribune pour des idées bien définies à travers lesquelles Schwab et son organisation contribuent à façonner l'agenda mondial.

Le WEF évoque ouvertement la « construction de sociétés saines et équitables », l’alimentation et la nature, la transformation industrielle ou encore la « quatrième révolution industrielle » (auquel Schwab a consacré un de ses livres, qui a fait polémique) et relaie les théories des milliardaires, comme Bill Gates ou George Soros.

Comment peut-on « façonner » le monde ? Les conférences thématiques lors des quelques jours du sommet annuel suffisent-elles à « secouer » des dirigeants politiques pour les convaincre d’autoriser des viandes artificielles ou des aliments à base d’insectes ? Oui, non, peut-être. En revanche, enrôler de jeunes leaders susceptibles d’être les dirigeants politiques ou économiques de demain, ça, oui. Telle est la mission des Global Leaders for Tomorrow, rebaptisés Young Global Leaders (YGL) en 2004.

Pour Schwab, « des leaders dynamiques et inspirants de moins de 40 ans sont nécessaires pour répondre aux défis interdépendants auxquels le monde est confronté.  Sa secte chargée de répandre la bonne parole davosienne à grands coups de réformes drastiques et dont, par exemple, nos agriculteurs pâtissent, compte dans ses rangs moult représentants de nos gouvernements corrompus. Schwab s’en vente même : ses Young Global Leaders infiltrent les gouvernements à travers le monde.

Qui en a déjà fait partie et quelles en sont les figures actuelles ?  Angela Merkel, Vladimir Poutine, Nicolas Sarkozy, Emmanuel Macron, Gabriel Attal, Jacinda Arden ou encore Justin Trudeau. Tous insufflent la « bonne parole » de part le monde et en prime financent le WEF.

Les gouvernements infiltrés par les YGL sont « la plus grande fierté » de Schwab.  D’autres noms du monde des affaires et des arts ont fait « leurs classes » à Davos comme Elon Musk, Jack Ma, Mark Zuckerberg, Leonardo Di Caprio ou encore Charlize Theron. Que penser, dès lors, de leurs discours et de leurs actes ?

Face aux défis auxquels le monde est censé être confronté comme les pandémies et le réchauffement climatique, les recommandations du WEF, de son fondateur et de son panel d’intervenants « humanistes » qui souhaitent « réinitialiser » le monde et changer les comportements, ne sont jamais banales, et flirtent avec le totalitarisme, entre celles qui suggèrent de réduire le nombre de vols long-courriers qu’une personne aurait le droit d'emprunter dans sa vie ou d’autres qui prônent des villes où les habitants ne possèderaient rien mais seraient heureux… Nombreux sont ceux qui voient là des atteintes à la liberté individuelle et à la vie privée.

Ces recommandations viennent justement de Klaus Schwab et ses proches. Dans son livre The Great Reset (La grande réinitialisation), Schwab reprend le programme de son organisation Global Redesign Initiative, publié après la crise économique de 2008 et portant sur la transformation de la gouvernance mondiale. Tout commence avec le concept de « capitalisme des parties prenantes », proposé et martelé depuis des décennies par Schwab.

« Dans sa forme actuelle, le capitalisme ne convient pas au monde qui nous entoure », dit-il, lui qui fut avec le WEF un relais des États-Unis et de l’ultralibéralisme. En quoi consiste son « capitalisme » ? « Il s’agit d’un modèle que j’ai proposé pour la première fois il y a un demi-siècle, positionnant les entreprises privées comme les dépositaires de la société et il constitue clairement la meilleure réponse aux défis sociaux et environnementaux d’aujourd’hui », écrit-il.

Bien entendu, comprenez-le bien, tout ceci, ces belles paroles, s’effectue au détriment de nos libertés individuelles. « La voix du gouvernement serait une voix parmi d’autres, sans toujours être l’arbitre final », dit-il. Mais qui seraient les autres acteurs de son modèle ? Les tensions que subit l’économie mondiale, les conséquences du Covid, la révolution technologique doivent, estime-t-il dans son livre, mener à réorganiser nos sociétés, de l’éducation aux conditions de travail, en passant par l’alimentation et la santé.  Bref, tout ceci constitue une menace pour la liberté des individus

Si le Great Reset est considéré par certains comme un concept visionnaire, pour d‘autres, tonton sucre les fraises et n’est plus guère capable de mener à bien son projet. « Schwab est une sorte de génie. Il a une imagination débordante, mais il n'a pas forcément de suite dans les idées » : ainsi le décrit un ancien collaborateur. D’autres saluent l’esprit « visionnaire », « brillantissime » de l’homme, « froid et cassant », « terriblement antipathique » et « doté d’un ego surdimensionné ». 

Au fond, Schwab est la figure de proue du vaisseau pirate mondialiste qu'il organise à sa guise, ou, plus simplement, le porte-parole de fous qui veulent vassaliser le monde.

Pour son chouchou, Yuval Noah Harari, conseiller du Forum économique mondial, il est « très vraisemblable que Donald Trump remporte les prochaines élections ». Selon lui, l’éventuelle arrivée de Trump à la Maison-Blanche, pour un second mandat, « portera le coup mortel porté à ce qui reste de l'ordre mondial » confronté à une « fausse dichotomie entre nationalisme et gouvernance mondiale ».  

