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Le vrai faux vrai des négationnistes

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Malgré tous les faits établis par l’équipe d’avocats allemand de Reiner Fuellmich et sa commission sur le Corona, le New-York Times nous apprend la surveillance massive dont font désormais l’objet les « négationnistes » du covid en Allemagne. En ce bon pays, y rappelant des « heures joyeuses », les services de renseignement surveillent les négationnistes du coronavirus.

L’agence nationale de renseignement qualifie cela « d’extrémisme des théoriciens du complot ». Ces individus présentent un risque d’atteinte à l’État.

Pourtant, chose étrange, le ministère de l’Intérieur a pris la peine de dire que le danger que représentent ces « négationnistes » à couillonavirus et les conspirationnistes, ne correspond pas à celui que représentent les groupes extrémistes politiques habituels, y compris les extrémistes islamiques. En conséquence, les autorités mettent en place un nouveau département chargé de traiter ce nouveau type de « fous » : ceux qui cherchent à délégitimer l’État.

Vous pensez bien qu’avec ce que vous avez pu lire dans mes derniers articles y compris ce « Nuremberg deux » que préparent Reiner et son groupe d’avocats à l’encontre des vrais complotistes dans cette histoire : les scientifiques et politiques vendus à Big pharma et l’élite, les autorités serrent les fesses. Elles pensent en effet, et à juste titre, que les groupes négationnistes au coronavirus pourraient continuer à prospérer et constituer une menace après la « fin de la pandémie », surtout lorsque les procès pour crime contre l’humanité vont commencer à éclore partout.

Voilà donc pourquoi tout y passe, ou presque, des poncifs de la bien-pensance actuelle. Nombreux sont les journalistes vendus autant que culottés qui en arrivent même à nier les évidences du style :  l’existence de l’Event 201(exercice de simulation de Bill Gates du 18 octobre 2019) ou encore l’idée que le Great RESET de Davos soit une réalité alors que Klaus Schwab le proclame lui-même dans son livre !

Rappelez-vous de ces journalistes merdeux qui, en leur temps, feignaient d’ignorer l’existence du Groupe élitiste Bilderberg. C’est du même acabit : de l’hypocrisie crasse et puante. Yves Calvi, ce journaliste qui faisait semblant de ne pas connaître le Bilderberg, ni aucun de ses groupements de pression internationaux qui jouent aux dés avec nos vies. J’explique le déroulé de l’émission en détail dans le premier tome du Centième Gueux. Car en effet, l’émission C’est dans l’air, du 4 mai 2008, et dont le thème était « qui dirige véritablement le monde » constitue à elle seule un véritable chef d’œuvre de la langue de bois ou langue de pute, comme vous voudrez.

Traiter quelqu’un de complotiste lorsqu’on a aucun argument, c’est réellement avoir touché le fond du trou des chiottes. Dans notre 4e Reich, un Olivier Véran possède ainsi la « classe » pour être le ministre de la vérité du roman 1984 de Georges Orwell.

Dans son roman, Orwell le nomme Miniver contraction de la fonction  pour Ministry of Truth. Tous ces habitants, ces Aliens de la nébuleuse du mensonge, l’étoile noire des élites satanistes, ce sont eux les vrais complotistes.

Comprenez-moi ! Ce sont les professionnels du mensonges qui traitent celui qui apporte la Vérité de complotiste. Mais avant de devenir complotiste, ce dernier subit un certain nombre de mutations à la Darwin. Il est tour à tour fasciste, conspirationniste, populiste, pour en arriver au grade le plus élevé dont je me targue : celui de complotiste 5e dan.

Dans mon second livre, écrit il y a neuf ans, je raconte comment on en est arrivé à l’Europe après de multiples trahisons de nos élites, vraies complotistes. Dans ses mémoires, Jean Money raconte ainsi « nous étions des conspirationnistes. Un commando qui travaille en secret. » Tant il est vrai que le tandem Money-Schuman a su nous vendre aux USA via la CIA. Nous en sommes depuis embourbés dans une Europe phagocytaire à cracher sur un potentiel allié de poids : la Russie de Poutine.

Pourtant il y a de vraies questions à soulever. J’aimerais que l’on m’explique pourquoi, par exemple, il y a de plus en plus de conspirationnistes au sein du peuple, des millions de « fous » qui pensent qu’il n’y a pas d’épidémie et que tout cela est une invention ?

Pourquoi veulent-ils, preuves à l’appui (QR code- passeport sanitaires, vaccination imposée), brider et limiter nos libertés ? Pourquoi l’Etat aurait-il peur d’être « délégitimé » par quelques « complotistes fous » ? S’ils ne disent que des conneries, leurs théories s’envoleront vite au vent. Pourquoi donc une telle crainte de la part de l’Etat ?

Pourquoi ? Simplement parce que l’origine du mensonge, sa racine, là d’où tout provient, ce sont nos gouvernements. Des menteurs éhontés nous dirigent et veillent à notre malheur pour le compte des Gates, des Rothschild, des Soros, des Rockefeller, etc. Souvenez-vous simplement de quelques frasques croquignolesque de leurs capos : Sibeth Ndiaye qui porte si bien son nom, Agnès Buzyn, Jérôme Salomon le croquemort de nos soirées, etc. pour en arriver à Olivier Véran qui dit tout et son contraire au gré du vent changeant.

La Vérité est que notre réalité dépasse toute fiction, c’est la réalité qui est devenue tellement vraie qu’elle en EST complotiste !

Le mensonge et l’hypocrisie sont dans nos gènes, ils sont la norme !

De l’industrie du tabac qui mentait comme une arracheuse de dent, jusqu’à Big pharma qui, par le biais d’un tentacule gluant ; le laboratoires Servier (et tous les autres), enserre la France, la réalité est complotiste. Elle est complotiste, des vraies causes de nos deux conflits mondiaux, en passant par Pearl Harbor, Tchernobyl et son nuage qui n’atteindra jamais la France, jusqu’au 11-Septembre 2001, puis désormais couillonavirus. OUI. C’est bel et bien la réalité qui est complotiste.

En ce monde-démon vendu à ces mondialistes-satanistes, la Vérité est inversée. Toutes celles et ceux qui ne pensent pas UNIQUE doivent être fliqués, car l’Etat autoritaire d’un petit macaron déteste tout ce qui pense, réfléchit ou est indépendant !

En échange de son aide, il vous demande de ne plus penser, d’obéir car si vous êtes indépendant, « non essentiel » comme ils disent afin de les détruire, vous n’avez pas besoin d’aide. Si vous n’avez pas besoin d’aide, Macron et ses sbires ne servent à rien, domaine où ils excellent déjà des tréfonds de leur connerie abyssale !

Tous ceux qui divergent sont des monstres divergents. Ils sont donc marqués par la Bête 666 et taxés d’un isme : fascisme, complotisme, survivalisme, extrémisme … Bienvenue chez BIG BROTHER et son ministère de la Vérité. « Saint Véran », priez pour nous à l’heure de notre mortelle piquouze …

À suivre.

Olivier

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L’évolution du mensonge dans nos sociétés (suite et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

De nombreuses personnes âgées avaient déjà de graves problèmes de santé préexistants. La plupart seraient restées chez elles, si elles n'avaient pas été prises de panique par les déclarations délirantes des merdias et autres politiques véreux.

Elles se sont précipitées vers les hôpitaux pour y tomber en nombre victimes d'infections liées aux soins de santé ou d'infections nosocomiales d'une part, et d'incidents liés à des fautes professionnelles d'autre part.

Et puisqu’il fallait que tous soient morts du Covid-19 et surtout pas d’autre chose, il avait été initialement, assez curieusement, recommandé de ne pas pratiquer d'autopsie et il existe de nombreux rapports crédibles selon lesquels des médecins et des hôpitaux du monde entier ont été payés pour avoir déclaré une personne décédée comme étant victime du Covid-19 plutôt que d'inscrire la véritable cause du décès, sur le certificat de décès.

Que dire aussi du fait que le confinement a été imposé alors que le virus était déjà en recul. Lisez concernant ce sujet mes articles sur la protection contre le virus grâce à l'immunité croisée ou à l'immunité des cellules T. Cette merveilleuse machine qu’est notre système immunitaire possède une mémoire d’éléphant.

Elle se souvient de l’intrus même s’il change légèrement de déguisement, ce qui n’est hélas plus le cas post vaccination. Cela est vrai, hors vaccination même si une souche légèrement différente du coronavirus est à l'œuvre, et ce parce que le système immunitaire de l'organisme se souvient de tous les virus qu'il a combattus dans le passé et, à partir de cette expérience, il reconnaît également une souche supposée nouvelle mais toujours similaire du virus de la famille des Corona.

C'est d'ailleurs ainsi que le test PCR pour la détection d'une infection a été inventé par le psychopathe Drosten. Dès janvier 2020, sur la base de ces connaissances parcellaires, il a mis au point son test PCR qui est censé détecter une infection par Sars-Cov-2. Il a bricolé son test au pif puis l’a envoyé en Chine afin de déterminer si les victimes du prétendu nouveau coronavirus avaient été testées positives. Ils l'ont fait et cela a suffi pour que l'OMS sonne l'alarme de la pandémie et recommande l'utilisation mondiale du test PCR de Drosten pour la détection des infections par le virus, maintenant appelé Sars-Cov-2.

Le test PCR ne donne aucune indication d'une infection par un virus quelconque, et encore moins d'une infection par Sars-Cov-2.

Il n’est expressément pas approuvé à des fins de diagnostic, comme cela est correctement indiqué sur les brochures accompagnant ce test. Au contraire, ils sont tout simplement incapables de diagnostiquer une quelconque maladie. Ainsi, un résultat positif au test PCR ne signifie pas qu'une infection est présente, et encore moins par le virus Sars-Cov-2, qui est contagieux.

On ne sait toujours pas si le virus de Wuhan a été isolé de manière scientifiquement correcte, de sorte que personne ne sait exactement ce que nous recherchons lorsque nous effectuons des tests. D'autant plus que ce virus, tout comme les virus de la grippe, mute rapidement. Les échanges des PCR prennent une ou deux séquences d'une molécule qui sont invisibles à l'œil humain et doivent donc être amplifiées en plusieurs cycles pour la rendre visible. Tout ce qui dépasse 35 cycles est, comme le rapporte le New York Times et d'autres, considéré comme non fiable et scientifiquement injustifiable. Cependant, celui de Drosten, ainsi que ceux recommandés par l'OMS, sont fixés à 45 cycles.

Le test PCR ne peut pas distinguer les matières inactives de celles qui sont reproductrices. Un résultat positif peut donc se produire parce que le test détecte un débris, un fragment de molécule, qui peut ne signaler rien d'autre que le fait que le système immunitaire de la personne testée a été enrhumé dans le passé. Si les instances dirigeantes souhaitent avoir énormément de positifs, c’est simplement parce que le Corona est une opportunité commerciale très lucrative pour l'industrie pharmaceutique dans son ensemble. En bref, ce test ne peut détecter aucune infection, contrairement à toutes les fausses affirmations selon lesquelles il le pourrait.

