Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

societal

Soixante années d’histoire pour en arriver à ça ? Non merci les mondialistes ! (Partie 9)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Ces fous rêvent de contrôle des populations. L'installation de «QR codes » sera bientôt obligatoire dans les lieux accueillant du public. Vous êtes sceptique ? Lorsque les restaurants ont rouvert lors du premier déconfinement, les clients ont vu fleurir les « QR codes » pour accéder à la carte. Pour consulter le menu, il suffisait de scanner le « QR code » avec son smartphone.

Pensez-vous que les GAFAM vont nous oublier ? Microsoft, Salesforce et Oracle veulent lancer un passeport vaccinal digitalisé. L'objectif est de créer une sorte de passeport vaccinal numérisé international.

Si vous gloussez encore de rire, sachez qu’en Suède, Doconomy et Mastercard lancent un programme test d'une carte de crédit et paiement qui calcule les émissions CO2 que votre achat a généré.

Sur le site du Figaro, nous pouvons lire : « ‘Achat refusé : vous avez dépassé votre plafond de CO2 autorisé’. Et si votre carte de crédit pouvait se bloquer lorsque votre plafond carbone était atteint ? Nourriture, vêtements, ou encore carburant, nous devons tous faire les comptes de ce que nous dépensons. Mais si nous limitons nos achats en surveillant les prix des produits, il est peu probable que nous mesurions leur coût en tonnes de carbone produit. À titre d’exemple, acheter un pantalon importé sur le sol suédois équivaut à rejeter 20 kg de CO2, lié notamment aux émissions provenant des engrais pour élever le coton, le transformer et transporter le produit vers son lieu de vente. »

Bien entendu, j’espère que vous l’aurez compris, cette idée vient de tonton Schwab et de sa bande de crabes cancéreux de Davos. Elle est vendue aux jeunes avec l'appui des merdias du monde entier par « sainte » Greta Thunberg. Ce qu'il y a de drôle, mais surtout d’Hypocrite, c’est que tous ces beaux parleurs qui se rendaient à Davos y allaient avec leur avion privé.

Ce qui me permet de rebondir sur mon coyote « préféré ». Bill Gates nous explique qu'il faut cesser de polluer, mais lui possède 4 avions, 1 hydravion et 5 hélicoptères. Ces gens-là non pas peur du grotesque, derrière leurs milliards ils dissimulent un mariage cupide entre la connerie et l’avarice. J’en veux pour preuve qu’à Davos, en 2020, l'aéroport n'avait plus de place pour garer tous leurs jets privés ! Ils étaient obligés de redécoller et aller se poser ailleurs pour se garer et attendre que leurs fortunés propriétaires aillent palabrer au nom de « l’écologie », puis redécoller, se poser à Davos, et redécoller pour retourner à New York, Londres, etc.

J’en ai déjà parlé dans de nombreux articles mais j’y reviens. Avez-vous entendu parler des fameuses COP, ou des accords de Paris ? C'est notamment lors de ces COP que les États signataires peuvent entériner des accords sur la réduction des émissions anthropiques de CO2, avec des objectifs communs ou différenciés. Vous pensez sans doute qu’ils sont tous là, réunis, afin de parler écologie ? Pas du tout ! Il n’y est question que de taxer l’énergie des pays pauvres de sorte que le fruit de leur travail deviennent si exorbitant qu’il n’en sera plus exportable.

D’un autre côté, les énormes transferts de capitaux ainsi réalisés serviront à favoriser le développement des pays qui seront bien vus par l’oligarchie, afin qu’ils accèdent à des quotas d’énergie moins chers. Tout ce cinéma autour d’un nouveau «développement vert » n’est qu’un nouveau système hypocrite de transferts de production, de richesse et de flux financiers.

Ne soyez pas aux normes, n’allaient pas dans le sens de cette fausse doxa écologique, ne soyez pas dépisté et piqué régulièrement par Pfizer ou Moderna. Vous sombrerez alors dans une précarité énergétique organisée. Tel est le monde qu’ils nous réservent !

Vous pensez peut-être que je me livre ici à une escalade rhétorique visant à augmenter votre peur ? Ne vous trompez pas de cible ! Ce sont nos gouvernements, et eux seuls, qui se livrent à ce genre d’ingénierie sociale. Les pseudos mutations du virus en sont le triste dernier exemple.

L’état de santé du capitalisme impérialiste occidental appelle donc à la guerre. Mais la lâcheté de ses maîtres de l’ombre les empêche de déclencher la prochaine guerre mondiale. Quelle est la solution ? Sur quel misérable proie pourrait-on s’acharner sans risquer d’y laisser des plumes ? La réponse est de déclencher une guerre contre votre propre peuple.

Pourquoi ? Parce qu’essentiellement ils sont cons, ou vus comme tels par l’oligarchie apatride. Comment ? Dites-leur que c’est à cause d’un virus BIDON MAIS MORTEL. Attaquez-les au porte-monnaie, enfermez-les et détruisez leurs vies et leurs entreprises.

Faites croire à la population que des personnes en bonne santé peuvent être malades et contagieuses. Forcez-les tous à entrer dans la nasse des GAFAM, nos partenaires du camp de concentration numérique.

Dès lors, ne soyez plus étonné que leur argument le plus fréquent soit que les restrictions liées à la pandémie sont la « nouvelle normalité ». Voilà pourquoi les contrôles que l’establishment tente de mettre en place ont été planifiés longtemps à l’avance.

Le rêve de tonton Schwab : son « grand reset » et sa « quatrième révolution industrielle » sont en cours de développement depuis au moins 2014. Souvenez-vous, c’est là que la symphonie commença à se faire entendre dans les principaux médias économiques. Regardez la couverture de The Economist 1988, les idées d’une société sans cash sont déjà là.

La sémantique se libère avec de drôles de termes comme : «surveillance biométrique des masses », « économie de partage», « scores de crédit social », etc. Mais c’est vraiment l’année 2014 qui marquera le tournant avec, le 15 janvier, le laïus de Christine Lagarde auquel j’ai consacré un article : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/10/de-7-a-seth-ou-lorsque-le-15-janvier-2014-lagarde-mettait-une-gueusaille-aveugle-en-garde-contre-un-avenir-radieux.html  

Covid-19 et la multitudes de mensonges qui l’accompagnent sont motivés par la nécessité de réduire la consommation de pétrole de manière symétrique. L’essence pour moteurs y est pour environ 50%, là où l’autre moitié est transformée en distillats.

Pour que l’industrie pétrolière à tonton Roro continue à fonctionner sans heurts, et ramener beaucoup de sous à Picsou, et à éviter l’accumulation de stocks invendus, la destruction de la demande pour l’essence et les distillats doit être alchimique autant que symétrique. Le gueux ne doit plus prendre l’avion (économie du distillat kérosène). Symétriquement, il convient d’empêcher les gens de se rendre au travail en voiture (économie d’essence).

Comment calculent-ils cela ? Je n’en sais rien, je ne suis moi-même qu’un gueux doublé d’un complotiste ; la pire des races à leurs yeux. Mais vous pouvez poser la question à notre bon Roro qui dans les années 90 avait, entre autre déclaré ceci :

Bien entendu, afin de mettre en place leur fameux NOM, cela nécessite une forte collaboration de ce type :

Jetez un œil sur cette courte vidéo :  https://youtu.be/bzI0CqNLOKU

Voilà pourquoi toute cette « musique » fait partie du programme globaliste depuis des décennies. Le coronavirus n’est pour eux qu’une mince fenêtre utile permettant de justifier le prix du concert et les mesures draconiennes qu’ils ont toujours voulues.

C’est bien pourquoi les confinements ne prendront pas fin même si une vaccination soi-disant efficace est mise au point. Pourquoi ? Il leur suffit de déclarer qu’une « nouvelle mutation » du virus résistante aux traitements existants a été trouvée. Comme la majorité est fainéante et bien trop con pour se renseigner, ça marche !

A l’heure où je rédige, le virage est déjà abordé avec des mutations qui après la perfide Albion nous viennent désormais de partout. Quand bien même ce subterfuge ne suffirait pas, souvenez-vous des propos du professeur Luc Montagnier. Il leur suffit de fabriquer une bêbête bien plus virulente et le tour est joué, la machine à reset est bien en marche. Elle ronronne de son moteur à énergie « propre ». Il n’est pas surprenant qu’au moment où la nouvelle a été diffusée que les vaccins Pfizer et Moderna, à peine testés et très suspects, étaient mis à la disposition du public, des rapports ont commencé à faire état de mutations du coronavirus.

Triste monde que le nôtre où l’on soigne le dogme plutôt que la réalité constamment menée au buché merdiatique. On préfère s’attarder sur l’image d’Épinal, le symbolisme grandiloquant faisant de la vaccination la panacée universelle. Le vaccin Covid-19 de Pfizer ou Moderna devient alors la musique dogmatique contre laquelle les antivax viennent s’exploser les tympans, alors que les vaccins ne constituent qu’une « arme thérapeutique » au milieu de tant d’autres.

Or, qu’est-ce qu’une mutation ? Un virus ARN mute un peu moins que la grippe. Là, on nous dit qu’il mute beaucoup, de quoi donner raison à Luc Montagnier et se poser beaucoup de questions ? Un virus est une information qui vous traverse et va s’en trouver, tout comme vous, modifiée. Chez vous, cela va informer votre système immunitaire en déclenchant une réaction plus ou moins forte. Vous allez donc transformer cette info (virus) puis la retransmettre transformée à quelqu’un d’autre. C’est ça la mutation. Autant vous dire qu’il en a à la pelle !

Suivant l’adage qui dit : « répéter c’est déformer », les femmes comprendront (je blague !).

Vous vous retrouvez alors avec la bonne information immunitaire autant que collective et le tour est joué. Pas de quoi fouetter un chat ! Néanmoins, comptez sur eux pour le fouetter plus violemment le chat si, par malheur, le Covid-19 n’étaient pas à la hauteur de leurs espoirs. Ils possèdent tous les laboratoires nécessaires à la fabrication du Killer, du Terminator de sapiens.

Ils ont donc le choix entre un super tueur ou un pseudo éradicateur de tueur. Je ne sais pas pour vous, mais j’ai l’impression qu’ils ont opté pour la seconde solution : celle du pseudo !

Lorsque ces apprentis sorciers fabriquent un vaccin à ARNm, ils utilisent une source antérieure, c’est purement illusoire et malhonnête. En effet, on vous injecte une onction contre un virus caméléon qui risque de changer de tête constamment.

D’un autre côté, lorsqu’on vous dit valable à 85 ou 90%, cela signifie que le vaccin développe à 85 ou 90% des anticorps (lymphocytes) qui d’une part ne sont pas automatiquement protecteurs et dont on ne connaît nullement la durée d’action, si elle existe. Cela revient à se faire vacciner contre une forme et risquer d’en développer une autre beaucoup plus grave. De plus, sachant qu’une bonne partie de notre immunité est cellulaire, elle ne passe pas par les anticorps, c’est débile !

Si tout cet argent utilisé afin de nous fabriquer en quelques mois ces soupes vaccinales était utilisé à l’acquisition de matériel médical (lits, respirateurs, etc.) ainsi qu’au recrutement et formation de professionnels de santé, le résultat serait là, sans commune mesure. Ici, on veut nous injecter un mélange bizarre contenant même des nanoparticules bien utiles pour Microsoft.