Tout ce p’tit monde se trouvant en perte de vitesse, rattrapé par les scandales dont le covid-19 constitue l’épicentre, il convient donc d’étouffer la parole des gueux dans l’œuf des réseaux sociaux afin de laisser place à la prochaine PEUR qui, l’espèrent-ils, sera beaucoup plus dévastatrice que ne fut « le coup d’essai couillonaviral ».

Au Forum de Davos, je le répète, tonton Klaus Schwab a déclaré : « Vous n'avez même plus besoin d'élections, car nous pouvons prédire et nous savons déjà quels seront les résultats. » Il n'a pas tort, cette phrase semble scandaleuse, mais c'est exactement ce qui se passe et en plus tous « ces p’tits dieux » peuvent se permettre de prédire l’avenir, puisque ce sont eux qui l’orchestrent.

Ainsi, Davos a organisé une table ronde intitulée « Se préparer à la maladie X », avec pour intervenant majeur le directeur de l'OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui a déclaré que « la question est de savoir quand, et non si » une nouvelle maladie inconnue va bientôt apparaître.

Après l’Event 201 et couillonavirus qui a suivi, voici encore et toujours la stratégie de la peur qui entre en action. « La maladie X est un espace réservé à des maladies inconnues », a expliqué Tedros, le terroriste financé par Bill Gates.  « Même si le covid est arrivé immédiatement, nous nous préparions à des maladies similaires. Vous pouvez même appeler covid la première ‘maladie X’. Nous ne devrions pas affronter les choses sans préparation ; nous pouvons également nous préparer à des choses inconnues », a-t-il renchéri.

Rien de neuf par rapport aux annonces régulières de l'OMS et de Bill Gates destinées à justifier des mesures insensées, à transférer des pouvoirs supplémentaires à l'OMS et à renforcer les investissements dans les industries pharmaceutiques. La description du contenu de cette table ronde sur le site Internet du WEF prédit que la « maladie X » pourrait entraîner « 20 fois plus de décès que la pandémie de coronavirus ». Jouer aux devins est ainsi l'occupation préférée de ces gens-là.

Mais, fric de Mammon aidant, ce qu’il convient de retenir de ces annonces alambiquées ; c’est que des vaccins existent déjà pour une maladie encore inconnue. Selon un reportage de Sky News d'août 2023, des scientifiques britanniques développent déjà des vaccins contre une éventuelle future pandémie causée par une «maladie X » inconnue dans un laboratoire gouvernemental secret. Si la mystérieuse « maladie X » éclate, le plan est de développer un vaccin dans les 100 jours, selon le chef de l'Agence britannique de sécurité sanitaire.

Concernant ce « X », j’ai des informations à ajouter. Le 17 janvier dernier, j’ai édité cet article :  https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/un-clin-d-oeil.html  Il concerne l’éclipse totale de soleil qui doit avoir lieue le 8 avril 2024. La NASA prévoit une éclipse solaire massive à cette date (le premier jour de la nouvelle année dans le calendrier juif) qui formera un X au-dessus de la faille de New Madrid, ce qui créera probablement « une série de tremblements de terre absolument énormes ».

Dans le cadre de leur option Ordo Ab Chaos, amplement décrite dans ma série Sion (la Vérité) https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/01/sion-la-verite-partie-1.html en profiteront-ils pour intensifier le phénomène avec une arme sismique ? C'est d'ailleurs ce qui s'est passé à Hawaï, quelques mois après avoir été frappé par des armes météorologiques (armes à énergie dirigée).

Les hommes de manière générale sont aveugles, voire même aveuglés au-delà du compréhensible ! Les armes à énergie dirigée existent donc depuis des siècles, n'en déplaise aux sceptiques qui parce qu'ils doutent de tout ne se doutent de rien ! https://youtu.be/g_LYnbYuRlE  

On se souvient de la ville de « Paradise » où le feu dévorait les habitations en dur tout en épargnant le bois des arbres environnants ! Comment comprendre la ville de Maui dévastée par le feu à Hawaii. Pas d'alarmes préventives, pas de sirènes, l'eau coupée, le réseau électrique neutralisé… Les victimes n'avaient que la mer pour tout refuge. Beaucoup y ont perdu la vie dans des conditions atroces… Des centaines d'enfants ont disparu… Les morts ne témoignent pas ! Ils avaient eu le tort de refuser de vendre leurs maisons à l'élite qui désirait faire de Maui un lieu de résidence paradisiaque

Les projets de « smart city » ou « 15 mn city » s'imposent dans le cadre du « Réchauffement climatique » ! À certains endroits, les températures enregistrées avoisinaient les 2500° à 2700°. Les véhicules ont fondu alors que le macadam demeurait intact… Les pneumatiques se sont évaporés ! Et que dire des chanceux dont las maisons ont été « épargnées » ? Toujours les mêmes !

Nous pouvons nous attendre au pire, surtout dans le cadre d’une année de réélection aux USA, avec Trump comme trouble-fête du Deep State. Tout sera bon pour l’état profond afin de détourner l’attention du public (ET, pandémie, pénuries, rupture des communications), concernant la monstruosité du Covid-19 ainsi que tout le reste.

Olivier

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2024/02/il-etait-un-fois-tonton-schwab-et-ses-hordes-de-psychopathes-partie-4-et-fin.html

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