Entre-temps, un certain nombre de scientifiques très respectés dans le monde entier supposent qu'il n'y a jamais eu de pandémie de Corona mais seulement une pandémie de test PCR. Le plus récent de ces avis est celui du Dr Mike yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, qui a occupé ce poste pendant 16 ans. Lui et ses co-auteurs, tous des scientifiques de renom, ont publié un article scientifique en septembre 2020

Entre autres, ils déclarent : « nous basons notre politique gouvernementale, notre politique économique et la politique de restriction des droits fondamentaux, vraisemblablement, sur des données et des hypothèses complètement fausses concernant le coronavirus. Sans les résultats des tests qui sont constamment rapportés dans les médias, la pandémie serait terminée car rien ne s'est vraiment passé. Bien sûr, il existe des cas individuels de maladies graves, mais il y en a aussi dans chaque épidémie de grippe. Il y a eu une véritable vague de maladie en mars et avril, mais depuis lors, tout est rentré dans l'ordre.

Seuls les résultats positifs augmentent et diminuent de façon spectaculaire selon le nombre de tests effectués, mais les cas réels de maladie sont terminés. On ne peut pas ne pas parler d'une deuxième vague. La prétendue nouvelle souche du coronavirus n'est, poursuit le Dr yeadon, que nouvelle et il s'agit d'un nouveau type du virus Corona connu depuis longtemps. Il existe au moins quatre coronavirus endémiques qui provoquent certains des rhumes, les plus fréquents que nous connaissons, surtout en hiver.

Ils présentent tous une similarité de séquence frappante avec le coronavirus et, comme le système immunitaire humain peut reconnaître la similarité avec le virus qui aurait été découvert récemment, une immunité des cellules T existe depuis longtemps à cet égard. 30 % de la population en bénéficiaient avant même l'apparition du prétendu nouveau virus. Il suffit donc, pour que la soi-disant immunité collective soit efficace, que 15 à 25 % de la population soit infectée par le prétendu nouveau coronavirus pour arrêter la propagation du virus, et c'est le cas depuis longtemps ».

Le Dr yeadon, en accord avec les professeurs d’immunologie : Camera, d'Allemagne, Capel, des Pays-Bas et de Cahill en Irlande, ainsi qu'avec un microbiologiste autrichien, le Dr Arve, qui ont tous témoigné devant la commission allemande de Reiner sur le Corona, souligne qu'un test positif ne signifie pas qu'un virus intact a été trouvé. Les auteurs expliquent que ce que le test PCR mesure « simplement la présence de séquences partielles d'ARN présentes dans le virus intact qui pourrait être un morceau de virus mort qui ne peut pas rendre le sujet malade et ne peut pas être transmis et ne peut pas rendre quelqu'un d'autre malade ».

Conclusion : Bill le coyote peut se frotter les mains même si sa pintade lui pompe la moitié de sa fortune en cas de divorce. Pourquoi ? Parce qu’avec de pareils tests, le virus du Covid-19 ne disparaîtra jamais, il sera toujours faussement détecté chez une grande partie de ceux qui se feront testés.

Les confinements, ne fonctionnent pas. La Suède, avec son approche de « laissez-faire », et la Grande-Bretagne, qui a fait tout l’opposé avec son confinement strict, ont des statistiques sur les maladies et la mortalité tout à fait comparables. En ce qui concerne le désormais tristement célèbre collège impérial de Londres, et son tristement célèbre professeur Neil Ferguson que je site dans De Mammon à Corona, leurs modèles informatiques sont à mettre à la poubelle.

En effet, en la personne de ce triste sire, Albion possède aussi son « Drosten » à elle toute seule. Ferguson est, pour les Anglais, celui qui, au travers de ses modèles informatiques complètement faux, annonçait l’apocalypse chez les mangeurs de confiture avec des millions de décès.

Ferguson avait prédit 40 000 morts dû au Corona, en Suède, en mai 2020 et 100 000 en juin, mais il est resté à 5800. Ce qui, selon les autorités suédoises, équivaut à une légère grippe.

Sans ces fichus tests PCR comme outil de diagnostic des infections au Corona, il n'y aurait pas de pandémie et il n'y aurait pas de confinement, mais un simple « brise » perçu comme une vague moyenne ou légère de grippe. Ce n’est pas moi qui le dis, mais les scientifiques honnêtes.

Hélas, c’est tout le contraire qui s’est produit ! Et les mesures liées au Corona ont causé et vont continuer à causer des dommages sanitaires et économiques gigantesques. Davantage de scientifiques, mais aussi de juristes, reconnaissent que du fait de la panique délibérée et des mesures liées au Corona rendues possibles par cette panique, la démocratie risque fort d'être remplacée par des modèles totalitaires fascistes.

Comme je l'ai déjà mentionné ci-dessus, en Australie, les personnes qui ne portent pas les masques, dont de plus en plus d'études montrent qu'ils sont dangereux pour la santé, ou qui ne les porteraient pas correctement, sont arrêtées, menottées et jetées en prison. Aux Philippines, ils courent le risque de se faire tirer dessus. Mais même en Allemagne et dans d'autres pays anciennement civilisés : les enfants sont enlevés à leurs parents s'ils ne respectent pas les règlements de quarantaine, les règlements de distance et les règles de port du masque.

L’élite qui a fomenté ce PLAN savait pertinemment que sur la base des recommandations que quelques fous : des Ferguson, des Drosten et l’OMS, les gouvernements du monde entier décideraient du confinement, des règles de distanciation sociale et du port obligatoire de masques. Ces derniers représentent un risque très grave pour la santé, comme le montrent de plus en plus d'études indépendantes et de déclarations d'experts.

Selon les règles du droit de la responsabilité civile, tous ceux qui ont été lésés par ces confinements induits par les tests PCR ont droit à une indemnisation complète de leurs pertes.

Il existe notamment un devoir de compensation, c'est-à-dire une obligation de verser des dommages et intérêts pour le manque à gagner subi par les entreprises et les travailleurs indépendants en raison du confinement et d'autres mesures.

Le recours collectif est basé sur le droit anglais et existe aujourd'hui aux États-Unis et au Canada. Il permet à un tribunal d'autoriser une plainte pour dommages et intérêts à être jugée comme un recours collectif à la demande  si un événement causant un dommage à un grand nombre de personnes subit le même type de dommage. Un juge peut autoriser une action collective si des questions communes de droit et de fait constituent l'élément essentiel de l'action.

L'avantage est qu'un seul procès est nécessaire. Il s'agit en effet de juger la plainte d'un représentant des demandeurs qui est affecté d'une manière caractéristique de tous les autres membres de la classe. C'est d'abord moins cher et ensuite plus rapide que des centaines de milliers, ou plus, de procès individuels. Et troisièmement, cela impose une charge moins lourde aux tribunaux.

Ces faits scandaleux, relatifs au Covid-19, recueillis pour la plupart par la commission du Corona et résumés ci-dessus, sont les mêmes faits qui seront bientôt prouvés, soit dans un tribunal, soit dans de nombreux tribunaux du monde entier. Ce sont ces faits qui feront tomber les masques sur les visages de tous les responsables de ces crimes.

Fin

Olivier

 

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L’évolution du mensonge dans nos sociétés (partie une)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Reiner Fuellmich a pratiqué le droit principalement en tant qu'avocat plaidant contre la Deutsche Bank, VW, aujourd'hui connu pour sa fraude géante sur le diesel et Kuehne and Nagel, la plus grande compagnie maritime au monde. Il est également l'un des quatre membres de la commission d'enquête allemande sur le Corona. Depuis le 10 juillet 2020, ce comité écoute un grand nombre de témoignages de scientifiques et d'experts internationaux pour trouver des réponses aux questions sur la crise du Corona, que de plus en plus de personnes dans le monde entier se posent.

Lui et son équipe considèrent que, sur le plan politique, tout doit être fait pour que plus jamais personne ne soit en position de pouvoir tromper l'humanité ou tenter de nous manipuler avec ses programmes corrompus. D’où l’intérêt d’avoir constitué un réseau international d'avocats qui plaidera bientôt contre la plus grande affaire de délit civil de tous les temps : le scandale de la fraude Corona, qui s'est entre-temps transformée en probablement le plus grand crime contre l'humanité jamais commis. C’est-à-dire ce fameux Nuremberg deux auquel j’ai déjà consacré un article : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/05/un-second-nuremberg.html  

C’est suite aux procès de Nuremberg après la Seconde Guerre mondiale, qu’aujourd'hui, les crimes contre l'humanité sont régis par l'article 7 du code pénal international. Au passage, il convient de préciser que Reiner est citoyen allemand, un pays particulièrement discipliné comme aime à le préciser Tedros Adhanom Ghebreyesus l’actuel « gentil » directeur de l’OMS, patronné par Bill Gates, et qu'à ce titre, l’Allemagne devait donc devenir un modèle pour le reste du monde pour son respect strict, et bien sûr réussi, des mesures de lutte contre le Corona.

Reiner et son équipe font pourtant le constat que le très « dangereux virus » qui a si bien su conditionner ses compatriotes n'a causé aucune surmortalité dans le monde et certainement pas en Allemagne. Reposant uniquement sur les résultats du test PCR, qui sont à leur tour tous basés sur le test allemand Drosten, cette pandémie n’a été virale que pour l’économie d'innombrables entreprises et individus dans le monde entier.

En Australie, des personnes sont jetées en prison si elles ne portent pas de masque ou si elles ne le portent pas correctement selon les autorités. Ceux qui auront lu mon précédent articles comprendront pourquoi. https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/05/tu-veux-ou-tu-veux-pas.html

Aux Philippines, les personnes qui ne portent pas de masque ou qui ne le portent pas correctement, en ce sens, se font tirer une balle dans la tête. Les faits exposés ici sont le résultat du travail de sa commission d'enquête sur le Corona. Ce comité a été fondé le 10 juillet par quatre avocats afin de déterminer par l'audition de témoignages de scientifiques internationaux et d'autres experts : quel est le danger réel du virus ?

Que signifie être positif à un test PCR ?

Quels sont les dommages collatéraux causés par les mesures relatives au Covid-19, tant sur la santé que l'économie mondiale ?

Son équipe est lui partent du constat de ce qui s'est passé en mai 2019, puis au début de 2020 dans son pays tout en mettant en relation des faits remontant 12 ans plus tôt avec la grippe porcine.

En mai 2019, la CDU, le plus important des deux partis politiques allemands, avait tenu un congrès sur la santé mondiale. Lors de ce congrès, Angela Merkel et l’actuel secrétaire allemand à la santé Jens Spahn avaient prononcé leurs discours.  Mais l’équipe d’avocats s’étonne du fait que des individus particuliers y étaient également présents.

Le professeur et croquemitaine Drosten, virologue de l'hôpital de la Charité à Berlin, le professeur Wheeler, vétérinaire et directeur du RKI, (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies), ainsi que le directeur de l'organisation mondiale de la santé, l'OMS. Tous y ont prononcé des discours. La fondation Bill and Melinda Gates était également « du bal », et y a prononcé des discours.

Moins d'un an plus tard, les mêmes individus faisaient le forcing dans la proclamation de la pandémie mondiale, tout en faisant en sorte que des tests PCR de masse soient utilisés pour prouver artificiellement et mondialement les infections massives au Covid-19. Et bien entendu, ce sont les mêmes qui font maintenant pression pour que des vaccins soient vendus et administrés dans le monde entier.

Il est important de noter DANS CETTE HISTOIRE, comme je l’explique dans un article datant désormais de plus d’un an, que la définition d'une pandémie avait été modifiée 12 ans plus tôt, du temps de la grippe porcine. Jusqu'alors, une pandémie était considérée comme une maladie qui se propageait dans le monde entier et qui entraînait de nombreuses cas graves et des décès.