Suite ici : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/02/soixante-annees-d-histoire-pour-en-arriver-a-ca-non-merci-les-mondialistes-partie-10.html

Olivier

Voir les commentaires

Soixante années d’histoire pour en arriver à ça ? Non merci les mondialistes ! (Partie 8)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

20 ans plus tard, l’URSS est morte et les vautours de l’Ouest sont venus se régaler de ses restes. Mais aujourd’hui, 40 ans après, la Chine est la puissance économique mondiale, la Russie est résurgente et militairement invincible, et… Est-il temps de déclencher une nouvelle guerre mondiale ? Bien sûr ! mais contre qui ? Certainement pas contre les Chinois trop nombreux ou encore contre les Russes trop forts. En effet, si en 1941 la Russie avait eu les armes qu’elle possède aujourd’hui, Hitler serait mort le 22 juin de cette année-là, quelques minutes après que les premières bombes nazies aient atterri sur Kiev.

« Si vous contrôlez le pétrole, vous contrôlez le pays, mais si vous contrôlez les semences, vous contrôlez l'alimentation. Et celui qui contrôle l'alimentation tient la population en son pouvoir. » Ces mots sont du tristement célèbres Henry Kissinger, petit protégé de Rockefeller, ils furent prononcés il y a déjà plus d'un demi-siècle. Pour l’élite, contrôler l'approvisionnement alimentaire, s’est nous contrôler. Mais qui contrôle l'énergie peut contrôler des continents. Et qui contrôle l'argent peut contrôler le monde, la fameuse Gaïa du prophète réchauffiste Al Gore.

J’en reviens un instant là ou le problème a commencé, en 1971, avec « l’idée de génie » de Nixon. Le niveau de la consommation de pétrole détermine directement le niveau de l’activité économique globale. Si un pays ne peut ni produire ni acheter du pétrole, il décroit en production, et son PIB fait pschitt.

Si le monde ne peut ni produire ni acheter plus de pétrole, il fait appel à « sainte » Greta qui nous prêche alors la décroissance. Il faut donc réduire la consommation de pétrole. IL FAUT SE SERRER LA CEINTURE et appliquer le plan de Davos. Bref ! Il serait temps que la population comprenne que le problème auquel s’attaquent les confinements-fermetures, les couvre-feux et diverses autres mesures de contrôle prétendument épidémiques, sont en réalité des mesures de suppression de la consommation. En effet, le vrai scénario n’est nullement épidémiologique mais pétrochimique.

Pour les globalistes que je tente de vous dépeindre, le monde est là simplement pour leur fournir des ressources et des services à partir desquels ils peuvent générer des profits. Il serait temps que la gueusaille réalise que ce sont les mêmes qui, toujours plus avides de richesses, ont une incapacité flagrante à voir les limites de notre monde, décident tout naturellement de nous faire payer les frais de leur folie. Lorsque ces cons se heurtent aux limites de la Gaïa d’Al Gore, ils traitent invariablement le problème de la seule manière qu’ils savent le traiter : financièrement, et à l’aide de papier cul. Ils jettent de l’argent en l’air pour le régler.

En 2008, je l’explique dans le Centième Gueux, le prix du pétrole a atteint près de 150 dollars le baril. Ils ont alors automatiquement supposé que le problème n’avait rien à voir avec l’épuisement des ressources mais à un manque d’investissement dans l’industrie pétrolière. Forages en mer, sables bitumineux, fracturation hydraulique, etc., tout y est passé à grands coups de photocopieuses imprimant à volonté selon les besoins des QE à mourir.

Tout ce faux argent qui a permis de saturer temporairement le marché, n’a servi qu’à masquer un constat pourtant SIMPLE : l’épuisement des ressources. Celles qui pouvaient être produites le moins cher étaient les premières à être produites et les premières à être épuisées.

Ainsi en arrivons-nous au début du film d’horreur, juste avant l’épidémie de couillonavirus, en août 2019. Il était l’or Monseignor. L’heure du réveil, celle de la fin du rêve américain, lorsqu’il s’est soudainement avéré que les instruments de la dette fédérale américaine ne pouvaient plus satisfaire la bidouille échafaudée par Nixon, sans payer des intérêts exorbitants.

À peu près au même moment, la production américaine de pétrole de schiste, qui avait permis aux États-Unis de redevenir pendant un bref instant le premier producteur mondial de pétrole, a fait pschitt pour le plus grand bonheur de la Russie, le pivot de l’histoire, capable de contrôler les prix à sa guise sans compter ce qu’elle prépare sur le marché mondial du plastique polyéthylène.

Et c’est comme ça que nous arrivons tout doucement à l’Event 201 de tonton Gates.

Et même si le journal Le Monde vous dit le contraire puisqu’il a reçu des millions d’euros pour ça, lui et sa clique de psychopathes y ont bien orchestré une SOLUTION au problème : une jolie pandémie. À la suite de ça, en décembre 2019, les conseils d’administration des grandes corporations et les capos gouvernementaux aux ordres dans les gouvernements supposément élus démocratiquement se sont ingéniés, en bons serviteurs zélés, à mettre en application le PLAN de Klaus, le bon tonton Schwab.

Mais comment donc me direz-vous ?

En supprimant tout simplement la consommation publique à grands coups de confinements. Une merveilleuse solution provisoire que ce Covid-19, n’est-ce-pas ?  Plus de tourisme et une grande partie du secteur des services à l’arrêt, il n’y a pas mieux pour ne plus consommer !

Faut-il serrer davantage la ceinture du gueux déjà exsangue ? Aucun problème, après le test PCR couramment utilisé pour produire de nombreux faux positifs, nous avons un nouveau saturateur de peur :  la rocambolesque histoire des souches mutantes de ce virus est faite pour ça !  En parallèle, nous avons droit au grand nettoyage des réseaux sociaux.

On éradique à grands coups de gel hydroalcoolique boosté à l’ajout de l’adjuvant « merdias serviles » la propagation d’idées subversives, et en essayant de supprimer les manifestations et les émeutes des personnes qui s’opposent à être opprimées de cette manière, parce que l’information fuite.

Voilà pourquoi entre le passeport Covid et le passeport CO2, mon cœur balance. Pourquoi ? Cette énorme accumulation de richesse entre peu de mains faisait partie du PLAN. Ratisser large, faire croire qu’à partir de la lune nous allions nous envoler vers les étoiles en faisait partie aussi.

Des sommes colossales détournées ont ainsi permis toutes ces recherches concernant le conditionnement humain et l’IA (intelligence artificielle) indispensables au futur contrôle des fourmis. Désormais les réseaux sont là, et les GAFAM et leur 5G veillent au grain.

Ayant fait du CO2 et du Covid-19 les deux plus grands ennemis de l’humanité, les escrocs vont pouvoir passer au nouveau tiroir-caisse. Comment ? Par le biais d’un passeport Covid-carbone, c’est pareil ! Savez-vous pourquoi Macron est en train de mettre les changements climatiques au cœur du débat ? Il va en faire une urgence constitutionnelle. De quoi rendre nécessaire le port d’une espèce de passeport à points.

Pour sauver la planète du méchant CO2, il nous faut également des voitures hybrides largement subventionnées. Seulement voilà, l’ONG Transport et Environnement (T&E) a analysé le comportement de trois des modèles les plus vendus en 2020. Elle est arrivée à la conclusion que les émissions de CO2 de ces véhicules hybrides restent supérieures à ce que les constructeurs annoncent officiellement. La majorité de ces véhicules, dotés d’un moteur thermique et d’une batterie rechargeable sont mal conçus.

Ils ont des moteurs électriques faibles, des moteurs thermiques volumineux et polluants, et se chargent généralement lentement. Bref, les éoliennes ne produisent pas grand-chose, les voitures électriques sont une catastrophe environnementale en raison de la nécessité de batteries très polluantes… et les hybrides marchent bien mal.

Avez-vous remarqué la mode voulant que, de plus en plus, tout soit dématérialisé ? Dorénavant, tout se loue : musique, soins, films, outils, voitures, temps de ceci ou de cela, etc. Mine de rien, nous sommes entrés de plein fouet dans l’ère de la micro transaction où plus rien ne vous appartient tout étant joyeusement dématérialisé. Tout se résume alors à l’achat d’un droit momentané d’utilisation. Imaginez alors mon fameux passeport CO2/ Covid à points.

Vous êtes un gentil conformiste vacciné régulièrement, vous bénéficiez donc d’un quota à utiliser. En une longue suite de micro transactions allant de « l’impact écologique » d’une douche en CO2 jusqu’au pipi caca, tout est ainsi comptabilisé. C’est le nombre de la bête 666 ! La « quatrième révolution industrielle ».

Manger, dormir, se laver, bouger en voiture ou autre, voyager, toute votre pauvre vie est ainsi traquée comptée, en une longue chaine de quotas carbone. Votre quota vient-il à se tarir pour une raison ou une autre, dès lors vous vous retrouvez relégué au bas la société post Covid.

C’est bête voyez-vous, mais moi ça me fait vraiment penser à la Bête d’Apocalypse 13. Quel visionnaire que cet apôtre Jean ! : « Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front, 17et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom. 18C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six. »

Cette « Bête » n’est pas un pseudo antéchrist mais bel et bien cette saloperie d’intelligence artificielle (IA) destinée à nous asservir.

Et c’est curieusement en mars 2020, come je l’explique dans mon livre De Mammon à Corona, que Microsoft, la firme de Bill le coyote, a eu l’idée de déposer son brevet WO2020060606, un système de cryptomonnaie utilisant des données d’activité corporelle.

En revanche, tout comme couillonavirus a su le faire avec les avions bondés et les cites préalablement bondés de touristes pollueurs, désormais c’est fini, terminé. C’est pourtant l’autoroute assurée pour les riches qui pourront remplir à loisir leur quota de points et posséder la planète pour eux seuls. Avec une carte Gold 666 Covid-CO2 bien sûr !

Suite ici : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/02/soixante-annees-d-histoire-pour-en-arriver-a-ca-non-merci-les-mondialistes-partie-9.html

Olivier

Voir les commentaires

Soixante années d’histoire pour en arriver à ça ? Non merci les mondialistes ! (Partie 7)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

La seule économie qui importe encore est l’économie réelle. Celle de l’exploitation minière, de la production d’énergie (pétrole-nucléaire), de la recherche et du développement scientifiques. Celle qui fabrique du tangible et qui possède des projets d’infrastructures à grande échelle. Une économie qui soutient les dépenses sociales vraies sans les voir toutes comme des boulets.

Les pays qui ont tout cela et qui les traitent comme des priorités nationales sont des winners.

Les autres pays, ceux trop longtemps bercés près du mur et au son d’une idéologie malthusienne sont les loosers qui ont tout misé sur la globalisation. Ils ont l’air intelligent, désormais, avec leur financiarisation post-industrielle et la virtualisation qui va avec. Ils vont manger des algorithmes.  Ils font tout au plus du surplace ; la plupart se noyant dans les dettes. La dessus, les « too big to fail » s’en donnent à cœur joie, les banxters et les entreprises transnationales jouent au renard dans le poulailler.

Il est désormais interdit à une poule souverainiste de pondre un œuf souverainiste à l’aide de son trou de balle souverainiste. D’ailleurs, le voudrait-elle que son p’tit cul longtemps et sauvagement sodomisé par le renard n’en serait même pas capable.

La dictature écologique au nom du sauvetage de la planète justifie toutes les rapines fiscales. Quant au Covid-19, la lutte contre la pandémie justifiant à leurs yeux toutes les mesures liberticides, cela nous promet, grâce aux psychopathes aux commandes, un avenir sombre à mi-chemin entre la dictature sanitaire, dictature écologique et dictature technologique.

Et tout comme la dictature sanitaire repose sur l’irrationalité d’une époque, la dictature écologique obéie à la même logique. C’est cette coercition verte qui m’a amené à écrire Tonton Malthus est revenu. J’y explique ces réalités qui concernent le climat et l’écologie, et la gabegie que constituent les éoliennes et les panneaux solaires. Des panneaux qui nécessitent des matériaux rares à leur fabrication. Ces terres rares sont récupérées dans les pays pauvres le tout dans un silence hypocrite au mépris de toute protection environnementale et humaine.

Quant à nos belles éoliennes, elles ne doivent leur existence qu’à des subventions gigantesques financées par l’argent du contribuable. L’éolienne a une durée de vie proportionnelle à son rendement médiocre. Sa naissance et sa brève durée de production ne sont ponctuées que par l’argent. Vient-il à disparaître qu’aussitôt plus aucun « Vert » ne l’aime, et personne n’assistera à son enterrement bâclé. Comment et pourquoi ?

Parce qu’elle finit en pièces détachées bien alignées avec les organes de ses copines avant que d’être enfouie sous terre et sans faire sourciller le moindre écolo bobo.  Mais ce n’est pas tout, les centaines de tonnes de béton servant à son socle resteront également là, pour l’éternité, à polluer les sols. En effet, quoi de plus « normal » dans l’esprit d’Homo Sapiens, puisqu’il n’y a pas d’argent publique pour ça, les écologistes restent donc silencieux.

Imaginons que dans quelques milliers d’années, de archéologues commencent à retrouver ces merdes un peu partout sur la planète en creusant profondément. Que pensera le sapiens de l’époque ? On retrouvera ces socles, et au gré des cycles de mémoire et d’oubli, des légendes confuses commenceront à circuler au gré du travail des archéologues. Quelle était donc le but de ces semelles et qui les a construites : les extraterrestres ? Servaient-elles à conjurer une quelconque colère divine, était-ce une tentative de captation d’un réseau géomagnétique ?

Jusqu’au jour où, eurêka, un scientifique plus « malin » que les autres osera une théorie : elles servaient de support à des engins produisant de l’énergie. Certains, encore plus hardis, se lanceront dans de savants calculs pour découvrir, pantois, que le bilan énergétique dépenses/recettes de ces « choses » était franchement négatif, pas rentable du tout

Des historiens anthropologues se pencheront alors sur le sujet constatant, preuves à l’appui, qu’à cette époque-là, très courte, un certain niveau technique était déjà de mise. Ils avaient des véhicules terrestres motorisés, des engins aériens et commençaient même à chatouiller leur environnement proche de la terre. Mais chose encore plus étrange, ils possédaient la fusion et la fission nucléaire ? Comment pouvaient-ils consacrer une énergie aussi colossale à produire des engins non rentables tout en possédant la solution énergétique avec une énergie propre ?

Car tel est le problème depuis la chute. On cherche toujours des réponses et des solutions logiques au comportement des autres, pensant qu’avant, ils étaient surement différents, plus sages. Ainsi, face à l’artefact on tente d’interpréter avec rationalité. Certains le font concernant les milliers de pyramides parsemant la planète et surtout celles du plateau de Gizeh, en pensant qu’ils étaient des édifices mortuaires et/ou religieux.

Ainsi va l’humain « qui sait », ce Sapiens-sapiens, il en oublie surtout que la fenêtre de la rationalité est très étroite alors que celle qui mène à l’irrationnel est un boulevard infini. Ce boulevard me fait penser à la phrase « Deux choses sont infinies : l'Univers et la bêtise humaine. Mais, en ce qui concerne l'Univers, je n'en ai pas encore acquis la certitude absolue. » Elle est d’Albert Einstein et constitue, mais en partie, le seul élément que je partage avec lui. Pourquoi ? Ceux qui voudront la réponse la trouveront bientôt dans mon livre à paraître Naschas.

Dans quelques milliers d’années, si tout devait continuer, ces scientifiques analyseraient donc ces artefacts, comme nos égyptologues le font depuis deux siècles, par la petite lucarne rationnelle. Ils n’auront sans doute jamais l’idée de penser, d’imaginer, qu’à notre époque pouvait simplement régner un état de corruption généralisé où la logique et le rationnel avaient fait place à une corruption endémique poussant à la réalisation de conneries sans nom.

Il n’imagineront jamais que notre époque peuplée d’Al Gore, de Bill Gates, de Georges Soros, de Greta la folle, n’avait aucun sens et surement rien à faire dans cet espace restreint : celui du rationnel. Comment pourront-ils imaginer ce non rationnel à l’infini ayant poussé à confiner plus de quatre milliards d’humain pour un pet de lapin dans la blogosphère ?

On nous apprend dès le plus jeune âge, en cette école judéo-maçonnique, que ce monde est structuré. Plus tard, bercés par ces mensonges, les gens agissent non pas en fonction de ce qui est vrai mais en fonction de ce qu’ils croient être vrai.

Certains postmodernistes, nouvelles créatures boboïsées, en arrivent même à prétendre que la Vérité n’existe pas. En fait, souvent, les peuples agissent dans l’irrationnel le plus complet créé par la peur et les idéologies, choses qu’un chercheur à des millénaires de là, et vivant dans la sécurité et le confort, ne pourra pas appréhender objectivement.

Au nom d’un capitalisme prédateur, ils ont sur industrialisé l’occident afin de se bâtir et de se parfaire des fortunes colossales. Il leur fallait écouler coute que coûte toute cette production. En 2013, je l’expliquais déjà dans mon livre La Promesse.

Il y a plus de cent ans nous aurions déjà pu développer des engins électriques. Je ne citerai que le nom de Nicolas Tesla sans entrer dans les détails qui prendraient des centaines de pages. À ses propositions d’une énergie libre, propre et gratuite mise à disposition des peuples, le banquier Morgan eut les cheveux qui dressèrent sur la tête. Polluer ne gêne pas le moins du monde l’oligarchie mondialiste. Elle l’a fait et s’est enrichie au-delà du pensable. Désormais, leur logique de la DETTE est arrivée à terme.

La machine est grippée. Il leur convenait donc de spéculer rapidement sur autre chose : le CO2. "Un autre monstre 666" C’est lui qui va leur apporter un « ballon d’oxygène » en asphyxiant ce qui restera de gueux post crise Covid, mais surtout post vaccination.

L’impérialisme occidental est mort. Il avait survécu aux deux guerres mondiales du 20e siècle en passant le relais impérialiste à la Grande-Bretagne puis aux États-Unis en les phagocytant. Ainsi, durant plus ou moins 50 ans, ce bâtard, cette sorte d’empire anglophone où la langue anglaise et les influences culturelles américaines, ont infecté une grande partie de la planète et les élites occidentales, étaient aux commandes.

L’URSS lui a servi de faire valoir, un danger utile à imposer un niveau de santé mentale proche de l’hystérie tout en aidant les mouvements de libération nationale dans le monde entier. Arriva 1990, où l’Occident au travers d’un capitalisme débridé, va complétement finir de s’oxyder dans ses idéologies de comptoir. Et à trop s’éterniser au comptoir, c’est désormais la méchante gueule de bois pour la perfide Albion du clown Boris Johnson : l’ancienne puissance impériale.

Sacré clown en effet que le sieur Boris, dont le cabinet est entièrement composé de diplômés d’Oxford, tous plus bêtes les uns que les autres ! Pendant que de l’autre côté de la Manche, notre roitelet national, ce petit Jupiter qui n’aime pas son peuple, est, lui aussi, entouré de la même chiourme d’énarques de mes deux justes bon à décréter que … De l’autre côté de l’Atlantique, chez les mâcheurs de Chewing Gum, les choses ne vont pas mieux.

Là-bas, ils se sont battus pour remplacer un spécialiste du coaching (Dev per) par une momie pédophile bien incapable de terminer un quelconque mandat présidentiel. Pour l’accompagner, l’état profond, c'est-à-dire toute la clique Soros, Gates, Clinton, etc., lui a fourni une arnaqueuse qui va très probablement « prendre l’argent et s’enfuir ». Bref ! C’est : fous d’une idéologie soviétique, contre d’autres fous qui pensent encore qu’il est possible de continuer à bien vivre simplement en imprimant de l’argent et en le distribuant. Aucune des deux parties ne gagnera.

Auparavant, chaque fois que les « impérialistes capitalistes » se trouvaient dans une impasse, ils déclenchaient une guerre :  une bonne guerre mondiale. La Première a tué beaucoup de paysans européens, laissant la place à l’expansion industrielle d’après-guerre. La Seconde a fait exploser toute cette industrie, donnant aux Américains la possibilité de gagner de l’argent pour la reconstruire. Dans les années 70, « intoxiqué dans son CO2 », ce poids lourd industriel a commencé à manquer de pétrole.

La Dette et l’imposition, c’est là où le problème a commencé en 1971, date où Nixon a suspendu la convertibilité du dollar en or. Le dollar devenait alors imprimable à volonté. Ils peuvent en imprimer plus vite que le monde entier n’en gagne en travaillant réellement, tout en réduisant les taux d’intérêts. Pourquoi avoir supprimé cette convertibilité du dollar en or ? C’est parce que cet or tangible manquait et que, contrairement aux gueux, les banxters ne travaillent pas pour de l’argent, c’est lui qui travaille pour eux.

Suite ici : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/02/soixante-annees-d-histoire-pour-en-arriver-a-ca-non-merci-les-mondialistes-partie-8.html

Olivier

Voir les commentaires

Soixante années d’histoire pour en arriver à ça ? Non merci les mondialistes ! (Partie 6)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Venons-en au paradoxe des paradoxe : celui voulant qu’à un moment où le chômage et la misère éclatent partout, la bourse semble se porter comme un charme. C’est en fait purement artificiel, mais derrière cet artifice se cache en réalité le loup. Le capitalisme est en train de crever. Pourquoi ? Parce que le prix des actions est surévalué. Il est lié à ces injections massives d’argent QE réalisées par les Banques Centrales. Cet argent reste dans les banques et les grandes entreprises, certainement pas dans la vie réelle. Pour faire simple, la planche à billets, la photocopieuse, fonctionne à plein régime, elle remplit la baignoire des riches qui le sont encore plus, pendant que la majorité : les 99% n’ont même pas droit à un malheureux lavabo.

Ce prix des actions dépend des taux d’intérêts, or, ils sont négatifs. Pourquoi ? Parce qu’il y a plus d’argent dans la baignoire qu’elle ne peut en absorber. C’est la rareté qui donne la valeur aux choses. Or, ce système capitaliste dépend entièrement en une grosse lapalissade du capitaliste rentier. C’est-à-dire de ceux qui touchent des intérêts sur l’argent placé. Si aucun intérêt n’est versé, le système se dégrade. Mais paradoxalement, dans le même temps, le prix des actions monte.

Une action n’est autre, au sein d’une entreprise, qu’un bilan de santé, une anticipation de sa rentabilité dans le temps : une idéologie. Tous les dividendes qui sont à venir représenteront en gros la valeur de l’action. Le taux d’escompte étant devenu négatif, lorsqu’actuellement on place de l’argent en banque, l’année suivante, il aura perdu de sa valeur.

Tout tourne autour de la façon dont la valeur d’une action est calculée. Une action à 5€ en 2019 sera calculée à 5€ en 2020, 5€ en 2021, etc. Mais quand on fait le calcul, on escompte ces sommes : ces 5€. Mais, avec des taux normaux, les 5€ de l’année suivante vaudront moins, ainsi de suite. En revanche, avec des taux négatif, lorsqu’on effectue le même calcul, les 5€ de 2020, en réalité vaudront 6€ en 2021, etc. Pourquoi ? Parce que si vous mettez votre argent en banque maintenant, il aura perdu de la valeur l’année prochaine à cause des intérêts négatifs.

Le taux d’escompte est devenu négatif. Ce qui signifie que lorsqu’on additionne les actions à 5€ d’une compagnie, l’année suivante elles vaudront peut-être 6€, l’année d’après 7, puis 8, etc. C’est ce phénomène qui gonfle artificiellement le prix de l’action.