Soudain, et pour des raisons jamais expliquées, elle était censée être uniquement une maladie mondiale, de nombreuses maladies graves et de nombreux décès n'étant plus nécessaires pour annoncer une pandémie.

Grâce à ce changement, l'OMS, qui est étroitement liée à l'industrie pharmaceutique mondiale, a pu déclarer la pandémie de grippe porcine en 2009, avec pour résultat que des vaccins ont été produits et vendus dans le monde entier sur la base de contrats qui ont été tenus secrets jusqu'à aujourd'hui.

Souvenez-vous de la commande de la ministre de la Santé d’alors : Roselyne Bachelot, et combien cette sinistre bévue a couté aux Français. Ces vaccins se sont révélés totalement inutiles, car la grippe porcine s'est finalement révélée être une grippe bénigne et n'est jamais devenue l'horrible fléau que l'industrie pharmaceutique et ses universités affiliées ne cessaient d'annoncer.

Comme aujourd’hui, il y allait avoir des millions de morts si les gens ne se faisaient pas vacciner. Et comme actuellement, ces vaccins ont également entraîné de graves problèmes de santé avec nombre d’effets secondaires.

En Europe, environ 700 enfants sont devenus narcoleptiques. Ils sont maintenant gravement handicapés à vie. Les vaccins achetés avec les millions du contribuable ont dû être détruits avec encore et toujours l’argent du contribuable. Déjà à l'époque, lors de la grippe porcine, le vampire virologiste allemand Drosten était de ceux qui ont semé la panique dans la population en répétant sans cesse que la grippe porcine ferait des millions de morts dans le monde entier.

Arrive mars 2020, lorsque l’Allemagne annonce une pandémie, une fois encore il n'y a qu'une seule opinion sur laquelle le gouvernement fédéral allemand fonde sa décision : celle d’un parfait psychopathe. La seule personne qu'ils ont écoutée était Drosten, le catastrophiste fou d’il y a douze ans.

Ils l’ont fait alors qu’il y avait un certain nombre de scientifiques de grande renommée qui avaient une opinion complètement différente de la sienne parfaitement pilotée par Big pharma. Et cette opinion était qu'il n'y avait pas de maladie dépassant la gravité de la grippe saisonnière, que la population avait déjà acquis une immunité croisée ou des cellules T contre ce prétendu nouveau virus, et qu'il n'y avait donc aucune raison de prendre des mesures spéciales. Et certainement pas des vaccinations.

Il n'y avait aucune raison pour que le public panique. D’autre part, j’en ai déjà parlé : l'inutilité des tests PCR pour la détection des infections était flagrante autant que celle des confinements basés sur des infections inexistantes. Le « fait » que les systèmes de soins de santé étaient en danger d'être submergés par le Covid-19 n’était également qu’une fake new distillée, tant en France qu’à l’étranger, par ceux-là même qui traitent de complotistes tous ceux qui prêchent la vérité sur cette mascarade.

N’oubliez pas qu’en France Macron a refusé la proposition du Président des cliniques privées. De nombreux hôpitaux sont restés vides à ce jour et certains sont aujourd'hui menacés de faillite. Il n'y a eu nulle part de surmortalité due à un virus certainement pas plus méchant que la grippe saisonnière.

La vérité c’est qu’en Allemagne comme ailleurs, la population a été délibérément poussée à la panique par les politiciens et les médias dominants. Un schéma se dégage alors de ce triste scénario : celui que le peu de décès se sont avérés être le résultat non pas du Covid-19 mais plutôt la conséquence de la décision des gouvernements de transférer les patients malades, probablement atteints du rhume ou de la grippe saisonnière, des hôpitaux vers les maisons de repos, afin de faire de la place dans les hôpitaux pour tous les patients atteints de Covid qui ne sont finalement jamais arrivés.

Là, dans les maisons de retraite, ils ont ensuite infecté des personnes âgées dont le système immunitaire était gravement affaibli, généralement en raison de problèmes médicaux préexistants.  Je ne parle même pas des malheureux ayant déjà reçu un vaccin et qui, ayant affaibli le système immunitaire, sont hélas tombés comme des mouches (surtout dans les Ephad).

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/05/l-evolution-du-mensonge-dans-nos-societes-suite-et-fin.html

Olivier

 

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Tu veux ou tu veux pas ?

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

De quoi ? Des vaccins auto-propagateurs !

L’idée du chanteur était alors encore sympa, c’était du temps de Marcel Zanini, un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaître. Avec Johns Hopkins, on ne parle plus de la même chanson et le refrain est plus morbide.

Avec « Johns », on apprend en fait que les vaccins auto-propagateurs ne sont pas un mythe. L'Université Johns Hopkins le confirme. Tu veux ou tu veux pas, « c’est pas l’problème car tu l’aura quand même ! »

L’université nous apprend qu’ils ont entre autre été conçus par le virologue Nobel australien Sir Macfarlane Burnet.

Mac Burnet (1899-1985), était un virologue australien spécialisé dans le domaine de l'immunologie. Il dirigea des recherches avancées sur les bactériophages et les virus à l'Institut de recherche médicale Walter et Eliza Hall de Melbourne. Ses recherches en virologie aboutirent à d'importantes découvertes concernant la nature, la réplication et l'interaction des virus avec le système immunitaire.

Jeune étudiant agnostique à partir de 1917, il commence ses études de médecine. Il s’intéresse alors et approfondit ses connaissances sur les travaux de Darwin et se trouve grandement influencé par les idées de H. G. Wells sur la science et la société.

En 1967, Burnet va écrire « Endurance of Life » un bouquin aux visées franchement eugénistes et sociobiologiques. Les idées développées dans sa littérature vont de la peine capitale à l’intérêt de débarrasser la société des « parasites » : indésirables et malades mentaux. On croirait lire le Meilleur des Mondes d’Huxley, tant l'avortement pour la sélection de la population et l'euthanasie pour les indignes y sont présents, incluant en particulier l’euthanasie des handicapés et des vieux lorsqu'ils ne sont plus productifs.

Et pourtant, style Jacques Attali en son temps, pépère semblait oublier qu'il ait lui-même 79 ans lorsqu'il a écrit ce livre. Mais le plus étrange, c’est que les 13 autres livres que Burnet a écrit durant sa retraite reprennent presque mot pour mot ce que nous lisons sur les Georgia Guidestones. Burnet avait « un protégé » : Sir Gustav Victor Joseph Nossal (né le 4 juin 1931), un biologiste de recherche australien d'origine juif-autrichienne, devenu célèbre pour ses contributions aux domaines de la formation d'anticorps et de la tolérance immunologique.

Passons à une définition : celle du Commonwealth Scientific and Industrial Research Organisation ou CSIRO pour (Organisation fédérale pour la recherche scientifique et industrielle), c’est l'organe du gouvernement australien pour la recherche scientifique qui joue un certain rôle dans mon récit. Il a été fondé en 1916 sous le titre originel d'Advisory Council of Science and Industry.

C’est pour le malheur des lapins, et la joie des fermiers australiens et la perplexité des spécialistes de la gestion des équilibres écologiques que l’homme et ce CSIRO allaient bientôt mettre leur « grain de sel virologique » dans une sombre histoire de migrants.

Il fallait en effet tester un moyen d'enrayer la prolifération du lapin européen, fléau pour l'écologie et l'économie australienne. Au milieu du 20e siècle, un fermier en avait importé une douzaine, un vrai désastre à venir pour les cultures australiennes.

Dès lors, la question serait : qui aurait le plus vite la peau des lapins d'Australie ? L’invasion datant des années 40, la réponse viendrait dix ans plus tard, avec la myxomatose. Le virus, identifié au Brésil comme tueur de lapins, était lâché sur l'Australie. En deux ans, le nombre de lapins australiens allait passer de 900 à 100 millions... et regrimper aussi sec. Pourquoi ? Le virus, en mutant, a lâché prise. Mais pas les autorités australiennes.

C’est ainsi qu’à partir de 1992, on retrouve mon fameux CSIRO (équivalent local du CNRS) en train de monter une nouveau projet de lutte biologique anti-lapin. Avec un autre virus, signalé pour la première fois en 1984 en Chine et fort répandu aujourd'hui en Europe du Nord : le VHD.

Les chercheurs australiens le testent et en mars 1995, le VHD est lâché sur une petite population de lapins parqués dans une parcelle d'un kilomètre carré bien ceinturée, et installée sur une île du sud de l'Australie, au large d'Adelaïde. Les lapins de l'île tombent malades. Mais, pas de bol, ceux du continent aussi, par milliers, dès la fin octobre... Dès lors, ce sera la catastrophe, tant les victimes de la « maladie hémorragique du lapin » (VHD), pour viral hemorragic disease, tombent comme des mouches en moins de 24 heures.

Qu'importe, les fermiers se réjouissent !  Néanmoins, c'est la seconde fois dans l'histoire mondiale de la lutte biologique qu'une maladie infectieuse est utilisée pour limiter une population de vertébrés, le seul antécédent étant la myxomatose.

Ainsi, semblant m’être éloigné de mes « héros du jour » à cause des lapins, je reviens à mon fil d’Ariane. Car en effet, c’est Sir Gustav Nossal et le CSIRO qui ont développé le virus de la myxomatose. Utilisé pour la première fois en Australie, c'était le premier virus auto-propagateur au monde qui se reconnaissait lui-même et agissait comme un vaccin provoquant une suppression immunitaire. Ceux qui ont l’habitude de me lire commenceront ici à comprendre l’HORREUR.

Et pour revenir un instant à l'Université Johns Hopkins, elle nous apprend également que ce n’est pas Wuhan, mais l’'Australie qui, en fait, techniquement, est le point de départ du génocide Covid en cours. Et qu’en fait de virus, les Gates père et fils ne sont pas mal non plus. Burnet et William Gates, le père de Bill le COYOTE, étaient amis. Déjà là, ça ne sent pas bon du tout !

William Gates a créé sa fondation, rebaptisée plus tard Bill & Melinda Gates Foundation. Le protégé de Burnet, Gustav Nossal a continué à travailler pour la fondation et l'OMS après la mort de Burnet en 1985. Il a mis en œuvre leur plan Burnet-Gates Senior.

Après le départ à la retraite de Burnet en 1965, Nossal devient directeur du Walter and Eliza Hall Institute of Medical Research, à l'âge de 35 ans, poste qu'il conserve jusqu'en 1996. Parallèlement, il est professeur de biologie à l’Université de Melbourne. Ces recherches portent sur l’immunologie fondamentale, dans le domaine de la « formation d'anticorps et de la tolérance immunologique ».

De 1970 à 73, Nossal sera président de l'organe mondial d'immunologie : l’Union internationale des sociétés d'immunologie ; Président de l’Académie australienne des sciences (1994-1998) et de moult autres institutions gratinées. Mais retenez qu’il a été surtout président du comité de supervision du programme des vaccins et produits biologiques de l’Organisation mondiale de la santé (1993-2002) et président du conseil consultatif stratégique du programme de vaccination des enfants de la Fondation Bill & Melinda Gates (1998-2003).

Abordons maintenant un FAIT : celui du transhumanisme déjà depuis longtemps dans les valises de certains eugénistes. La réunion, ou plutôt la protohistoire de la bio ingénierie, nous la devons à quelques individus. Cette histoire rejoins bien à propos mon précédent article « Le rêve d’Huxley » https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/05/le-reve-d-huxley.html  avec cette question à la clé : Qu’arrive-t-il lorsque la biologie et les technologies numériques fusionnent ?