Cela fonctionne sur l’idée reçue qu’il y aura toujours versement des dividendes, les entreprises étant, comme les banques, trop grosses pour mourir. C’est là une vision utopiste du capitalisme face à une économie mourante. Or, l’idée faisant de l’action un baromètre de l’économie ne marche que lorsque cette dernière est bien vivante. Nous vivons actuellement une période où les Etats sont de plus en plus souvent amenés à intervenir auprès des différents acteurs économiques : aides aux PME, RSA, chômage partiel, etc.

De plus, élément essentiel au phénomène, cela ne lui coûte plus rien de le faire avec des taux devenus négatifs. En effet, lorsque désormais, avec ces taux, on émet une obligation, elle rapporte plutôt qu’elle ne coûte. Une obligation d'Etat est un titre de créance qui est émis directement par un Etat (par exemple, la France) se positionnant alors comme emprunteur. De plus, l'obligation d'Etat présente généralement une très bonne sécurité puisqu'il est plutôt rare qu'un Etat fasse faillite. ...

Nous assistons alors à une nationalisation de fait de l’économie parce que les différents QE n’arrivent pas là où c’est vital pour le vrai fonctionnement d’une économie. Les travailleurs et consommateurs se voient entièrement floués dans cette histoire. Les 0,001% qui se gobergent achètent peut-être des yachts de luxe et des Ferrari mais ce marché reste restreint. Il s’effectue de plus sans transvaser une partie de leurs richesse vers l’intérêt commun.

Les mondialistes, voulant imposer leur dogme aux souverainistes, se sont rendus compte au travers du Covid qu’ils devaient pour un temps redevenir souverainistes. Chez nous, notre petit Jupiter mondialiste a redécouvert la protection des frontières et qu’il fallait renationaliser certaines productions dont les médicaments qui ne sont plus fabriqués en France mais essentiellement en Inde.

L’Histoire s’écrit toujours par le souverainisme et non par un mondialisme déraciné. Et ce phénomène se trouve parfaitement représenté dans la bataille entre Trump (souverainiste) et les Démocrates (mondialistes) qui sont en train de couler les USA.

C’est l’idée de la chanson « auprès de mon arbre je vivais heureux » qui ressort grandit de tout cela. C’est faire la pige à Soros qui voudrait voir disparaître les peuples en un grand mélangisme multiculturel autant que multi conflictuel. Société Covid et multiculturelle qui nous a été imposée, sans pouvoir discuter, et toujours par les mêmes : le ver dans le fruit.

Avec la chute du mur, et l'effondrement de l'idéologie communisme, le libéralisme s'est retrouvé triomphant, sans concurrence, en route vers le globalisme. L'idéologie libérale restait seule en course. Elle est devenue globale. La paix sociale fut alors achetée à coup d'aides ponctuelles, pour tenter de cacher un démembrement de l'Etat et le monstre réellement aux commandes en coulisses. Ces aides peuvent désormais disparaître, elles sont devenues inutiles pour une société écrasée où l'Etat est en passe de n’être définitivement qu'une structure d'implantation de décisions prises ailleurs. Nous n'en sommes plus loin. Du moins c’est ce dont rêve l’élite.

Ceux qui, actuellement, se vendent entre eux des actions à des tarifs prohibitifs jouent au jeu de la chaise musicale. Ils s’échangent entre eux la patate chaude, et à ce jeu, les plus riches raflent tout, jusqu’au séisme ultime dans lequel la rapacité engloutira les piliers soi-disant indestructibles de notre économie.

Tesla, Inc., initialement appelé Tesla Motors et ses voitures électriques, vaut ainsi autant en bourse que tous les principaux constructeurs de voitures au monde et qui vendent pour plus de 1300 milliards de dollars de voitures chaque année, là où Tesla n’en vend « que » pour 28 milliards ! Comment l’expliquer ? C’est de la spéculation et un pari sur le fait que dans cette guerre, les technologies Tesla, très en avance, seront dominantes, et que le monde devra passer par les brevets Tesla, comme lors de la bulle Internet.

Pour l’instant, faisant partie intégrante de ce système, les rentiers et le peuple trinquent à ce jeu de dupes, mais en réalité, c’est l’ensemble du système qui est désormais entièrement grippé.

À partir du moment où, en 2009, les banques centrales (BC) ont commencé à injecter des sommes colossales dans le système, elles ont servi presque entièrement à des banxters à jouer au casino de Wall Street et de la City. Nous avons été entièrement déconnectés de l’économie réelle. Je l’explique en détail dans le tome1 du Centième Gueux.

Cet argent n’est jamais arrivé pour augmenter les salaires et encore moins créer de l’emploi. RSA, chômage partiel, aides diverses et variées ont tous été les parents pauvres de ces fameux QE. À plus de 60% cet argent est parti au casino des subprimes et autres délires de roulettes russes de ces banquiers fous.

Les taux négatifs ont donc agit comme un poison injecté dans un corps déjà bien affaibli. Et, désormais, face à un mécanisme qui s’emballe, les Etats se trouvent gavés d’un argent qui ne doit pas être remboursé tout de suite et qui ne leur coute rien. Nous assistons, depuis 2009, à une fonctionnarisation de la plupart d’entre nous sous la forme de chômage et d’aides diverses.

Prendre la place de toutes ces grandes entreprises qui, jusque-là, ont toujours fait du chantage à l’emploi, coute de moins en moins cher aux Etats.

Où, désormais, vont pouvoir aller tous ces chefs d’entreprises qui se livraient à un chantage à l’emploi, dans un monde exsangue et débordant de travailleurs ? Que vont-ils devenir ces « too big to fail » ? Cette nationalisation s’effectue en sous-main et en coulisses, spécialité de l’oligarchie avide de dystopies. Et devant leur rêve, nous avons une Chine qui s’en sort haut la main face au Covid.  Pourquoi ? Parce qu’elle possède une organisation de type termitière, très efficace, mais qui ne laisse pas de place aux contradicteurs vites éradiqués du système.

La Chine est ce qui se rapproche le plus de ce socialisme dont rêvait John Maynard Keynes, qui fut, en tant que conseiller officiel ou officieux de nombreux hommes politiques, l'un des acteurs clefs des accords de Bretton Woods, après la Seconde Guerre mondiale. Un système très dur avec un haut niveau de surveillance qui fait saliver l’oligarchie mondialiste. Ainsi, cette convergence de faits très peu visibles en surface est en train, chez nous, de tous nous tirer vers le paradoxe chinois. Pourquoi paradoxe ?  Parce que la Chine, cette fabrication de l’Empire Britannique, est devenue une opportuniste, savant mélange entre ce socialisme keynésien et ce capitalisme autoritaire.

Face à ce constat, nous avons un monde qui a bien changé au cours de la dernière année. Il s’agit de changements irrévocables, irrécupérables, du type « on ne peut pas remettre le dentifrice dans le tube ». Avec la financiarisation, est mort le concept d’une économie post-industrielle où les nations peuvent rester riches sur la base d’une sorte d’adossement mutuel, ne produisant rien de tangible et n’échangeant que des services. Ajoutez à cela tous les trucs « virtuels » et « numériques » : tout cela n’est là que pour vous distraire pendant que le monde réel s’écroule autour de vous.

Suite ici : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/02/soixante-annees-d-histoire-pour-en-arriver-a-ca-non-merci-les-mondialistes-partie-7.html

Olivier

Voir les commentaires

Soixante années d’histoire pour en arriver à ça ? Non merci les mondialistes ! (Partie 5)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Nassim Nicholas Taleb (dit « NNT ») est surnommé « le dissident de Wall Street » sur les marchés financiers internationaux. Spécialisé dans l'évaluation des risques d’événements rares et imprévus, il a été trader pendant 20 ans à New York et à Londres avant de devenir professeur. Il a notamment adapté « la théorie du cygne noir » au domaine statistique et à la prise de décision sous incertitude.

Il explique clairement qu’un système décentralisé invite à subir les conséquences de ses actes. D’où l’expression anglophile : « Skin in the Game » (ma peau est en jeu) subir les conséquences de ses actes. Taleb explique brillement que le but unique de la bureaucratie, c’est de mettre un maximum de distance entre celui qui prend les décisions et celui qui en subit les conséquences. C’est ce que l’on constate dans toutes les bureaucraties à travers les âges que ce soit chez les scribes égyptiens en passant par la bureaucratie nazie ou stalinienne pour culminer chez nous, en France.

Une bureaucratie française où c’est la médiocrité qui est récompensée : le cas Buzyn constituant une apothéose. Là où chaque jour un chef d’entreprise met ses couilles sur le billot, des trublions énarques de mes deux, se permettent de jouer avec nos vies et en toute impunité : sans ce Skin in the Game !

Depuis un an nous avons un Bruno Lemaire qui n’a jamais pris un risque de sa vie et coûte très cher au contribuable qui se permet de conseiller les entrepreneurs.

L’esprit d’entreprendre devrait toujours être récompensé, mais, hélas, ce n’est pas dans l’ADN Français. Combien de génies se sont vus refusés l’aide financière et ont dû partir à l’étranger. Déjà, deux guerres mondiales ont su bien adroitement casser dans l’œuf cet esprit d’entreprendre. En 14-18, dans les tranchées, on s’est privé de bras et d’une matière grise qui, si les choses avaient été autrement, auraient certainement permis l’émergence d’une haute technologie novatrice, bien avant l’heure. Elle fut déviée, retardée, puis distillée contre beaucoup d’argent, toujours par les mêmes : ces 0.001% qui mènent le monde à sa perte. 14-18 fut le suicide de la vielle Europe où 39-45 en fut la conséquence.

Le mensonge est très proche de la planche à billets. Une fois qu’on y a gouté, c’est une drogue qui, tout comme les QE (Quantitative Easing), ne peut plus s’arrêter. Désormais, nous naviguons sur les flots du désarrois, à l’intérieur de deux énormes bulles de mensonge : celle de la DETTE, et celle du Covid-19. Nos petits capos du gouvernement sont si englués dans leurs mensonges, qu’ils ne peuvent plus faire marche arrière.

Nous sommes face à des joueurs de poker qui jouent avec nos vies. Sans jeu aucun, ils espèrent pourtant que les peuples se couchent. J’en veux pour preuve ce qui s’est passé chez nos voisins belges. Leur ministre de la santé c’est déballonné en déclarant avec une pseudo honnêteté tardive : qu’il fallait fermer les commerces pour « obtenir un effet choc ». A quelques jours de la réouverture des commerces, Frank Vandenbroucke, le ministre fédéral de la Santé, avait tenu des propos qui ont fait bondir les commerçants. Il a reconnu que cette mesure était plus psychologique qu'autre chose : il fallait créer un électrochoc. « Faire du shopping ne comporte pas de risques quand tout est bien contrôlé. On a pris cette décision parce qu'à un moment donné, on devait prendre une décision choc. Il fallait vraiment faire un électrochoc. Il fallait dire clairement 'on bloque' », avait-il déclaré au micro de la VRT.

Face à ce tissu de mensonges qu’avons-nous pour nous informer et résister ? Lorsque l’on constate les conflits d’intérêts opérant au sein de nos merdias français. Il y a de quoi désespérer. Le Monde a reçu des millions d’euros d’aide de la part de la fondation Bill et Mélinda Gates. Seul France Soir, journal décentralisé, fait son travail et peut encore se qualifier de journalisme authentique.

Le principe de Pareto, aussi appelé loi de Pareto, loi des 80-20, est un phénomène empirique constaté dans certains domaines : environ 80 % des effets sont le produit de 20 % des causes. Il a été appliqué à des domaines comme le contrôle qualité. On considère souvent que les phénomènes pour lesquels ce principe est vérifié suivent une forme particulière de distribution de Pareto. Tout ceci pour en arriver à un FAIT, un constat UNANYME.

Ce sera toujours la minorité qui apportera le changement. En 39-45, les vrais résistants se comptaient au début sur les doigts d’une main, les autres préférant la conformité de la collaboration. Chez la plupart des insectes sociaux : termites, fourmis, etc., les entomologistes ont repéré certains spécimens (10% en moyenne) qui semblent ne pas sa conforter à l’ensemble du mouvement tout en apportant une certaine émulation au groupe. Emulation sans laquelle, le groupe ne survit pas longtemps face à un danger imprévu, si l’on extrait ses « dissidents ».

Ils chalengent le groupe, et lorsqu’ils viennent à disparaître, le groupe s’effondre. C’est comme je l’expliquais en entrée de chapitre, ce que les 0.001% cherchent à faire avec les Veilleurs, les soi-disant complotistes qui ne sont en fait que des gens comme moi.

Ce qui nous amène à des notions d’anti-fragilité dont notre civilisation aux pieds d’argile ferait bien de s’inspirer avec nos chaines logistiques qui s’étirent à l’infini sur nos routes et que le moindre brouillard verglaçant, le moindre centimètre de neige, vient immanquablement gripper.

Que dire de la fée électricité qui, si elle venait à manquer … Ainsi, ces « aléas » : changements climatiques, flux migratoires, famines et épidémies, sont autant de constantes qui émaillent notre passé. Et, comme le faisait si aimablement remarquer, il y a plus de 50 ans, le sioniste Henry Kissinger, une société n’est rien sans Energie afin de produire. Sans oublier la monnaie pour les échanges.

Or, quoi de mieux afin de répondre au désir de remise à zéro de l’élite qu’un jolie mensonge servant d’excuse à détruire nos économies déjà en peine. Ainsi, le mensonge de nos dirigeants concernant le Covid-19 leur a permis de nationaliser la monnaie et l’énergie.

Nous sommes revenus sous Staline. Une société possède en réalité cinq forces agissantes : l’Exécutif, le législatif, le judiciaire et le médiatique qui, dans une démocratie représentative comme la nôtre leur a permis de nous vendre Macron comme en vend une lessive. Quant à la cinquième, c’est le pouvoir monétaire qui vient chapoter tout le reste. Et actuellement, en toute discrétion, tous ces pouvoirs sont en train d’être centralisés. Parler de ces FAITS, c’est immanquablement passer pour un négationniste, un antisémite.

La Vérité et la vraie connaissance rendant libre, le « feu de tourbière », la seule porte de sortie pour le peuple, c’est l’information décentralisée. France Soir en est l’exemple, j’en suis un aussi au même titre que tous les chercheurs que Vérité, souvent catalogués « complotistes ».

Le déficit budgétaire est financé par de l’impression de papier cul. Le ministère des finances copule désormais en toute impunité et sans aucune pudeur avec les Banques Centrales. La Chine laisse le capitalisme fonctionner plein gaz en un paradoxe ou nous nous comportons comme des Soviétiques. Aux USA, les Démocrates c’est Mélenchon en France. Aux Etats Unis les idées soviétiques sont très populaires sur les campus, mais en un complet découplage de la réalité. "J’AI LE DROIT DE NE PAS ÊTRE D’ACCORD" doit constituer votre fer de lance.

Faire entrer le gueux dans la conformité constituant le saint Graal de l’oligarchie, le vrai pouvoir, le seul qui nous reste, c’est celui qu’on arrive à prendre, mais sur soi ! Le seul vaccin à prendre, celui qui apporte à tous la résilience face à la connerie ambiante, c’est la connaissance de la psychologie conformiste et ses outils qu’utilisent sans parcimonie nos capos au pouvoir. L’immunité vient ensuite de la connaissance de ces expériences. Et c’est bien parce qu’elles sont un obstacle au pouvoir centralisé qu’on enseigne pas ces choses à l’école. Une école où l’on apprend l’histoire de la philosophie, mais certainement pas sa pratique.

Passionné par l’étude de la plupart des perversions humaines, Richard Francis Burton (1821-1890) était un érudit et polymathe britannique. Parmi ces nombreuses citations, j’aime particulièrement celles-ci : « N’attendez d’applaudissements que de vous-mêmes. » et « Il vit le plus noble et il meurt le plus noble celui qui fait et qui suit ses propres lois. Cette capacité à avoir son législateur intérieur et à s'y fixer. À ne pas vivre dans les idées des autres. » En vivant dans les dogmes de cette élite luciférienne nous vivons pour et par leurs pensées malsaines.

La capacité qu’a l’humain à bâtir sa demeure pour s’y sentir bien est l’un des moyens d’émancipation. La capacité à se bâtir son propre toit intellectuel et surtout spirituel l’est bien plus encore. Il constitue ce bunker inébranlable à partir duquel on comprend beaucoup mieux ce verset du Nouveau Testament : « La Vérité vous rendra libre. »

Certains diront que le capitalisme se suicide, que la valeur ajouté c’est le profit : revendre quelque chose plus cher que ça n’a coûté ; bien ou service. Un marché secondaire est constitué par ceux qui achètent aux entreprises ses biens ou services et les revendent avec une marge. Ces profits réalisés peuvent et doivent servir de pouvoir d’achat. C'est-à-dire que ces profits doivent se retrouver entre les mains de la majorité : ceux qui travaillent et consomment.

Avec Covid-19, on emploi plus les gens. Restent les interventions de l’Etat : RSA, chômage partiel, etc. Il faudrait que ceux qui réalisent des profits se délestent d’une partie de leurs avoirs afin de faire fonctionner l’économie réelle, celle qui crée des emplois. Mais c’est de l’utopie pure et simple.

L’épidémie créée de toutes pièces par ces 0.001% les a rendu encore plus riches et bien portants, sans aucune redistribution au peuple.

Suite ici : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/02/soixante-annees-d-histoire-pour-en-arriver-a-ca-non-merci-les-mondialistes-partie-6.html

Olivier

Voir les commentaires

Soixante années d’histoire pour en arriver à ça ? Non merci les mondialistes ! (Partie 4)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Henri Laborit avait travaillé sur le comportement des rats dans son laboratoire sur fond de cage à deux compartiments. Le fond d’une des parties de la cage était électrifié, alors le rat se réfugiait dans la seconde partie. Le rat est un animal très intelligent, il comprenait vite où se situait sa sécurité. Mais si on l’empêchait de se sauver dans le second compartiment, il développait alors des troubles comportementaux et physiques.

Si on enfermait alors deux rats dans la même cage, toujours sans leur laisser la possibilité de se sauver, ils développaient, du fait de la douleur de l’électrification, des réactions d’agressivité l’un envers l’autre.

Si à cela vous ajouter un signal sonore précédant juste l’électrocution, en empêchant de surcroit le rat de fuir, au bout d’un moment, le seul signal sonore génère des troubles du comportement et de l’agressivité. Adaptons maintenant ces expériences avec ce qui se joue depuis un an avec le Covid-19 et le confinement qui nous a tous transformés en rats de laboratoire.

À un signal donné par Macaron et sa bande de lucifériens, la gueusaille a été sommée de se réfugier chez elle, assignée à résidence. Le couvre-feu constitue alors une variante de l’expérience où la décharge électrique se trouve remplacée par une décharge de 135€ au portefeuilles : à une heure donnée, « les rats » rejoignent leur habitat sous peine d’amende douloureuse.

Mais ce n’est pas tout ! Dans ma série d’articles, je mets en évidence le fait que toutes les expériences décrites ont su mettre en lumière une race d’individus : la majorité ! Ces personnes sont capables, dans la position d’expérimentateurs, d’en torturer d’autres par soumission à l’autorité. Nous disposons là de tous les éléments prouvant que nous sommes au beau milieu d’une expérience d’ingénierie sociale d’une ampleur jamais égalée jusqu’ici.

Je dirais même, sans exagérer que notre situation est bien moins enviable que celle des rats. Pourquoi ? Les rats-habitants que nous sommes, doivent écouter les annonces des autorités, faisant que, même le lieu d’assignation n’est pas un refuge. Il devient au contraire le lieu où il est obligatoire de subir chaque jour la douleur générée par la répétition du conditionnement à laquelle nos petits capos aux ordres du vrai pouvoir de l’ombre travaillent avec soin.

Ainsi, face à cette MONSTRUEUSE couillonnade, le confinement a logiquement déclenché des troubles du comportement, allant même jusqu’à bâillonner les enfants.

Beaucoup de gens deviennent agressifs, et certains contre eux-mêmes, tombent alors malades. Certains, hélas, pensent au suicide si les confinements se renouvellent. D’autres rêvent de se faire injecter n’importe quelle potion, supposant qu’elle leur permettra de reprendre une vie normale et fera cesser la douleur de la solitude.

Nous sommes ainsi toutes et tous impactés par cette monstrueuse expérience. Enfants ou adultes, jeunes comme vieux, tous trinquent avec des jeunes en âge de scolarité obligés de continuer à étudier « en ligne » dans ces conditions que des bricoleurs de l’éducation rêvent de pérenniser.

Les conséquences vont être monstrueuses. En plus d’une économie à l’agonie, c’est une augmentation des pathologies de tous ordres qui va fleurir. Elles seront alors bien machiavéliquement travesties en nombre de morts dû au Covid-19. Et ce sera la faute des déviants, ceux qui ne respectent pas les règles barrières et refusent de se faire vacciner.

L’humain est doué pour toutes les formes de sadisme. On sait que pour toute société, il suffit qu’une infime minorité suffisamment autoritaire décide, quelque part, pour que toute la chaîne des expérimentateurs plus ou moins sadiques se mette en action.

Chacun préférera sauver sa peau en se rangeant du côté du tourmenteur plutôt que celui du tourmenté alors ravalé au rang de simple rat de laboratoire. Très prochainement, les vaccinés agiront de même avec ceux qui, plus intelligents, auront refusé de se faire piquouzer avec je ne sais quoi.

Toutes les excuses seront alors utilisées : égoïsme, inconscience, individus dangereux et même antisémite, sait-on jamais ! Si nos lointains descendants devaient, un jour, étudier notre comportement actuelle (ce qui n’arrivera pas), ils y verraient des fous aux attitudes incompréhensibles. En effet, comment pourraient-ils appréhender un tel niveau de connerie pour une bébête tuant si peu? Alors que la faim, la vie et ses circonstances habituelles, tuent chaque jour de chaque année infiniment plus.

Chaque jour, il meurt en moyenne en France 1670 personnes selon Santé Publique France, 419 de maladies cardio-vasculaires (150 000 personnes par an), 460 de cancers (165 000 par an), 110 de maladies respiratoires (39 600 par an), 27 de suicides (9 700 personnes par an), 10 morts d’accidents de la route (3 600 morts par an).

Alors, on commence quand le confinement visant à faire baisser les 3600 morts par an d’accidents de la route ?

On instaure quelle distanciation sociale d’avec son véhicule, son vélo ou sa trottinette électrique ? Pour en revenir à ces recherches effectuées il y a plus d’un demi-siècle concernant nos cerveaux et la manière de le faire disjoncter. Toutes ces expériences avaient pour but de démontrer qu’on pouvait faire accomplir à peu près n’importe quoi à n’importe qui. Si on y mettait suffisamment d’autorité, ou si on faisait perdre le sens des réalités aux cobayes, ils sombraient alors dans un état de sidération où la réalité n’avait plus aucun rapport avec leur état de cognition. Ramenons tout ceci à notre époque dite de couillonavirus.

On se rend alors compte qu’on évolue dans l’irrationnel avec un gouvernement qui dit que les masques ne servent à rien puis vous inflige 135€ d’amende si vous n’en portez pas. Que bien que l’épidémie s’effondre partout, on a des morts à ne plus savoir qu’en faire et des hôpitaux débordés. Les restaurant, les théâtres, les cinémas sont fermés là où les métros, trains et avions sont bondés tous comme les hyper marchés. Plus rien n’a de sens !