Le père de Bill Gates et Burnet étaient amis avec l’eugéniste William Shockley. Avec Shockley nous pénétrons dans la Silicon Valley. Mais là aussi, le tableau est peu ragoutant. Les pères fondateurs de la Silicon Valley ont aussi et SURTOUT leur part d’ombre. Shockley est à l’origine d’une des inventions majeures du 20e siècle : le transistor bipolaire, qui inaugure l’ère des semi-conducteurs et de la miniaturisation de l’électronique en 1951.

Il invente ce transistor au MIT, mais il décide de déménager en Californie pour poursuivre ses recherches. C’est donc lui qui emmène le Silicium (silicon en anglais), composant des semi-conducteurs, dans la vallée. Lui comme beaucoup d’autres de cette mouvance est un personnage aussi ambitieux qu’obscure, aux idées teintées d’eugénisme, de racisme et d’hyper-individualisme.

Nous passons de Gates père à Burnet puis Nossal en un long convoi macabre devant nous amener à un Bill le coyote nous regardant tous par sa Windows avec des idées folles de vaccinogue enragé. La route qui mène en enfer est décidemment pavée de « bonnes » intentions toutes plus eugénistes les unes que les autres !

Le laboratoire américain d'armes biologiques basé à Fort Detrick dont je parle dans mon livre De Mammon à Corona avait mandaté Burnet qui, déjà à l’époque, n’avait rien trouvé de mieux que de proposer la diffusion d’un virus grippal Carona sur la Chine, ce dès 1947. Tout ceci nous parle d’individus faisant mumuse avec des virus et nous considérant ni plus ni moins que des lapins devenus trop nombreux à détériorer ce qu’ils considèrent comme LEURS vastes prairies.

Les premières tentatives fructueuses de modification de l’ADN cellulaire ont été réalisées dès les années 1980. Après, les nucléases synthétiques (protéines capables de couper l’ADN) seront développées au début des années 2000. Il a cependant fallu attendre 2012 et l’invention de la technique CRISPR-Cas9 pour que l’édition du génome connaisse une véritable révolution. Mais dès la fin des années 1970, le gouvernement australien et son CSIRO développaient déjà l'édition de gènes CRISPR. C’est cette biotechnologie CRISPR qui est utilisée pour l'arme biologique « vaccinale » auto-propagatrice du Covid.

C’est Melbourne, en Australie, qui est le point zéro pour cette technologie avec en arrière-plan le clan familial Gates. Le pays a, dès mars 2020, appliqué des mesures strictes pour lutter contre la pandémie de Covid autant au niveau national qu’international. Les états ont fermés leurs frontières rendant tout déplacement impossible entre eux sans permis ou autorisation etc. C'était le point zéro pour les couvre-feux, les verrouillages, le refus de la liberté de mouvement et le port de masques.

Les techniques se sont ensuite très vite répandues dans le monde entier. Burnet et Gates père étaient tous deux eugénistes liés à la société eugéniste de Londres (l'institut Gaulton). Bill Gates a donc baigné dans cette ambiance depuis son enfance. Il exécute actuellement le PLAN de ses pairs et de son père aidé en cela par les idées nauséabondes de Burnet.

À suivre mes lapins.

Olivier

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Le rêve d’Huxley

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Qu’arrive-t-il lorsque la biologie et les technologies numériques fusionnent ?

Tout comme l’arrivée du numérique et des IPhone a su, en son temps, bousculer nos vies, avec le rêve d’Huxley, nous sommes à la veille d’une autre perturbation de même ampleur.

Les technologies numériques et les systèmes biologiques commencent à se fusionner d’une manière qui fait saliver à l’avance Davos et sa clique de vendus. Elle va bouleverser en profondeur nos hypothèses sur la société, sur l’économie et sur notre corps. C’est ce que l’on appelle la convergence bio numérique.

Tel que le voit le vieux Klaus, elle va modifier notre corps, notre esprit et notre comportement. Elle va, entre autres, modifier ou créer d’autres organismes ; des écosystèmes. À grand renfort de « poussière intelligente », elle va également percevoir, stocker, traiter et transmettre des renseignements nous concernant, nous, et notre espace de vie, ne nous laissant plus aucun espace de sérénité.

Elle va gérer l’innovation dans le domaine de la biologie ; structurer et gérer la production et les chaînes d’approvisionnement.

La technologie numérique peut être incorporée dans des organismes et des composantes biologiques. Le croisement physique, la manipulation et la fusion de la biologie et du numérique créent des formes hybrides de vie et de technologie, chacune possédant souvent des capacités accrues. Il existe déjà des robots dotés d’un cerveau biologique et des corps biologiques dotés d’un cerveau numérique, de même que des interfaces homme-ordinateur et cerveau-machine.

Toutes les technologies ici dépeintes n’en sont plus au stade balbutient, elles sont efficientes.

L’utilisation médicale d’appareils numériques sur l’être humain constitue cette monstrueuse dystopie au sein de laquelle nous plonge adroitement le Covid-19. Ils sont capables de créer des insectes manipulés par des moyens numériques de surveillance.

Grace aux technologies numériques, l’apprentissage automatique permet dès lors une compréhension approfondie du biologique désormais soumis à des influences et à des manipulations qui étaient impossibles il y a seulement quelques années. L’association du séquençage de gènes à l’intelligence artificielle permet de comprendre l’expression génétique, que l’on peut ensuite utiliser pour modifier des organismes, voire créer des organismes entièrement synthétiques.

La technique CRISPR-Cas9 en fait partie. L’incrémentation de réseaux neuronaux artificiels, systèmes informatiques conçus sur le modèle des cerveaux biologiques, sont un exemple de la manière dont la compréhension de la biologie façonne la technologie numérique. Chaque jour qui passe, la frontière s’estompe entre ce que nous considérons comme naturel ou organique, d’une part, et ce qui est numérique, technique ou synthétique de l’autre.

Une troisième forme de convergence bionumérique met en jeu un bouleversement des perspectives capable de remodeler nos cadres et nos approches dans les domaines du biologique et du numérique, en accélérant la fusion de ces deux domaines. Plus grave encore, marchant allégrement sur les plates-bandes du Grand JARDINIER, nous pourrions être témoins de l’abandon de l’idée selon laquelle les organismes vivants et non vivants sont fondamentalement différents.

Tout cela laisse à penser que les sciences biologiques et la biotechnologie sont à l’aube d’une période de croissance rapide semblable ou encore plus rapide que celle du calcul numérique vers 1985. Cette année-là, Microsoft introduisait le système d’exploitation Windows 1.0. L’informatique pénétrait le marché de masse. Or, la convergence bionumérique présente des signes semblables.

Après l’imprimante 3D déjà révolutionnaire, nous pourrions voir arriver très vite les bio-imprimantes, qui créent des tissus organiques et les machines de biologie synthétique qui peuvent être programmées pour créer des organismes entièrement nouveaux. La convergence de ces domaines pourrait provoquer des changements systémiques dans tous les secteurs et avoir des répercussions sur les politiques. Les gouvernements peuvent s’attendre à devoir aider à gérer les risques et à saisir les occasions qui pourraient se présenter.

À partir de cette ligne laissez -donc s’exprimer l’écrivain « fou », le complotiste que je suis. C’est parti !

Une journée ordinaire de l’année 2040.

Mon intelligence artificielle me recommande une prise de vitamines. En effet, au réveil, mes constantes biologiques sont mauvaises et un bip strident  m’indique sur le ton du reproche que j’ai refusé d’avaler la capsule intelligente censée m’octroyer, toutes les dix heures, 100 microgrammes de vitamine C synthétique. Mon IA exige  une « journée au bois ». Je réponds par la pensée «d’accord mais plus tard ». Mon IA (intelligence artificielle) et mon implant neural se chargent du reste.

Durant ma prise de repas artificiel, elle me projette mentalement le déroulé de ma journée ainsi que mon suivi de sommeil complété de celui de l'activité mon appartement. Les vidéos de surveillance enregistrés par mes insectes-robots m’indiquent que l’appartement a été préservé de tout intrus (y compris d’autres insectes-robots) et que mon implant cérébral n’a subi aucune tentative d’hacking hier soir, ou durant la nuit.

La température de l’appartement s’élève graduellement en fonction des constantes imposées par le gouvernement mondial et sa représentante pour l’écologie : Greta Thunberg devenue ministre.

Grâce à un cycle quotidien, la température qui ne doit nullement dépasser les 17 degrés dans mon 20 m2 imposé, s’adapte constamment en fonction de l’heure et de la saison. Le code du bâtiment et de toutes les maisons doivent obligatoirement s’autoréguler à des fins d’efficacité. Comme tous les bâtiments, le mien filtre continuellement l’air et capture le carbone. Je vérifie la mesure de la compensation de mes émissions de carbone, pour connaître le nombre de crédits que je recevrai. Ils me permettront de voyager par tranche de 100 km pour chaque point obtenu, si la contribution de mon appartement et de la maison dans son ensemble contribuent tous positivement au programme gouvernemental d’atténuation du changement climatique.

Chaque locataire contrevenant fait baisser la moyenne de l’immeuble qui vient s’imputer sur les points de chacun. Tout contrevenant subit alors une réprimande générale et son profil est instantanément divulguer à toutes les IA des locataires alentours.

Après mon petit déjeuner, je me dirige vers la salle de bain, je m’arrête à la fenêtre pour admirer les arbres synthétiques qui grandissent de jour en jour. J’observe du coin de l’œil l’ouvrier imprimante 3D qui s’affaire sur la façade de l’immeuble en face. L’imprimante 3D robotisée escalade la structure pour ajouter un polymère biologique renforcé sur des points de contrainte critiques qui ont lâchés lors de la précédente tempête résultat de la mauvaise gestion carbone des générations pré-Covid.

Mon IA ayant appelé le drone de transport pour me rendre au bureau, elle me rappelle de remplacer l’autocollant intelligent qui surveille en temps réel la composition chimique de mon sang et diffuse le trentième rappel de vaccin anti-coronavirus. Je reçois sur mon implant les dernières analyses de matière fécale que la municipalité a réalisé dans les tuyaux d’égout de l’immeuble.

Les miennes sont correctement échantillonnées grâce à mon ADN prélevé à la naissance. Seul un léger indice signale ma dernière prise d’alcool. Mon IA m’indique également que l’utilisation des antibiotiques autorisés par AstraZeneca aide à la surveillance de la santé publique et à la lutte contre les souches d’infection bactérienne résistantes aux antibiotiques.

Lorsque je rentrerai ce soir, dans la cuisine, la composition du jour de mon repas microbiotique choisi par mon laboratoire médical référent s’affichera à l’avant de mon réfrigérateur. Mon évier intelligent me permettra de choisir un mélange personnalisé pour mon eau potable déchlorée. Comme les immeubles de mon quartier partagent une ferme verticale, j’obtiens des crédits carbone en mangeant strictement les légumes et fruits biotiques produits sur le toit et fermentés par mon réfrigérateur. Ce dernier m’a également concocté des stimulants immunitaires, car nous approchons de la saison de la grippe et une souche à laquelle je risque d’être sensible a été détectée à quelques pas de mon immeuble.