La seule explication valable reste donc l’ingénierie sociale avec un type en blouse blanche qui fait loi, quoi qu’il dise ou fasse, jusqu’à se mettre une plume dans le cul afin de conjurer le virus.

Heureusement, lors de ces expériences surgissent toujours des «trublions » : des gardiens de l’ordre moral et intellectuel.

Certains diront ouvertement refuser d’électrocuter quelqu’un ou trouver qu’un objet est bleu là où il est réellement noir ou blanc. Ils sont minoritaires et paradoxalement pas très bons pour les études, du moins celles voulues à l‘école judéo-maçonnique.

Bref ! On a du mal à les formater à Science Pipo. Ils ne sont pas faux cul ou chef de classe et ne trouvent pas que la vertu se situe dans la conformité. Pour eux, lorsque tout le monde est du même avis, c'est que personne ne réfléchit beaucoup.

C’est justement une situation bizarre qui va les filtrer, les mettre en lumière car, lorsque tout va bien, ils restent anonymes dans la brume de leur vie. Très souvent ces « gardiens » se font rejeter tant ils mettent le mouton face à ses réalités, le nez dans sa merde. Il n’est en effet jamais agréable d’être mis face à sa lâcheté et ses dissonances cognitives. « Il est plus facile de tromper les gens que de les convaincre qu'ils ont été trompés. », disait Mark Twain parlant sur la vie.

Face au marasme que nous vivons à cause des psychopathes au pouvoir, la bonne tactique serait de choisir les dirigeants non pas selon les études mais justement sur la base de ce caractère non consensuel qui permettrait régulièrement de tout remettre en cause.

C’est ce qu’essaie d’expliquer Nicolas Machiavel, injustement jugé, dans son livre Le Prince : un traité politique écrit au début du 16e siècle. Homme politique et écrivain florentin, il y montre comment devenir prince et le rester, analysant des exemples de l'histoire antique et de l'histoire italienne de l'époque. C’est parce que son livre ne donnait pas de conseils moraux au prince comme les traités classiques adressés à des rois, et qu'au contraire il conseillait dans certains cas des actions contraires aux bonnes mœurs, qu’il a été souvent injustement accusé d'immoralisme, donnant lieu à l'épithète machiavélique.

Pour Machiavel, la principauté difficile à prendre sera celle où il sera excessivement compliqué de trouver un traitre. Le souverain non consensuel pouvant virer qui il veut, elle sera facile à tenir.

Une principauté à la « française » sera en revanche facile à prendre, déclarait-il déjà à l’époque. Constat qui n’a fait qu’empirer. Beaucoup de nobles étaient et sont toujours prêts à trahir leur « souverain », pendant que l’Etat français trahit le peuple en permanence. Conclusion « machiavélique » : la principauté à la française, était, et est restée très difficile à tenir.

La raison en est toujours et reste « le ver dans le fruit France ».

Machiavel voyait une solution à ce problème en réduisant le pouvoir de l’Eglise. Ça n’était donc pas à la cour de France, ou dans les collèges de Jésuites, que l’on trouverait le fer nécessaire à forger la principauté imprenable.

Un des principaux responsable de cet état de fait était cette église qui, phagocytait les Etats, tout en centralisant son pouvoir à Rome. Elle utilisait sa chiourme perverse : les Jésuites, dont le sieur François actuellement sis à Rome constitue à lui seul le triste reliquat mondialiste. Or, la centralisation du pouvoir et des idées n’amène jamais rien de bon. L’exemple premier et le plus connu étant cette Babylone qu’essaie actuellement de copier l’oligarchie avec son N.O.M.

Toutes les missions formées par les Franciscains, en Californie, seront porteurs et à l’origine par exemple de la Silicon Valley. Si les Jésuites n’ont pas pollué le cite c’est simplement parce que le Vatican ne croyait pas dans les vertus de cette région d’Amérique.

À la place, on les retrouvera en train de détruire l’Amérique latine. Là où des individus décentralisés autant qu’indépendants, les Franciscains, créeront la richesse, les Jésuites asserviront tout en s’enrichissant. C’est cette centralisation du « Saint Siège » qui, telle une termitière a réduit l’affaire à peau de chagrin.

À suivre : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/02/soixante-annees-d-histoire-pour-en-arriver-a-ca-non-merci-les-mondialistes-partie-5.html

Olivier

Voir les commentaires

Soixante années d’histoire pour en arriver à ça ? Non merci les mondialistes ! (Partie 3)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

C’est de cette idéologie là qu’est né, durant les années 70, le mouvement pour la légalisation de la pédophilie dans les milieux dits « intellectuels ».

Des relents d’égouts nous en parviennent encore avec la récente affaire Olivier Duhamel/Kouchner….

Parfois, ces gauchistes-là récoltent les fruits de leur idéologie. Jean Dussine, président d'une association « d'aide aux migrants », a, comme bien d’autres, été assassiné chez lui par un Afghan qu'il hébergeait !!!

Avec Samuel Paty, l'égérie du gauchisme, soi-disant décapité avec un couteau (ce qui constitue une prouesse, une impossibilité technique), les profs gauchistes et immigrationnistes sont mis face à leurs incohérences ! Ils vont continuer à crier « pas d'amalgame», « il ne faut pas stigmatiser » et continuer de soutenir mordicus qu'il n'y a aucun lien entre le marasme que nous vivons et cette émigration voulue mais non assimilable !

Mais voulue par qui au fait ?! J’y reviendrais longuement. Une émigration non assimilable qui, seule, sait nous donner des hordes de barbares qui « courageusement » vont savoir s’en prendre à un gamin de 15 ans afin de le tabasser à mort (Lynchage de Yuri 15 ans, par des racailles, dans le 15ème arrondissement de Paris).

Ce gauchisme-là, c’est un Michel Onfray qui nous explique que c’est le manque de raison qui mène à Dieu. Ou qu’il faut vacciner massivement les Français. C'est celui d'un Aymeric Caron perdu au beau milieu de son délire malthusien, d'un Yann Moix, d'un Yann Barthez ou pire encore d'un Edwy Plennel. Des petits bourgeois qui se moquent du peuple et œuvrent afin d’obtenir l'approbation de la petite caste privilégiée à laquelle ils appartiennent. Ce sont des complices de ces 0.001% ultra riches qui détestent les pauvres et ont gravé dans le granit des Georgia Guidestones leurs intentions à notre égard. Revoyez donc mon article :

http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/01/tout-est-prevu-et-depuis-longtemps.html  

La gauche que je cherche à vous dénoncer, est celle d’un Manuel Valls qui a toujours nié l'existence de ces centaines de « zones de non droit ». Un dénie qui a commencé sous Mitterrand et a perduré pendant 40 ans, alors même que la police n'osait déjà plus mettre les pieds dans ces cités.

C’est ce poison administré à petites doses faites de « ni pute ni soumise » de « touche pas à mon pote » de LGBTQ, de légalisation de l’avortement jusqu’au 9e mois de grossesse qui, progressivement, a empoisonné la France de ce progressisme «progressif » autant que subversif.

Un pays qui, dans les années 60, nous avait donné le TGV, le parc nucléaire, le concorde, Airbus, etc. La France des années 80 aurait pu, par les plans quinquennaux, faire la VRAIE transition écologique, avec des voitures qui consomment peu, etc. À la place, ils ont bardé le pays d’éoliennes et de panneaux photovoltaïques ne produisant presque rien mais polluant ENORMEMENT. Car c’est ça néanmoins qu’ils osent appeler « écologie » un mouvement orchestré par les 0,001% de riches et faisant du CO2 l’ennemi numéro UN à abattre, mais avec l’argent des pauvres.

La gauche a perdu la censure parce que le pouvoir idéologique est passé des mains d’Attali (la France est un hôtel) à Éric Zemmour (l'islam est l'ennemi de la Ripoublique).

La gauche telle qu’on nous la présente depuis Mitterrand est donc une dégénérescence mentale, un bolchévisme remis au goût du jour. Elle passe par la conformité de masse à un récit officiel psychotique totalement illusoire, sans lien aucun avec la réalité et qui est contredit par une prépondérance de faits. Ainsi, après 40 années d’accumulation de ces fariboles socialistes, de collectivisation, de capitalisme de connivence (qui est au capitalisme ce que la vérité est à la politique), l’État français, la Gaule, récolte ce qu’elle a semé : des pauvres, par millions.

Le nazisme et le stalinisme sont les exemples classiques, mais le phénomène est mieux observé dans les cultes nouveaux tels celui du Covid. Il exige des foules un sacrifice ultime, celui de la vie, au même titre que les sacrifices humains chez les Aztèques, la famille Manson, ou le Temple de Jim Jones. Ce gauchisme-là est un rêve messianiste, une idéologie visant à refaçonner l’homme.

Il est fait de « vivre ensemble », de progressisme, de transhumanisme autant que de transsexualité, de laïcité, d’égalitarisme ; le tout assaisonné de bien pensance. Bref ! Ce sont autant de termes qui désignent en fait la dictature de la médiocrité. Faire perdre pieds face à la réalité est le but de cette engeance de malheur : ce ver dans le fruit France, mais aussi dans la corbeille de fruits mondiale.

Il est donc grand temps de balayer tous ces idéologues de malheur, tous porteurs d’idées mortifères pour nos vies et nos intelligences. En effet, en ce bon pays de France, des décrets concernant la santé pondus par des gens qui ne connaissent rien à la santé nous empêchent de bénéficier de nos libertés fondamentales.

Le nombre de morts par pays s’écroule partout, la grippe a disparu et tout le monde semble mourir d’un virus non mortifère dans l’ensemble. Pourtant, partout règne la PEUR. Vu de l’extérieur se monde semble devenu fou.

À Wuhan ou en Suède les restaurants sont ouverts. N’importe quel médecin sait que quelque morts seulement de la grippe, c’est une fake new, injustement attribué au Covid. Or, si l’on désire s’y retrouver au milieu de ce tas de mensonges, il convient de raisonner scientifiquement par le biais de la psychologie expérimentale.

J’en reviens à des expérience faites dans les années 60-70. Commençons par l’expérience de conformité de Asch. Publiée en 1951, c’est une expérience de psychologie. Solomon Asch y démontre le pouvoir du conformisme sur les décisions d'un individu au sein d'un groupe. Asch invita un groupe d'étudiants de 17 à 25 ans à participer à un prétendu test de vision.

Tous les participants étaient complices avec l'expérimentateur, sauf un. L'expérience avait pour objet d'observer comment cet étudiant (le sujet) allait réagir au comportement des autres. Les complices et le sujet furent assis dans une pièce et on leur demanda de juger la longueur de plusieurs lignes tracées sur une série d'affiches. À chaque fois, il fallait qu'ils désignent laquelle était la plus courte, lesquelles étaient de même longueur, etc. Au début, les complices donnent à l'unanimité la même fausse réponse avant de laisser le sujet répondre en dernier.

Tandis que la plupart des sujets répondirent correctement, beaucoup furent assez perturbés, et un grand nombre (33 %) finissait par se conformer aux mauvaises réponses soutenues à l'unanimité par les complices. Les sujets étaient même amenés à soutenir des réponses allant contre l'évidence et leur propre vue, pour par exemple affirmer que deux lignes avaient la même longueur, alors qu’un écart de plus de 5 cm était très visible.

Lorsqu'il n'y avait pas unanimité parmi les complices, les sujets s'émancipaient du groupe pour soutenir la réponse vraie, mais dissidente et contrariante pour le groupe. Des sujets témoins qui n'étaient pas soumis à un point de vue majoritaire, n'eurent aucun mal à donner toujours la bonne réponse. Après l'annonce des résultats, le sujet attribuait généralement sa piètre performance à sa propre « mauvaise vue ».

Ceci rejoint dans une certaine mesure l'expérience de Milgram où le sujet accuse l'expérimentateur d'être responsable de son comportement. Dans les deux cas, le sujet se dédouane de la responsabilité de ses décisions sur un élément extérieur à sa volonté.

Cette expérience marche avec toutes les cultures. Lorsque les différents acteurs débriefaient après l’expérience, une partie reconnaissait ouvertement avoir voulu se conformer au groupe tout en sachant que quelque chose clochait. D’autres se sont auto hypnotisés, auto persuadés afin de se conformer au groupe.

Nous sommes donc l’enjeu d’expériences dans lesquelles l’oligarchie a su, en temps utiles, investir des sommes considérables afin de nous asservir. J’en ai parlé abondamment dans une série d’articles et notamment celui-ci : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2020/10/petite-vision-dystopique-sur-un-monde-de-fous-comme-dirait-le-professeur-montagnier.deuxieme-partie.html  

que je vous encourage à lire ou relire.

J’y parle des expériences de : Laborit, Milgram et Zimbardo, etc., des outils qui nous acheminent, si la gueusaille ne réagit pas très vite, vers des temps messianiques ou plutôt antichristique.

Suite ici : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/02/soixante-annees-d-histoire-pour-en-arriver-a-ca-non-merci-les-mondialistes-partie-4.html

Olivier

Voir les commentaires

Soixante années d’histoire pour en arriver à ça ? Non merci les mondialistes ! (Partie 2)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Je ne vais certainement pas, à l’instar de LREM, raisonner sur la basse de formules et de concepts creux. L’idéologie étant ce qui vous évite de penser, je vais donc résolument dans cette série d’articles, ne m’en tenir qu’aux faits. Je suis tout sauf un idéologue et vais donc essayer de réaliser le parfait cliché de l’instant présent : celui du reset de Klaus Schwab et du Covid-19 de tonton Gates. À la fin, et tout comme le ferait Bill le coyote, mais contre rétribution, je vais vous proposer gratuitement mon antidote : mon vaccin à moi !

Avez-vous remarqué que, désormais, même face aux faits, certains refusent la vérité ? Ils constituent une maladie qui va nécessiter un diagnostic. Nous allons l’effectuer ! Il sera sans concession. Face à la doxa imposée, la pensée unique, si vous avancez à découvert armé d’un seul FAIT allant à l’encontre des idées reçues longuement distillées par nos merdias aux ordres, ou l’école ripoublicaine des frères la truelle, vous êtes rhabillés pour l’hiver et traités de conspirationnistes.

Le mot « complotiste » constitue alors le terme bateau évitant à ces décérébrés de nager dans leurs eaux saumâtres et troubles et de s’y noyer.

-           Monsieur, pensez-vous vraiment que couillonavirus soit dangereux ?

-           Cela nécessitait-il autant de mesures liberticides et de perte de PIB pour une « grosse grippe » qui ne tue que ceux qui possèdent une ou des pathologies graves, et sont déjà, pour la plupart, en fin de vie ?

-           Taisez-vous malheureux, inconscient, égoïste, pensez-donc à nos vieux qui meurent par milliers décimés à plus de 90 ans dans les EHPAD, et tous par ce foutu Covid-19.

-           Oui mais la grippe ?

-           Quoi la grippe ?

-           Ben oui, qui donc a volé la grippe et tout le reste des infections habituelles ?

-           Taisez-vous complotiste, antisémite, allez donc plutôt vous faire vacciner !

L’idéologie bobo castratrice rend donc aveugle et bête tout en rendant certains riches : ceux du conseil de sécurité vendus à Big Pharma. L’idéologie bobo c’est aussi ça

Qu’elle est donc douce cette paresse du politiquement correct qui, chez la plupart, incite à ne plus penser et ne rien faire que se conforter à la norme. Qu’il est néanmoins fort et courageux de penser contre soi. Sortir des sentiers battus et des idées reçues longuement distillées par le système est ici un acte de bravoure. Mais, qu’il est dur en ce monde qui pue la merde à tous les étages, de rester, pour quelques-uns seulement, intellectuellement honnête.

Certains ne sont pas foncièrement malhonnêtes, mais se confronter aux Faits pourrait les ébranler dans leurs certitudes. Les faire sortir de leur zone de confort bien pavée d’idées reçues. Demander des chiffres, des explications, les vrais, revient, au scandale ! à vouloir connaître les chiffres de l’immigration, l’un des tabous majeurs de cette Cinquième Ripoublique. Oser demander combien sont tous ceux qui rentrent chez nous, en France, comme dans un moulin, sans contrôle sanitaire, ni test, est purement indécent : un acte de pure xénophobie.

C’est inconvenant, c’est du racisme. Il est encore possible pour un blanc de dire qu’un autre l’est aussi, mais qu’un blanc appelle un autre « noir » est désormais anathème. Qu’un arbitre de football désigne un autre joueur « noir » parmi d’autre joueurs blancs et passible du buché. Nous vivons en Absurdie, pays utilisant désormais une grille de lecture, une idéologie antiraciste, toute une logorrhée faisant que le politiquement correct a envahi l’ensemble de la classe politique et ses nombreuses ramifications.

Nous vivons peut-être en Absurdie, mais nous vivons aussi et surtout en Hypocrisie, un pays qui « grâce » à ces FAITS va au-devant d’un énorme désastre artistique, culturel, médiatique et surtout économique et humain.

Remarquez ailleurs ce n’est pas mieux ! Mais que voulez-vous, je suis un Gaulois préoccupé par son pays et désireux de voir le parasitisme déguerpir de chez lui. Sus à l'ennemi et mort au ver qui ronge le fruit France depuis trop longtemps déjà.

J’ai tout de même envie de me poser une question, la QUESTION : pourquoi nos dirigeants, les ânes de l’ENA et ceux de science Pipo, semblent-ils aussi cons ? De Macron à Boris Johnson ou Justin Trudeau, ils détestent tous leur pays respectif et sont prêts à le vendre en pièces détachées. Aux USA, les Démocrates semblent plus que nostalgiques du régime communiste. Comment prétendre gouverner son pays si on ne l’aime pas. Si l’on se pose la question, on trouve là, bien planqués en embuscade, des mécanismes de subversions longuement dépeints en ce qui concerne le Canada et de nombreux pays dans mon livre Tonton Malthus est revenu.

Depuis plus de 10 ans, je m’échine, au travers de mes livres, à expliquer que le ver est dans le fruit. Un de ces ver que Machiavel a voulu dépeindre dans son livre Le Prince, ce qui lui valut hélas le triste sobriquet de « machiavélique ». Chez nous, en Gaule, et partout à travers le monde, ce ver a su bien adroitement faire en sorte que la moindre allusion à son comportement parasitaire vous vaille l’anathème : la crucifixion devant la 17e chambre correctionnelle.

Lao Tseu avait cette maxime : « On peut vaincre son ennemi en lui instillant doucement la détestation de soi. » Ils ont su l’exploiter avec dextérité faisant du blanc un raciste primaire, un pollueur xénophobe, un ancien colonialiste non repenti et bien d’autres choses encore. Désormais, ils voudraient nous opposer aux Musulmans qui, pour la plupart, désirent seulement pratiquer leur religion en paix sans qu’un quidam ne vienne blasphémer leur Prophète.

Face aux minorités sexuelles ou autres, nous devons apprendre à vivre avec leur domination idéologique autant que voulue. Merci tonton Soros ! Tout passe par la culpabilisation de l’homme blanc occidental. Rendus coupable d’exister, nous n’avons, pour la plupart, pas jugé utile de défendre notre culture et nos valeurs « désuètes autant que surannées » face à ces minorités dépositaires d’un savoir : le progressisme.  On regarde Viking sur Netflix en oubliant que la valeur dominante chez l’homme blanc est devenue la traitrise et la lâcheté.

Notre mal être ne vient pas de l’immigration de masse ni de l’Islam politique qui est en train de nous déstabiliser. Non. Il vient tout simplement de tous ceux qui, depuis plus de 40 ans, les ont laissés venir. Je parle encore et toujours du ver dans le fruit France.

En un phénomène, un mécanisme de lâcheté, de traitrise collective, de culpabilisation collective instaurée par le biais des médias serviles, ils ont su créer avec une intelligence démoniaque un piège au milieu duquel le peu qui s’est élevé a aussitôt été taxé de raciste, de réactionnaire. Ces résistants au virus ambiant de la conformité se retrouvent bientôt face à une majorité niant, comme avec le Covid, la Vérité nue.

Une crise du Covid-19 où un gouvernement aux abois, noyé dans ses mensonges et contradictions, fait tout pour éliminer les résistant allant même jusqu’à en incarcérer certains en milieu psychiatrique (cas du professeur Jean-Bernard Fourtillan, vu dans le documentaire « Hold-up » si gênant pour ceux qui veulent notre perte.)

Nous sommes donc face à une crise des intelligences doublée d’un fait majeur : celui de refuser de voir les évidences quitte à en saboter le pays. Il y a alors plus de séparatisme entre les élites et le peuple qu’il ne peut y en avoir entre un catholique et un musulman.

Nous sommes face à un Etat centralisateur, directif et jacobin, empli de technocrates ignares refusant la réalité du terrain. Ils vont même jusqu’à interdire aux médecins d’appliquer leur propre thérapie (chloroquine), constituant alors un cas unique dans les annales.

Ils en arrivent ainsi à criminaliser de simples médecins, acteurs de terrain, qui se refusent à appliquer de telles directives allant parfaitement à l’encontre de leur serment d’Hippocrate. Pire encore ! Cette crise de la « démocratie » devrait horrifier tous ceux qui se considèrent comme tels : démocrates, or, ceux qui se présentent comme progressistes, donc démocrates, sont justement ceux qui, sur les plateaux télé, montrent une totale indifférence à l’encontre des attaques répétées contre nos libertés fondamentales.

En voici un simple exemple : Céline Pina, née en 1970, est une femme politique, chroniqueuse et essayiste française. Pour elle, les soignants non-vaccinés « n’ont rien à faire dans ce type de milieu. » 

Et, il est là le fiel, le venin, il est craché en permanence par tous ces idéologues autant gauchistes progressistes qu’aveugles et sourds mais surtout décérébrés. C’est chez eux que l’on retrouve le plus de déclarations qui seraient à mourir de rire si elles n’étaient pas autant inspiré par la bêtise la plus crasse. Jusqu'à une date récente, l'aristocratie puis la bourgeoisie ont successivement instrumentalisé le nationalisme et les frontières pour monter les travailleurs (les « premiers de cordée ou de corvée » comme vous voudrez) les uns contre les autres.

Il était donc logique qu’alors la gauche soit internationaliste. Aujourd'hui, en ce monde/démon aux valeurs inversées, le paradigme s’est retourné et ce n'est pas le fait de la gauche : c'est la grande bourgeoisie, la finance et les capitalistes qui font aujourd'hui l'apologie de la globalisation, de l'abolition des frontières, de l'Europe de Soros, de l'Euro des technocrates, en attendant le grand gouvernement mondial ; un N.O.M. si cher à Jacques Attali !

Il est donc normal qu'un homme réellement de gauche s'oppose à cette imposture manifeste et considère que la seule voie de salut des peuples opprimés reste encore, à ce jour, la nation, la souveraineté et les frontières : valeurs qu’ont longuement défendues depuis de millénaires ceux qui avaient et ont encore en eux cette petite flamme en plus. Ce qui fait de certains Humains, des fils de …

Mais le gauchisme que je veux ici dénoncer réfute qu’une famille ce soit un homme et une femme élevant leurs enfants. 