Ce transport en drone jusqu’au siège de mon entreprise m’aura crevé. Je l’ai obtenu grâce à mes suppléments de points CO2. Dès demain, je reprends mon douillet télétravail à la maison dans mes deux mètres carrés de bureau virtuel. J’aime cet endroit et la ceinture de ma chaise à renforcement ostéomusculaire.

Machinalement, je m’appuie au dossier et vois passer sur l’écran le compte rendu de mes collègues qui terminent leur journée de travail à l’autre bout du monde.  C’est merveilleux de réaliser à quel point nous sommes tous connectés intimement dans cette biosphère numérique. Quand je pense qu’il y a seulement vingt ans, juste avant la pandémie de 2020, les gens prenaient la voiture ou le train afin d’aller à l’école, au lycée, travailler, ou faire leurs courses multipliant ainsi les risques pathogènes. Quelle horreur !

Fin du rêve, ou plutôt du cauchemar à mon sens. Dès lors, comprenez-vous pourquoi, durant le premier confinement, ils se sont dépêchés de déployer la 5G ?

À suivre.

Olivier

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UN SECOND NUREMBERG ?

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Au moment où je rédige, j’apprends que la cour suprême du Canada a accepté les preuves de crime contre l’humanité présentées par l’avocat Reiner Fuellmich , et RF Kennedy Jr. 

Bien qu’anxiogène, nous vivons vraiment une époque passionnante : du jamais vu !

L’histoire nous apprend qu’il convient toujours de se méfier d’un Allemand (Schwab) qui écrit un livre proposant un programme pour « l’avenir du monde ». Ce fait reste valable qu'il s'agisse de s'opposer aux guerres menées à l'étranger ou de lutter contre celle lancée contre l'ensemble de l'humanité sous couvert de Covid-19 par les élites mondialistes marionnettistes et leurs petits capos marionnettes.

Sur ce blog, je taille souvent des costards à toute cette clique de psychopathes qui, c’est bien connu, ne nous veux que du bien ! Le Great Reset de Davos, c’est cette idée qui fait bander de joie et sans viagra le vieux Schwab, celui qui aime la poussière intelligente. Est-il en bonne voie ?

Que leur agenda fonctionne ou échoue, il en coûtera cher à notre société et à nous tous.

Beaucoup trop de ceux, courageux, ces experts et commentateurs couillus qui cherchent à nous avertir du génocide en cours, ont un accès limité à ce que l'on appelle les médias mainstream. Ils ont été magistralement censurés et taxés de complotistes. Concernant le Covid-19, les confinements et les « vaccins » et toute la connerie ambiante, seuls les cons hélas trop nombreux trouveront encore la situation normale. Du courage il en faut face à une gueusaille largement inconsciente du cauchemar imminent qui va s'abattre sur elle et les siens.

Reiner Fuellmich est un juriste connu et courageux qui essaie de secouer le cocotier afin d’en faire tomber tous ces singes « savants » qui veulent nous piquer. Je reviendrai d’ailleurs sur  ces prouesse lors d’un prochain article.

https://www.francesoir.fr/opinions-entretiens/video-debriefing-reiner-fuellmich

En Allemagne, il est connu pour avoir intenté avec succès un procès en justice contre de grandes entreprises, comme Volkswagen et la Deutsche Bank. Son nouveau dada ? Couillonavirus !

L'année dernière, en juillet 2020, il a créé le Comité d'enquête allemand sur le Corona dans le but d'examiner la curieuse réponse qu’ont apporté nos dirigeants à la crise. Aujourd'hui, leur dossier est bouclé, ce comité a mené une grande partie de ses investigations et a entamé des actions en justice au niveau mondial.

Son approche judiciaire des problèmes s’élabore comme suit : Pandémie de coronavirus ou pandémie de tests PCR ? Un résultat positif au test PCR signifie-t-il que le testé est infecté, ou cela ne signifie-t-il absolument rien par rapport à l'infection par le Covid-19 ? Les mesures folles imposées : confinements, masques obligatoires, distanciation sociale, quarantaine, couvre-feux, etc., servent-elles à nous protéger ou à nous faire paniquer afin de croire à cette pantomime ?

Ce qui transpire de ces recherches ne serait-il pas surtout l’appât du gain toujours plus fort chez Big pharma, et un prétexte de récolte forcée de nos données génétiques ? Pour examiner tous ces points, l’avocat Reiner dit avoir parlé à plus d'une centaine d'experts : scientifiques, médecins, psychologues, y compris des lanceurs d'alerte informés sur le Great reset de tonton Schwab. Ce qui ressort de ce travail, c’est l’idée d’un scandale à grande échelle et le plus grand crime contre l'humanité jamais commis.

Les mesures prises par nos gouvernements occidentaux sont erronées. Leurs discours officiels et scientifiques sont mensongers et vont à l'encontre totale d’une bonne gestion de crise de santé publique. Comme je le claironne depuis plus d’un an sur ce blog et dans mes livres, pour Reiner et son équipe il est clair que le Covid-19 est utilisé pour instaurer un régime de contrôle total sur les populations.

Reiner explique dans une interview que ses actions en justice seront menées auprès de plusieurs juridictions internationales, et s’appuient sur des jugements favorables rendus au Portugal et en Autriche concernant l'inefficacité du test PCR. Pour lui, face à une justice frileuse autant que vendue au système,

Les États-Unis et le Canada possèdent des systèmes juridiques autorisant le plus favorablement les recours collectifs. Et concernant le Canada, comme vous venez de le lire, c’est accepté. En raison de l’ampleur du scandale, il en vient à penser à un scénario de type « Nuremberg deux ».

Le temps joue contre les peuples, mais un travail considérable a déjà été effectué par son Comité d'enquête. De nombreuses preuves relèvent déjà du domaine public.

L’idée que cet avocat se fait de la bande des « Davosiens » fous et de leur Reset de malheur est intéressante, d’autant que ceux qui me lisent comprendront aisément le fait que je la partage. Il estime en effet à environ 3 000 dans le monde ceux qui se rendent directement complices d'agissements commis à l'encontre des habitants de la planète. Il les appelle la « clique de Davos ». Mais comme je l’écris souvent, il estime qu'entre 10 et 20 pour cent des gens sont aujourd'hui conscients de cet agenda malgré tout le tapage orchestré par ces fous.

Là où nos avis diffèrent un peu, c’est qu’il est plus positif que moi. Pour lui, il y en a peut-être beaucoup plus qui sont sur le point de se réveiller. Alors que moi, face à l’ampleur des moutons qui se font vacciner, je suis plus mesuré ! Avec un peu de calcul, nous avons donc 3 000 criminels psychopathes style Bill le coyote, pour 8 milliards d’individus desquels environ 1,5 milliard est sur le point de se réveiller.

Là où, par contre, je le rejoins pleinement, c’est que parmi ces dangereux satanistes, la guerre et les intérêts divergents font rages. Reiner pense que cet aspect pourrait offrir l'occasion de se défendre de la même manière qu'ils nous ont machiavéliquement divisés. Pour lui comme pour moi et l’ensemble de la « complot-sphère », ce réservoir de 3000 scélérats trouve sa source dans les organisations mondiales telles que : l'OMS, Davos (le Forum économique mondial), le FMI (Fonds monétaire international), les milliardaires style Soros, Gates, Big pharma, les GAFAM, les Hyper banques et les fonds d'investissement.

Plus que l’argent qu’ils brassent déjà à milliards en l’imprimant, il s'agit plutôt de contrôler l'humanité. Comment ? Par l'utilisation du Covid et des « vaccins » et par l'idéologie du changement climatique.

Pour l’instant, c’est leur fortune ruisselante du haut vers le bas de la pyramide qui a permis toutes les malversations en cours.

Bill Gates, finançant l’OMS par le biais de sa Fondation diabolique, en représente le parfait archétype. En distribuant de l'argent aux gouvernements, aux partis d'opposition, aux médias, aux scientifiques, aux universités, aux hôpitaux, etc., ces élites phagocytent à outrance toutes les strates de la société. Entre ceux qui sont soudoyés, contraints ou menacés par de sordides histoires de cul et de pédophilie, la liste est longue en vue de s'assurer de leur coopération.

Pour une raison que j’ignore, l’élite s’est crue obligée d’accélérer ses agendas. En raison de dissensions internes et de l'impatience de certains, ce plan a été avancé à aujourd'hui. Et là se situe la faille que doivent exploiter tous les informateurs et tous les pseudo complotistes du monde. L’Union européenne étant ce bourbier infâme duquel la France devrait coûte que coûte s’extirper, ils en ont fait leur « pré carré ».

Or, ce pré carré et sa Banque centrale sont en faillite, en particulier les grands fonds de pension qui, pour des raisons évidentes, ne souhaitent pas que les citoyens en soient informés.

Voilà pourquoi rien ne vaut un tir de fumigènes. Il n’y a rien de mieux pour aveugler les futurs spoliés d’un système moribond que de LES ENFUMER sous couvert de pandémies, de changements climatiques, et de conflits interethniques. Nos banxters apatrides le savaient depuis la dernière crise des subprimes, il fallait colmater les brèches, mentir tout en continuant de plus belle leurs malversations.

Voilà pourquoi à grand coups de QE, ils impriment toujours plus d'argent et nous pillent avec. Ainsi, comme expliqué dans l’un de mes articles, leur stratagème financier a commencé à montrer à nouveau des signes d'implosion en 2019. Bingo ! C'est à ce moment-là que les mondialistes à la Bill le coyote ont décidé de se réunir, et se sont mis d'accord afin d’orchestrer couillonavirus. De quoi nous pousser toutes et tous vers la Grande réinitialisation du vieux Schwab.

Je pense que les sectes mondialistes-satanistes ont peut-être eu les yeux plus gros que le ventre. En raison de leurs intérêts divergents, ils se sont pris plus d’une fois leurs vilains pieds fourchus dans le tapis. Les lanceurs d'alerte ont ici un rôle crucial à jouer.

Ils doivent se manifester davantage, un événement inattendu ou une opposition insuffisamment prise en compte par l’élite devrait les inciter à commettre d'autres erreurs que des « fous » comme moi devrions alors nous empresser de transmettre. Ils n’ont plus le choix et doivent redoubler d'efforts en générant d'autres crises.

Et en ce sens, ils comptent beaucoup sur la vaccination et les immense dégâts qu’elle va générer.

Mais, si nécessaire, ils possèdent d’autres starters sous le pied : Défauts d'approvisionnement alimentaire, coupures de courant, nouveaux variants etc., constituent autant de variables incitatives au chaos et sur lesquelles ils peuvent moduler à souhait.

Lisez mes précédents articles, https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/04/on-va-tous-mourir-du-variant-indien.html https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/05/machiavel-partie-une.html https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/05/machiavel-suite-et-fin.html car un fléau que nous n'avons pas pris en compte pourrait bientôt se manifester.

Alors, que faire ?

Selon l’adage « aide-toi et le ciel t’aidera » bougez-vous ! Ne perdez pas votre temps à vouloir réveiller les abrutis, il est déjà trop tard pour eux, d’autant que beaucoup sont déjà plombés. Il faut plutôt se concentrer sur la diffusion du message avec ceux qui partagent les mêmes idées ou qui ont simplement des doutes sur les événements en cours. Faites-leur comprendre le véritable et terrifiant objectif de l’élite apatride, comment ils utilisent contre nous la peur d'un virus qui n'est en rien une menace. Et si l’adage est exact, et il l’est ! Dieu fera le reste, faites-Lui confiance.

À suivre.