Suite ici :http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/02/soixante-annees-d-histoire-pour-en-arriver-a-ca-non-merci-les-mondialistes-partie-3.html

Olivier

Voir les commentaires

Soixante années d’histoire pour en arriver à ça ? Non merci les mondialistes ! (Partie 1)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Je ne vais pas jouer les Macron, notre petit roitelet jupitérien qui, lors d’une allocution télévisée, nous l’avait répété six fois, mais oui, nous sommes en guerre. C’est une guerre, la dernière, celle des 99,999 % contre les 0,001 %. Arrivée à son paroxysme, elle sera la plus dévastatrice que l'humanité ait jamais connue. C’est celle des Peuples contre les 0,001 %, une élite assoiffée de pouvoir et ses administrateurs et « scientifiques » achetés.

Elle fera l’objet de cette série d’articles. Je vous invite vraiment à la diffuser à tous ceux que vous aimez. Faite-le, il y a le FEU ! Elle constitue une clé de compréhension de ce marasme actuel.

Cette guerre a déjà commencé, depuis longtemps, mais de manière larvée. C’est d’ailleurs leur marque de fabrique : la lâcheté et l’hypocrisie. Elle a déjà ravagé notre société, la divisant jusque dans les familles et les amis. Et elle va bientôt finir de la ravager en instillant un clivage mortel : celui des vaccinés contre les non vaccinés. L’élite mise sur le fait qu'une fois qu'une civilisation a perdu sa structure fondamentale : la famille, cellule de base et tissu social qui maintient une civilisation ensemble, elle est brisée. Ils ont alors gagné la bataille. Mais certainement pas cette guerre.

Ils misent donc sur les travers humains. Sur le fait que très prochainement, quiconque ne sera pas enthousiasmé à l'idée d'ingérer une soupe infâme, une expérience à l’échelle planétaire dont les fabricants ont été indemnisés de toute poursuite judiciaire, sera considéré comme l’ennemi numéro UN : celui de l'État, et même de ses proches (amis, famille). Il sera séparé de ses enfants ou retiré de son domicile en raison d'un risque pour la santé pourtant pratiquement inexistant. Les voisins le dénonceront avec joie pour un malheureux pot de Nutella supplémentaire. Tout comme en 39-45, même l’individu le plus pleutre et servile pourra se retrouver dans des « camps de quarantaine » pour avoir contrarié la mauvaise personne lèche cul aux ordres de l’élite.

Vous pensez que je suis fou ? Lisez-donc cet article issu du seul journal encore digne de ce nom en Gaule : https://www.francesoir.fr/politique-monde/lallemagne-va-emprisonner-ceux-qui-ne-respectent-par-leur-quarantaine  

Nous sommes en guerre. Non pas contre un virus invisible, mais bel et bien contre un système mondialiste élitiste toujours plus tyrannique, régi par un petit groupe de multimilliardaires, qui a prévu, il y a déjà des décennies, de prendre le pouvoir sur les peuples, de les contrôler, de les réduire à ce que ces 0,001% croit être un « nombre adéquat » pour habiter la Terre et de numériser et robotiser le reste des survivants, POUR LES SERVIR. Nous en arrivons à l’apologie du « 1984 » de George Orwell et du « Brave New World » d'Aldous Huxley. Si nous ne réagissons pas rapidement face à ces psychopathes, cela dépassera même les rêves les plus fous de ces deux écrivains amateurs de dystopie.

Bienvenue dans l'ère du transhumanisme si chère au frère d’Huxley. Voilà pourquoi il convient de tous nous vacciner à vitesse grand V, afin de nous injecter des substances transgéniques qui peuvent modifier notre ADN, de peur qu'une masse critique ne devienne consciente de ces FAITS, et ne change la donne.

La guerre est réelle et plus vite les moutons masqués et distanciés prendront conscience des comportement inhumains que nous avons permis à nos dirigeants aux ordres de nous imposer, plus nous aurons de chances de reprendre notre souveraineté.

Aujourd'hui, ce sont l’illégalité et l’oppression qui règnent en maîtres sur notre pays, toutes imposées sous prétexte de «protection de la santé ». La non-obéissance est punie par d'énormes amendes imposés par des Dark Vador surarmés et aux ordres.

Le port du masque, la distanciation sociale, le maintien dans un périmètre imposé, la mise en quarantaine, l'éloignement de nos amis et de nos familles, constituent autant d’atteintes à nos libertés qu’à notre dignité humaine. Face à ces Kapos qui n’en possèdent aucune, seule doit primer la solidarité. Nous devons redevenir rapidement des êtres à la pensée indépendante et sûrs d'eux, un attribut que nous avons perdu progressivement au cours des dernières décennies, à coups de conditionnement et d’ingénierie sociale. Tout ceci devant déboucher sur le politiquement correct : la pensée unique.

La chose s’est accentuée durant l'assaut néolibéral des années 1980 et son apothéose du 9 novembre 1989, date à laquelle, le Mur de Berlin cessera d'être une frontière étanche. Dès lors, morceau par morceau, les droits de l'homme ont été coupés, achetés sous des prétextes fallacieux et de la propagande de « sécurité ». La PEUR, cette même peur toujours distillée aujourd’hui grâce au « danger » du couillonavirus, a fait que nous avons supplié pour plus de sécurité. Ils nous ont donc rajouté toujours plus de barreaux devant notre liberté et nos droits.

Dès lors que le nombre de personnes qui se réveillent augmente, l’oligarchie de l’ombre est de plus en plus nerveuse et n'épargne aucun effort pour contraindre tous les contradicteurs afin de défendre et promouvoir le récit officiel. Les opinions progressistes de leurs larbins achetés se tournent soudainement vers le récit officiel, défendant les mensonges du gouvernement et de Big pharma.

Qu’ont donc à gagner ces putes vendues à part argent et postes enviables ? Peut-être un certificat de vaccination sans avoir reçu la moindre de ces injections toxiques qu’ils nous réservent pourtant ? Ou un placebo leur ouvrant un quota de CO2 open bar afin de parcourir le monde et bénéficier d’activités agréables comme « avant ».

Si nous ne nous mobilisons pas, cette guerre se poursuivra pour préparer nos enfants et petits-enfants, les générations futures, à s'abstenir de toute convivialité (bar, cinéma, restaurant, concerts, etc.). Ils les endoctrinent déjà à s'éloigner de leurs amis, de leurs collègues d'école, de leurs pairs et à ne pas jouer en groupe les uns avec les autres. Pourquoi ? Afin d’en faire la nouvelle normalité.

Ils veulent une termitière animée par une reine (IA) contrôlant une petite population d'esclaves robotisés, qui ne se déplacent que lorsqu'on leur dit (les nomades de Jacques Attali), ne possèdent rien (les floués de Davos) et reçoivent un revenu universel numérique, en fonction de leur comportement et leur obéissance.

Voilà pourquoi je déclare que : « le glissement feutré des pantoufles, ça va bien ; ça suffit !!! » pourquoi ? Parce que notre esclavage n’a fait que progresser depuis trois siècles. Il a été hallucinatoire (politique) et technique. Il n’existe rien de pire que les batailles qu’on a perdu sans les avoir livrées. « Il faut toujours dire ce que l'on voit : surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l'on voit. » C’est Charles Péguy qui écrivit cela dans Notre jeunesse (1910). Alors, ayons le courage de voir ce que l’on voit, comme il le disait.

J’ai 60 ans, 14 bouquins et quelques centaines d’articles à mon actif. Ecrivant régulièrement sur ces sujets afin de prévenir mes contemporains, j’attends depuis longtemps, et sans joie aucune, l’avènement du Nouvel Ordre Mondial. Je dois néanmoins l’avouer, couillonavirus m’a surpris. Pourquoi ? Parce qu’il a su agir en révélateur des travers humains, et ce, bien au-delà du pensable, de l’imaginable, et très certainement des espoirs des salopards qui l’ont créé.

Le plus grand roman de SF restait à écrire, une horreur bien dégelasse. Je n’ai pas vécu soixante ans pour voir ça, mais c’est, hélas, désormais chose faite, le réel ayant atomisé tout rêve d’écriture d’une dystopie bien plus crasse que celle au sein de laquelle nous évoluons désormais. Bill le coyote en est le réalisateur, Klaus Schwab, l’un des financiers, avec les Soros, les GAFAM, et toute la bande des 0,001 % de psychopathes multimilliardaires.

De l’autre côté du mur, leurs petits capos aux ordres rivalisent d’un zèle à la Joseph Goebbels. Les Véran, Buzyn, Lévy, Salomon, Castex, Macron, et tant d’autres faisant partie de la sarabande de sous-fifres, nous donnent la nausée tant ils semblent s’activer à leur sabbat des sorciers, afin d’y attirer leur maître, un dénommé «Satan ».  C’est tout l’aéropage LREM, La République en marche, qui nous jouent du pipo en permanence avec l’assurance de celui qui se croit investi d’une « noble » cause : celle du fric et du pouvoir qui corrompt tout.

En un paradoxe digne de cette époque de dingues, En Marche, après avoir phagocyté tous les partis, est celui qui incite le plus les Français à l’immobilité en restant cloitrés chez eux à coups de 135€. Ceux-là même qui sont à l’origine de cette distanciation sociale castratrice des sentiments humains, ne font qu’appliquer ce qu’ils sont intérieurement et depuis longtemps, des sans âme, loin, très loin du peuple, n’ayant aucune idée des sentiments qui l’anime autre que leur idéologie progressiste de malheur. Placés loin, sous l’œil de Big Brother, ils ignorent tout de cette base qui sous-tend et soutien cette pyramide luciférienne, la nourrissant, l’enrichissant pourtant, et depuis longtemps. Cette crise du Covid aura su révéler toutes leurs malversations intellectuelles.

Le journaliste Ivan Rioufol a écrit dans son livre « La guerre civile qui vient » ces mots que j’adore : « En France nous avons des démocrates qui n’aiment pas le peuple, des humanistes qui n’aiment pas les gens, des journalistes qui n’aiment pas les faits, des antiracistes qui n’aiment pas les blancs, des progressistes qui aiment tellement les pauvres, qu’ils en font venir toujours davantage. »

J’y ajouterai simplement que nous avons également un petit roitelet qui aime les minets mais déteste son pays et ses habitants qu’il qualifie même de sans culture. Après avoir été des Gaulois réfractaires puis analphabètes et incapables de traverser la rue pour trouver du travail, Jupiter trouve que le peuple n’est pas assez bien pour lui ... Il aurait dû démissionner et refuser de continuer d’être le président de tous ces procureurs qui le jugent pour ce qu’il est : un vendu à l’oligarchie introduit au gouvernement par Rothschild and Co !  Son histoire et son comportement ne sont qu’un copier-coller de ce que je vais ici tenter de démontrer.

Fin de première partie.

Olivier

Suite ici : http://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/02/soixante-annees-d-histoire-pour-en-arriver-a-ca-non-merci-les-mondialistes-partie-2.html

Voir les commentaires

Soixante années d’histoire pour en arriver à ça ? Non merci les mondialistes !

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Je ne vais pas jouer les Macron, notre petit roitelet jupitérien qui, lors d’une allocution télévisée, nous l’avait répété six fois, mais oui, nous sommes en guerre. C’est une guerre, la dernière, celle des 99,999 % contre les 0,001 %. Arrivée à son paroxysme, elle sera la plus dévastatrice que l'humanité ait jamais connue.

C’est celle des Peuples contre les 0,001 %, une élite assoiffée de pouvoir et ses administrateurs et « scientifiques » achetés.

Elle fera l’objet de cette série d’articles Soixante années d’histoire pour en arriver à ça ? Non merci les mondialistes ! qui paraîtront le lundi 1 février.

Je vous invite vraiment à la diffuser à toutes  celles et ceux que vous aimez. Faite-le, il y a le FEU ! Elle constitue une clé de compréhension de ce marasme actuel.

Olivier

Voir les commentaires