Olivier

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Le silence des moutons ou celui des agneaux !? (Suite et fin)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Retour au premier article de la série : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/05/le-silence-des-moutons-ou-celui-des-agneaux-partie-une.html

Dans l’enseignement, repère de gauchos bobos, ce n’est guère mieux à de rares exceptions. Ils sont les gardiens d’un savoir poussif et érodé sauce maçonne. Les véritables sciences enseignées sont parcellaires.

Le public reste ainsi ignorant des véritables mathématiques, de la véritable économie, de la véritable loi, et de la véritable Histoire. Les connections sont rendues impossibles.

Dans le domaine de la culture et du spectacles grassement subventionnés par nos impôts, le niveau se situe hélas en dessous de la ceinture (regardez vous-même !). On nage dans la merde. Dois-je vous rappeler certains spectacles du style : vomir des yeux, ou Piss Christ, une photographie de l'artiste américain Andres Serrano, réalisée en 1987. Je ne fais qu’effleurer là un sujet qui pue la merde à tous les étages.

Mais dans tout ce travail de sape des intelligences et de notre temps de création, le pompon revient sans conteste au travail. Quel monument d’ingénierie sociale ! Il convient de garder le public occupé, occupé, occupé, sans aucun temps pour penser par lui-même ou chercher à s’élever spirituellement.

Le gueux doit être ignorant (moins d'organisation publique) ; préoccupé en permanence (moins de défenses) ; son refuge doit être malmené (cellule familiale agressée, contrôle de l'éducation de la jeunesse) ; endetté ; conforme socialement ; taxé à outrance ; il doit surtout penser à cette retraite qu’il n’atteindra souvent pas ou alors pour la voir devenir anorexique ; il lui faut sans arrêt maximiser ses données économiques pendant qu’on maximise pour lui problèmes et contraintes ; il doit maximiser le contrôle sur lui-même et les autres, tout en opposant toujours moins de  résistances aux différents contrôles que l’instance dirigeante ajoute sur lui, strate après strate.

Des contrôles qui sont : téléphoniques ; courrier ; analyse des ordures ; comportement des enfants à l'école ; du standard de vie selon : nourriture, habillement, habitat, moyens de transport, contacts sociaux, comportements adaptatifs, facteurs religieux ou politiques influençant le comportement, etc. Tout ceci vise à créer le désordre, le chaos, et l'aliénation mentale, tout en développant les analyses et profils psychologiques sur les individus. Rien, absolument rien ne doit passer à travers les mailles du filet visant ainsi à drainer la richesse et la substance de tout et de tous.

Créer et maintenir une zone de cocooning, un « utérus artificiel » est le but de tout humain. Une zone de confort propre à restaurer confiance et sécurité est le rêve de tout humain. Ceci est vrai à la fois pour le public ordinaire et pour l'élite. Toutefois, il y a une différence fondamentale dans la façon dont chacune de ces classes aborde la solution aux problèmes.

La première raison pour laquelle les citoyens d'un pays créent une structure politique est un désir inconscient de perpétuer la relation de dépendance de leur enfance. Ils veulent un ange gardien pour éliminer tout risque de leur vie. Certains, plus intelligents, vont répondre à cette demande innée. Le politicien, homme de paille de l’élite, répond alors à l'incroyable demande infantile par l'incroyable culot de celui qui promet le monde sans rien apporter.

Rappelez-vous 2017, Macron, enfant chéri de la maison Rothschild, propulsé sur les médias et financé à outrance dans sa campagne par ceux-là même auxquels il est désormais redevable.

Le comportement du public est dominé par la peur, la paresse, et la facilité. Ceci est la base de l'état providence en tant qu'arme stratégique. La plupart veulent éradiquer tout ce qui dérange leurs vies quotidiennes, mais ils ne veulent pas avoir à affronter les problèmes moraux et religieux qu'un tel acte pourrait engendrer.

Par conséquent, ils délèguent. Mais encore, plus hypocrites, ils paient des taxes pour financer une association professionnelle d'hommes collectivement appelés politiciens, et puis se plaignent de la corruption dans le gouvernement.

La plupart veulent être libres de faire (explorer, créer, etc.) mais ils ont peur d'échouer. Ils veulent l'autorité, mais ils n'accepteront aucune responsabilité ou obligation. En conséquence, ils chargent les politiciens d'affronter la réalité pour eux. Macron et ses prédécesseurs l’ont fait sans état d’âme puisque formés pour ça dès le plus jeune âge.

Résumons : le gueux mandate les politiciens afin qu’il puisse obtenir la sécurité sans avoir à l'organiser et à y réfléchir. Si nécessaire, il peut vouloir infliger le vol, les blessures, et la mort à d'autres sans avoir à la contempler. Il évite ainsi la responsabilité liée à ses propres intentions. Il veut la science pour ses avantages, jamais pour ses contraintes. Il donne aux politiciens le pouvoir de créer et de diriger une machine de guerre pour la survie de la nation (utérus). Il peut même aller, pour certains, jusqu’à donner carte blanche afin de détruire ceux des citoyens de son propre pays qui ne se conforment pas au respect de la stabilité de la nation (utérus).

D'autres alternatives importantes à la guerre en tant qu'inducteurs économiques sont un programme d'assistance sociale sans fin, ou un énorme (mais fructueux) programme spatial devant permettre aux gueux de croire encore et toujours au petit Jésus soviétique. Le problème dans la stabilisation d'un système économique se présente lorsqu’il y a trop de demande, à cause de trop d'avidité et trop de population.

Cette stabilité peut seulement être équilibrée par de la capacitance économique (vraies ressources ou valeur, c'est-à-dire : biens et services). Le programme d'assistance sociale auquel nous sommes habitué et qui explose avec le Covid-19, n'est qu'un système d'équilibrage basé sur un crédit sans fin, qui crée une fausse industrie de capital pour donner à des non-productifs un toit et de la nourriture. Cela peut être utile, toutefois, parce que les obligés deviennent la propriété de l'état et une armée prête pour l'élite.

Ceux qui sont addicts à cette drogue économique doivent aller vers l'élite pour avoir leur dose. Cette fausse stabilité se goinfre sur le futur du monde (nos enfants). Ceci constitue une quatrième loi de mouvement. Elle consiste à quitter le navire avant qu’il ne coule en emportant tous les canots de sauvetage. C’est du différé sur le dos des générations futures.

Par ce moyen, le politicien véreux autant que sans scrupules va devenir populaire en son temps, et le public paye plus tard.

C’est ce que font nos dirigeants en empruntant sans cesse davantage sur les marchés (dette) de l’argent torche cul non indexé sur des richesses réelles et tangibles. Les BCE et le FMI sont les outils de cette élite prédatrice. Elle nous noie en imprimant de la monnaie au-delà des limites du produit national brut, un processus économique appelé inflation.

Cela met une grande quantité d'argent entre les mains du public, et maintient un équilibre contre leur avidité, crée une fausse confiance en eux-mêmes ne faisant que reculer l’échéance. De temps à autre une bonne guerre remet les choses à plat. Détruire le créditeur peut constituer une solution utile, et les politiciens publiquement chargés de justifier l'acte et garder l’utérus bien chaud et humide ont cette responsabilité du sang, loin, très loin de la conscience du public.

Ils l’ont déjà fait, par deux fois, et la troisième pourrait bien laisser des traces indélébiles même chez les hommes de l’ombre. C’est qu’avant d’être unipolaire, ce monde est encore multipolaire, souhait d’un certain Poutine, un Russe armé jusqu’aux dents avec des missiles et des torpilles hyper soniques. Alors vous pensez-bien que laisser les peuples s'entre-tuer dans cette ultime guerre aurait pour seul résultat la destruction totale de la vie sur terre.

Le mieux, le nec plus ultra, c’est la guerre invisible de quelque uns contre la multitude. Tout comme eux, elle est lâche, incolore, inodore et machiavélique à souhait. D’un côté on incrimine les chauves-souris et les pangolins tout en faisant bien chier un Empire du milieu qui vous fait de l’ombre, et de l’autre, on prépare la solution : des vaccins mortifères pour la gueusaille mais pas pour le porte-monnaie de cette élite luciférienne vaccinée au placébo.

C’est vicieux mais digne de toutes ces générations de salopards qui ont su s’engraisser sur la détresse humaine, ça porte d’ailleurs un nom : le satanisme. Alors vous pensez bien que l’idée de prendre le contrôle total et définitif grâce à l'utilisation « d'armes silencieuses », économiques, sous la forme d'une « guerre tranquille », tout en réduisant, Malthus aidant, l’inductance économique à un niveau sûr pour nous mais certainement pas pour les pauvres, par un processus d'esclavage et de génocide, ça c’est bon pour nous, ça nous plait !!

Ainsi va la vie sur Terre depuis CETTE chute qui a fait de la plupart des bêtes enragées. Il est manifestement impossible de parler d'ingénierie sociale, sur une échelle nationale ou internationale, sans impliquer de vastes objectifs de contrôle social et de destruction de la vie humaine (c'est à dire d'esclavage et de génocide).

C’est pourquoi la solution aux problèmes de notre époque requière une approche impitoyablement franche, entièrement dénuée de ce politiquement correct qui tue dans l’œuf toute réflexion utile aux peuples. C’est pourquoi tous ces progressistes ne sont qu’un caillou dans la chaussure de celui qui, conscient de mes propos, recherche la voie du juste milieu. Un caillou, on le jette sans s'embarrasser de valeurs religieuses, morales, ou culturelles.

Si mon propos en a choqué quelques-uns, n’oubliez pas qu’afin de réaliser son PLAN, l’élite a su machiavéliquement sélectionner pour ce projet des Attali, des BHL, des Macron, des Véran, des Laurent Alexandre et autres. Pourquoi ? En raison de leur capacité à regarder la société humaine avec une froide objectivité, le tout en analysant vos observations et conclusions avec des capacités intellectuelles similaires, mais sans le boulet que représente pour eux la morale, la compassion et la pitié.

Ces sentiments sont pour les pauvres ! De telles « vertus » étant seulement mise au profit de l’intérêt supérieur : celui de leurs maîtres de l’ombre. Au lieu d’être effarouché comme une donzelle devant mon propos, pensez plutôt qu’arrivez où ils sont, ils ne dévieront pas d’un iota de cette sombre tâche qui est la leur. Alors bougez-vous et surtout, SURTOUT, ne vous faites pas piquouzer pour RIEN !

Fin

Olivier

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Le silence des moutons ou celui des agneaux !? (Partie trois)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Bref, que vous soyez un petit humain ou électron libre, c’est « kif-kif bourricot ».  L’Elite a découvert qu'une économie obéissait aux mêmes lois que l'électricité. Finalement, parce que les problèmes en économie théorique pouvaient être traduits très facilement en notions de flux, cela revient à effectuer des problèmes d'électronique théorique.

Et ça tombe bien, ma formation de base, c’est l’électronique ! Alors les notions d’inductance, de capacitance, d’influx et autres, ça me parle.

Le plus « intéressant » est qu'en observant et mesurant les modèles économiques par lesquels le public essaye de fuir ses problèmes et s'échapper de la réalité, et en appliquant la théorie mathématique, il est possible de programmer des ordinateurs pour prédire la plus probable combinaison d'événements créés (chocs) qui amèneront à un contrôle complet et à la subjugation du public, à travers une subversion de l'économie publique (en agitant le cocotier).

La capacitance en économie représente le stockage de capital sous une forme ou sous une autre. La conductance va représenter le niveau de production de biens. L'inductance va représenter l'inertie de la valeur en mouvement. Le tout pouvant être regroupé dans un grand paquet avec pour nom : « services ». L'inertie, c’est le résultat des habitudes de consommation, du standard de vie désiré.

On va également parler d’amplification d’un système. Ce sont les composants actifs de l'engineering économique. Un ampli quel qu’il soit reçoit un signal en entrée (input), et délivre de l'énergie à partir d'une source indépendante vers une sortie (output). La forme la plus simple d'amplificateur économique est la publicité. Un amplificateur économique peut avoir plusieurs entrées ou sorties. Sa réponse peut être instantanée ou différée.

Quel que soit la forme qu'il puisse avoir, son but est de diriger et amplifier l'énergie d'une source vers une sortie, en relation directe avec un signal de contrôle extérieur. Il est actif. Les amplificateurs économiques sont appelées logistiques au lieu d'électriques. Ils ne délivrent pas seulement un gain d'énergie mais sont aussi en pratique utilisés pour provoquer des changements dans les circuits économiques.

Les sources d'énergie qui soutiennent tout système économique sont bien sûr la fourniture de matières premières, et le consentement du peuple à travailler, et en conséquence à assumer un certain rang social, position, niveau, ou classe dans la structure sociale. Chaque classe, en œuvrant à garantir son propre niveau de revenu, contrôle le niveau immédiatement en dessous de lui, et ainsi préserve la structure de classe.

Ceci fournit la stabilité et la sécurité, mais aussi un gouvernement par le haut. Au fil du temps, et de l'amélioration de la communication et de l'éducation, les éléments des classes inférieures deviennent aptes à la connaissance et envieux des bonnes choses que les membres des classes supérieures possèdent.

Si l'ascension des classes inférieures peut être contenue assez longtemps, l'élite peut parvenir à la dominance de l'énergie, et le peuple, par consentement, ne tiendra plus alors une position de ressource énergétique essentielle. Jusqu'à ce qu'une telle dominance de l'énergie soit absolument établie, le consentement du peuple à travailler et à laisser les autres prendre en main leurs affaires doit être pris en considération, dans la mesure où un échec en ce domaine amènerait le peuple à interférer dans le transfert final des sources d'énergie au contrôle de l'élite.

Il est essentiel de reconnaître qu'à l'heure actuelle, le consentement du public est encore, pour peu de temps, une clé essentielle pour la distribution de l'énergie dans le processus d'amplification économique. Puisque ce consentement est encore pour peu de temps essentiel, étudions-le.

Les coefficients de consentement sont un feedback numérique indiquant le statut de victoire. Et autant dire qu’avec les Gaulois, les élites sont à la fête ! Ce coefficient constitue un véritable retour sur investissement pour les banxters.

Lorsqu’un gouvernement est capable de collecter des taxes et dimensionner la propriété privée sans juste compensation, c'est une indication que le public est mûr pour se rendre et consentir à sa mise en esclavage et à son asservissement légal. Un bon indicateur, facilement quantifiable, de temps plus durs à venir est le nombre de citoyens publics qui payent une taxe sur le revenu en dépit d'un manque évident de réciprocité ou de service honnête de la part du gouvernement.

C’est ici qu’intervient le fascisme vert à la Greta Thunberg.

En effet, dans un rapport, le bureau européen de l’environnement prône l’idée « géniale » de réduire les émissions carbones liées au secteur du bâtiment. Outre la rénovation énergétique, ces « pecnocrates » voudraient également tenir compte des ressources naturelles de notre planète afin de créer un habitat plus durable et plus écologique. Jusque-là, c’est soft ! Là où ça se corse, c’est que pour ces cons qui s’autorisent à penser pour nous, la rénovation énergétique des bâtiments n’est pas la solution.

Définir un nombre de mètres carrés autorisés par personne, c’est mieux. Nous allons vers un monde où les survivants piquouzés vivront dans un chiotte de quelques mètres carrés au fond du jardin avec autorisation de se chauffer si le passe sanitaire est à jour. Je ne plaisante pas puisque la brillante conclusion de leurs travaux est que : 14 à 20 mètres carrés maximum pour une personne seule et 40 à 80 mètres carrés pour un ménage de 4 personnes, serait une bonne limite.

À par cela, on peut voir venir style à la chinoise : pas plus d’un enfant par couple, tout supplément serait à mettre au congélateur pour une future pandémie. Souvenez-vous, j’ai déjà expliqué dans un ancien article que le livre Le Meilleur des mondes D’Aldous Huxley n’était pas une œuvre de SF mais bel et bien un programme : leur PLAN. Et dans ce bouquin, la reproduction est tout sauf normale. On pourrait donc, avec ce genre de fascistes verts, voir surgir l’idée d’un profil type : celui de ceux à qui on  interdit  de se reproduire !

Voilà pourquoi le message vert d’une Greta hystérique porte en lui de terribles dangers liberticides et violents qu’il faut sans cesse dénoncer pour ce qu’il est : fasciste, mielleux et hypocrite. La méthode la plus simple pour rendre efficace une arme et gagner le contrôle du public est de le maintenir ignorant des principes basiques en le gardant dans la confusion, désorganisé, et distrait avec des sujets sans importance réelle.

Comment ? En décourageant l'activité de l’esprit ; en fournissant des programmes d'éducation basiques, et en décourageant la créativité. Il convient d’encourager l’émotionnel et l’égocentrisme par le biais de toutes ces activités émotionnelles et physiques.

L’émotionnel sera constamment attaqué par la violence, les guerres, le sexe dans les médias. De plus, il convient de combler les désirs par l’excès : une espèce de mal bouffe pour l'esprit, en privant l’individu lambda de ce dont il a réellement besoin.

Coupez l’humain de ces racines, dites-lui qu’il descend du singe et qu’il gravite sur le petit bras spiralé d’une petite galaxie perdue au milieu de milliards d’autres. Il n’y a rien de tel pour donner « confiance en soi ». D’ailleurs, dans le livre de la jungle le serpent Kaa ne dit-il pas au petit d’homme « aie confiance. » ?

Dans notre jungle à nous, les humains, c’est pareil et c’est même pire. Réécrivez la vraie Histoire de l’homme et la loi, et soumettez le public à des distractions, en étant ainsi capable de déplacer ses pensées et besoins personnels vers des priorités extérieures fabriquées.

Grace à tout ce Gloubi Boulga infame, vous êtes désormais sûr que même les plus malins d’entre eux, s’il en reste, ne découvriront jamais vos « armes silencieuses » et la technologie d'automatisation sociale qui va avec. Le maître mot étant CONFUSION, plus elle est grande, plus le profit l’est aussi. Ainsi, la meilleure approche est de créer des problèmes, et ensuite d'offrir des solutions. Du style virus-vaccins, les Guignols de l’info nous en ont régalé il y a plus de dix ans déjà avec le H1N1.

Là encore, l’élite possède ces alliés qu’elle peaufine et entretient. Pensez donc à tonton Bill le coyote et les millions qu’il distribue aux merdias du monde entier. Pensez-vous que ce soit pour leurs beaux yeux ? Lui et les siens font cela afin de garder l'attention du public distraite, loin des véritables problèmes sociaux, captivée par des sujets sans importance réelle.

Suite ici :  https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/05/le-silence-des-moutons-ou-celui-des-agneaux-suite-et-fin.html    

Olivier

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Le silence des moutons ou celui des agneaux !? (Partie deux)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Extérieurement, l’idée de tonton Rothschild avait l'apparence de la production de services, alors que ce n'est en réalité que de la dette, de l'endettement. La totalité des biens et services représente le capital réel appelé produit national brut, et la monnaie peut être imprimée à un niveau équivalent en continuant de représenter la capacité économique ; mais la monnaie imprimée au-delà de ce niveau constitue des notes de créances et de l'endettement.

Le résultat de la guerre est donc, pour l'élite,  l'équilibre du système obtenu en tuant les vrais créditeurs (le public à qui on a dit d'échanger ses vraies valeurs contre de la monnaie de singe surévaluée) et qui, pour ce faire, a recours à tout ce qui reste des ressources de la nature et de la régénération de ces ressources.

Leur PLAN, c'est-à-dire ce que nous sommes en train de vivre actuellement avec le Grand reset de tonton Klaus à Davos, cette clé finale du contrôle économique, devait donc attendre qu'il y eut suffisamment de données et des ordinateurs bodybuildés pour garder une vue d’ensemble planétaire sur les oscillations économiques crées sous forme de crédits-papier.

Nous en sommes arrivés à l’ère de la poussière intelligente comme l’indique fièrement Klaus Schwab. En fait de poussière, c’est de la poudre aux yeux que nous balance l’élite. Elle nous aveugle pendant qu’elle nous ponctionne à la Bruxelloise tout en laissant envahir une Europe désœuvrée aux frontières ouvertes.

Chacune des actions de nos énarques surdiplômés est une gabegie monumentale autant que voulue. Ils accélèrent ainsi notre désindustrialisation, tout en faisant plaisir aux pères verts pervers de Grata la folle. Comment ? En important des voitures électriques et « écologiques » de Chine. Nous manquons de tout puisque nous ne fabriquons plus rien au nom d’une mondialisation endiablée, mais nous roulons à l’électrique.  

Nous exportons nos richesses qui nous reviennent ensuite souvent mal transformées au nom d’une obsolescence programmée. On attend même longtemps après, au nom d’un vilain bouchon intestinal rebaptisé pour l’heure Canal de Suez. Cette folie veut que, pendant que nos ventes de voitures chutent de 25 %, le tout électrique made in China fait fureur. C’est donc un double hold-up! : celui de nos intelligences et celui de notre porte-monnaie. Mais qu’on ne s’inquiète surtout pas ; l’Etat macronien veille à notre survie économique à grands coups de plans de « relance », et à notre survie sanitaire à grand renfort de piquouzes en tous genres.

Ces fameux « plan de relance » en France sont surtout des bénéfices pour des multinationales qui produisent en Chine. Mais ce n’est pas tout. En plus, l’Union Européenne vole l’argent des Français pour ne leur en redonner même pas la moitié, le tout assorti de contraintes insupportables pour pouvoir bénéficier de notre propre argent. Comment ? Lors du « premier plan de relance » Bruno Lemaire nous avait annoncé fièrement en bombant le torse 100 milliards qui devaient être versés par l’Europe.

Accrochez vos ceintures car, en fait, c’est la France qui a donné 80 milliards à l’Union Européenne qui nous en a royalement redonné 40 pour notre plan de relance en nous imposant des règles d’austérité et des contreparties sur de l’argent que nous lui avions nous même donné ! Bien en entendu, lorsqu’on écoute tous ces cons qui nous dirigent « Il nous faut encore plus d’Europe. »

Quant au reste des 100 milliards, c’était du recyclage de crédits déjà décidés. Comprenez le bien, depuis le début de couillonavirus, nous sommes en train de nous faire entuber en profondeur et dans les grandes largeurs. C’est du jamais vu, désunis de force dans notre diversité VOULUE ET ENTRETENUE PAR DES FRONTIERES LAXATIVES et unis de même dans une misère de plus en plus partagée.

Mais revenons à nos ordinateurs. Tout est histoire de peur et de choc psychologique. Dans l'engineering économique, les prix sont soumis à un choc, et la réaction du public aux prix de ces produits est mesurée. Cette réaction est ensuite interprétée théoriquement par des ordinateurs et la substantifique moelle psycho-économique est ainsi récolté. C'est par ce procédé qu'est découvert ce qui définit ce que ces satanistes ont le plus en horreur face à la concrétisation de leur plan : la cellule familiale. Elle est ainsi évaluée soupesée.

Dès lors, la réponse du ménage aux chocs futurs peut être prédite et manipulée, et la société devient sous le contrôle d'un système sophistiqué de comptabilité de l'énergie sociale régulé par ordinateur. Car pour ces gens-là, un humain peut se voir assimilé à un sac de charbon ou un litre d’essence. Vous riez ? N’oubliez pas que les fameux QR code, ce code-barres en deux dimensions destiné à la traçabilité des aliments nous est prochainement destiné au nom d’une pandémie qu’y n’a de pandémique que le nom.

Pensez donc à nos « chers » GAFAM car, finalement, chaque élément individuel en vient à être sous contrôle par le biais des données collectées comme l’on collecte le miel des abeilles. C’est ça qui les fait frémir de désir, pas l’argent, ils le font et l’imprime à volonté, mais le pouvoir qu’ils prennent insidieusement sur la ruche/monde.

Pensez donc à tous ces cons qui étalent leur vie sur les réseaux sociaux. À travers la connaissance des préférences personnelles, une telle connaissance étant garantie par l'association du code barre avec des consommateurs identifiés (via le numéro de carte de crédit, et plus tard par le tatouage permanent sur le corps d'un numéro invisible sous la lumière ambiante ordinaire). Parlons-en de ces QR codes !

Comme je l’explique dans mon article à charge concernant le progressisme https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/03/je-suis-raciste-mais-uniquement-avec-les-cons-de-progressistes.html , les deux mâchoires de la bête destinée à nous asservir seront bientôt amplement visibles : le sanitaire et l’écologie verte. Je m’explique !

Le but de cette dictature sanitaire n’est pas notre santé, ça ils s’en foutent comme de l’an quarante. Bien au contraire, vaccination aidant, ils veulent éradiquer les plus faibles, les inutiles. Le but ultime du PLAN, c’est le traçage, le flicage : un QR code pour entrer dans les restaurants et les lieux culturels. Il permettra de crypter avec votre identité tout ce qui vous concerne.

Le sanitaire n’est qu’un prétexte. Le fait qu'il ne s'en suive aucune obligation (d'être vacciné, testé ou autre) le prouve. De toute façon, avec des vaccins et des tests non fiables, il aurait été difficile d'imposer ces conditions sanitaires pour avoir le droit de circuler librement. Non. Le traçage doit s'imposer à nous, parce que son but n'est pas sanitaire mais financier.

L'information sanitaire sera donc plus ou moins bidon (plus que moins). Le principal sera que tout le monde croit à son utilité.

La clé du PLAN, c’est de nous coller une identité numérique associée à la fabrication du QR code. Lorsque la gueusaille aura pris l'habitude de se balader avec, l’étape suivante sera d'authentifier vos paiements avec. Pourquoi ?  Pour favoriser le sans contact à des niveaux jamais vus. Puis, le développement des objets connectés fournira d'autres alternatives plus pratiques et sécurisantes que le QR code (bagues, bracelets, CI ou montres à puces...), et la monnaie numérique mondiale s'imposera ainsi naturellement, sauvant ainsi le système financier en conservant l'esclavage de la dette et les intérêts des plus grandes fortunes : nos p’tits copains les Roro : Rothschild, Rockefeller et toute la clique des Gates et autres.

Ceux qui me lisent depuis longtemps le savent. Ce PLAN existe depuis des lustres, ne manquait que l’occasion. Le créateur du forum de Davos : Klaus Schwab, ne s’en cache même pas.

Couillonavirus aura été le détonateur. C'est le contrôle numérique des survivants qui est en jeu, pas la santé.

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/05/le-silence-des-moutons-ou-celui-des-agneaux-partie-trois.html

Olivier

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Le silence des moutons ou celui des agneaux !? (Partie une)

Publié le par vecteur-douceur association : site littéraire et historique

Outre plus de cinquante millions de morts, la Seconde Guerre Mondiale nous aura donné « la technologie des armes adaptées à nos élites, puisque vicieuses autant que silencieuses ». Leur maman ? Une méthodologie stratégique et tactique développée par l'état-major militaire en Angleterre durant cette Seconde Guerre Mondiale. À la base, son but était d'étudier les problèmes stratégiques et tactiques de défense aérienne et terrestre avec pour objectif l'utilisation efficace de ressources limitées contre des ennemis.

Il fut bientôt reconnu par ceux en position de pouvoir que les mêmes méthodes pouvaient être utiles pour contrôler totalement une société. Mais de meilleurs outils étaient nécessaires.

L'ingénierie sociale, j’en ai déjà longuement parlé sur ce blog, c'est l'analyse et l'automatisation d'une société. Elle requière la mise en relation d'une grande quantité d'informations économiques toujours changeantes, si bien qu'un système ultra-rapide de traitement de l'information était nécessaire pour prendre de vitesse la société, et prédire quand celle-ci sera parvenue à sa capitulation.

Il fallait compter vite, et à ce rythme-là les calculateurs à relais, trop lents, furent vite remplacés par les transistors. Ne manquait plus que la miniaturisation du transistor et un langage pour la bête en devenir. De quoi faire saliver l’élite dont le rêve est de nous contrôler du doigt. Et bingo, l’ami Roro Rockefeller en vint à s’intéresser à la chose et comme toujours ; par le biais de sa Fondation hautement philanthropique.

Ces « braves gens » savent bien à propos défiscaliser tout en investissant dans des œuvres favorable à l’évolution, mais de qui et de quoi ? En 1949, l'US Air Force se joignait au projet. En 1952, la période d'études se termina, et une rencontre à haut niveau de l’Élite fut conduite pour déterminer la prochaine phase des recherches en opérations sociales. Allait alors se greffer au projet un allié énergétique devenu désormais caca boudin : la fusion nucléaire, promesse d'énergie illimitée.

Bref, rien que du bonheur, bien que le système des armes silencieuses fut conçu 13 ans plus tôt, une guerre sournoise et «silencieuse » fut déclarée par l’Élite Internationale lors d'une rencontre tenue en 1954. Cette année-là, calcul aidant, l’élite en vint à reconnaître que ça n’était plus qu’une question de temps : quelques décennies, avant que la gueusaille soit capable de comprendre et accaparer cette nouvelle technologie des armes silencieuses, alors qu’elle se devait d'en rester privée. Et avant que sainte Greta ne fut même un projet dans les … de son père, ils allaient discuter énergie, clé de toutes les activités sur Terre.

N’oubliez pas qu’ils étaient déjà très riches et savaient donc compter, aidés en cela, et depuis peu, par ces nouvelles bêbêtes nommées ordinateurs. Par conséquent, les mathématiques sont la première science de l'énergie. Qui en serait le bénéficiaire ? Je pense que vous savez !

Comme je l’explique longuement dans Tonton Malthus est Revenu, dans l'intérêt du futur ordre mondial, de sa paix et de sa tranquillité, il fut décidé de mener une guerre tranquille, tout d'abord contre le public américain, avec pour ultime objectif de déplacer l'énergie sociale et naturelle (richesse) de la masse indisciplinée et « irresponsable » entre les mains de quelques chanceux "autodisciplinés et responsables". Pour se faire, il fallait des armes « silencieuses » si possible !

En conclusion, l'objectif de la recherche économique, telle qu'elle est conduite par l’élite, est l'établissement d'une économie totalement prévisible et manipulable à coups de robinets ouverts ou fermés.

Afin de parvenir à une économie totalement prévisible, les gueux doivent être amenés à un contrôle total, placés sous un joug, et assignés à un devoir social à long-terme depuis le plus jeune âge, avant qu'ils aient une opportunité de se poser des questions sur la propriété de la matière. Afin de parvenir à une telle conformité, la cellule familiale des classes inférieures doit être désintégrée au moyen d'un processus d'augmentation des préoccupations des parents. (Voir mon article concernant le progressisme)

La qualité de l'éducation donnée aux classes inférieures doit être médiocre, de sorte que le fossé de l'ignorance qui isole soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Avec un tel handicap de départ, même de brillants éléments n'ont que peu d'espoir de s'extirper du lot qui leur a été assigné à vie. Cette forme d'esclavage est essentielle pour maintenir un certain niveau d'ordre social, de paix, et de tranquillité pour l'élite dirigeante.

On allait donc tirer sur la populace à grandes rafales de traitement des données, manipulée par un programmeur d'ordinateur au lieu d'un tireur d'élite, sous les ordres des banxters au lieu des généraux. Le principe est simple, le public rendu candide ne peut pas comprendre la duplicité du système et la dangerosité de ses armes. Il ne peut pas croire et admettre qu'il est attaqué par ceux censés le protéger. Il est ainsi soumis à cette arme silencieuse. L’attaque étant sournoise et non rationnelle, il ne sait pas comment crier à l'aide, et ne sait pas comment s'associer avec d'autres pour se défendre.

Les "petites gens" allaient donc faire ce qu’ils ont toujours fait : s’adapter. Tout comme le font, ou plutôt essaient de le faire, tous ces hyper sensitifs en recrudescence face à celle des ondes électromagnétiques qui ont envahi notre espace de vie. Ils apprirent donc à tolérer ces répercussions sur leurs vies jusqu'à ce que la pression (psychologique via l’économique) devienne trop grande et qu'ils s'effondrent.

En conséquence, l'arme silencieuse est un type d'arme biologique. Vous savez tous que le moral est porteur de la santé. Elle attaque la vitalité, les options, et la mobilité des individus d'une société, en connaissant, comprenant, manipulant, et attaquant leurs sources d'énergie sociales et naturelles, ainsi que leur forces et faiblesses physiques, mentales, et émotionnelles.

La technologie actuelle des armes silencieuses est une extension d'une idée simple découverte, succinctement exprimée, et effectivement appliquée par Mayer Amschel Rothschild. J’ai longuement écrit sur le sujet dans mon second ouvrage La Promesse.  Bien sûr, sa découverte : l'analyse mathématique, dut attendre la Seconde Révolution Industrielle, l'avènement des théories physiques et électroniques, et finalement, l'invention de l'ordinateur, avant d'être effectivement mise en application dans le contrôle de l'économie mondiale.

Un de ses meilleurs disciples sera Bill le Coyote, avant de nous distiller ses virus puis bientôt ses vaccins qui vont avec, il fera d'abord joujou puis fortune avec ces nouvelles technologies. Lui viendra même l'idée d'y adjoindre déjà des antivirus !

Ce principe était et est encore et toujours : « lorsque vous prenez l'apparence du pouvoir, les gens vous le donnent bientôt. » À grands coups de lettres de change, l’argent DETTE était venu au monde sous forme de découvert.

Les apparences sont souvent trompeuses et dans ce monde d’apparence « ça trompe énormément ». Certains, en leur temps, même quand ils étaient encore peu puissants, à la tête d’un Etat imaginaire, à Londres, avait une « certaine idée de la France ». Lorsque l’on parle d’un pays, d’une nation, s’en faire une certaine idée peut largement suffire à faire la différence. Néanmoins, vous aurez compris la logique.

Suite ici : https://vecteur-douceur.over-blog.com/2021/05/le-silence-des-moutons-ou-celui-des-agneaux-partie-deux.html

Olivier

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